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Chienne un jour, chienne toujours

Chapitre 2

SM / Fétichisme
Je mets un pied dans ce monde savoureusement excitant
— Ma foi, il m’apparait comme étant fort maniable, très léger et diablement efficace. J’ai dans l’idée qu’il va m’être très utile et donc…oui, je vous le prends. Mon chiot va vite comprendre s’il se montre trop avare en me baisant. (J’avais une putain de peine à cacher mon excitation.)— Si Mademoiselle veut bien me suivre pour régler son achat !Je jette un dernier coup d’œil sur cette femme docile assise comme un chien, pardon, une chienne. Elle semble même attristée de nous voir nous éloigner l’une de l’autre. Derrière son comptoir, la belle boutiquière emballe mon achat avec grand soin et dans du papier de soie, s’il vous plait. Avisant un corset fort beau et avant même que je ne lui pose la question, la commerçante m’apprend qu’ils sont faits uniquement sur mesure. Voilà quelque chose qui a de quoi me faire fantasmer davantage en l’imaginant sur mon corps. Je me vois déjà, bien à l’étroit dans ce vêtement d’un autre âge, la démarche droite comme un i. Je paie mon dû, salue très cordialement cette merveilleuse boutiquière si bienveillante et rentre prestement chez moi afin de me faire jouir encore une fois non sans avoir encore emprunté quelques cartes de visite au passage. Ainsi, cette superbe et généreuse femme se prénomme Gilberte, je pense revenir vers elle très vite parce qu’elle a ce je ne sais quoi qui m’attire, sa chienne peut-être ou simplement elle ? Bon sang qu’il me tarde d’être vendredi.À peine ma porte fermée, que j’ai déjà une main entre mes cuisses quand la sonnerie de mon téléphone m’arrête net. Oh, c’est la frangine.— Salut sœurette, désolée de te déranger. Écoute, mais c’est foutu pour vendredi. — Oh, oh pas question très chère. Je serai chez toi vendredi, que tu le veuille ou pas ! J’ai là, dans ma main, un mignon petit article. Il provient tout droit d’une petite boutique de lingerie fine. Tu sais, celle avec la tenture rouge près du comptoir. Charmante cette splendide boutiquière et si tellement serviable. Remarques, c’est aussi une étonnante commerçante et de très bon conseil. J’ai pu essayer mon petit jouet sur une jolie petite chienne muselée, une superbe femme et si tellement docile. Oh, à propos, dis-moi, es-tu satisfaite de tes achats, rien ne manque ? Non, je dis ça parce que j’ai eu en main la liste de tes achats. À propos, tu n’as pas trop froid avec ton crâne rasé ? Oh, pendant que j’y suis, je n’oublie pas cette petite échoppe aux vitrines teintées de noir, un homme, fort sympathique au demeurant, m’a dit t’avoir… — Ok, ça va, tu ne vas pas me faire l’inventaire de ma journée, non ? Viens maintenant si tu veux.— Rien ne pouvait me faire plus plaisir que ta soudaine invitation, ma très chère sœur ! Il me tarde d’entendre ta version de cette journée riche en enseignement. — Et cesse me parler avec cette voix hautaine. Tu m’agaces ! (Oh, nerveuse la frangine.)— À moi, il me plait de parler ainsi avec les personnes qui me font de désobligeantes cachoteries !Sans attendre sa réponse, je file me changer. Ben oui, une fois de plus ! Pour ma sœur, je me veux plus sévère, plus agressive, avec un brin de sadisme dans le regard et j’ai de quoi. C’est avec un très grand soin, parmi toutes mes fringues, que je choisis une paire de bas noir avec cette couture à l’arrière, cette jupe droite grise serrée jusque sous le genou, ce chemisier blanc avec son joli petit jabot et ce merveilleux tailleur de maman, très strict et assortit à ma jupe. Pour les dessous, juste une culotte noir, c’est mieux si cela dégénère chez la frangine. Elle est de conception fragile. Parée, devant le miroir, il me manque quelque chose, mes cheveux ne sont pas coiffés. En quelques secondes, je me fais un chignon bien serré, bien centré. Je me mire encore. Pour un peu, je tomberais amoureuse de mon reflet. Je ressemble à une institutrice sadique, une qui aime à punir sévèrement ses élèves avec de douloureuses fessées sur leur petit cul. Mmmh, il ne me manque cette petite touche qui ferait de moi une institutrice