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Chienne un jour, chienne toujours

Chapitre 5

Je rencontre la pire des chiennes, une salope de première.

SM / Fétichisme
— Oh la vache, tu es superbe ma chérie. Là, Fifille, tu as une Maîtresse digne de ce nom. Ce que ta sœur est magnifique ! Tourne un peu... non, je n’y crois pas, je peux voir tes belles petites fesses de vicieuse se dessiner merveilleusement dans la matière. Putain pourquoi je n’ai pas été la première à te connaître. Catwomen peut bien attendre un peu après tout.— Parce que même en seconde place, tu as ta place dans mon cœur, mon bel amour. — Ainsi Gilberte a raison, une fois encore. Tu es capable d’aimer plusieurs personnes du même amour.— Ça, c’est à toi de le découvrir. Mais pour ta sœur et toi, tout comme pour ma Fifille ou Roxanne, oui, je vous aime. Je découvre avec vous, je découvre ce que personne d’autre ne m’avait montré.— Ouais, tu es parfaite, ma chérie. Chiche que tu n’oses pas sortir ainsi vêtue. — Si, je vais oser si tu fais de ma petite Fifille une belle dalmatienne. Et si tu l’exiges, ma divine Maîtresse, nous ferons scandale parmi la populace.— Chiche ! Un resto pour la gagnante. — Je choisis la table de Pierre et prépare-toi à payer une addition particulièrement salée, ma belle amante. Il n’est pas dit que ma sœur et moi nous serions dégonflés.

En moins d’une vingtaine de minutes, avec ma tendre et docile Martine, nous étions dans la rue, ma Fifille en laisse, nos yeux cachés par des loups de fine dentelle assortis. En prenant notre temps par de petits détours, nous sommes allées voir Gilberte, comme des grandes. Une Gilberte qui n’en crut pas ses yeux. Elle me tâte de partout, en fait de même avec ma sœur. Même pour me soulager, ma courte robe n’est pas une entrave. Ma sœur Martine en laisse, sa croupe garnie de sa belle grosse queue bien sanglée à sa taille, nous allumons le désir ou le dégout aux passants que nous croisons. Cela semble même allumer bien des feux chez certains couples. Si cela n’en allume pas, cela en ravive et plus d’un. Même si ma Fifille ne porte pas sa cape, nos tenues ne laissent personne indifférent. De retour, Amélie est au téléphone avec sa sœur. Devant la boutique, debout près de moi, ma sœur m’embrasse à pleine bouche.
Lui répondant goulûment, j’ouvre son entrecuisse entièrement devant deux femmes médusées. C’est plus fort que moi, je dois m’approcher de ces femmes.
— Est-ce que nous vous choquons ?— Non, vous nous excitez plus qu’autre chose, oui. Vous êtes juste merveilleuses. Dites-moi seulement où trouver pareils atours ? Excitée la miss quand elle me pose la question !— Regardez cette boutique, derrière vous ! Cela regorge de vêtements tous aussi sublimes les uns que les autres. Pas ma chérie ? (Je plonge mon regard dans celui d’Amélie ravie.) — Oui mon amour. Mesdames, donnez-vous la peine. Mon beau démon, je vais cesser toute publicité dans les journaux, toutes les deux, vous êtes ma pub très particulière dès ce jour.— Chiche que tu n’oses me mettre sur tes flyers avec Fifille. — La table de Pierre ?— Et comment !— Vous avez bien dit Fifille ? Me demande l’une des deux clientes.— Oui Madame. — Qui est Fifille ?— Ma chienne ici présente.
— Grand dieu. On m’avait rapporté que cela existait, c’est la toute première fois que je vois une femme vivant son fantasme de chienne. Mademoiselle, vous...

Aie, stooooop, elle va commettre un impair avec ma sœur !
— Non, c’est Fifille. Parlez-lui comme si elle était votre chienne.

