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Chienne un jour, chienne toujours

Chapitre 6

Je plonge tête baissée dans les vices les plus pervers.

Zoophilie
Je plonge tête baissée dans les vices les plus pervers.
Dans une salle hyper-bien équipée, sur la table, Fifille se met à quatre pattes et patiente, toute tremblante d’excitation. Quoique là, j’ai quand même un petit doute ! Marguerite inspecte ma petite chienne attentivement, sous toutes les coutures, n’hésitant pas à déchirer le latex qui recouvre Fifille. Ma petite chienne chérie est adorable dans son comportement.
— Je vais devoir la piquer. C’est juste une piqûre pour la protéger de certains parasites quand elle se soulagera dehors. Il faudra le renouveler chaque année. Pour le reste, elle tient la forme. Bon, sur son carnet d’identité, je mets quelle race ?— Dalmatien. — Son âge et son nom de chienne ?— 22 ans, Fifille, avec deux l.— OK, bon, voyons tes mensurations, on ne bouge pas. Oh, il faudra lui faire perdre quelques kilos. Disons cinq kilos et bien la faire courir. Et puis, il faut bien lui laver son cul chaque fois qu’elle défèque. Un jet suffit, avec de l’eau pas trop froide, surtout jamais d’eau glacée. Sinon, elle est mignonne. Dommage de nous en priver, Marion. Bon, je programme sa puce et elle sera prête pour sa première leçon. Si j’osais, je vous demanderais la permission de me faire...— Mais et comment donc, c’est une chienne, ordonnez-lui, elle doit vous obéir. Qui plus est, je vous prive de sa présence. Voyez donc cela comme une maigre compensation.

Pas besoin de répéter la demande, Martine plonge sa bouche dans l’intimité de la vétérinaire. Je regarde le passeport de Fifille et je ne suis pas peu fière de le détenir. Après avoir pris son pied avec ma chienne, la vétérinaire lui injecte la puce dans la cuisse et nous invite à la suivre. Nous sortons retrouver les autres. Une femme Maître-chien montre et démontre ce qu’il faut faire et ne pas faire. Sa chienne, une femme d’une quarantaine d’années, exécute ses ordres à la lettre. Amélie me fait signe, je rejoins mes compagnes.
— Tu as vu la vieille au fond, près du chêne avec sa petite chienne ? me demande Amélie.— Oui, elle me semble bien jeune pour être majeur sa chienne et à voir sa tronche, pas très heureuse d’être ici ou en sa compagnie. — Ce que je rêve de l’avoir pour chienne cette petite. — Pourquoi ne pas en référer à Madame Justine ? Que je lui demande.— T’es folle, cette vieille, c’est sa mère. S’exclame Amélie.— Et alors, le règlement est pour tous que je sache. Ajoute Gilberte.— Je sais Gilberte, mais je n’ose pas. — OK, la grande va encore aider la petite. — Gilberte, elle ne peut pas, elle n’a pas de chienne. Fifille, va apprendre et bien apprendre, sinon, pan-pan cucul.

Je la lâche, Roxanne est déjà en main. Près de Madame Justine, Gilberte plaide la cause de sa sœur. Revenant vers nous, Madame fait venir une de ses chiennes. Cette dernière court vers la vieille dame. Attachant sa chienne à l’arbre, elle s’en vient vers Madame d’un pas plus qu’hésitant. Amélie en profite pour aller voir cette jeune femme. De son côté, je vois Madame gesticuler et menacer la vieille dame. Même si on n’entend pas, on devine aisément que Madame passe un savon à la vieille. Amélie revient essoufflée, levant son pouce en signe de victoire.
— Elle n’a pas l’âge pour être ici comme chienne. Madame exige que tous les chiens aient au minimum 19 ans, j’ai sa carte d’identité. Tiens sœurette. Nous nous sommes embrassées, elle est divine. Elle déteste cette vieille, elle m’a vaguement expliqué qu’elle est là à cause de ses parents. Je n’en sais pas plus, faute de temps, la vieille peau pouvait revenir sans crier gare.— OK, regardons la suite. Roxanne, au pied. Bien ma belle. Je vais te lancer ta balle, tu vois la jeune chienne près de l’arbre au fond, bien, c’est là-bas que je vise, montre-toi douce avec cette chienne. Allez, va chercher.

