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La chienne abandonnée

Chapitre unique

SM / Fétichisme
On sonne à ma porte. Je traverse le couloir du rez-de-chaussée. J’habite dans une ruelle calme proche du centre-ville, dans cette belle maison héritée de ma grande-tante Amélie. J’entrouvre la porte. À mes pieds, une jeune femme entièrement nue est accroupie. Elle a un collier à son cou. Elle tient dans sa bouche l’extrémité de sa laisse. Inquiet, je jette un œil à gauche, à droite. Il n’y a personne dans la ruelle. J’ouvre la porte en grand. La jeune femme nue entre, à quatre pattes. Elle me fixe de ses grands yeux. Elle avance vers moi, et dépose la laisse à mes pieds.
Je l’ai rencontrée sur un site de rencontres spécialisé dans les relations sado-maso. Nous avons convenu d’un scénario. Elle, petite chienne abandonnée, vient gratter à ma porte. Je la recueille. Je la dresse. Je ne la connais que sous son pseudo. Lila_soumise. Pour elle, je suis Maître Simon.
C’est une jeune femme mince et d’allure sportive. Sa longue chevelure châtain claire encadre ses yeux verts. Elle semble assez petite, environ un mètre soixante-cinq, et doit peser à peine cinquante kilos. Sa poitrine un peu flasque trahit son âge, la trentaine bien entamée. Ses tétons sont charnus. Sa nudité ne révèle aucun poil. Sa dentition est d’une parfaite blancheur. Malgré ses tendances masochistes, Lila prend bien soin de son corps.
— Pauvre petite chienne, comme tu dois avoir soif.
Elle hoche la tête et couine comme le ferait une vraie chienne. Je l’emmène à la cuisine. Je remplis une gamelle au robinet de l’évier et la pose devant elle. Elle boit tout en lapant. Je l’emmène dans la cour, à l’arrière de la maison. Les maisons de mes voisins n’ont pas de fenêtres donnant sur ma cour. Sauf une. Je fais faire le tour de la cour à ma chienne. Lorsqu’elle s’éloigne du tracé pour renifler dans un coin, je lui donne des coups de cravache. Très vite son fessier devient rouge. Il faut qu’elle apprenne à marcher au pas à mes cotés, sans aller fureter à gauche et à droite. Ce sera important pour plus tard. Lorsque la nuit sera tombée.
L’exercice suivant est celui de l’orgasme forcé. Je n’utilise pas de sextoy, simplement mes doigts. Je la masturbe jusqu’à ce que je la sente sur le point de jouir. Je stoppe alors brutalement et lui donne des coups de cravache sur les seins. Lorsque l’orgasme s’éloigne, je recommence à la masturber. Je pince son clitoris. Elle sert les dents, étouffe un cri. Ses cuisses sont trempées depuis longtemps, mais je ne l’ai toujours pas autorisée à jouir. Son regard est implorant. Elle vient me lécher docilement la main. Celle souillée de sa cyprine. Bien sûr.

C’est une élève douée. Je la sens prête à passer au niveau suivant. En attendant, je la nourris. Lila est une chienne végétarienne. Je lui sers une bouillie à base de bananes et de fraises écrasées. Elle en raffole. Elle vide sa gamelle et continue d’en lécher le fond. Sa bouche est sale. Je l’emmène dans les toilettes. Elle met sa tête dans la cuvette et commence à laper. J’appuie sur le bouton de la chasse d’eau. La voilà propre, mais le visage trempé.

La nuit est là.
Il fait un peu frais, lorsque nous sortons. Je l’autorise à porter un corset noir. Mais ses jambes, ses parties intimes et sa poitrine restent nues. La ruelle est déserte, faiblement éclairée. Je la promène au bout de ma laisse. Elle s’accroupit et fait ses besoins au pied d’un réverbère. Je songe à ramasser ses excréments, comme je le ferais avec une vraie chienne. Je n’ai pas pensé à prendre un sac. Si quelqu’un passe maintenant, où regarde par sa fenêtre, il ne pourra pas nous manquer.

Je ne crains pas le risque. J’ai envie de tenter le diable. Je déboutonne ma braguette. J’ordonne à Lila d’ouvrir la bouche. Je me soulage entre ses lèvres. Elles dégoulinent de mon flot jaunâtre. Je lui ordonne d’avaler. Elle refuse, secoue la tête. J’insiste, je la menace de ma cravache. Enfin elle avale et me présente sa bouche vide. Elle est fière. Elle attend une récompense. Je lui caresse la tête. Elle se laisse faire. Elle se serre contre moi. Elle frissonne.
Nous rentrons. Je lui offre sa récompense promise. C’est un plug anal avec une longue queue de fourrure. Je le lui insert après avoir lubrifié son anus avec ma salive. Maintenant, elle a l’air de se sentir comme une vraie chienne. Elle semble heureuse. Elle se promène et tourne autour de moi, pour me montrer sa queue en fourrure.


