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Chienne un jour, chienne toujours

Chapitre 7

Pire c’est, plus je m’enfonce, plus je prends mon pied.

Zoophilie
— Marion, votre corps est un délice, je serais heureuse de vous voir saillir par mes chiens en ma compagnie.— Madame, si Gilberte est d’accord, à trois, ou plus, si Amélie se joint à nous, ce ne peut être que le paradis.— C’est bien, vous êtes mes invitées, toutes les trois avec vos chiennes. — Que Madame est bonne, son corps est une merveille de fermeté, sa peau délicieusement douce. Ajoutais-je et c’était vrai, sincère.— Tu vois ma belle, nous te l’avions dit. Si Madame aime, elle se dépense sans compter.— Que ne nous ai-je pas connus plus tôt mes vicieuses amies.

Madame pose sa main entre mes cuisses, je pars déjà. Ses doigts dilatent mes orifices, je l’encourage, faisant de même entre ses fesses admirablement rondes et si fermes.
— Vos chiennes vont être mises dans la même cage, la plus grande et la plus confortable. Elles sont aussi libérées de toutes entraves. — Justine, vous êtes belle, votre cul est divin.— Pourfendez-le, ma chère Marion, pourfendez-le de vos petites mains, par pitié.

Amélie, connaissant mieux les vices de Madame, se relève, m’embrasse avant d’aller ouvrir un grand dressing pourvu en objets de plaisir de toutes tailles et de toutes sortes. Près de moi, elle lubrifie mes petites mains, j’enfonce doucement et lentement la première en ce cul superbe. Madame Justine décolle aussitôt vers l’extase, un long et puissant hurlement de bonheur envahit la pièce et la maison tout entière. Gilberte ne tarde pas à suivre alors que Madame me remplit mon sexe. Sans oublier mon cul qu’elle vient remplir de ses mains sitôt après Gilberte, je hurle mon bonheur.
— Enfermez-moi dans une grosse cage avec vos chiens, qu’ils me baisent tous, sans exception. Je vous en supplie.— Vous voyez ma chère Gilberte, comme nous toutes, on en meurt d’envie, et cette salope n’y déroge pas. Vous avez fait là un travail merveilleux en dévergondant cette jeune femme. Marion est la preuve que, nous les femmes, on aime se faire baiser salement, mes amies.

Mes mains en Madame, dans son rectum, s’activent à nouveau. Gilberte plongeant sa droite dans le sexe de Justine. Je lèche le cul d’Amélie, il est divinement sale. Excitée comme jamais de ce que je découvre, subis, je m’épuise rapidement, sans bien comprendre pourquoi. Madame s’active sur mes avant-bras, jouit de mes mains. Elle retire les siennes de mes entrailles, c’est tout ce dont je me souviens. Seules les voix résonnent dans ma tête, mon corps est lourd, je ne peux pas bouger. Autour de moi, ces voix qui parlent de moi s’éloignent peu à peu pour mieux revenir.
— Elle est merveilleusement belle. Gilberte, ne la faites chienne que de temps à autre, mais ici, chez moi. Vous avez là un superbe spécimen de femme amoureuse. Je crois pouvoir affirmer qu’elle se passionne pour tout ce que vous lui faites vivre. Et il y a sa sœur, cette sœur qui l’étonne, qui lui fait découvrir notre monde.— Justine, Marion et Martine sont inséparables. Avec ma sœur et Roxanne, nous avions parlé de les installer dans notre maison.
— Merveilleuse idée. Fifille avec Roxanne pour la garder et cette merveilleuse enfant en soubrette. — Non Madame, nous ne voulons pas en faire une soubrette. Comprenez que nous nous sommes décidées à réunir nos deux magasins depuis que Marion et sa sœur sont arrivées. — Grand dieu, que voilà une excellente nouvelle, enfin !— Oui Justine, cela faisait longtemps que nous y pensions sans en avoir l’opportunité, c’est chose faite et pas très loin de ma boutique. C’est une supérette sur deux étages, l’enseigne actuel déménage. Il y a encore un vaste sous-sol que nous voudrions l’aménager pour y vendre tout ce qui fétichiste, du plus soft au plus...— Je vois ça d’ici. Si vous avez besoin d’aide, je peux vous mettre à disposition quelques-uns de mes chiens pour le déménagement. Vu vos deux magasins, une bonne dizaine ne serait pas de trop.— Cela nous serait grandement utile, effectivement. Aussi, pour Marion, qui suit une formation de vendeuse dans l’alimentation, nous...— N’en dites pas plus, j’ai très bien compris. Avec sa Fifille, elles sont une publicité ambulante à en croire ce qu’on m’a rapporté ces derniers jours. Je regrette d’avoir manqué leurs algarades. Vous la voulez comme votre enseigne, votre vendeuse et votre top-modèle. — Exactement. Il n’y en a pas deux pour faire ce qu’elles ont fait dans les rues de notre quartier. — Dites-moi, une aide particulière... disons financière, vous serait utile ?— Tout dépend de vos conditions, Madame Justine. — Elles sont très simples. Un vingt pour cent sur mes achats et vous avoir plus souvent auprès de moi et Marguerite, toutes les cinq. De plus, vous me remboursez la somme comme vos dispositions vous le permettent. Cela vous convient-il ou cela vous pose un problème ?— Aucunement Madame. Ce sont même les meilleures conditions dont nous pouvions rêver. — Je crois que notre amie revient à elle. Marion, vous allez mieux ma chérie ?— Je n’en sais rien, qu’est-ce qui s’est passé ?— Trois fois rien, vous avez trop donné de votre personne sur nous.