La vieille se fait toujours houspiller par Madame. La vieille ne semble pas comprendre quelque chose. De mon côté, j’essaie de suivre les indications que donne le Maître-chien à ma Fifille. Derrière moi, des aboiements de gros chiens se font entendre. Je prends peur.
— Ne crains rien, regarde ma Roxanne, elle adore ça, cette petite salope. C’est pour ça que nous venons ici et ta sœur le sait très bien. Alors, regardons-les faire, ma chérie. Je crois que tu vas mouiller comme une folle en voyant ces clebs. Tiens, regarde ta Fifille vient te chercher. Suis là, ça va te plaire, j’étais comme toi la première fois. Ces chiens sont dressés par Madame en personne. Tu sais, elle aime aussi se faire prendre par l’un d’eux. M’apprend Gilberte.— Et toi ?— Je ne sais pas encore, mais j’ai l’envie d’essayer un de ces jours. À croire Roxanne, c’est bon de se faire baiser comme une chienne par ces clébards. Un peu comme toi par ton Jojo, si tu veux mon avis.

Je découvre une Gilberte quelque peu peureuse à l’idée de se faire baiser par des molosses.
— Je vois. Pourquoi pas, après tout ? Ce jour-là, je voudrais que nous soyons toutes les deux au milieu de ces molosses à poil. — Top là ma chérie. Je m’arrangerais avec Madame si tu le veux bien. — Jusqu’en enfer avec toi. — Tu me plais, tu le sais ça ? Regarde bien, on les attache, on retire les queues et on laisse faire les chiens. Je suis prête à parier que ta Fifille ne va pas arrêter de te fixer pendant son accouplement.

Derrière les chiennes en dressage, on lâche deux des beaux molosses, la queue déjà en érection. Après avoir été longuement léchée, ma Fifille se fait saillir. Elle me fixe, me hurle son bonheur. Très vite, le chien jouit, reste en place pour recommencer encore et encore. Il va prendre ma Fifille je ne sais combien de fois. Je ne peux m’empêcher de m’approcher de ma Fifille quand ce molosse se retire enfin de son corps.
— C’est bon, Maîtresse, ce chien me remplit de foutre. Par pitié, mettez-le devant moi que je le suce.

Sans comprendre ce que ressent ma sœur, je prends le chien pour l’asseoir devant ma Fifille. Très vite, les coups de langue de ma sœur font leur effet sur le sexe du chien et ma sœur de sucer ce sexe avec un désir si grand qu’il transpire abondamment de la gueule sur la tête de ma Fifille. Gilberte finit par délivrer les six derniers molosses. Derrière elle, un autre chien la renifle, la lèche, ma sœur chérie est transportée par un orgasme. Je ne reconnais plus ma sœur, elle jouit coup sur coup de ces chiens qui la baisent par-devant comme par-derrière. Épuisée, elle s’écroule, désirant la relever, le Maître-chien me le déconseille.
— C’est à elle de se relever. Elle doit comprendre que vous êtes sa Maîtresse, rien d’autre.

Je ne peux détourner mon regard de ma sœur. En regardant les autres chiennes, elles sont toute en état d’extase et de béatitude, même la plus âgée des chiennes est heureuse de celui qui vient de la remplir. Pendant une vingtaine de minutes, Fifille ne bouge presque pas, elle ne cesse de me répéter qu’elle veut recommencer. Je ne peux lui en vouloir si elle aime être prise de la sorte. Madame Justine vient à moi.
— Alors ma petite, votre chienne aime nos toutous ?— À la voir, je crois bien que oui. — Vous verrez, on aime toutes se faire mettre par un de mes beaux chiens si bien bâtis. Venez ma chère, je vais vous montrer où nous les lavons, vous allez adorer. Gilberte m’a raconté votre rencontre, j’avoue ma surprise. C’est si rare que tout se déclenche en vous en si peu de temps. — J’aime Gilberte, comme j’aime sa sœur, Roxanne et ma Fifille. — Je le sais, je vous ai observée. Amélie veut cette jeune demoiselle. Je suis obligée de renvoyer cette petite chez elle, elle n’a pas les 19 ans requis pour être une chienne chez moi. — Elle va l’être dans deux jours. Le onze de ce mois pour être précise, Amélie a pu nous montrer la carte d’identité de la demoiselle. — Êtes-vous certaine de la date de son anniversaire ?— Oui Madame, certaine. Je l’ai lue de mes yeux. Et je n’ai pas vraiment l’envie de vous mentir, croyez-moi !— Cette vieille m’a encore menti et je lui en veux terriblement. Cette fois, c’est la maison pour vieux pour elle. — Madame ne soyez pas si dure avec cette vieille femme. — C’est ma mère et elle me pourrit ma vie avec ses conneries à répétition. Pardonnez ma colère, mais je n’en puis plus avec elle. — Je vous comprends, pardonnez mon intervention. — À condition que vous pardonniez ma colère.