Il est tard. Nous sommes installés dans mon salon. Je lis un thriller de Don Winslow. Lila est à quatre pattes devant moi. Mes pieds sont posés négligemment sur son dos. De temps en temps, j’arrête ma lecture pour caresser sa croupe. C’est alors que l’on sonne à ma porte. Je me lève pour aller ouvrir. Je suis un peu surpris, voir inquiet. J’ai raison de l’être. Avant même de découvrir son visage, j’entends sa voix pleine de reproche et de menace.
— J’ai tout vu ! Quelle honte ! Attendez que j’appelle la police !
Elle s’appelle Florida. C’est ma voisine. De chez elle, elle a une vue imprenable sur ma cour et sur la ruelle. Je sais peu de choses d’elle. C’est une jeune retraitée qui sort peu. Elle est assez forte physiquement. Ses cheveux courts et roux lui donnent une apparence autoritaire, intimidante. À cet instant précis, le mâle dominateur que je suis avec Lila, n’en mène pas large face à cette furie.
— Écoutez. Ce n’est pas ce que vous croyez…— Silence ! Espèce de porc ! Je vous dis que j’ai tout vu !— Et vous allez appeler la police ?— C’est moi, la police. — Pardon ?
Elle brandit alors une authentique matraque qu’elle me met sous le nez. Simultanément, son manteau s’ouvre et me dévoile… son corps seulement vêtu d’une nuisette en dentelle rouge et d’un porte-jarretelles et de bas assortis. Elle ne porte pas de culotte. Son pubis est des plus fournis. Une jungle rousse.

— Inspectrice Florida. Brigade du sexe. Que comptes-tu faire avec cette petite chienne égarée ?

Je comprends où elle veut en venir. Je décide de jouer le jeu. On verra bien où cela nous mène.
— Ne m’arrêtez pas, inspectrice. Je peux tout expliquer.— Je t’écoute, crapule. Mais d’abord, déshabille-toi.— Pardon ? Hé, je suis ici chez moi…
Elle me donne un coup de matraque à l’épaule, pas bien méchant, mais suffisamment douloureux pour me convaincre de lui obéir. Bien vite, je me retrouve en caleçon devant elle. Elle frotte le bout de sa matraque sur mon entrejambes.
— Ça aussi, tu l’enlèves.
Je baisse mon caleçon, puis croise mes mains sur mon sexe.
— Les mains dans le dos, crapule.
Je la laisse me regarder. Elle vient titiller mon pénis avec le bout de sa matraque.

— C’est avec cette misérable petite chose que tu comptais maltraiter cette pauvre chienne ?
Soudain, je lui prends la matraque des mains et la lui colle sous son double menton.

— Fini de jouer, poulette. Tu es à ma merci. À poil !
Elle enlève son manteau. Elle le laisse tomber à terre. Sa nuisette est un peu trop courte et la boudine. Malgré cela, je la trouve attirante.
— Ne me faîtes pas de mal. Je ferais tout ce que vous voudrez !— À quatre pattes, poulette !
Quand elle se met en position, je découvre son cul large et criblé de cellulite. Entre ses fesses trône un anus boursouflé de la taille d’un oignon. Ma poulette a de l’expérience de ce coté-ci. Et pas qu’un peu !

— Dis-moi. À qui as-tu parlé de ce que tu as vu ici ?— A personne, je le jure !— Tu promets de faire tout ce que je t’ordonnerai de faire.— Oh oui ! Moi aussi, je peux être une chienne obéissante.
J’entends grogner derrière moi. Lila se tient dans l’encadrement de la porte du salon. Elle montre les dents en direction de Florida. Elle n’apprécie visiblement pas la venue d’une concurrente. Elle semble prête à lui sauter à la gorge.

