Il m’ordonna d’avancer à 4 pattes vers le lit, de monter dessus et de replier les jambes sous moi et de m’asseoir sur mes pieds. Il m’a ensuite tendu un masque et m’a demandé de le mettre devant mes yeux. Celui-ci est comme un masque de nuit, il m’empêche de voir. Ses mains, pour la première fois caressèrent mes seins. Il le fit sans aucun ménagement, je dis caresse, mais il malaxait ma poitrine sans se soucier de mon bien-être, il me faisait mal et cela était volontaire. - Aïe ! arrête, tu me fais mal ! Avais-je dit sans réfléchir. - Non, vilaine chienne… N’oublie pas que je fais ce que je veux. J’enlevais mes mains qui s’étaient mises en protection de ma poitrine sans rien ajouter. - Met-toi à 4 pattes, la tête dans tes bras pour me présenter ta croupe. Je m’exécutais sans rechigner. - Aïe ! Sans prévenir, il venait de commencer sa « punition ». Un coup sec et cinglant vint atterrir sur mes fesses offertes. - Chienne, je ne veux pas t’entendre. 2 nouveaux coups cinglèrent mon cul. J’ai réussi cette fois à ne pas crier et à minimiser le reflex de recul.
Les lanières se posèrent sur ma peau et commencèrent une douce caresse. Puis, elles s’écartèrent pour revenir au contact avec un peu plus de vitesse. Il continua ainsi longtemps, enfin, pour moi, cela durait une éternité, les caresses succédaient les frappes. Puis, il arrêta, aussi soudainement qu’il avait commencé. J’attendais en gardant ma position et sans rien dire, finalement il enleva mon masque. - Regarde ! Il me montra son téléphone et je découvris une photo de mes fesses. Elles avaient de multiples stries rouges. Je le regardais inquiète. Pas par la rougeur de mon cul, je savais qu’il n’avait pas ménagé son ardeur ni retenu son bras, mais de savoir qu’il avait pris une photo, voire plusieurs. Je regrettais mon « RIEN », je n’avais pas pensé qu’il aurait pu vouloir faire des photos, pourtant, maintenant que j’en avais une devant les yeux, je comprenais ma bêtise, il était évident qu’il voudrait immortaliser ses moments, autant pour les revivre que pour s’en vanter auprès de ses amis. J’aurais pu lui demander de l’effacer, ainsi que les autres, s’il y en avait. J’aurais pu lui dire que je ne voulais pas de photos, mais je suis une femme de parole, nous avions convenu qu’il n’y avait aucune limite quand nous étions ici et je ne voulais pas trahir ce serment. - Ne t’inquiète pas, cette photo ne circulera pas… Avait-il lu dans mes pensées, avait-il compris mon regard, je n’en sais rien, mais j’étais soulagée. Il prit ensuite un bol pour le remplir d’eau, la posa sur le sol. - Va boire ! Après une petite hésitation, je me suis dirigée vers le bol en marchant à 4 pattes puis j’ai lapé l’eau. - Bois tout ! M’ordonna-t-il alors qu’après quelques coups de langue j’avais arrêté de boire. Ensuite, quand le bol fut complétement vide, il le rangea et me remit la laisse pour me faire faire une nouvelle promenade dans la chambre. Il me fit marcher au pied, m’ordonna de m’asseoir, de me coucher, comme une chienne… Cela l’amusait, je commençais, quant à moi, à trouver ce jeu lassant. Il me fit même mettre à l’arrêt comme un chien de chasse… Puis, il me parla de son berger allemand. - C’est moi qui l’ai dressé, tu verrais comment il m’obéit. Me dit-il en me montrant qu’il me fallait m’allonger sur une couverture qu’il venait de déposer sur le sol. - C’est à Rex, il adore s’allonger dessus et se lécher le sexe. J’obéissais à tous ses désirs, il s’amusait à me donner des ordres, à me faire obéir, il me parlait de son chien, mais ne cherchais pas à jouer sexuellement avec moi. Il m’avait bien peloté les seins de manière brutale, caressais mes cheveux comme on caresse un chien et même donné des petites claques sur le derrière, mais il ne m’avait jamais demandé de le sucer, il ne m’avait pas caressé la chatte et n’avait pas cherché à me faire l’amour. Son truc était de me soumettre, de me faire faire tout ce qu’il faisait avec son chien. J’étais sa chienne, mais au