Amélie les précède derrière, dans la caverne des fantasmes. Les deux femmes ne cessent de s’exclamer. Soulagées toutes les deux, reprenant ma Fifille en laisse, je lui file une pile de dépliant à donner aux passants. Pour bien montrer ce que nous sommes l’une pour l’autre, je prends une chaise que j’installe devant la devanture de la boutique d’Amélie. Une longue laisse fixée à son clitoris et debout, son beau cul rempli de sa queue de dalmatienne, comme sa tenue et sa muselière. Je prends soin de cacher son sexe glabre et annelé par une courte jupette, comme celles que portent ces chiens de cirque. Une fois en place, Fifille peut aisément traverser la rue pour distribuer ses prospectus à la gloire de la boutique d’Amélie. Je ne pensais pas voir autant de monde d’agglutiner de la sorte autour de ma Fifille. Pourtant, même si aucune main ne la touche, j’ai peur que cela dégénère et me tienne sur mes gardes.
Si une main se tend, Fifille la lèche, surtout si la main est une main féminine. Une fois les prospectus distribués, nous rentrons dans la boutique. Derrière les deux femmes en sont toujours à essayer des vêtements.
— Permettez une question quelque peu curieuse. Êtes-vous en couple ?— Non, mais nous aimerions bien. Malheureusement nous sommes toutes deux mariées. Disons que nous nous voyons le plus souvent possible. Nous apprennent les deux femmes,

celle qui est la plus bavarde domine sa compagne sans le savoir.
— Merci de votre confiance. Dites-moi si je me trompe, je vois une belle différence de caractère entre vous deux. Tu ne trouves pas Amélie ?— J’hésite depuis un moment. Il me semble que Madame est plus docile que sa compagne. — Exactement. N’en rougissez surtout pas, Madame, quoique cela vous va à ravir. Non, n’ayez pas peur de vos sentiments comme de vos désirs. Il ne faut surtout pas les refouler, bien au contraire, il faut les laisser s’exprimer au grand jour. Voyez-nous, avec ma sœur, nous nous aimons, je l’ai découverte soumise depuis lundi seulement. Depuis, pour rien au monde, nous ne voudrions que cela change. Et surtout depuis que nous avons fait la connaissance de cette délicieuse boutiquière et de sa non moins sublime sœur. — Elle a raison cette petite, c’est toujours moi qui décide de tout. Mais je suis Mireille et voici Marthe. — Alors Marthe, réponds à...— Marion et voici Martine ou Fifille, ma sœur, en une belle dalmatienne. — Nathalie, si je te mets une fessée devant elles, qu’en dirais-tu ?— Je crois que vous devriez agir et non questionner. Lui rétorque ma belle Amélie.

Sans en entendre davantage, Mireille bascule sa compagne par-dessus un petit meuble et, lui remontant sa jupe, la fesse copieusement par-dessus la petite culotte blanche. À voir Marthe se mordre ses lèvres en fermant ses yeux, elle devait attendre cette fessée depuis bien trop longtemps. Elle devait même se désespérer que sa compagne ne se montre pas plus despotique. Amélie profite de cette superbe pause pour me donner une nouvelle tenue à essayer. Toujours de couleur rouge vif, la courte jupe plissée me plaît, surtout si je ne porte rien en dessous. Pour le haut, c’est une gamine émerveillée qui le décrit. C’est un top avec, sur les seins, des fermetures éclair qui forment deux belles boucles reliées par une lourde chainette en acier chromé. A l’intérieur de délicieux picots arrondis qui massent mes mamelles dès que je les presse. Je m’empresse, devant les deux femmes, de me changer avec l’aide vicieuse d’Amélie.
La jupe est superbe, ample dans sa tenue, elle descend à peine plus bas que la moitié de mes cuisses. Mais Amélie y joint un accessoire que je ne vois pas, mais que je sens agréablement. Sous ma jupe, sa langue lape mon sexe détrempé. Elle m’introduit un merveilleux vibromasseur qu’elle met en fonction sur le mode aléatoire. Dans mon rectum, toujours à la vue des deux clientes, elle m’introduit un olisbos énorme qui vibre, lui aussi. Un clic, un second clic et les voilà fixés sous ma jupe, à ma taille. Peu après, je jouis délicieusement. Devant les deux femmes, me redressant, je dépose de doux baisers aux coins de leurs lèvres.
— Vous avez, toutes deux, des rêves. Toi Marthe, te soumettre amoureusement à ton amour. Toi Mireille lui donner de l’amour tout en la soumettant amoureusement. Vous avez ici de quoi vivre votre rêve. Bordel de merde, vivez-les et à fond comme moi et ma sœur !

