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La Chienne du Duc

Chapitre unique

Zoophilie
La vie avec Bernard est monotone, sexuellement parlant, insipide, ennuyeuse. Bernard a une excellente position sociale. J’ai une vie aisée, mais oisive. C’est une partie de mon problème. À vingt-deux ans, sans enfants, mariée à un légume de quarante ans, cela me laisse beaucoup de temps pour fantasmer et chercher l’aventure.
Je pourrais avoir un amant. Bernard préférerait fermer les yeux, par peur de me contrarier, et de me perdre. Tout ce qu’il souhaite, c’est d’avoir accès à ma chatte le soir, un petit coup rapide, et s’endormir profondément. Impossible de calmer ma frustration d’une baise trop hâtive en me masturbant. Dès que la brève séance de baise s’achève, il s’endort et ses ronflements sonores nuisent à ma concentration.
La raison pour laquelle je n’ai pas trompé mon mari, c’est l’absence de relations sociales. Je vis dans un quartier huppé, où les gens ne rencontrent que leurs semblables, leurs connaissances. Et il est hors de question pour moi de me fourvoyer avec le bas peuple.
Lorsqu’un nouveau couple a emménagé juste en face, j’ai pensé que ce serait bien d’aller leur souhaiter la bienvenue, en espérant agrandir mon cercle d’amis. Les maisons étant largement espacées, j’ai dû faire un effort pour rencontrer ce nouveau couple de personnes âgées, désuètes et charmantes. De jeunes retraités avec encore beaucoup de dynamisme.
J’ai enfilé une robe portefeuille, un coup de peigne, j’ai retouché mon maquillage, puis j’ai emporté la corbeille de fruits et de fleurs que j’avais préparée. Il m’a fallu mes deux mains pour la porter, et j’ai dû me tourner de côté pour saluer le monsieur quand il m’a ouvert la porte.
Je me suis présentée, et j’ai dit que je venais pour faire connaissance. Il m’a demandé d’attendre un moment, puis il a refermé la porte. Je suis restée plantée là, intriguée et un peu contrariée. J’ai attendu plusieurs minutes, j’allais repartir, lorsque la porte s’est ouverte. Ils étaient là tous les deux pour m’accueillir.
J’ai affiché mon plus beau sourire, et je suis entrée à leur invitation. Le monsieur a refermé la porte derrière moi. Je m’attendais à ce que quelqu’un me débarrasse de l’encombrant panier. J’étais sur le point de le suggérer, quand j’ai senti un truc se faufiler sous ma robe, et quelque chose de chaud et humide atteindre l’intérieur de ma cuisse près de mon entrejambe.
Une langue chaude et humide a caressé mon entrejambe, et j’ai compris qu’ils avaient un chien, un gros chien. Je me demandais, avec tout le temps qu’ils avaient mis pour m’ouvrir, pourquoi ils n’avaient pas enfermé cet animal avant d’accueillir une dame chez eux.
La langue du chien n’arrêtait pas de me lécher l’entrejambe, trempant mon string, m’envoyant des frissons troublants, des frissons excitants, qui bruissaient dans mon ventre. Le chien était derrière moi, sous moi. Je n’étais pas sûre qu’ils s’étaient aperçus de sa présence.
Ils s’extasiaient sur ma corbeille de fruits, sans se soucier de m’en débarrasser. Le chien s’était installé entre mes cuisses, il heurtait ma chatte avec de puissants coups de museau, et trempait ma culotte en me léchant. Sa langue enfonçait la fragile barrière de dentelle dans ma chatte, et j’ai ressenti une faiblesse dans mes jambes.
Cette fois, j’ai compris qu’ils savaient, car ils laissaient de la place au chien pour m’entreprendre. Il m’est venu à l’esprit qu’ils avaient laissé entrer le chien volontairement. Cette pensée a provoqué dans tout mon être un vif émoi.
Elle m’a débarrassé de ma corbeille, me laissant me débrouiller avec le chien, me tortillant pour tenter d’échapper à cette langue diabolique. Ils m’ont regardé me débattre sans intervenir, comme si le chien ne leur appartenait pas, comme s’ils n’étaient pas concernés, juste spectateurs intéressés.