— Aux pieds, Lila.
Elle vient vers moi, et me tend ses pattes. Je la récompense d’une caresse. Je regarde mes deux chiennes avec satisfaction.
— Je crois qu’il est temps de monter au grenier.
Mon grenier aménagé me sert de donjon. J’ai attaché Lila sur ma croix de Saint-André, la tête en bas. C’est ainsi que j’aime consommer mes esclaves. J’aime dévorer leur chatte pendant qu’elles me sucent. Et Lila me suce bien. Sa chatte est délicieuse. Ses lèvres sont chaudes et joufflues. Son clitoris pointe et brille. Il est carrément brûlant. Le goût est un peu salé. Comme j’aime.
J’ai attaché Florida à la poutre du toit, bras en l’air, des chaînes aux poignets. Je lui réserve le fouet. Si Lila me suce bien, si l’orgasme est aussi fort que je l’espère, je la laisserai peut-être manier le fouet. J’ai remarqué que les soumises aiment bien se fouetter entre elles, pour faire plaisir à leur Maître. Moi, en l’occurrence.
Me voilà bien excité. Je fais maintenant des va-et-vient dans la bouche de Lila.
— Comment est ma bite, Lila ?— Délicieuse, Maître.— Tu voudrais bien y goûter, n’est-ce pas Florida ?
Elle ne répond pas. Elle se contente de nous dévorer des yeux avec envie. Je remarque que ses cuisses sont brillantes.
— Qu’est-ce qui te fait mouiller, Florida ?— Vos fesses, Maître. Elles sont divines. À croquer.— Quand tu le mériteras, je m’assoirais sur ton visage.— Oh Maître, ce sera merveilleux !

Elle m’a déconcentré. J’ai débandé un peu. Pas de beaucoup, mais les sensations dans la bouche de Lila ne sont plus les mêmes. Je sors mon sexe. Je vais chercher mon fouet. Je caresse le dos de Florida. Sous peu, il portera les marques de ma domination. Lorsqu’elle me supplie de ne surtout pas la fouetter sur les seins, je comprends que c’est ce qu’elle attend de moi. Comme bon nombre de masochistes, c’est elle qui dirige insidieusement. J’aime faire plaisir. Mon fouet claque sur sa poitrine. Ses cris de douleur sont aussi des cris de plaisir. Lorsque sa poitrine est toute zébrée de rouge et ses tétons bien bandés, je range mon fouet et retourne me fourrer dans la bouche de Lila. La séance de fouet m’a bien excité. Mon pénis est on ne peut plus raide.
Je jouis dans la bouche de ma chienne. Elle est toujours attachée à l’envers. Mon sperme coule de sa bouche sur ses yeux et son front. Dans ses cheveux. Un sperme immaculé et épais. Je dois avouer que je suis fier de mes éjaculations abondantes et crémeuses. Je n’ai jamais rencontré de femme qui refuse de l’avaler.

Nos corps excités et nus réchauffent l’atmosphère de mon grenier. Je détache mes esclaves. Lila lèche le sperme tombé sur le sol. Florida attend de me servir de siège. Comme promis, je m’assoie sur son visage. Je cale bien mon anus sur son nez. J’en profite pour tourmenter ses tétons. Elle gémit. Je sens son souffle lourd sur mes bourses et mon périnée.
Je glisse mon gland dans sa bouche et me soulage en elle. Elle avale bien docilement. Je n’ai même pas à le lui ordonner. Lila accourt et vient lécher ce qui déborde. Une idée me vient. Je leur ordonne de se mettre en ciseaux. Tandis qu’elles se frottent ainsi l’une contre l’autre, je continue de les asperger de ma pisse chaude. Il me semble qu’elles ont un orgasme au même moment. Je ne l’ai pas autorisé. Ce sera le fouet pour toutes les deux. Elles continuent de frotter leurs vulves l’une contre l’autre pendant que mon fouet virevolte d’un corps à l’autre. Plaisir et douleur simultanément. Je les envierais presque.
Florida se lève soudain.
— Excusez-moi mais il est vraiment tard. Mon mari rentre bientôt. Il est vraiment flic, lui. S’il savait. J’ai juste le temps de me laver. Je suis vraiment désolée. On se revoit bien vite, hein. J’ai adoré. Bisous tous les deux. Oh quelle soirée !

Par la fenêtre, je la regarde traverser la ruelle. Elle est souillée et nue. Je me demande comment elle expliquera les marques de fouet à son mari. Peut-être qu’il ne la touche plus et qu’il ne les remarquera même pas.Mon sexe se dresse. J’attache Lila sur la croix de Saint-André. Cette fois je ne la mets pas tête en bas, mais tournée face à la croix. Je peux ainsi la sodomiser debout. Mais avant cela, je martyrise ses tétons avec des pinces. J’enfonce un long sextoy dans son vagin. Je retire enfin son plug anal et la pénètre sans plus de civilité.
Notre nuit d’amour ne fait que commencer…
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