Je tombe sur une pile de cartons vides pour jouir encore. Ma sœur se montre moqueuse envers moi. Il n’en faut guère pour que, peu après, elle soit équipée comme moi, dans son vagin. Quant au couple, il semble se concerter en se caressant, s’embrassant sans plus aucune gêne. Dehors, les passants se sont dispersés. Sauf une femme qui vit sa main léchée par ma Fifille. Elle pénètre dans la boutique. Amélie s’empresse d’aller connaître ses désirs. Derrière, Mireille m’embrasse, Marthe embrasse ma Fifille. La chose est entendue à les entendre. Elles vont tout faire pour vivre pleinement leurs rêves, ces rêves qu’elles caressent depuis pas mal d’années à les écouter. Elles nous quittent avec la promesse ferme de revenir sous peu. Marthe se retourne pour ajouter qu’elle n’a plus envie d’attendre, même si cela doit entraîner son divorce. La messe est dite, amen ! À vous revoir, les amies.
— Marion, vous avez fait quoi, toutes les deux, dehors ?— Rien, quoi, tu veux que nous recommencions ?— Mais quoi ?— Fifille, viens ma belle. Viens ma douce, on y retourne. Avec toi, la table de Pierre va se frotter les mains.

Les mains sur ses belles hanches, Amélie nous regarde nous installer. Sauf que ni Martine ni moi n’avions prévu que nos vibromasseurs allaient nous faire jouir aussi fort et aussi souvent qu’en distribuant les prospectus d’Amélie. Du reste, cette dernière s’empresse de nous prendre en photo et, avec ma sœur, nous prenons les poses les plus diverses. Ce n’est plus une rue, mais un studio de photo fétichiste. La fin de la journée arrive, le soleil baisse déjà sur l’horizon. Dans la boutique, je me pose sur une chaise et m’empresse de retirer mes godes de mes profondeurs détrempées. Martine en fait tout autant, la pauvre, tout comme moi, elle est épuisée.
— Mais vous êtes complètement folles toutes les deux. — Tu vois Martine, c’est fou ce que la table de Pierre va s’enrichir grâce à nos paris stupides. Prends ce baiser ma tendre amie canine. Quant à toi, nous t’avons fait une pub d’enfer, c’est bien ce que tu voulais ? — Oui, mais comme ça, jamais on ne me l’avait faite. Et... je ne sais même pas si j’aurais osé le faire.— Ben, c’est fait. Vois jusqu’où notre amour peut aller. Toi et ta sœur nous vous aimons, ma sœur et moi en avons longuement conversé dehors. Ma sœur serait fière de nous appartenir à toutes les trois. — Putain, je m’en veux de ne vous avoir pas connue avant. Que de temps perdu ! — Non ma chérie d’amour, il n’est pas perdu, il est à rattraper, je préfère. — Vous dormez chez moi cette nuit, Gilberte et Roxanne nous rejoignent sous peu. T’as vu Fifille, elle branle sa queue quand elle entend parler de Roxanne. — Et pas que d’elle, aussi pour ta sœur. Hier soir, Roxanne et Fifille se sont pris une belle correction à la spatule de bois.— Je vois ça ! Et ta Fifille n’a pas détesté le traitement. — Demande-lui, moi, je vais me soulager.

Dans sa toilette, mon urine coule si fort que cela m’en éclabousse mon intimité et mes cuisses. Les gouttes de ce liquide jaunâtre sur ma peau me font jouir une nouvelle fois. Je ne me lave que mes mains. Dans la boutique, j’attrape ma Fifille.
— Viens me lécher, tu vas aimer, j’en ai gardé un peu pour toi.

Sa langue vient lécher tout, de derrière mes genoux jusqu’à mon anus. Devant Amélie, je suis incapable de lui parler, ma bouche reste ouverte, la langue de Fifille est une bénédiction, ses mains entre mes fesses, c’est juste un enchantement. À plat ventre sur le comptoir d’Amélie, je vais jouir. Amélie passe derrière moi, soulève ma jupe, prend un plaisir exquis, celui de me fesser durement, ajoutant à mon orgasme qui sort de ma bouche tel la sirène des pompiers. Épuisée, je glisse sur le sol. Elles ne sont pas trop de deux pour me relever et m’assoir.
— Ça va me chérie ?— J’ai vu pire, mais là, c’est bien la première fois qu’une langue, la sienne me fait cet effet.— Repose-toi, Fifille aide-moi à ranger le magasin.