Je luttais doucement pour repousser sa tête. L’assistance que j’espérais n’est jamais venue. Ils regardaient leur chien prendre possession de ma chatte avec des sourires amusés. Insensiblement, ma respiration s’accélérait, devenait plus sifflante. Je ne savais pas quoi dire ni quoi faire. Ma résistance faiblissait. Je ne pouvais pas m’échapper.

Peu à peu, j’ai cessé de me débattre, de résister. Jambes écartées, j’ai pris appui sur la cloison pour ne pas tomber. Avec ce regard stupide et absent, j’ai laissé leur chien me bouffer la chatte. Sa langue me rendait folle. Je ne voulais pas qu’il s’arrête. Une langue râpeuse, agile, impérieuse et travailleuse.
Ils ont recommencé à me parler comme si rien d’étrange ne se passait. J’ai essayé de fixer mon attention, et j’ai souvent hoché la tête en réponse à leurs questions. L’étrangeté de leur comportement rajoutait à mon excitation. Ils jouaient un drôle de jeu avec moi, et je commençais à aimer ça.
Après plusieurs minutes, la vieille dame m’a proposé un siège. Elle m’a prise par le bras pour me conduire, en disant:
— Détendez-vous, doucement, ma chérie.
Je me déplaçais en faisant de tout petits pas, essayant de ne pas déranger le molosse. Lorsque mes jambes ont rencontré le canapé, je me suis assise. Le chien a monté ma jambe droite tendue et a commencé à se frotter. Je pouvais sentir son pénis long et épais glisser sur mon tibia.
Ils ont pris place de chaque côté de moi, tandis que le chien me baisait la jambe avec une joie sauvage. Ils ont continué de me parler, même pendant que des jets de sperme arrosaient ma jambe.
Le chien s’est éloigné peu après pour se lécher la bite. La vieille dame s’est penchée pour scruter ma jambe pleine de sperme, en disant:
— Je vais chercher quelque chose pour nettoyer ce gâchis. Attendez-moi ici, ma chérie.
Le sperme de chien coulait dans ma chaussure, je levais la jambe en attendant. Le mari, Serge, me souriait gentiment. Il me racontait que son fils était le directeur du lycée local et voulait savoir si je le connaissais. C’était étrange de discuter avec cet homme, pendant que le sperme de son chien coulait le long de ma jambe.
Pour éviter que ma robe ne soit tachée, j’avais relevé le bas. La particularité d’une robe portefeuille, c’est qu’elle s’ouvre devant. J’essayais de garder un air nonchalant pendant que le vieil homme me parlait en scrutant mes jambes largement découvertes.
Sarah est revenue avec un linge pour essuyer les dégâts. Elle s’est accroupie, et elle a écarté mes jambes pour pouvoir travailler confortablement. D’un geste négligent, elle a mis le désordre dans mes affaires, en troussant ma robe plus haut que nécessaire, et en exposant ma culotte trempée et encastrée dans ma chatte.
Serge a regardé entre mes jambes pendant qu’elle nettoyait, prenant son temps pour examiner ma chatte rasée et découverte par la dentelle mâchée. J’ai pensé me couvrir, mais son regard sur mon entrejambe mouillé m’excitait. Je suis restée assise en lui permettant de faire ce qu’il voulait.
Elle a pris mon mutisme comme un accord pour m’exposer et m’humilier davantage. Elle a soulevé haut ma jambe, faisant couler le sperme en direction de ma culotte. Ma robe était maintenant totalement ouverte. Serge s’avança sur le bord avant du canapé pour mieux regarder ma chatte. Il n’a fait aucune tentative pour dissimuler son intérêt.
Sarah s’est relevée pour m’essuyer la jambe. Ma jambe levée haut, ma chatte entièrement exposée à la concupiscence du mari, elle continuait de discuter aimablement pendant que l’excès de sperme remontait jusqu’à mon entrejambe :
— Nous apprécions beaucoup que vous vous livriez ainsi à notre affreux chien si mal élevé. La plupart des femmes se seraient enfuies à la première sensation de la langue d’un chien sur leur chatte. Nous apprécions particulièrement que vous lui permettiez de se soulager sur vous. C’est si adorable, elle est charmante, n’est-ce pas, Serge ?
Je ne pouvais pas croire qu’ils me traitaient de cette façon. Ils avaient l’air si détendus. Rien ne semblait les étonner. Tout leur semblait si naturel. Sarah a lentement nettoyé le bas de ma jambe, mais s’est arrêtée au genou en disant:
— Là, le reste du sperme ne se verra pas.