Elle me prend la main, l’embrasse et me guide dans le sous-sol de sa demeure. Elle me montre un centre de lavage canin dernière génération, sauf que celui-ci est adapté pour nos chiennes. Gilberte arrive, complètement excitée par ce qui vient de se passer. Devant Madame qui sourit, Gilberte s’arrête nette.
— Allons ma chère Gilberte, un peu de calme, ce n’est pas la première fois que je sache. — Non Madame, mais de voir ma Roxanne se faire saillir de cette manière m’émoustille à chaque fois. — Je comprends, mais venez un après-midi, nous vous les mettrons à disposition rien que pour vous. Cependant, prenez garde, on y prend vite goût. — Je ne le sais que trop Madame, il n’y a qu’à voir ma Roxanne. Tenez, les voilà.

Les autres Maîtresses arrivent, la vétérinaire est au centre du dispositif. Ma Fifille semble très impressionnée par ce système de lavage canin. Marguerite la calme de quelques caresses avant de lui attacher son collier à la machine. La vétérinaire, Marguerite, s’empresse aussitôt d’immobiliser les membres de ma Fifille et de lancer la machine. Des brosses viennent tourner sur le corps de Fifille, l’effleurer. Ma sœur, apeurée, sent son corps chauffer sous l’effet des brosses qui tournent un peu vite à mon goût. La main de Madame se balade sur le fessier de Gilberte comme sur le mien. Ma Gilberte pose sa tête sur l’épaule de notre hôtesse, je fais de même en ne quittant pas des yeux ma Fifille. Marguerite introduit des canules dans le vagin et le cul de ma Fifille toujours prisonnière de la machine. Madame appuie délicieusement sur mon anus de ses doigts experts.
— Voyez votre petite Fifille, maintenant, elle n’a qu’une envie, revenir et le plus rapidement possible.— Madame, au risque de vous vexer, vous êtes la pire salope que je connaisse.— Merci Marion, j’adore vos compliments parce que je les sais sincères.

En effet, Fifille est sur le point de jouir, je reconnais ce regard qui illumine son visage. Sa figure tout entière semble souffrir le martyre et pourtant, ce n’est là qu’un orgasme qui la prend de force. Le nettoyage prend une dizaine de minutes par chien. Je donnerais cher pour être à sa place, ne serait-ce qu’une fois dans ma vie. La bouche de Madame m’embrasse, elle baise magnifiquement ma bouche avec sa langue fouineuse et ce merveilleux goût de framboise sur ses lèvres appétissantes.
— Gilberte, votre protégée est une merveille.— Je le sais, mais nous avons un petit pari entre nous. J’espère bien vous en faire profiter un jour.— Je vois, je vois. — Vos chiens, il leur faut combien de temps pour récupérer ?— Une bonne heure, pas comme les hommes. Me répond Madame Justine un peu agacée par ma question.— Woow !— Impressionnée ?— Oui, et pas qu’un peu.

Pendant que Roxanne, Fifille et les autres chiennes se font laver, Madame m’entraîne, avec Gilberte, dans un petit salon.
— Quelle est la teneur de ce pari ?— Marion m’a fait serment de devenir ma chienne de temps à autre. Et de nous faire prendre, toutes les deux, par toute la meute de vos molosses.— Beau geste de la part de cette jeune demoiselle. À propos Marion, Amélie et vous sembliez avoir raison au sujet de cette très jeune demoiselle. Je vais la confier à Amélie dès qu’elle sera en âge de rejoindre nos chiennes.

Ma bouche vient embrasser Madame avec fougue, ma main sur sa plantureuse poitrine. Mon geste semble donner le départ pour un moment exquis en sa compagnie. Alors qu’au sous-sol, les chiennes passent au séchage, au brossage, Gilberte enfouit sa tête sous la robe de Madame. Madame caresse mes petits seins, sa bouche fait encore merveille sur la mienne.
— Ma chère, il vous faudra revenir plus souvent avec Amélie, Gilberte et vos chiennes. Il y a si longtemps que je n’ai fait l’amour ainsi, à l’improviste. Laissez-vous aller ma très chère Marion. Gilberte me connaît suffisamment pour connaître mes goûts et ils sont vicieux et pervers depuis le départ de mon mari. Laissez-vous aller, comme ça, ouiiiiiii.

Comme pour Gilberte, Amélie et ma sœur ou encore Roxanne, je m’abandonne. Amélie nous rejoint, se jette sans autre dans la petite mêlée de nos corps.
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