vrai sens du terme. Je m’attendais à une autre forme de relation, certes très vite il m’a dit qu’il me voulait soumise, mais je m’attendais à une relation D/s plus sexuelle… et j’étais un peu déçue. Plus le temps passait, plus il parlait de son chien. - Le weekend dernier, nous l’avons présenté à une chienne LOF comme lui. Il m’expliqua qu’il voulait l’utiliser comme « étalon » pour saillir des femelles berger allemand. Son chien était LOF, mais il ne voulait pas en faire un commerce. - … simplement lui offrir du bon temps. Je n’écoutais plus que d’une oreille discrète, juste assez pour comprendre l’ordre qu’il me donnait, mais sans vraiment écouter les délires qu’il récitait ensuite... mais cette dernière phrase claqua dans mon esprit. Allais-je une nouvelle fois regretter mon « RIEN » ? Il m’avait promis, sans que je lui demande, de ne faire qu’un usage personnel et privé des photos prises, m’indiquant même qu’il serait le seul à les regarder. Ma peur avait donc rapidement disparu. Quand il m’a fouetté, je n’ai pas regrettai mon « RIEN », car sans être masochiste, je m’étais dit que c’était une expérience à découvrir. Cela m’avait fait mal, je n’ai pas un réel plaisir pour la douleur, mais finalement on s’y habitue et cela peut même être proche de certains orgasmes… si on en abuse pas, cela peut finir par ne pas être désagréable. Je m’étais d’ailleurs dit, en recevant ces coups qu’il me faudrait aussi essayer un jour d’être de l’autre côté du fouet. Mais là, ou voulait-il en venir ? Il me parlait de son chien et cela devenait lassant. Je voyais bien qu’il aimait beaucoup son berger allemand, mais je ne comprenais pas pourquoi il s’attardait tant à en parler, alors qu’il avait devant lui, une femme complétement soumise à tous ses caprices. «… lui offrir du bon temps… » Avais-je bien compris ? Non, quand même pas… il n’avait quand même pas l’intention de m’offrir à son chien. J’étais curieuse de nature et faisait devise la phrase « il ne faut pas mourir idiote ! », mais jamais je n’avais imaginé faire cela avec un chien… non, cela était quand même trop. - La garce, cette chienne, elle ne veut pas de lui. Il me montra une photo de son chien. - N’est-il pas beau ?- Euh… Que devais-je répondre ? Était-il en train de me préparer le terrain ? Il me montra ensuite une saillie de son chien avec un autre berger allemand. - Celle-là, elle l’avait tout de suite accepté. Non, s’il me propose de faire cela avec son chien, je refuse. C’est décidé. Heureusement, il changea finalement de sujet en m’obligeant boire une bouteille d’eau… puis,me fit refaire sa balade. Il tirait quelquefois la laisse pour me ramener plus proche de sa jambe. - Tu n’es pas encore assez chienne. Jouait la chienne, pas avec un vrai chien, mais avec un tordu comme lui, pouvait être amusant au début, mais cela commençait à être agaçant. Mais je dois aussi avouer que je préférais cela qu’à devenir une vraie « chienne » pour son berger. Il enleva la laisse et m’ordonna d’aller dans la salle de bain. je m’exécutais en espérant qu’il allait enfin mettre fin à cette soirée. J’aurais pu le faire, lui dire que j’en avait marre, mais je voulais m’en tenir à la parole donnée. Quelle idée d’avoir dit « RIEN » et de n’avoir mis aucune une limite de temps pour chaque rencontre, voire une limite de rencontre. - Maintenant pisse ! A peine étais-je sur le carrelage froid de la salle de bain qu’il m’ordonna d’uriner une nouvelle fois comme une chienne. Heureusement, ce que j’avais bu pas mal d’eau et le froid du sol m’aida à obéir sans difficulté. Il m’ordonna ensuite de boire mon urine. J’hésitais, prête à me lever pour lui dire que cela suffisait. - Non ma fille, tu as voulue jouer les prétentieuses en écrivant ce « RIEN », maintenant assume. Il n’est pas rare quand je me parle à moi-même que je m’appelle « ma fille ». Je n’avais bien entendu pas prononcé cette phrase à voix haute. Non sans dégout, ma langue commença à se poser sur mon urine encore chaude....