Serge se pencha, émerveillée par la quantité de détails qui transparaissaient à travers ma culotte mouillée et déclara :
— Très jolie chatte. Duc a beaucoup de chance.
Ils m’ont aidée à me relever et m’ont accompagnée jusqu’à la porte. Elle m’a dit :
— Revenez quand vous voulez. Duc sera ravi de passer un moment charmant en votre compagnie.
La porte se referma derrière moi et j’entendis leurs rires moqueurs. J’ai quitté cette maison, complètement effarée. J’étais assez secouée. Moi qui ai une imagination fertile, imaginez quels fantasmes cette rencontre a suscités.

Par décence, j’ai attendu quelques jours, puis je suis retournée leur rendre visite. Quand ils m’ont ouvert la porte, ils savaient exactement pourquoi j’étais là. Je savais qu’ils savaient. Je n’avais aucun besoin de fournir une explication, et ils ne m’ont pas demandé.
Ils m’ont invité à entrer, et nous sommes allés sur la terrasse. Ils ont appelé leur chien. La même agitation s’est produite, mais j’étais beaucoup mieux préparée. Ils étaient également plus audacieux. Aucune parole inutile. Nous avons joué le jeu.
Lorsque Duc m’a vue, il s’est précipité dans mon entrejambe. Je n’ai fait aucun geste pour défendre l’accès de ma chatte. Je suis restée debout longtemps sous l’assaut de sa langue. Bien plus longtemps que la première fois. Cette fois, quand je me suis assise, je me suis volontairement affalée dans une pose décadente.
J’ai pu étendre davantage mes jambes. Quand il m’a chevauchée, son sexe frottait sur ma cuisse, près de mon genou. Quand il a éjaculé, la puissance des jets s’est répandue entre mes cuisses, jusqu’à mon entrejambe.
Cette fois, Sarah m’a nettoyé l’entrejambe très soigneusement, sous le regard attentif de son mari. Elle avait troussé ma jupe jusqu’au-dessus de ma culotte, apparemment pour s’assurer qu’elle ne laissait rien. D’ailleurs, ses doigts ont longuement palpé mon entrejambe, pour s’assurer de ne rien oublier.
J’ai trouvé une excuse pour les visiter au moins une fois par semaine. Nous jouions toujours à nos mêmes jeux. C’était plus amusant pour nous tous de cette façon. Après quelques visites, j’ai arrêté de porter des culottes. À ce moment-là, j’avais totalement perdu mes inhibitions. Sarah cherchait toujours des moyens astucieux de montrer à son mari ma chatte nue.
Quand je suis venue sans culotte, Sarah a voulu améliorer son nettoyage. Bien que la majeure partie du sperme du chien n’ait éclaboussé que l’intérieur de mes cuisses, elle a prétendu qu’il en était entré dans mon vagin. Vous pouvez imaginer comment elle a résolu ce problème.
Elle a demandé à son mari de se positionner derrière moi, et me tenir les jambes hautes et largement ouvertes pendant qu’elle explorait ma fente avec ses doigts. Elle a même beaucoup insisté sur mon clitoris. J’ai adoré.
Après cela, nous sommes devenus totalement impudiques. Nous avons organisé des jeux où je devais me lever et me promener. Le chien me suivait avec son museau sous ma courte jupette. Nous avons tous fait semblant de l’ignorer.
La jupette de tennis était si courte que son museau la soulevait au-dessus de la courbe de mes hanches, me laissant exposée au-dessous de la taille. Le couple s’installait généralement en terrasse pour avoir une bonne vue. J’allais et venais, faisant les cent pas devant eux, avec la truffe de leur chien enfouie entre mes fesses.
La démarche mal assurée, les jambes écartées, avec la langue du chien entre mes jambes pour tamponner ma chatte. Ses coups de museau désordonnés me faisaient tanguer pendant que sa longue langue explorait ma fente. Leurs yeux restaient braqués sur mes fesses tandis que nous parlions.
Je suis devenue assez audacieuse, penchée en avant, les mains en appui sur les genoux légèrement pliés, cambrée, offrant mon cul et mon ventre à la lèche du chien. Je me balançais, debout, solidement plantée sur mes pieds, balançant sensuellement mes hanches pour énerver Duc.