Sur une chaise, je reprends mon souffle. Le temps de le retrouver arrive Gilberte avec Roxanne en laisse. Putain de dieu, elles l’ont fait. De joie, je les embrasse avec ma folie habituelle. Amélie est pressée de tout raconter de sa folle journée en notre compagnie, photos à l’appui. Ma Fifille sur mes cuisses, je la caresse comme une belle chienne. Roxanne imite ma Fifille sur les cuisses de sa Maîtresse. Nos deux petites chiennes s’embrassent tendrement, se lèchent le visage. Le moment que nous passons à regarder les nombreuses photos n’est là que pour nous émoustiller davantage. Une nouvelle nuit pleine de plaisir qui s’annonce, YES ! Pourtant, il y en a une qui nous doit notre pitance à la table de Pierre et je me charge de le faire connaître.
Je me change à nouveau, remettant cette robe délicieuse et ces bottes que j’adore par leurs talons vertigineux. À la table de Pierre, on nous conduit à une belle table ronde. Je laisse le soin à ma Fifille de me choisir mon menu, elle connaît mes goûts. Si Amélie s’est changée, sa tenue de cuir lui va à ravir. Mais ce qui attire l’attention des autres clients, ce sont Roxanne et Fifille parfaites en petites chiennes délicieuses, assises près de leurs Maîtresses. Si nous ne cherchons pas le scandale, nous cherchons à faire réagir les gens sur nos fantasmes. Parfois, c’est bon, d’autres fois, cela ne plaît pas.
— Les filles, ce soir, on se la joue calme, demain, c’est chez Madame Justine que nous nous rendons.

Mince, déjà une semaine ! Punaise, que le temps file vite quand on prend son pied en permanence. Et puis, Gilberte a entièrement raison, nous ne devons arriver fatiguées chez Madame Justine. Déjà cinq jours que je m’enfonce et nage dans la débauche, putain ça fait du bien !
Après ce merveilleux repas, nos chiennes en laisse, nous rentrons. Ce soir, je dors chez Amélie, les deux sœurs s’étant déjà entendues ainsi. Une fois Gilberte partie avec sa Roxanne, je découvre le pied-à-terre d’Amélie. C’est plus moderne que chez sa sœur.
— Commence ça ce fait que tu vives seule.— Parce que j’ai perdu celle que j’ai aimée. Elle est partie avec un homme vivre à l’autre bout du monde. — Ma chérie, je suis désolée. Mais que ça ne tienne, tu nous as toutes les deux et puis, y a ta sœur et Roxanne. — Oui, mais cette femme me manque. Regarde, c’est elle. — Hé, mais c’est toi ?— Oui et non, c’est notre sœur, ma sœur jumelle. — Aie ! C’est encore plus dur. Perso, je ne sais pas ce que je ferais si Fifille me quittait pour Justine. — Ho, qui a dit que je voulais te quitter. Plus maintenant en tout cas ! — Merci mes chéries, mais ce soir, restons sages.

