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Le chien de ma soeur

Chapitre 1

Zoophilie
J’ai passé toute mon enfance dans une ferme, en compagnie de mes parents et mes cinq frères et sœurs. Outre la production de cultures, nous avions aussi des animaux, vaches, cochons, chevaux, poules, chats et chiens.Depuis petit j’ai toujours été fasciné par les copulations entre animaux, j’aimais voir les femelles se faire saillir par les mâles, surtout l’étalon avec une queue énorme qui s’enfonçait dans le sexe des juments et après l’accouplement le surplus de sperme s’écoulait du vagin de la jument.Aussi beau à voir c’était le taureau avec les vaches, là c’était rapide, le mâle avec une queue longue et effilée grimpait sur le dos de la vache et envoyait une bonne rasade de sperme dans l’utérus de celle-ci.
Toutefois les copulations les plus intéressantes à voir c’était avec les chiens, les chiennes en chaleur tournaient autour du mâle et celui-ci tentait de les prendre mais au début des chaleurs elles s’esquivaient et au bout de quelques heures elles se laissaient grimper sur le dos et le chien avec de rapides va-et-vient trouvait enfin la grotte de la femelle et enfonçait sa queue au fond de celle-ci, le knot grossissait pour être enveloppé durant de longues minutes dans le sexe de la chienne.
Combien de fois je me suis masturbé en revoyant ces images, je ne saurais le dire.Vers mes 18 ans je n’avais toujours pas d’amie et je n’osais pas tenter quelque chose avec ma sœur aînée, mais ma bite me démangeait de plus en plus. Alors j’ai commencé à fantasmer sur les animaux de la ferme et je suis mis à caresser et fourrer mes doigts dans les sexes des juments et des génisses.Un jour, tout excité j’ai osé ! J’ai pris un escabeau et je me suis mis derrière une jument, j’ai caressé sa vulve pendant un moment puis j’ai sorti ma bite toute raide de mon pantalon et je l’ai enfoncé dans le sexe de la jument. C’était l’extase, après quelques va-et-vient j’ai envoyé une grosse rasade de sperme au fond de sa chaude vulve.J’ai renouvelé ces rapports à plusieurs reprises avec les juments et les génisses et c’était toujours très bon.Vers mes 19 ans j’étais toujours puceau d’avec les femmes, mais c’est à cette époque que j’ai commencé à rencontrer des filles et à perdre enfin mon pucelage.Quelques années plus tard j’ai rencontré une fille, Sonia, qui allait devenir ma femme et avec laquelle nous avons eu deux enfants.
Nous avions une sexualité normale mais mes rapports zoophiles me hantaient toujours et des idées cochonnes me trottaient dans la tête. A cette époque des années 1970, on commençait à trouver des revues pornos de toutes sortes et dans les grandes villes certains cinémas passaient des films pornos.J’ai acheté quelques revues montrant du sexe avec des noirs, lesbiens et à plusieurs, j’en ai même trouvé sur la zoophilie et je les ai montrées à Sonia.Avec beaucoup de tact j’ai réussi à la convaincre d’aller voir une fois un film porno, elle avait mis des bas et pas de petite culotte et j’ai pu la doigter durant tout le film. J’étais tellement excité que je n’ai pas pu attendre d’être à la maison, je l’ai baisé dans la voiture dans un petit chemin de forêt.Le premier pas était fait pour amener ma femme vers le dévergondage et nous avons renouvelé ces séances de cinéma mais nous nous mettions toujours à l’écart des autres spectateurs.Toutefois un soir je l’ai entraîné dans une rangée où se trouvait un homme seul, je l’ai fait asseoir à côté de lui et pendant le film celui-ci a sorti sa bite et s’est masturbé. J’ai alors dit à ma femme de remplacer sa main par la sienne, ce qu’elle a fait après une petite réticence. Pendant ce temps je la doigtais et elle mouillait abondamment, j’ai gentiment poussé sa tête sur la bite toute raide de son voisin qu’elle a d’abord léché puis toute excitée l’a englouti dans sa bouche. L’homme tout heureux de ce qui arrivait n’a pas tardé à envoyer une rasade de sperme dans la bouche de ma femme qui a, à mon étonnement tout avalé.