Sarah aimait commenter ce qu’elle voyait. Parfois, elle disait quelque chose comme:
— Je ne peux pas vous exprimer ma gratitude de vous voir prendre soin de notre chien ainsi. Je ne pouvais pas rêver pour mon Duc de meilleure femelle que vous. Vous ignorez sans doute le nombre de femmes qui se sont enfouies lorsqu’elles ont senti la langue du chien explorer leur intimité. Bérengère, vous êtes vraiment le meilleur jouet sexuel pour mon cher Duc.
Bien sûr, j’étais particulièrement fière et heureuse que mes efforts soient appréciés à leur juste valeur. Je me déchaînais pour recueillir encore plus d’appréciations favorables. Mon comportement obscène était sans limites. Attirer l’attention du chien et l’exciter était tout ce qui m’importait.
Habituellement, je me positionnais afin de leur proposer mes postures les plus obscènes. Le chien s’acharnait à essayer de me pénétrer avec sa langue. Serge a dit:
— Tout ce que vous faites l’excite beaucoup. Pensez-vous pouvoir le faire entrer dans votre vulve ?
Je me suis cambrée à me briser les reins, le bassin poussé vers l’avant, utilisant mes doigts pour m’ouvrir aussi grand que possible. Serge m’a questionnée :
— Oui, c’est beaucoup mieux. Sa langue remonte-t-elle bien dans ton vagin, Bérengère ?— Oui, clairement, je la sens pénétrer dans mon ventre.
Sarah m’a souri : "Tu es si précieuse de lui permettre de te faire cela. Je ne savais pas en emménageant ici que nous allions découvrir une perle comme toi. Nous recherchions une professionnelle, mais toutes étaient horriblement chères. Trouver une salope suffisamment chienne pour satisfaire gratuitement cet animal surexcité ! "
J’ai aimé ce commentaire. Je lui ai dit que je serais volontiers la compagne de son chien gratuitement, tout en espérant secrètement qu’ils me demanderaient plus. J’espérais qu’ils me solliciteraient pour me faire baiser par Duc. C’était mon rêve, permettre au chien de me couvrir, être sa femelle et subir son joug.
Cependant, ils semblaient satisfaits et attendaient que les choses se fassent naturellement, espérant probablement que je le revendique. D’ailleurs, un jour, Sarah m’a demandé :
— Bérengère, je pense qu’il serait préférable que tu assures ton service entièrement nue. Les chiennes ne portent pas de vêtements, tu sais. De même, cela me semble normal que tu évolues à quatre pattes. Les chiennes ne se tiennent pas debout, que je sache.
Hé bien, je touchais au but. Je me suis déshabillée. Entièrement. À partir de ce jour-là, ils m’ont appelée la chienne, ou la femelle de Duc. Mon vagin est devenu sa chatte. Ils m’ont dit des choses dégradantes, humiliantes, qui me faisaient mouiller.

Cette fois, j’y étais, je pouvais enfin être couverte par ce chien. Je voulais connaître ce sentiment étrange et merveilleux, venu du fond des âges, de n’être qu’une femelle convoitée par un mâle. Brutal et monstrueux, sans se préoccuper de la femelle qu’il féconde, le coït sauvage et douloureux qui vous laisse pantelante, meurtrie mais comblée.
Cette fois-là, je me suis assise sur le bord du canapé, entre eux deux, et j’écartais les jambes. Aussi ouverte qu’il était possible, lui offrant clairement ma chatte. Ce chien stupide était tellement habitué à se frotter sur ma jambe qu’il y est allé tout droit. Il voulait juste brosser sa queue contre moi.
Je me laissais glisser, vautrée, le dos sur le canapé, les fesses dans le vide. Tirant le chien Duc par son collier, je le hissais sur moi. Il étreignit ma taille avec ses pattes de devant, et sa bite se faufilait haut entre mes cuisses, heurtant souvent ma chatte.
J’ai essayé de le canaliser dans mon ouverture, mais ses mouvements désordonnés le rendaient insaisissable. Ils ont vu ce que j’essayais de faire, mais ils ne m’ont offert aucune aide. Ils m’ont simplement regardée me ridiculiser, me tortillant comme une chienne en rut pendant que Duc bavait sur mes seins. Il a fini par gicler tout son sperme sur moi, pendant que j’essayais de mettre sa bite dans mon sexe.