encore plus haïssable. Il ne me faudrait qu’une petite paire de lunette. Et j’ai cette paire, celle quand je jouais au théâtre. Je me pars donc de cette petite paire de lunette ronde et aux verres neutres, cela ajoute une belle touche des plus vicieuses à ma tenue déjà très draconienne. C’est vrai que je ne suis plus la même depuis ce matin. Là, je me sens impitoyable, jupitérienne. — Marion, ma salope, désormais, il te faut aller de l’avant. (Bizarre, voilà que je me motive.)Mon sac avec mon jouet sous le bras, je ne perds plus une seule seconde, je file prendre le bus. Dans le bus, on me regarde, on me décrypte, on me dévore des yeux. À les voir, tous, ma tenue et mon comportement hautain créent ce petit effet que je recherchais. Je peux même m’imaginer leurs pensées. Il y en est bien quelques-uns qui rêverait d’être à ma botte, surtout le petit ventripotent du fond et ce jeune homme boutonneux qui bande comme un âne devant moi. Mon 95D et ma petite taille font un effet bœuf. Ben quoi, je mesure, pieds nus, 1m51. Là, avec mes talons haut, je fais bien 10 bons centimètres de plus pour un poids autour de 45 kilos toute mouillée. L’excitation me gagne de voir ces hommes me toiser avec des yeux qui me dévorent déjà.Devant l’immeuble de ma sœur, j’ai tout de même une petite boule au ventre sur ce que je vais découvrir. En montant les deux étages, cette boule grossit. C’est encore pire devant la porte, au moment où je sonne.— Bonjour, vous cherchez quelqu’un ?— Oui, ma sœur, vous devez la connaitre, c’est une menteuse d’un mètre soixante-huit, pesant dans les 53 kilos et un bon 85D comme poitrine sans aucun poil sur le crâne. (Le ton est sec, presque brutal. Et là, plus de boule au ventre.)— Oh c’est toi, putain, tu es superbe comme ça !— Tss, vulgaire en plus ! Je peux ? (Mon ton hautain, ma main méprisante l’oblige à s’écarter.)— Heu oui, entre. (toute émue la frangine)Pour lui montrer que je ne plaisante plus, je l’écarte du bras. Dans son salon, assise, mes jambes jointes, inclinées légèrement sur la droite avec soin, mes mains sur mon sac, mon sac sur mes genoux, je ne démords pas de l’intransigeante femme rigide dont je veux lui donner l’image. Pire, je la fixe d’un air encore plus dur, plus tyrannique, attendant ses explications. Ma sœur reste debout, visiblement empruntée par ma tenue qu’elle ne cesse de contempler.— Oh c’est bon, je t’ai menti, excuse-moi… Je suis allé me fait percer mon nez et mon clito. J’ai aussi acheté des accessoires dans cette boutique, chez cette femme que tu trouves superbe. Et puis mon corps est entièrement épilé. Là, t’es contente ?— Presque contente. Mais je sais déjà tout ça, j’ai même vu la liste de tes achats. Très bien cette boutiquière, très belle prestance et quel physique. J’ai aussi sa carte de visite, je pense même y retourner très prochainement. Mais moi, ce que je désire savoir en tout premier, c’est pourquoi et avec qui ! Je me montre encore plus méchante dans l’intonation de ma voix
— Parce que j’avais envie de changer un peu.— Mon cul oui, il y a un homme ou une femme derrière tout ça ! Te connaissant, c’est encore un mensonge, un honteux mensonge. Ne me prends pas pour une demeurée, s’il te plait. J’ai beau n’avoir que 18 ans, mais je ne suis pas tombée de la dernière pluie. Je ne suis plus une gamine, bordel ! (Je lui montre mon côté le plus virulent, prête à lui bondir dessus toutes griffes dehors. Martine commence à plier sans encore rompre, dommage…)— Ok, oui, j’ai rencontré quelqu’un, y a huit mois de ça. C’est une femme d’une quarantaine d’année dont je suis très éprise depuis. C’est pour elle que je fais tout ça. Du reste, je serai aussi sa soumise dès vendredi et, comme tu me l’as dit au téléphone, sa petite chienne, d’où les piercings.— Et donc, tu la vois vendredi ?— Oui, je serai chez elle pour le weekend, elle fera de moi sa chienne. Peut-être plus longtemps, je n’en sais rien encore.— Montres-moi tout ce que tu as acheté à ce jour, je veux tout voir, tout ce que tu as ! Sinon, tu le vois ? C’est un modèle destiné à endolorir le corps des menteuses de ton espèce !