On me relève, on m’assoit, on me rapporte les nouvelles qui viennent de se discuter. On me fait part des attentes de mes deux amours. J’ai la tête qui tourne, je crois, que depuis le début de cette semaine, je vis un rêve, un rêve, tout éveillée, un merveilleux rêve. Sans prendre le temps de la réflexion, je dis oui à tout ce qu’on me demande. Madame, sur laquelle mon dos repose, embrasse ma bouche, scellant notre union. Mes deux amours en font de même. Nous voilà tels les trois mousquetaires, unies à jamais par un baiser qui vaut tous les serments du monde. Pouvant me lever, avec l’aide d’Amélie et Madame, on me conduit dans une grande pièce, autour d’une table somptueusement dressée.
— Ma belle jeune demoiselle, vous sentez-vous d’attaque pour manger en étant sauvagement contrainte à jouir ?— Mon estomac crie famine, pour le reste, je suis ouverte à tout. Mon corps n’est plus que le réceptacle de vos vices, Madame. Tout comme je le suis pour mes amies ici présentes.— À la bonne heure. Voici votre chaise. — Les mêmes que chez toi, Gilberte. Je comprends mieux maintenant. — Eh oui !— Ma chère enfant, j’ai là une carte où vous découvrirez mes vices, tout y est ou presque, il vous plaira de choisir celui ou celle qui lapera votre cul merveilleux toute la soirée. À vous l’honneur.— Mais d’où donc sortez-vous ces animaux de compagnies ?— Marguerite, mon amour, venez vous joindre à nous. Ma douce amie, Marguerite et moi allons tout vous révéler. C’est avec Marguerite que tout a commencé. J’avais un petit caniche nain à l’époque, Zoupi. Il devait tomber gravement malade. C’est tout naturellement vers Marguerite que je suis allée pour soigner mon unique compagnon, fidèle, lui. Malgré tous les soins et tout mon amour, mon caniche devait disparaître peu après le début du traitement. Désespérée, mon mari m’avait déjà quittée quelques semaines auparavant, Marguerite se montra le meilleur antidépresseur au monde. Son amour pour moi fut ravageur et j’en tombais amoureuse comme jamais je ne l’avais été. Un jour, il y a de cela deux ans, elle me propose de prendre une jeune chienne encore en dressage chez moi. J’avoue ma surprise quand ma vicieuse vétérinaire m’arrive avec une jeune femme, portant collier et laisse, une grosse queue de chien fichée dans son petit cul admirable, et qu’elle me l’offre, comme ça, sans autre, en cadeau. Cette petite chienne est là, juste derrière vous, elle va s’occuper d’Amélie, je crois. Depuis, avec Marguerite, nous nous sommes, en quelque sorte, mariées pour le meilleur, c’est le cas, mais aussi et surtout, pour le vice et non le pire. Enfin, pour nous le pire, c’est dans le vice que nous le dénichons et en jouissons. Voilà un bref résumé de nos débuts.— C’est une histoire admirable et merveilleuse, Madame Justine. — Marion, arrête avec Madame par-ci ou Madame par-là, je t’en prie. Aussi, j’ai demandé à vos compagnes de vous abandonner à moi demain. Qu’en pense notre jeune demoiselle ? — Si Gilberte est d’accord, vu que je me suis permis, dans un moment de folie, de lui demander de faire de moi sa petite chienne de temps à autre, c’est à elle qui faut lui demander. — Marion, je n’ai nulle envie de faire de toi ma chienne, pour ça, j’ai Roxanne. Par contre, Justine désire t’avoir, cette nuit et demain, pour chienne afin que tu connaisses le bonheur de se faire saillir et lavée comme telle. Fais-le pour toi, pour connaître le frisson d’une bonne partie de baise avec les chiens de Justine.— Justine, je suis à vous cette nuit et demain, je m’en remets à vous deux. Gilberte, Amélie, je vous aime du plus profond de mon être. Pour le choix, votre carte, ma chère Justine, est juste magnifique. Je vais prendre cet homme, non, que dis-je, sotte que je suis, ce chien. Et s’il se montre bon lécheur, je veux bien qu’il m’encule de sa belle queue.— Ma chère Marion, seuls mes vrais chiens vous prendront. Ces mâles, si bien bâti soit-il, ne sont là que pour apprendre. Leurs Maîtres nous les confient uniquement pour ça et ça coute beaucoup d’argent pour dresser un chien soumis et en faire un bon. Pour votre Fifille, comme pour Roxanne, c’est autre chose. Je le fais gratuitement, par amour pour mes amies, vos amours. Et, je dois l’avouer, par amour pour vous, ma toute belle. Marguerite ne me dira pas le contraire, vous plaisez à toutes celles que vous croisez. J’ai eu de belles remarques à votre sujet depuis votre arrivée ici.— Justine, vous me gênez terriblement vis-à-vis de mes compagnes.— Ne le sois pas Marion. Tu es si belle, si spontanée, si bonne en l’amour, si désireuse de repousser tes limites. Et puis, ce n’est que pour une nuit, si tu nous laisses Fifille.