C’était frustrant, mais il était beaucoup trop fort et trop lourd pour moi, et je devais envisager une autre tactique. Dans cette position, je n’avais aucun moyen de le manœuvrer. J’ai envisagé la position classique de la levrette. Tête basse, les fesses en l’air. Tous les chiens savent quoi faire d’une femelle dans cette position.
J’ai décidé de ne pas le faire. Trop simple et trop classique. La position du missionnaire devait leur offrir une meilleure vue. J’ai imaginé une variante. Toujours allongée sur le dos, sur le canapé, mais avec les jambes en l’air.
Sans aucun accès à mes jambes, il n’aurait pas d’autre choix que de se frotter contre ma chatte. Ce serait plus simple de le guider à partir de là. La prochaine fois, c’est exactement ce que je tenterai. J’étais déterminée à leur offrir le spectacle de leur chien Duc en train de me baiser. Je me préparais pour leur rendre visite, lorsque le téléphone a sonné. C’était Sarah. Elle me grondait :
— Bérengère, cela fait maintenant plusieurs jours que nous sommes sans nouvelles de vous. Mon pauvre chien Duc se languit de vous. J’exige que vous veniez vous occuper de ce chien. Mais je suis très contrariée par votre dernière performance.
Je savais que c’était une mise en scène. Mais sa voix de pisse-vinaigre me donnait des frissons dans la chatte. J’ai pris ma voix de petite fille pour lui répondre :
— Oh, je suis désolée, madame Sarah. Croyez que je fais tout mon possible pour vous satisfaire, et pour plaire à Duc !— Vous ne progressez pas, vous tâtonnez. Cela fait trois mois, et vous n’arrivez toujours pas à le servir correctement. Nous pensons que vous êtes trop timorée, trop pudique. Je pense que je me fais bien comprendre, n’est-ce pas, Bérengère ?— Voudriez-vous qu’il me baise dans la chatte pour que je sois sa femelle ?— C’est exactement ça, Bérengère. C’est le service que nous exigeons d’une chienne docile !— Bien, madame Sarah. Je serai sa femelle, et ma chatte lui appartiendra !
Ce dialogue vulgaire me motivait. J’ai plaidé : "Sarah, soyez indulgente avec une pauvre fille ignorante. S’il vous plaît, ne me renvoyez pas. Je ferai mieux. Je le laisserai baiser ma chatte, et je ne perdrai plus une goutte de sa précieuse liqueur, je vous le promets."
— C’est mieux. D’accord. Je vous accorde une dernière chance. Ne me décevez pas. Je vous attends dans l’heure. La chatte rasée, et présentez-vous entièrement nue à ma porte. Bien compris ?
J’ai eu du mal à digérer l’information, mais j’ai obtempéré: "Oui, madame Sarah, je ne vous décevrai pas."
Je me suis rapidement rasé la chatte, puis j’ai fouillé dans la maison pour trouver une prise appropriée. J’ai sculpté une grosse pomme de terre, que j’ai tenté d’insérer dans ma chatte. Mais je n’y arrivais pas. Je savais que la bite de Duc allait m’élargir, et qu’il me fallait un bouchon suffisamment gros pour retenir son précieux nectar.
J’ai utilisé une généreuse quantité d’huile d’arachide, massant la zone puis, sur une impulsion, avec deux doigts, j’ai lubrifié mon orifice pour plaire à Duc, et faciliter la pénétration. Avec la chatte bien huilée, le bouchon entrait presque sans effort, et il restait verrouillé en place en contractant mes muscles vaginaux.
Je me suis promenée avec le bouchon à l’intérieur, et j’aimais la sensation. J’espérais que le goût lui plairait. S’il me dédaignait, j’étais prête à le sucer pour le convaincre de me couvrir. J’imaginais me présenter devant mon mari; équipée du bouchon. Il devrait l’ôter pour me baiser. Et sa bite serait noyée par un flot de sperme de chien. Cette pensée m’a mise de bonne humeur.
J’ai posé devant mon miroir, remuant des hanches pour voir bouger les cinq centimètres de bouchon qui sortaient de mon ventre. J’aimais cette protubérance et l’effet qu’elle me donnait. J’ai enfilé des mocassins et une robe de chambre.