— Oooh, il est superbe. (Jamais vu des yeux briller autant que ceux de Martine, la vache, ça surprend.)— Et il fait très bien son travail, je l’ai même testé sur la jolie petite chienne de cette belle boutiquière. Mais si tu veux y gouter, je suis à ta disposition, sale menteuse !Là, ma sœur ne me répondit rien. Ses yeux brillant de bonheur, ils fixent mon petit martinet avec une envie certaine d’y gouter. Si je ne reconnais plus l’ancienne sœur que je connaissais, maintenant, le trouble me gagne. J’ai même peur de perdre pied si je fléchis un tant soit peu mon air sévère : Je ne dois pas faiblir, sinon tout est à l’eau. En plus, Je ne sais même pas ce qui m’a pris de lui parler ainsi, jamais pareils phrases n’étaient sorties de ma bouche, jamais ma voix fut plus autoritaire et venimeuse qu’en ce jour. Du moins jamais devant un membre de ma famille.— À poil sale chienne, je vais t’apprendre à mentir à ta nouvelle Maîtresse !— Mais, tu es ma sœur !!!— Non, ça c’était avant, avec l’ancienne Martine, celle qui était ma sœur. Là, tu n’es plus que ma chienne, ma propriété à compter de cet instant et pour très longtemps. C’est clair, espèce de petite menteuse ?Là, je vois un frisson parcourir son corps de traitresse. Miam, j’ai une furieuse envie qu’elle me broute le minet pendant que je rougirai son cul de chienne à l’aide de mon jouet. Du coup, je zèbre son ventre de mon martinet, d’un bon coup bien fort.— Heu oui, oui, à poil, bien Maîtresse, tout de suite Maîtresse, pardon Maîtresse !Yes, elle m’appelle Maîtresse. Maintenant, elle va rompre, s’assouplir, c’est certain, et entièrement se soumettre rien qu’à moi. J’en mets ma main au feu. Devant moi, souriante, encore toute étonnée, ma sœur me dévoile très vite son corps entièrement glabre. Un corps que je connais pour l’avoir aimé, quelques fois, tendrement à l’époque où nos corps accentuaient leurs formes féminines. Debout devant moi, je la regarde de mon fauteuil. D’un geste autoritaire, mais posé, je lui montre la direction de sa chambre. Elle sait que je veux tout voir. Quand elle passe près de moi, c’est encore plus fort que moi, le martinet siffle et lui dessine un beau trait rougeâtre sur sa croupe appétissante. Coupée dans son élan, son regard plonge dans le mien, je lis l’envie, le désir que je recommence, ce que je fais sur le champ. La voilà parée d’une nouvelle zébrure rouge sur ses fesses. En la regardant marché, les deux coups de mon jouet dessinent un bel et grand X sur ses fesses. Embrasée, je trouve même cela si amusant que cela me fait sourire. Je commence même à prendre gout à ce genre de jeu. Ce n’est pas ma culotte qui va nous dire le contraire.Martine, revenant à moi avec une grosse valise trolley, s’empresse de l’ouvrir de tout étaler. Mon petit martinet lui ordonne brutalement de reculer en lui marquant sa poitrine d’un saisissant trait qui rougit instantanément, un de plus. Impatiente, je farfouille déjà cette valise à malice. Ma sœur s’agenouille près de moi, ses mains dans le dos, délicieuse, admirable. Dans sa bouche, j’enfonce un beau gode, bien long, bien épais. La bouche ouverte, remplie, ma sœur me fixe. Elle ne déteste pas que je la rudoie. Sur ses seins, ces petites pinces écrasent ses tétons bien durs. Elle grimace sans chercher à fuir cette douleur.— Mais c’est vrai que tu es une belle petite salope. Tu sais quoi, tu me donne une idée. Tu vas voir.Ce que j’y découvre me fait mouiller et c’est peu dire. Aussi, debout, lui désignant du martinet quelques objets, je m’amuse en déguisant ma sœur en une chienne parfaite. Entre ses fesses préparées, cet épais et long sexe de chien la pénètre lentement et entièrement son œillet, même le nœud. C’est la copie exacte du sexe d’un gros chien avec son gros nœud bien large, bien épais avec, en son extrémité externe, une imitation de queue canine plus vraie que nature. Ma salope de frangine doit se la mettre souvent à l’entendre glousser de plaisir. Dans ma main, la bite canine est entrée dans son croupion comme dans une motte de beurre. Sur le visage béat de ma sœur, ce masque muselière fait d’elle une chienne parfaite en tout point, il y a même de jolies oreilles avec. Un superbe collier