Avec un énorme soupir, je m’avouais vaincue. Et puis, une bonne nuit de sommeil n’est pas de trop après toutes ces journées fantastiques. Amélie nous ouvre une chambre, une grande chambre. J’attache la laisse de ma Fifille au pied du lit et embarque Amélie. Nue, je me colle à elle dans ce grand lit. Un dernier et tendre baiser amoureux, nos paupières se ferment déjà.
Le réveil qui sonne me donne juste l’envie de l’envoyer voyager à travers la galaxie orgasmique. Amélie sursaute près de moi. Un baiser, nous voilà sous la douche. Un peignoir, je sors Fifille afin qu’elle se soulage derrière la boutique. Devant moi, me fixant de ses beaux yeux verts, elle se vide de partout. Frottant son cul dans l’herbe, d’un sachet, je ramasse ses excréments. Une fois dans la poubelle, nous remontons. Je l’envoie se doucher pendant que j’habille Amélie d’une de ses créations de lycra. Un sourire enjoué me fait miroiter une combinaison tout aussi exquise. Grand dieu, cette combinaison montre les trois quarts de mon corps. Mes cuisses, mon ventre, mon dos, même l’espace entre mes seins. À ma taille, elle fixe une jupette de latex hyper-courte. À mes pieds, elle m’enfile des boots pour la terre, il parait que le chenil de Madame Justine est de terre battue. Donc s’il venait à pleuvoir, cela se transforme en boue chez Madame Justine.
Pour ma chienne, ma belle petite chienne, nous lui trouvons une tenue plus passe-partout, question météo. Une tenue faite sur mesure et à même son corps. De nos mains, nous étalons du latex liquide sur tout son corps, même ses mains et ses pieds. Toute de noire vêtue, une simple paire de petites sandales à ses pieds, sa cape et la voilà prête à suivre son cours de dressage. Enfin, si je lui pose son collier. Dans la rue, nous n’attendons plus que Gilberte et Roxanne. Une fois notre groupe au complet, la petite troupe se met en route dans des rues malheureusement désertes ou presque. Cependant, nous avons oublié un petit détail avec Fifille et Roxanne. Oh, pas grand-chose, presque rien, juste le petit orifice pour uriner. Nous avions pensé aux queues fichées dans les culs, pas à leur vessie. Dans un recoin de la banlieue, un petit coup d’ongle et la voilà prête en cas d’urgence urinaire. C’est ma foi vrai, ce quartier de villa n’est pas pour les pauvres.
— Ma chérie, ce soir c’est ici que vous allez dormir. — Quoi, c’est ça ta maison ?— Aussi bien à moi qu’à Amélie. C’est celle de nos parents, ils ne sont plus de ce monde et nous l’avons un peu transformée pour que Roxanne puisse y jouir de sa petite liberté. Maintenant, là-bas, au bout de ce mur, droit en face, c’est chez Madame Justine et son chenil. Fifille, je dois te bander les yeux, comme à Roxanne.

Les chiennes, les yeux soigneusement bandés, nous continuons à avancer vers ce lieu hautement sulfureux de par sa réputation. Devant l’imposant portail, je dois mettre sa muselière à ma Fifille. Il en va de même pour Roxanne. Amélie sonne, c’est un homme qui nous ouvre, le sexe emprisonné. La bouche muselée, il ne peut parler et donc ne peut que subir. C’est du moins ce que sa pancarte pendue à ses tétons informe. Une soubrette se précipite vers nous. Gilberte m’apprend que c’est une des chiennes soumises permanentes de Madame Justine et sa compagne. Elle nous invite à la suivre en ne cessant de s’incliner. Je découvre un autre univers fait de docilité, de beauté à l’état pur. Les chiennes présentes ne sont pas toutes jeunes et belles, il y a de tout, de la vieille à la grosse en passant par la jeunette et la maigre. Parmi ceux à dresser, des hommes. Là aussi, on y voit de tout.
Madame Justine est impériale sur son trône, une femme en blouse blanche à ses côtés ressemble bien plus à un médecin qu’à une soumise.
— C’est la vétérinaire de notre club, Marguerite. C’est aussi la compagne de Madame. Viens suis-moi, je vais faire les présentations.

Après quelques pas, nous nous retrouvons face à cette femme belle et généreuse par ses formes plantureuses. Une déesse d’une bonne quarantaine d’années, une superbe déesse.
— Madame, je vous présente Marion, la sœur et nouvelle Maîtresse de Martine. Explique Gilberte.— Mademoiselle, permettez de vous en vouloir quelque peu. Vous m’avez privée d’une jeune chienne qui nous plaisait. Voilà c’est fait, je ne vous en veux plus. Où se trouve Martine ?— À vos pieds Madame, Fifille, donne la papatte à Madame !— Superbe, j’avoue ma surprise, vous pouvez lui retirer son bandeau. Et on me dit que vous êtes sa sœur ?— Oui Madame, je le suis, sa cadette. — Votre âge mon enfant ?— 18 ans, bientôt 19.— Ma foi, Gilberte, voilà une belle et jeune Maîtresse prometteuse pour sa petite chienne. Marion, c’est bien ça, comment se fait-il que votre sœur ait soudainement changé pour devenir votre chienne.— C’est simple, elle m’a menti en prétendant se rendre chez son gynécologue et je l’ai suivie de loin. Après, c’est Gilberte et sa sœur qui ont fait le reste. Le tout en une journée, presque deux.— Merveilleuse histoire. Voulez-vous faire partie de notre club de dressage ?— Ce serait avec joie immense, Madame. — Madame Marguerite, voudriez-vous avoir l’extrême obligeance de faire les contrôles d’usage à cette chienne, de lui donner son pedigree et lui mettre sa puce ? — Mais très certainement. Veuillez me suivre dans mon cabinet.
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