Un coup d’œil circulaire pour m’assurer que personne ne traînait dans le quartier. Il n’était pas si rare qu’une femme passe d’une maison à l’autre en robe de chambre. Mais je ne voulais pas attirer l’attention. Je suis allée chez eux et j’ai sonné à la porte. J’ai ôté mes chaussures avant d’ouvrir ma robe de chambre.
L’excitation mouillait ma chatte. J’étais prête à ôter ma robe de chambre dès que la porte s’ouvrirait. J’ai prié pour que la porte s’ouvre rapidement. J’ai attendu, anxieuse, pendant deux longues minutes avant de sonner une autre fois. J’ai entendu la voix de Sarah :
— J’ai dit nue ! Entièrement nue !
Elle était prête à jouer à des jeux. J’ai apprécié et pris plaisir à me dévêtir entièrement. J’ai pensé à Bernard. S’il me voyait nue, à la porte des voisins, une patate enfoncée dans la chatte ?
Sarah m’a fait attendre. Je me suis mise à arpenter l’allée devant la maison. Je voulais montrer mon audace, mais aussi, je voulais ressentir le stimuli de la marche avec ce truc entre mes jambes. Pendant plus d’une minute, j’ai fait les cent pas devant la porte qui ne s’ouvrait pas.
J’ai sonné de nouveau, impatiente :"Allez, ouvrez, je veux me faire baiser par ce chien !"
Sarah m’a ouvert. Un flot de soulagement et d’excitation m’a parcourue. Je me suis précipitée, mais elle m’a barré le passage :
— À quatre pattes, chienne !
J’ai souri et je me suis accroupie pour entrer chez eux à quatre pattes, en ondoyant exagérément des hanches.
Sarah a dit: "Stop ! Voyons si ce bouchon est bien ajusté. Je dois faire le ménage après chacun de vos passages. Le sperme de chien est difficile à nettoyer, vous salissez tout, mon mobilier et mes tapis."
La porte était grande ouverte, n’importe qui pouvait me voir, mais j’ai posé ma joue au sol, les fesses levées bien haut, et je les ai écartées avec mes deux mains.
Sarah a saisi la pomme de terre, la tourna, la tordit, la retira avec un pop suceur, puis la réinséra durement en me faisant gémir : "Ça ira !"
— Écoutez, je veux être une bonne chienne. Duc est mon amant, mais je souhaite qu’il devienne mon maître. Désormais, je lui appartiendrai. Je garderai son sperme en moi grâce à ce bouchon. Seul mon mari pourra l’ôter, pour prendre son tour, mais il passera toujours en deuxième. Duc sera mon premier, et je serai sa femelle.
Ce monologue leur a plu. Ils avaient l’air satisfaits. Serge a dit :
— Chérie, je pense qu’elle a une bonne idée. Si elle est prête à obliger son mari à s’effacer et à passer après notre chien, son amant, elle mérite d’être la chienne de Duc.— Oui, et c’est très important. Duc doit passer en premier, toujours. Ce serait mieux si son mari reconnaissait publiquement cette réalité.
Ils ont tous deux laissé ce message me pénétrer. Je comprenais maintenant où ils voulaient m’emmener. J’avais le mari parfait pour ce qu’ils voulaient. Il supporterait n’importe quoi. J’ai proposé :
— Supposons que je demande à mon mari d’être le cocu de Duc. J’appartiendrai à Duc et il aura les miettes !
Serge et Sarah se sont exclamés : "Il accepterait cela ?" J’ai souri en hochant affirmativement la tête.
Ils semblaient ravis : "Si vous pensez que c’est possible..."
— Ce soir, je vais mettre Bernard devant le fait accompli, quand il va retirer ce bouchon. J’ai l’intention de tout lui révéler, et de lui mettre le marché entre les mains. Duc est mon amant, je l’aime, et je me suis donnée à lui. Duc aura droit à ma chatte propre et fraîche, Bernard devra se contenter de ce que mon maître lui laissera, une chatte souillée ... S’il accepte ce marché, il devra vous appeler pour conclure officiellement et publiquement sa déchéance. Ensuite, et seulement ensuite, il aura le droit de baiser ma chatte en vertu des liens sacrés du mariage.— Maintenant, s’il vous plaît, puis-je entrer et me faire baiser par mon amant, Duc, votre chien ? J’en ai tellement envie que vais défaillir sur le pas de la porte si je ne suis pas consommée rapidement !