Je ne trouvais rien à dire, je pointai donc ce beau mâle sur la carte de Madame. On me l’amena, son sexe entravé dans une petite cage dorée. Accroupi sous moi, sa tête entre mes fesses, l’homme me plaisait, bien musclé, une belle grosse, un visage d’ange. Nul doute qu’il en ferait craquer plus d’une dans nos rues, mais une fois habillé par Amélie. Le chien, sur ma demande, commence à officier avec sa langue. Sur la table, les adorables chiennes de Madame nous déposent nos assiettes, le repas n’en est que meilleur.
— J’allais oublier, Fifille a émis un souhait. — Lequel ?— Elle désire que vous l’emmeniez là où elle fut percée. Elle désire porter à jamais votre nom sur son corps, son numéro de chienne et sa condition, chienne et esclave. Je connais l’homme, il fait un travail remarquable. Et si vous acceptiez, je vous supplie de me laisser vous offrir les services de ce gentleman. — Justine, tout est si nouveau pour moi que je ne sais que vous répondre. Votre générosité est ce qu’une jeune femme, chienne ou pas, peut rêver de mieux. Devant vous deux et vos bontés à notre égard, je dis oui.— Soyez bénie mon enfant. Mais apprenez que vous me remboursez déjà en restant près de moi et Marguerite cette nuit et demain. — Je veux bien rester plus longtemps si vous rembourser est de vous aimer et me plier à vos vices délectables.— Ma chère, si nous désirons que vous restiez, c’est aussi parce qu’il vous faut apprendre comment éduquer votre Fifille et donc faire votre éducation avec nos règles. C’est très bien de jouer face et votre chienne pile. Ce que nous allons vous apprendre, c’est le côté pile.