Je lui ai demandé si elle avait aimé, ce qu’elle m’a confirmé et le soir même nous avons baisé comme des fous.A cette époque il existait pas mal de magazines pour des rencontres de sexe. J’ai donc mis des petites annonces pour des rencontres en trio, échangistes, mélangistes et j’ai enfin pu m’éclater dans le sexe et toujours avec mon épouse. Le sida n’existait pas, nous pouvions éjaculer dans les bouches, les sexes, lécher, boire le sperme, c’était bon !Ce qui trottait toutefois toujours dans ma tête, c’était de voir Sonia se faire baiser par un chien, je lui avais montré les revues zoophiles, mais là elle était très réticente.Alors un jour j’ai ramené le chien de la ferme de mes parents et j’ai proposé à ma femme de se laisser lécher le sexe. J’ai dû insister mais elle a tout de même retiré sa petite culotte, a ouvert ses jambes et le chien Nero s’est mis à lécher la mouille qui coulait de la chatte de ma femme qui a rapidement joui.
Une semaine plus tard même scénario, moi de voir la bite turgescente du chien sortir à moitié de sa gaine m’a beaucoup excité. J’ai demandé à mon épouse de se mettre à quatre pattes pour que Nero puisse mieux la lécher, au bout d’une minute j’ai porté les pattes de devant du chien sur le dos de ma femme, j’ai un peu masturbé le chien puis j’ai glissé sa queue à l’entrée de la grotte toute mouillée de ma femme. D’un seul coup Nero s’est enfoncé tout au fond du vagin en faisant de rapides va-et-vient. Au bout d’un moment il s’est bloqué et a commencé à déverser le mélange de sperme et de pisse dans la chatte de Sonia et le surplus dégoulinait le long de ses jambes.
Quand il s’est retiré, après 10 à 15 minutes de saillie je n’ai pas résisté à remplacer sa queue par ma bite que j’ai enfoncée dans la chatte poisseuse et pleine de sperme de ma femme. C’était fort et au bout de deux minutes j’envoyais mon foutre rejoindre celui de Nero.Sonia qui avait joui à plusieurs reprises était tout de même un peu honteuse de s’être fait saillir par un chien, mais je l’ai rassuré en lui disant que j’avais beaucoup aimé cet accouplement.
Nous avons bien sûr renouvelé ce type de sexe à trois à de nombreuses reprises, jusqu’à ce que Nero soit trop vieux pour baiser.Nous avons jusqu’à la mi-cinquantaine, Sonia et moi réalisé bien des fantasmes, moi candauliste regardant ma femme se faire baiser par d’autres hommes, des trios ou les deux hommes baisaient Sonia en double vaginale et où je léchais le sperme qui s’écoulait de la chatte de ma femme et bien d’autres choses, mais plus jamais avec un chien.Maintenant nous sommes dans la soixantaine, beaucoup plus calmes jusqu’au jour où ma sœur cadette Evelyne est passée chez nous pour nous demander si l’on pouvait garder son chien pendant trois semaines. Evelyne, de dix ma cadette, divorcée vivait seule et ne voulait pas mettre son chien Jupiter, un beauceron de couleur noire et feu, dans un refuge.Mon esprit lubrique m’a immédiatement fait accepter cette proposition et une semaine plus tard nous accueillions Jupiter. Ma femme se doutait bien que j’allais lui proposer de copuler avec ce chien et avant que je ne lui pose la question elle m’informa qu’elle ne voulait plus avoir ce genre de relations.J’avais jusqu’à présent toujours eu un certain ascendant sur Sonia et j’étais serein quant à la suite des événements.