étrangleur vient garnir son cou. J’y cadenasse une chaine en acier chromé en guise laisse et glisse la clé dans la poche de mon tailleur. La voilà joliment chienne et avec du chien qui plus est. Sans rire, elle me fait mouiller. Si je m’écoutais, je me déguiserais comme elle pour savoir ce que cela procure, surtout la gosse et longue queue dans mon cul. Je pourrais adorer après tout ? Ma frangine, elle juste merveilleuse ainsi parée. Cependant, je n’en oublie pas qu’elle est ma chienne, ma soumise et que j’ai envie que cela continue longtemps. Durant tout ce temps de préparation, je ne me suis pas gênée pour laisser courir mes mains sur son corps si docile et si réceptif. Sur le point de jouir, j’arrête de la caresser sèchement, d’une bonne petite tape sur son sexe.— Assis !...C’est bien, on est la bonne petite chienne à sa petite sœur. Je me demande ce qu’en penseraient nos parents en te voyant comme ça (le ton est railleur, humiliant). Mais quel dommage que je n’ai pas pensé à prendre mon appareil photo. Tu sais, chez cette féérique boutiquière, je me suis imaginée que c’était toi la chienne que j’ai fustigée. Oh c’est vrai, tu ne peux me répondre. Tu n’as que me répondre en hochant ta tête de salope ! Oui, comme ça, c’est parfait !Tout ce temps, je tourne autour de cette femme, laissant trainer mes mains, ces petites curieuses. Une sœur méconnaissable dont le simple fait de la regarder me fait mouiller. Ma pauvre culotte peine à gérer ma mouille. Pour un peu, il me faudrait presque une couche-culotte pour absorber mon flux de cyprine. De la valise, je sors une splendide grande cape noire satinée que je pose délicatement sur ses épaules et la noue à son cou. Si je ne suis pas devenue une vicieuse de la pire espèce, je dois être une sainte des enfers, adepte du quelconque culte sadique obscure. Quoique, ça se pourrait bien en regardant ma frangine ainsi fagotée près de moi, devant ce miroir. Oui, je me découvre perverse, presque sadique.— Debout ma toute belle. Mets tes petites mimines dans ton dos. Voilà, tu sais que tu es une bonne petite chienne quand tu veux. Dommage que de n’avoir pas eu le courage de m’en parler avant, de tes vices, ma chérie. Nous aurions pu bien nous amuser toutes les deux. Ce faisant, je menotte ma sœur dans son dos, ajuste encore sa belle cape. Je la chausse de ses chaussures à talon aiguille, les plus hauts que je trouve. Merveilleux, la paire de soulier se ferme grâce à de petits cadenas bien solides que je prends plaisir à relier, perversité oblige, par une solide chainette assez longue pour ne pas trop gêner la marche de ma frangine. Je ne voudrais pas qu’elle vienne à tomber à cause d’une chaine trop courte. Cela étant, marcher vite me parait impossible pour elle. Prête à sortir, ma petite chienne rougit quand je la place près de la porte d’entrée de son appart. Je l’admire encore. Depuis ce matin, à cause de ma sœur, à cause de cette boutiquière, j’ai des envies de folies vicieuses. Je commence à prendre gout aux vices les plus trash qui soit, c’est certain. Aussi, perverse presque accomplie, je lui retire sa muselière historie de l’humilier davantage.— Attends, j’ai une merveilleuse idée, ma chérie. Tu sais quoi, je vais appeler cette superbe boutiquière. Je vais lui dire que nous allons passer la trouver. Elle va être ravie de te voir ma chère petite chienne. En plus, on a le temps avant qu’elle ne ferme son magasin.— Mais tu es folle ?— Oui, de toi et de ton désir de soumission. Tu vois, là, j’ai même envie de te baiser, de te violer. C’est comme avec cette belle boutiquière, elle me plait. Pour un peu, j’ai envie de la baiser, elle aussi, de lui lécher le croupion et tout le reste. Je crois même que j’en suis un peu amoureuse, un peu comme avec toi. Putain, tu ne comprends pas que depuis hier matin, vous m’avez transformé ma vie, toi et ta boutiquière ? Tiens, il ne manquerait plus que Jojo, mon bel enculeur, ne vienne se jeter à mes pieds pour que je plonge tête baissée. Tu ne te rends même pas compte de ce que tu as ouvert en moi, cette boite, la boite de pandore du cul. Là, tu sais ce dont j’ai envie ? Non, baiser et être baisée comme une pute, une chienne. J’ai envie de te fouetter, te voir grimacer, crier parce que tu souffres à cause de moi. Tout ça à cause que je t’ai suivie. — Non, je t’en supplie, je ne veux pas sortir comme ça !