J’avoue ne pas bien comprendre ce que Madame veut me dire sur le moment. Je jouissais plusieurs fois de cet homme chien avant que le repas ne se termine avec cette femme amenée attachée sur un long plateau, au corps recouvert de délicieuses pâtisseries retenues par des aiguilles carrément piquées dans sa chair. Non seulement nous avons mangé les pâtisseries, mais nous avons léché ce corps jusqu’à la dernière miette. Après, ce fut un moment plus douloureux pour mon petit cœur. Mes amours prenaient congé avec ma Fifille et Roxanne. Je me retrouve seule entre ces deux femmes, ma foi, fort belles mais si terriblement perverses. Je dois aussi avouer que j’avais un peu peur de ce qui m’attendait.
Marguerite m’emmène, me tenant par la main dans une autre pièce, plus petite et bien plus sombre. J’entends un bruit de chaîne et, très vite, mon corps se retrouve entravé par des menottes. Deux esclaves de Madame m’emportent, non sans m’avoir bandé mes yeux. Je ne sais où l’on me transporte, mais je sens que j’allais connaître la douleur avant de sentir le plaisir m’envahir et, le pire, c’est que je me sens soudainement agréablement bien. Sur mon corps dénudé, je sens un courant frais passer sur ma peau, j’en frissonne. On me dépose sur le sol, sur une sorte de moquette. On délivre mes mains pour les fixer de part et d’autre de ce que je pense être une cage. On fait de même avec mes pieds avant que ma tête ne soit prise dans une sorte de carcan.
— Ma chère enfant. Votre sœur est passée par ce stade, comme tous mes chiens. Tous les chiens et chiennes qui viennent se faire éduquer par nos soins y passent. Maintenant, nous allons vous laisser ainsi. Entendez les grognements de nos chiens. Pour vous et vous seule, Marguerite pense qu’il vous faudra toute notre meute pour vous rassasier de plaisir. Puissiez-vous apprécier ce cadeau que nous vous faisons.

C’est le silence qui règne, seuls les aboiements des chiens en rut se font entendre. En moi, ce sentiment de peur revient, il commence même à supplanter celui du plaisir. Soudain, une langue râpeuse glisse sur mon sillon intime, le lèche partout, de bas en haut. La peur me gagne encore, le plaisir aussi, mélange somptueux s’il en est. D’autres langues canines viennent au secours de la première. Je sens ma peur s’estomper, le plaisir grandir en moi. Je sens la présence des Maîtresses des lieux non loin de moi, mais pas seulement elles. Un chien grimpe sur moi, sa queue se plante en mon sexe, il est énorme, si bon. Le chien s’active, il jouit, mais ne se retire pas immédiatement. Devant ma bouche, une queue canine se présente, je la sens guidée par une main familière contre ma bouche, je suce, lèche, bois ce chien qui jouit peu après. Je ne sais combien de chien vont me prendre ni combien de fois j’ai joui.
Mais une chose est certaine, j’aime être prise de la sorte, comme une chienne, celle que je deviens peu à peu. Puis, un ordre se fait sèchement entendre. Pendant un bref instant, c’est le silence le plus absolu avant que je ne sente plusieurs jets d’un liquide chaud couler sur mon corps, mon visage. Mazette, les chiens urinent sur moi. Madame exige que j’ouvre ma bouche, je lui obéis immédiatement. J’aime être salie et saillie de toute part. Boire ces clébards me fait jouir salement. Humiliée, salie, violée, mon orgasme n’en est que plus démesuré, plus puissant que tout ce que j’avais vécu à ce jour béni des dieux du sexe.
Madame a de quoi se réjouir, Marguerite aussi en me voyant si chienne sous leurs yeux que je devine émerveillés. Quand des mains me délivrent de ma position, on me menotte encore. On me pose dans une sorte de grosse caisse de plastique. Un claquement que je suppose provenir d’un fouet arrête ceux qui me portent. Je suis sortie de la caisse sans ménagement, on me balance sur une table où mes membres sont rapidement écartelés sans ménagement. Autre coup de fouet, on me lâche.
— À table les chiens, épuisez-moi cette petite pute. Ordonne la voix autoritaire de Marguerite.

De grosses queues me pénètrent de partout, sans ménagement, ma bouche en reçoit une, mon cul est rempli d’une bite énorme qui me fait souffrir quand il me pénètre. Mon vagin est violé sans précaution après mon cul et tout recommence je ne sais combien de fois, ni par combien de ces chiens inapaisables. Baisée de partout, je jouis et jouis encore et encore. On épuise mes forces, mais dans quel but ? Plus de question, je suis baisée comme une salope, une pute de bas étage. Pire, plus on me baise, plus on m’encule, plus je suce de bites, plus j’aime. On jouit en moi, sur moi. On me remplit de sperme jusqu’à ce que cela déborde de mon corps. Je pue le foutre et ce n’est pas tout, on urine en moi et sur moi. On m’achève en urinant encore sur mon corps, dans ma bouche qui, par réflexe, avale ce qu’on lui impose. Je me sens salie, mais merveilleusement bien parmi ces orgasmes qui se succèdent à un rythme effréné.
Pire que tout, je jouis encore en reniflant mon corps dégueulasse, recouvert de tout ce qui peut y tenir de liquide. Puis, cette voix impérieuse qui ordonne.
— Retirez-moi ces chiens et donnez-leur à manger. Encore Marguerite qui ordonne.