Ils m’ont amenée dans le séjour pour un examen gynécologique. Ils ont utilisé une lampe-stylo pour regarder à l’intérieur. Sarah a annoncé que j’étais propre et que je pouvais servir de réceptacle à Duc. Le chien s’énervait et s’agitait derrière la porte de communication. Il avait reniflé mon fumet de femelle en chaleur et il voulait me baiser.
Ils m’ont installée sur un petit banc, allongée sur le dos, les jambes écartées. Sarah m’a dit qu’ainsi, j’arrêterais enfin de saloper les coussins de son canapé. Elle m’a préparée en enfilant plusieurs doigts dans la chatte, en précisant que Duc était très fort et qu’il ne fallait pas qu’il me blesse.
Elle m’a doigtée longtemps, et je commençais à venir quand elle a décidé que c’était suffisant. Le chien qui s’agitait derrière la porte, Sarah qui doigtait ma chatte, Serge qui préparait son matériel vidéo pour immortaliser l’instant, l’impatience et le désir me tordaient le ventre.
Sarah a dit: "La femelle est prête, chéri. Ne fais pas plus attendre Duc. Il a hâte !"
Serge a ouvert la porte. Duc a bondi sur ma chatte que je tenais ouverte pour lui, en lui disant:
— Oui, chéri. Je suis toute à toi, maintenant.
J’ai pris une pose vulgaire, allongée sur le dos, les jambes repliées et largement écartées. Mes doigts maintenaient ma chatte ouverte, offerte à la langue du chien. Duc n’avait jamais été plus excité. Sa longue bite sortait de sa gaine velue.
Duc me sauta dessus pendant que ses maîtres s’installaient sur des chaises de part et d’autre, pour ne pas perdre une miette du spectacle. Duc a posé ses pattes avant sur mes épaules pour me lécher le visage. J’ai profité de ce tendre moment pour ouvrir grand ma bouche, offrant ma langue à la langue de Duc, pour échanger un baiser passionné.
Sans perdre de temps en vains préliminaires, j’ai saisi sa bite tendue, et je l’ai guidée vers mon trou en attente. Le couple se penchait pour observer la pénétration, chacun de son côté. Les reins puissants de Duc ont propulsé énergiquement sa bite en moi. D’une seule poussée exaltante, il m’a investie.
J’ai crié. De joie, de surprise, et de douleurs mêlées. L’émotion m’a submergée, et j’ai ressenti une faiblesse. Je venais de recevoir mon premier orgasme, dès la pénétration. Duc était beaucoup plus gros et plus long que tous les hommes que j’ai connus. Bernard, mon pauvre mari, n’a pas été gâté par la nature.
Soumise à la puissance du mâle qui m’honorait, je me laissais envahir, comblée par le volume exceptionnel de la bite qui coulissait en moi. Sa bite pointue heurtait le fond de mon vagin, son fourreau velu dilatait mes chairs au-delà du raisonnable.
J’ai crié mon plaisir sans pouvoir me retenir. Mes jambes ont enserré ses reins puissants, mes mains caressaient ses flancs, il me baisait sur un rythme rapide, sans effort. J’ai offert ma bouche à sa langue râpeuse. Haletante, geignante, je gémissais en essayant de ne pas mourir de bonheur et de volupté.
Duc était un amant merveilleux, et je me suis donnée en m’accordant à son tempo. Mes hanches prises de folie oscillaient à la même vitesse que la bite qui me remplissait de son liquide fécond. Je pouvais sentir ses jets chauds asperger mon ventre et sa décharge copieuse inonder ma chatte.
J’ai annoncé au couple que Duc était un grand garçon et qu’il m’honorait abondamment, mais ma chatte baveuse les avait déjà informés de mon état. Le nœud s’est formé et Duc est resté bloqué en moi un moment. Amoureusement, il a léché ma bouche et j’ai répondu avec passion à son baiser fiévreux. Quand le gonflement s’est atténué, Duc s’est retiré. Sarah était prête. Elle a rapidement inséré le bouchon, en disant :
— Va le chercher, elle le mérite.