— Et pourtant tu vas me suivre comme la bonne petite chienne que tu es. Je peux déjà te promettre que pas mal de tête vont se retourner sur notre passage, sale chienne. ASSIS et ne bouge plus d’un poil…Mince, c’est vrai, t’en as plus un ! (ordre sec et furieux puis, au téléphone, voix onctueuse, mielleuse) Oui, allo, Madame Gilberte ? Je suis celle du petit martinet de poche, Marion…Oui, très bien, merci. Dites, je vous appelle par ce que j’ai retrouvé ma petite chienne et, si vous me le permettez, il me serait agréable de vous la présenter d’ici, disons, une petite demi-heure…C’est oui ! Merveilleux, je vous adore. Oh, nous arriverons à pied….Non, le bus, vous n’y pensez pas sérieusement…non, c’est exclu, vous n’imaginez tout même pas une chienne dans un transport public, quel horreur si elle venait à s’oublier, vous imaginez la suite ?…Oui, c’est ça, je vous embrasse, moi aussi et à tout de suite !— Mais tu es dingue ? Faut t’enfermer et jeter la clef !Elle me gonfle, comme si ma sœur n’avait rien compris encore des effets de sa transformation sur moi. Alors, volubile, gesticulante, je répète, développe, accentue, traduis, exprime, divulgue, décortique, explique encore en extériorisant tout ce que je ressens après l’avoir suivie le jour précédent, mon enquête aujourd’hui. Je la fixe, son visage s’illuminer à chacun de mes mots. La vache, elle mouille, ça coule jusque parterre. Je lui plaque ma bouche sur la sienne, premier baiser volé. La vache ce que ça fait du bien. Mais là, sur le sol, je ne peux tolérer ce que je vois.— Lèche ton jus, salope...C’est bien, bon, on y va, sinon nous arriverons devant une porte fermée. Encore un mot de ta bouche de menteuse et je remets la muselière. Quoiqu’après tout, je vais te la mettre. Et si tu te rebelles encore, c’est le soutien-gorge et ses petites pointes bien acérées que je te mettrai de force, en appuyant bien sur tes seins après. Si tu en as envie, ne te gêne surtout pas. — Non, je refummmmmh!Muselée, le martinet zèbre sa poitrine nue, lui rappellent qui elle est à mes yeux désormais. C’est fait, elle ne se débat plus, vaincue par KO, la frangine. Si je la pousse un tout petit peu, elle va me manger dans la main. Cela ne serait tarder à la voir se trémousser sous mon martinet. — Aller ma grande, on y va, nous sommes attendues par une femme délicieuse.Mon martinet pendu à mon poignet, je le pousse dehors, refermant son appartement derrière nous et ajuste sa cape pour ne pas trop dévoiler qu’elle ne porte rien d’autre que sa bite canine pour tout vêtement.Dans le rue, ma sœur et moi ne passons pas inaperçue et, je l’avoue, ça me réjouit. Les sifflets, les quolibets fusent de tout bord à notre passage et ce n’est pas non plus pour me déplaire car, cela reste tolérable. Je n’en dirais pas autant pour Martine qui est rouge de honte. Quittant sa banlieue, je passe au plus court. Gonflée à bloc, je décide de passer par le centre-ville, par les rues marchandes qui, à cette heure de la journée, sont bondées. Dans un recoin désert, j’y pousse ma sœur. Ma main sous sa cape, je la branle à l’aide du manche de mon petit martinet car elle mouille la garce, et comme une fontaine en plus.— Et tu as de la chance que je ne t’aie pas mise ta petite culotte vibrante ma chérie. Laisse-toi jouir, tu vas aimer, sale petite chienne. C’est bien, tu vois que tu es une brave chienne, je t’aime quand tu es à moi, tout à moi. Tu le sais ça ?Ne pouvant me répondre sans ne pas hocher son joli minois, ses yeux déjà révulsés me disent que le corps à qui ils appartiennent vient de jouir. Pendant un moment, elle ne bouge pas, ses jambes sont encore toutes tremblantes à cause de la puissance de son orgasme.Plus loin, les remarques, à notre passage, n’ont pas cessés pour autant, il y en a de bonnes comme des désobligeantes, voire un peu agressives. Près d’une femme particulièrement amère, accompagnée d’un mari bandant comme une bourrique, et après une troisième remarque particulièrement injurieuse et acerbe, je ne me gêne plus. Elle a dépassé les bornes, cette poufiasse, je lui rentre dans le lard aussi sec. Elle va apprendre à me connaitre !