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Le chien de mon voisin

Chapitre 1

Zoophilie
Je m’appelle Clara, petite brune de 19 ans, plutôt petite puisque je mesure 1,50 m. J’habite en Pays de Loire, dans un petit village plutôt perdu en pleine campagne. Il y a beaucoup de fermes dans cette zone, et j’habite à côté d’une exploitation agricole. Le fermier, mon voisin, était un homme relativement âgé, dans la cinquantaine, les cheveux virant poivre et sel. Il n’avait jamais eu de femme, même si j’en ai vu défiler un tas chez lui. Il avait un chien énorme, genre dogue allemand. Je me suis toujours demandé à quoi il pouvait lui servir, étant donné qu’on était dans une zone où le vol et le vandalisme ne sont commis que par des jeunes du village. Au moins, le chien leur fait peur et les fait s’éloigner.
Un jour que je partais travailler (je fais le ménage dans une maison de retraite assez proche), j’entendis un drôle de bruit dans la grange où le fermier entreposait ses récoltes. On aurait dit un couinement de chien. Pensant que le dogue s’était blessé, je m’approche de la porte entrouverte, et regarde ce qu’il en est. Là, surprise... Je vois une femme que le fermier avait ramené chez lui la veille, à quatre pattes à même le sol, complètement nue et gémissant de plaisir. Je m’attendais à voir le fermier la prendre en levrette, mais me rapprochant légèrement, je vis qu’il s’agissait du chien, lui ramonant énergiquement la chatte. Le fermier était assis à côté, et se branlait comme un dingue. Voyant cela, sans m’en rendre compte immédiatement, ma main se dirigea vers mon entre-jambe, humide par l’excitation que je ressentait. Je commençai à me branler la chatte, y enfilant un doigt, puis deux. N’en pouvant plus, je m’accroupis au sol, et vis que le chien s’était figé. La femme continuait à gémir, et le fermier lui parlait de manière crue "Voilà, profite de son gros nœud dans ta chatte! Tu le sens gonfler en toi? Le foutre gicler au plus profond de ton ventre?" Et là, le chien de détacha, laissant couler son sperme le long des cuisses de la femme. Ne pouvant plus me retenir, je jouit, plus fort que je n’ai jamais ressenti.
J’entendit l’homme se relever, et me décida de partir. J’allais être en retard au travail.
De toute la journée, je ne pensait qu’à ce que j’avais vu ce matin là. Je n’ai pas arrêté de mouiller. Le soir, une fois rentrée chez moi, je m’allongea sur le canapé du salon, et me branla aussi fort que je pouvais, repensant à la scène dans la grange, m’imaginant à la place de cette femme. Je jouit plusieurs fois, ce soir là. Épuisée, je pris une douche chaude et me décidait à me coucher.
Cette nuit-là, mes rêves se furent plus érotiques que jamais. " Un homme était debout en face de moi. Il m’accroupit devant lui, et sortit sa bite, dure et droite comme une barre de fer. Je me mis à le sucer, à le pomper comme je ne me croyais pas capable. Puis, il me dit de me mettre à quatre pattes. Je m’exécute, et sentit quelque chose d’humide contre mon intimité. Puis, de grand coup de langue me surprirent. Je continuais de sucer l’homme, quand je sentit un chien, lourd, s’écraser de tout son poids sur me dos. Sa bite donnait des coups, cherchant ma fente. Il l’introduisit et... " Mon réveil m’avais réveillée en sursaut. J’étais trempée de sueur, et ma chatte était trempée de mouille. Je dormais toujours nue, et j’avais mouillé mes draps. Je me leva, pris une douche pour me rafraîchir, et partit travailler.
Ce jour-là, je fut aussi mouillée que la veille. Je me décidait à passer à l’action dès le lendemain.
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