On me remet dans ma caisse. Sur mon visage, quelque chose passe, je sens le déplacement de l’air. À nouveau, on m’attache à quatre pattes, dans mon cul, une canule me pénètre, idem pour mon vagin et ma bouche, on va me laver en profondeur. Sur mon corps, les brosses me lavent douloureusement, presque brulantes. De partout, ces brosses passent et repassent. Mes tétons me font mal, très mal. C’est encore pire sur ma chatte qui semble vouloir prendre feu. Je pense au plaisir ressenti avec ces chiens pendant mes saillies. De ma bouche coule l’eau qui veut me remplir mon ventre, dans mon cul suinte l’eau qui me lave mon fondement et mon sexe déborde d’eau, je vais jouir, c’est sûr, si une personne grimpe en moi, j’explose de bonheur.
— Madame, je vous aime. Justine, Marguerite, soyez plus vache encore.

Voilà ce que l’on peut entendre pendant mon orgasme, sortant de je ne sais où en moi. Les brosses s’arrêtent, s’écartent de mon corps. Quelque chose siffle, je hurle, on vient de lacérer ma croupe détrempée. On zèbre mon corps, mais qui et avec quoi. On bouche mon cul, mon sexe de gros godemichets à la forme si particulière d’un beau sexe de chien. Dans ma bouche, une boule la force et les coups ne cessent de pleuvoir sur tout mon corps. Des mains tâtent mes seins, on me les pince, on y pince avec des poids qui attirent cruellement ma poitrine vers le sol. Je souffre et pourtant, je me sens encore mieux. Plus rien, tout s’arrête. Sur ma croupe offerte, des mains caressent. Des mains tirent sur les poids, je dois faire de vilaines grimaces. Je ne sais combien de mains caressent mon corps, le bafouent, le frappent, le violentent. Tout ce que je sais, c’est que je jouis et, soudain, je ne sens plus rien.
Une douce voix me parle, c’est celle de Justine, sa main caresse mon corps. Madame me demande si je vais bien. Je n’en sais rien, mon corps n’est encore un mélange de douleur et de plaisir. Je crois qu’il m’en faut peu pour jouir tant les images inimaginables de mes supplices sont présentes dans ma tête. Sa bouche se pose délicatement sur mon nez, sa langue me le lèche.
— Merveilleuse enfant, que vous fûtes belle cette nuit, jouissant à tout instant, même dans les pires moments. Sachez que je suis jalouse de vos compagnes. Aussi, je vous demande pardon, cette nuit j’ai été bien au-delà de vos limites. Si Marguerite n’avait pas tout arrêté, Dieu seul sait où ma folie nous aurait entraînés.— Madame, j’ai vécu une nuit fantastique, merveilleuse, douloureusement perverse, ne vous en voulez pas. Maintenant, je sais ce que ressentent vos esclaves, vos chiennes et tous ceux que vous éduquez. Même si ce n’est pas la route que j’escompte suivre, sachez que je reviendrais me soumettre à vos délicieux sévices de temps à autre. — Vous êtes belle, jeune et amoureuse. Vous me plaisez bien plus que vous ne pouvez l’imaginer. Pourtant, je ne vous prendrai pas à vos amours.— Je ne veux pas les quitter. Sachez cependant que j’ai beaucoup plus d’affection pour vous que vous ne le soupçonnez. — Repose-toi mon enfant. Je dois régler un problème familial avant de te revenir. Marguerite veillera sur toi en mon absence.

En tournant la tête, nue, splendide dans ses exquises rondeurs, Marguerite est debout près de moi, son matériel d’auscultation en main. Ses examens sur mon corps ne sont que tendresses et amours. Sa bouche est comme le miel, merveilleusement sucrée.
— Tu es, je le pense sincèrement au fond de moi, la plus merveilleuse chienne que Justine et moi avons vue jusqu’à ce jour. J’espère que tu mettras cette expérience à profit pour éduquer Fifille.— Combien de chiens m’ont saillie ?— Tous, les douze de notre chenil. Sans compter tous les soumis, une bonne vingtaine en tout. Tu as joui comme personne n’avait joui avec ces bêtes.— Ce furent des moments aussi mémorables que délectables.
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