— Sachez ou apprenez, Madame la peste à la langue vipérines, que cette superbe belle femme vit pleinement ses fantasmes, qu’elle vient même de prendre du plaisir avec ce manche de martinet. Sentez l’odeur de sa cyprine sur le manche et mes doigts. Par contre, en ce qui vous concerne, vous voyant si mal fagotée, vos faux airs de petite sainte ni touche, ce doit être en vous branlant, esseulée, dans vos chiottes rutilantes de propreté, que vous les vivez et uniquement dans votre tête. Si tant est que vous en possédiez une tête munie d’une cervelle, cela va de soi. Ce qui me laisse à penser que vos parents ont oublié de vous offrir certaines options, comme l’intelligence, la clairvoyance, la tolérance ou l’ouverture d’esprit. Apprenez encore qu’il est aisé d’avoir la critique acerbe, abject comme votre visage haineux. Cependant, la critique constructive ne sera jamais dite par votre sale gueule de mégère jalouse. Qui plus est, il se peut que vous ne soyez outrée que pour faire bonne figure en public, qui sait ? Et vous, monsieur, oui, vous, son époux, qu’attendez-vous pour durement la réprimander, la fesser ou la gifler ? Vous pourriez sévèrement la punir, si vous aviez des couilles, et à vous voir bander comme une bourrique, il se peut que vous en possédiez. Qu’attendez-vous pour la punir ici, devant tous, comme cela se faisait avant. Cette vieille bique ne mérite rien d’autre qu’une sévère bastonnade qui soi. Quand je vous vois, Madame, je regrette la belle époque où l’on punissait en place public, vous attachée au pilori et flagellée par votre époux ou moi, le cas échéant. Ce qui, entre nous, serait jouissif, il faut en convenir, n’est-ce pas Monsieur son époux ? Tenez monsieur, je sais me montrer miséricordieuse, magnanime, prenez cette carte de visite, c’est de bon cœur. À cette adresse, sur demande, on vous montrera avec quoi châtier sévèrement votre épouse si revêche. Enfin, si j’étais vous ! Mais, il est évident que je ne le suis pas, fort heureusement ! Adieux monsieur et pensez bien à ce que je viens de vous dire ! Entre nous, cela ne pourrait que raviver la flamme de votre couple. À vous revoir dans de meilleures dispositions, madame la gerce sans cervelle ! Encore une chose, apprenez à tenir votre langue de vipère à l’avenir. Dans le cas contraire, vous me contraindriez à me servir de ce ravissant martinet ! Viens ma belle, on continue.Je lui avais cloué sa bouche de mégère non apprivoisé, je n’en revenais pas d’avoir dit toute cette diatribe sans presque reprendre mon souffle. C’est le ton utilisé aussi, il m’étonne parce que monocorde et lent du début à la fin. Martine non plus, elle n’en croit pas ses oreilles, elle ne cesse de me fixer de ses yeux brillant comme de gros diamants. Mes mots, ils étaient sorti de je ne sais où dans ma tête. Tel de l’acide se déversant sur cette femme, mes mots eurent pour conséquence d’être applaudis par les quelques badauds présents autour de nous au moment de cette courte altercation. Quant à ma sœur, elle est heureuse de me voir prendre sa défense devant à ce couple. Nous ne sommes plus qu’à une dizaine de mètre de cette sulfureuse boutiquière.Plus nous nous rapprochons de cette merveilleuse boutique, plus les gens que nous croisons se montrent admiratif en nous dévisageant. Certes, je ne fais là que l’éloge des bonnes critiques. Cependant, je ne sais si cela provient de la brève altercation, mais beaucoup n’osent dire ce qu’il pense tout bas.Mademoiselle Gilberte, derrière sa vitrine, avait assisté à l’altercation. Elle s’empressa de rejoindre son comptoir en nous voyant arriver. Une fois dans la boutique, Mademoiselle Gilberte, bien surprise, démontre un très vif intérêt pour ma sœur, voire même diaboliquement attirée par ma belle petite chienne. Avisant un fauteuil, me la jouant hautaine, dédaigneuse, je lui tends la laisse et m’assois en prenant une posture impériale.
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