Je me détendais, heureuse de me sentir comblée et repue. Serge est réapparu en tenant dans sa main un collier en cuir épais, un collier de chien :
— C’est l’ancien collier de Duc, maintenant que tu lui appartiens, que tu es sa femelle, tu as le droit de le porter.
Mes yeux se sont humidifiés instantanément, j’étais submergée de bonheur, amoureuse de Duc, mon seigneur et maître. Je me soulevais et m’asseyais pour que Serge puisse ajuster le collier autour de mon cou. Le collier avait une petite médaille avec son nom. Au recto, Serge avait fait graver mon prénom.
C’était comme une alliance qui scellait notre union. Je devenais sa femelle, il était mon amant. Je caressais tendrement la petite médaille en remerciant chaudement mes voisins.
Serge m’a demandé : "Ton mari fait vraiment tout ce que tu veux ?"
J’ai regardé Serge : "Cela vous excite, n’est-ce pas ? Mettez-moi à l’épreuve, et vous verrez."
Ils ont échangé un regard, et Serge m’a demandé :
— Très bien, nous serions ravis que tu puisses lui imposer qu’il ne peut désormais te baiser qu’immédiatement après Duc, ici, en notre présence, bien sûr. D’abord le chien, ensuite ton mari, dans le sperme du chien. Devant nous.— C’est pervers. J’aime ça. D’accord, je vais lui demander.
Je suis rentrée chez moi, me préparer à la confrontation. D’abord un bain, inutile de garder mon bouchon, Bernard ne pourra plus me baiser qu’après Duc, désormais. J’ai soigné mon maquillage, je me suis pomponnée et j’ai revêtu ma tenue de salope. Bustier en dentelle avec les jarretelles intégrées, bas à couture et un string.
Lorsque Bernard est rentré à la maison, les yeux lui sortaient de la tête : "Chérie, c’est quoi ce bordel ?"
Je me suis approchée de lui, très chatte. Je l’ai mis au courant de la situation, que je baisais avec le chien des voisins, que c’était un amant merveilleux, et que s’il voulait me reconquérir, il devrait suivre à la lettre toutes mes instructions.
Lorsque Bernard a repris ses esprits, il a dit : "Peux-tu clarifier cela ?"
— Quel mot n’as-tu pas compris ?— Tu baises avec un chien ?— C’est bien, Bernard. Je pense que tu as compris.— Mais pourquoi ?— Parce qu’il me baise mieux et plus longtemps que toi. C’est un amant merveilleux. Je suis sa chienne. Une autre question ?— Le collier ?— C’est pour signifier mon appartenance à mon amant, Duc. — Comment puis-je avoir accès à ta chatte ?— Tu vas devoir observer les règles. Duc, mon amant, passe en premier. Quand il a fini, et c’est lui qui décide quand il est rassasié, tu peux me baiser juste après. Chez les voisins, devant eux. Je te laisserai le temps nécessaire, mais tu ne prends jamais beaucoup de temps. Ensuite, si Duc veut encore de moi, je devrai me laver pour qu’il ait ma chatte propre et fraîche. Je ne veux pas que mon amant soit souillé par tes déjections.
Je lui laissais le temps de réaliser et d’analyser, mais comme je l’avais espéré, Bernard n’était pas aussi bouleversé qu’il le prétendait. Son sexe qui s’agitait et tendait le tissu de son pantalon m’informait de sa décision. Il était prêt à se soumettre à mes directives. Bernard a demandé :
— Bien, que dois-je faire pour accepter ?— Décroche le téléphone, appelle les voisins, explique-leur que tu es d’accord, et suis leurs instructions.
J’étais trempée en écoutant mon mari s’humilier devant le langage cru de Sarah au téléphone. Il a tout accepté, répétant chaque phrase qu’elle lui dictait. Après, elle lui a ordonné :
— Amène la femelle au Duc !
J’ai refusé de me couvrir, et il a dû me tenir en laisse pour traverser la rue. Heureusement pour Bernard, la nuit tombait et personne ne se promenait dans le quartier. Mais son angoisse d’être vu a réapparu quand les voisins nous ont fait attendre un long moment à la porte.
Ensuite, tout a été très vite. Le serment d’allégeance de Bernard, Duc qui me couvre fougueusement, et Bernard qui prend sa place toute chaude. Quand nous sommes rentrés chez nous, mes cuisses dégoulinaient de sperme. Une vraie vie de chienne.
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