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Chienne

Chapitre 7

Erotique
André avait posé sa tablette sur la petite table de salon et s’était enfoncé confortablement dans le canapé. Nous étions proches l’un de l’autre et un silence s’installa.
La main d’André se posa sur mon genou, un petit sourire se dessina sur mon visage, mais je ne montrais rien de plus.
Sans l’encourager je ne le rejetais pas pour autant.
-    Alors, comme trouves-tu mon Igor ?-    C’est un beau chien.-    Et il sait y faire, tu ne trouves pas ?
Oui, Igor avait l’air de bien savoir ce qu’il devait faire et comment s’y prendre, mais je n’avais pas trop envie de parler de cette vidéo, la main d’André avait réveillé en moi une sensation que je connaissais bien ; mon sexe avait faim !
André comprit à mon silence que je n’avais pas envie de répondre, pourtant il continua sur le même sujet.
-    Tu es venue pour découvrir tout cela…-    Je n’ai jamais dit que j’allais…-    Non, je n’ai pas dit cela, mais tu m’as dit être curieuse, que tu n’avais pas forcément envie de le faire, mais d’en savoir plus.-    Oui je suis effectivement curieuse, mais…-    Donc ce weekend sera celui de ton information de ta découverte du sujet… par nécessairement celui de ton initiation, mais je te présenterai Igor en temps voulu, après c’est toi qui décidera.
Il avait dit cela sur un ton neutre et sympathique, pourtant je savais qu’il avait énoncé un fait qui n’autorisait aucune contestation.
Son autorité était naturelle, il n’avait pas besoin de hausser le ton, de durcir son visage ou froncer les yeux pour se faire obéir.
Sa voix était douce et tendre, mais ne vous y tromper pas, il était impossible de ne pas sentir son autorité et je savais qu’il me fallait simplement approuver ses dire, je n’avais pas le choix, c’était lui le maitre et moi la soumise… tout cela était clair, net et précis sans qu’il est eu besoin à aucun moment de l’énoncer.

Il se leva et lui demanda de l’imiter. Puis la fit marcher à côté de lui.
-    Bon maintien, mais il faut maintenant que tu apprennes les bases.
Je le regardais curieuse.
-    Stop !
Dit-il en continuant à marcher.  J’avais été surprise par son ordre, mais comme il continuait son mouvement, je l’avais fait aussi quelques pas, jusqu’à ce que mon cerveau interprète l’ordre.
-    Bon, il va falloir que je t’explique une chose.
Je le regardais toujours incrédule, je ne comprenais pas ce qu’il voulait exactement.
-    Je sais que tu n’as pas encore pris ta décision, mais nous savons, l’un comme l’autre que visualiser des photos ou des vidéos ne sera pas l’élément déclencheur et tu en as assez vu de toute façon pour voir comment cela se passe.
Il retourna s’asseoir dans le canapé, je ne savais pas si je devais rester sur place ou le suivre.
-    Il faut déjà que tu te sentes chienne, que tu réagisses comme un canidé, que tu oublies que tu es humaine.
Continua-t-il sans se soucier vraiment de moi. Je n’osais pour autant bouger.
-    Bon, viens ici, couche toi à mes pieds.
Je m’approchais du canapé et me mit devant le canapé en glissant mes jambes sous moi.
Il caressa les cheveux de mon crâne.
-    Je vais te mettre un collier, tu auras aussi une laisse et je t’apprendrais à savoir marché au pied.
Il se leva.
-    Pas bouger.
Ordonna-t-il sans pour autant durcir sa voix.
Il sortit de la pièce pour en revenir quelques instants plus tard. Je n’avais pas bougé comme il me l’avait ordonné et j’imaginais qu’il allait revenir un collier à la main et me le mettre.
Cela reviendrait à revivre ce jeu ennuyeux de l’autre fois…
En arrivant, il avait bien un collier et une laisse dans la main.
Son téléphone sonna, il regarda l’origine de l’appel et décrocha.
-    Salut, que me vaut ton appel ?-    …-    Eh, oui, pas de problème…-    …-    Non, je suis en charmante compagnie, mais je suis certain qu’elle n’y trouvera rien à dire.-    …-    OK à de suite.
La conversation fut rapide et il me regardait en souriant.
-    C’était un vieil ami, un copain d’enfance, il est à deux pas de la maison et voulait savoir s’il pouvait passer, cela ne te dérange pas.-    Euh, non… mais.-    On fera ton éducation canine demain, t’inquiète pas.
Son ami arriva peu de temps après, limite obèse, pas vraiment beau et paraissant bien plus vieux qu’André.
-    Je te présente Marcel.
En me voyant, Marcel ne put s’empêcher de m’examiner de la tête au pied. Il me déshabilla du regard sans aucun scrupule.
 Je m’étais levé du canapé, où j’avais pris place après avoir été prévenu par André qu’il allait avoir de la visite et me suis avancé vers lui pour le saluer. Alors que je lui tendis la main, il m’agrippa et me fit la bise.
André ria.
-    Il est très « amitieux »…
Ajouta-t-il en invitant chacun à s’asseoir.
Marcel vint se placer à côté de moi.
-    Tu es toujours Chivas ?
Demanda André à son ami.
-    Tu ne demandes pas avant à la p’tite dame ?
Répondit Marcel en jetant un regard libidineux dans mon décolleté.
Les trois verres remplient, Marcel prit mon verre des mains d’André qui voulait me l’avançait.
-    Votre serviteur …
Me dit-il
-    Cela te gêne pas que je m’occupe de cette jolie poupée à ta place ?
Ajouta-t-il en se tournant vers son ami.
Puis comme celui-ci  lui avait donné la permission en riant, il se tourna à nouveau vers moi.
-    Cet André… il ne sait pas recevoir une belle dame. Cela fait longtemps que vous êtes là.-    Nous sortons de table.
Répondit André à ma place.
-    Et elle est encore habillée ? Tu as perdu la main.
Dit Marcel en regardant à nouveau André et en éclatant de rire.
-    Vous avez une très belle robe, mais…
En disant cela il avait caressé le tissu, prétexte pour effectuer un premier contact physique.
-    Je vois que vous êtes une femme aux goûts très raffinés et j’imagine donc que votre lingerie doit être aussi belle à voir.
Il laissa trainer sa main sur ma poitrine et caressa du bout de ses doigts l’échancrure de mon décolleté.
Ne voyant aucun signe négatif de ma part, il se tourna quand même vers son ami pour avoir son aval.
-    Je ne te casse pas un plan ?
Il parlait de moi à son ami comme si je n’étais pas là.
Je le regardais, il était vieux et semblait faire son âge, voire plus, il était obèse, ne semblait pas vraiment soucieux de son hygiène…
Qu’allait-fait André ?
Laissez Marcel jouer avec moi ?
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