Le soir nous regardions la télé, Jupiter était couché dans un coin du salon, j’ai alors gentiment caressé les jambes de Sonia tout en remontant ma main sous sa robe pour arriver à sa petite culotte. J’ai passé un doigt sous celle-ci pour pincer son clito turgescent. Sous ces caresses elle a laissé échapper un petit couinement qui a fait dresser les oreilles de Jupiter.Puis le chien s’est levé et est venu près de ma femme et a tenté de fourrer son museau sous sa robe, mais Sonia a fermé les jambes en disant non.J’ai embrassé ma femme tout en lui disant de se laisser lécher, elle a alors écarté ses jambes et le chien a immédiatement enfoui sa gueule sous la robe pour lécher l’abricot de Sonia encore recouvert par la culotte.Excitée par la tournure des événements, mon épouse a retiré son tanga et le chien a pu laper son sexe tout mouillé de cyprine.A la façon de voir Jupiter lécher la chatte de ma femme, je lui ai affirmé que ma sœur Evelyne devait certainement se faire baiser par son chien. J’ai dit à mon épouse de se déshabiller complètement, de se mettre en levrette et on verra la réaction de Jupiter.
Durant le déshabillage le chien était déjà tout excité et son sexe tout rouge pointait déjà bien hors de son fourreau.Pas de doute ma cochonne de sœur devait se faire saillir par Jupiter, moi qui avais toujours rêvé de faire l’amour avec elle quand nous étions plus jeunes.Sitôt ma femme à genoux, le chien tout frétillant lui a grimpé sur le dos et après quelques essais infructueux a réussi à faire pénétrer sa grosse pine rouge dans le vagin de Sonia.On voyait que Jupiter avait l’habitude de saillir une femme, il enfonçait sa queue et le knot bien profondément faisant crier Sonia de plaisir. Cela a duré une bonne dizaine de minutes avant que le chien se retire et que je puisse prendre sa place.Bien sûr nous avons profité de Jupiter presque tous les jours durant son séjour chez nous.Lorsque ma sœur Evelyne est revenue de son voyage j’ai voulu savoir si effectivement elle se faisait saillir par son chien et pour la confondre nous l’avons invitée à manger avec nous.
J’ai demandé à ma femme de ne pas mettre de culotte et une petite robe et au milieu du repas Jupiter est passé sous la table et a glissé son museau entre les jambes de Sonia qui à son contact émit un petit cri.Evelyne lui demanda ce qui se passait avant de comprendre que le chien léchait la fente de Sonia.Ma sœur rouge de confusion nous demanda comment son chien s’était comporté durant ces trois semaines, alors je lui répondis, comme tu l’as éduqué !Alors elle nous raconta qu’après son divorce elle n’avait plus trop envie de se remettre avec un homme et qu’elle avait vu des films pornos sur Internet, montrant des femmes se faisant baiser par des chiens. Il lui vint alors l’idée d’acquérir un chien et de l’éduquer à la baise, apparemment elle avait bien réussi.Nous lui avons donc raconté que nous avions par le passé eu de fréquents rapports zoophiles avec le chien de nos parents et que la garde de Jupiter avait ravivé ces bons souvenirs et que nous n’avons pas pu nous empêcher de baiser avec Jupiter.Avec le vin que nous avons bu nous étions tous les trois un peu euphoriques et lorsque j’ai demandé à Evelyne de se laisser saillir devant nous par Jupiter, elle n’a pas hésité.
Pendant qu’elle se faisait prendre par son chien, j’ai déshabillé Sonia et l’ai aussi baisé en levrette.Comme j’avais toujours rêvé de faire l’amour avec ma sœur, dès que le chien s’est retiré de son vagin je l’ai remplacé pour la saillir à mon tour, pendant ce temps Sonia tout émoustillée faisait une bonne fellation à Jupiter.Depuis cette soirée mémorable, nous nous retrouvons régulièrement, Evelyne, Sonia, Jupiter et moi-même pour des baises torrides et les deux femmes se gougnotent même entre elles léchant le sperme qui coule de leur sexe puis s’embrassant goulûment.
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