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Chienne un jour, chienne toujours

Chapitre 8

Qu’il fait bon vivre baisée et baiser comme une truie !

Avec plusieurs femmes
Qu’il fait bon vivre baisée et baiser comme une truie !
Elle se couche contre moi, nous recouvre d’un drap, m’enlace tendrement. Nous nous reposons longuement en attendant Madame Justine. À son retour, elle semble apaisée, retirant son peignoir, elle nous rejoint et là commence des heures d’amours saphiques. Parfois, les chiennes de Madame viennent nous porter de quoi nous requinquer ou participer brièvement à nos ébats.
Ce n’est qu’en toute fin de journée que Gilberte vient me chercher avec sa voiture. Les adieux sont presque déchirants, même si je sais revenir rapidement. À deux cents mètres de là, dans la maison de Gilberte et Amélie, je retrouve ma Fifille, folle de joie en me voyant. Dans cette belle demeure que je découvre enfin, on me montre notre chambre, un seul et grand lit l’occupe.
— C’est ici que nous allons toutes dormir. Suis-moi, tu ne vas pas en croire tes yeux ma chérie. Tu vois ce mur ?— Oui, il y en a même deux parallèles. — Exactement, en passant entre les deux, regarde ce qu’il y a tout au bout.— La maison de Madame ?— Oui, mais chut, aucun habitant du quartier ne sait pour ce second mur et son secret. Allons au salon, tu dois tout nous raconter. — Même si vous étiez présentes ?— Ben, comment tu le sais ?— Je vous ai sentie sur moi, contre moi avant que je ne perde connaissance. — Viens Fifille, explique à ta Maîtresse ce que tu as ressenti ?— Mademoiselle Marion prise par tous ces gros clébards et jouissant fut une merveille à mes yeux. Prise par ces hommes et femmes chiens de toutes parts, fut un régal. Vous jouissiez de partout. Même quand Madame vous fouettait avec une jalousie indescriptible, vous avez joui. Ma Maîtresse, vivre une destinée faite de soumission, à laquelle je veux me consacrer, est, pour votre chienne, un plaisir sans fin après ce que j’ai vu la nuit passée.— Ma petite Fifille, jamais tu ne seras punie de la sorte. Par contre, être saillie, ça, je t’en fais serment. Je suis épuisée, si vous saviez !— Nous l’imaginons sans peine. Aussi, Fifille et Roxanne t’ont coulé un bain. Allez, Fifille, c’est le moment. Mais attention, pas d’excès, sinon, c’est le martinet !

On m’entraîne dans une salle de bain majestueuse. La baignoire en son centre ressemble plus à une petite piscine. On m’y plonge tout en douceur. À l’aide d’éponge de mer, mes deux petites chiennes me lavent tendrement, leurs mains gracieuses m’apaisent si bien que je somnole et...
— Debout, c’est l’heure ma chérie, ta Fifille est déjà sortie faire ses besoins avec Roxanne et nous sommes prêtes à partir travailler. — Déjà, j’ai rien vu passer.— Et pour cause, tu as dormi près de douze heures. On t’a sortie du bain pour te coucher et te laisser dormir.
— Excuse-moi ma chérie, j’ai...— Ne t’excuse pas, mais dépêche-toi, Amélie nous attend pour déjeuner. — Mais mes fringues sont chez Madame ?— Non, ils sont ici.

Nous sommes descendues main dans la main, échangeant de beaux baisers amoureux. J’étais folle de ces femmes si dévergondées, vicieuses, et si tellement amoureuses. À table, ma belle Amélie reçoit le plus merveilleux baiser de ma bouche. Ma Fifille me sert mon café, elle y a droit, elle aussi, tout comme Roxanne, à mes plus tendres baisers. Plus tard, dans la boutique d’Amélie, je me change avec son aide libidineuse. Cette fois, c’est Catwomen qui va sévir, son fouet, un vrai de vrai, à la ceinture. Ma Fifille dans sa belle tenue de dalmatienne, sa muselière canine, ses oreilles sur la tête, sa queue en son croupion adorable et en laisse. D’un pas alerte, nous rejoignons Gilberte. Dans sa boutique, Fifille est avec Roxanne, moi, je commence à prendre mes marques dans mon nouveau travail de vendeuse en lingeries fines et accessoires divers. Gilberte s’absente souvent pour aller voir le futur magasin. Quand elle en revient, généralement, c’est un large sourire qui illumine son visage.
Jour après jour, ne portant jamais la même tenue, je prends mon travail très à cœur, profitant de pause pour m’en aller distribuer des prospectus dans les rues adjacentes avec Fifille ou Roxanne, parfois les deux. Parfois, je vais aider Amélie dans sa boutique. Nous détonnons dans les rues de cette ville, parmi ces femmes guindées et autres femmes dites du peuple. Les hommes, eux, se montrent plus discrets depuis que le bruit court que je déteste qu’on insulte ma Fifille ou Roxanne, peu importe. Parfois, il m’arrive de clouer un bec trop acerbe d’une ou d’un péquin aux idées trop étroites. Je prends un malin plaisir à le rabrouer sans violence autre que mes mots. J’adore rabaisser ce genre de personne. À ce jour, aucun n’a osé lever la main sur Fifille ou moi, il n’aurait pas fallu, c’est certain. Du reste, peu importe la tenue que je porte, je ne sors plus sans un fouet, une cravache ou un martinet. Même la police ne vient plus nous embêter ou alors pour faire un brin de causette.
Les jours passent, Madame et Marguerite nous reçoivent toujours avec autant amour que de vices. Le futur magasin avance plus vite qu’on ne le pensait, l’ouverture est programmée pour décembre.
Deux semaines avant son ouverture, nous fermons les deux boutiques pour le déménagement. Il est grandement facilité par les soumis de Madame. Le magasin est baptisé un soir, de la main de Madame qui lance, comme pour un navire, un jéroboam de champagne qui s’écrase contre le bâtiment. Le magasin se nomme désormais très officiellement chez Madame sans gêne. Deux étages de robes et sous-vêtements que je qualifie de normaux et sexy, sans plus et un sous-sol nettement plus extravagant, pour ne pas dire carrément débauché, lubrique, pervers ou encore vicieux, notre monde résumé ici.
Dès l’ouverture, Madame est présente avec Marguerite et deux de leurs chiennes. Si nos vêtements cachent nos corps, ce n’est que pour la presse uniquement. Après leur départ, c’est autre chose que nous enfilons, Fifille, Roxanne et moi. Dans les rues aux alentours, mes chiennes en laisse, nous distribuons les prospectus à tour de bras. Plus personne ne pense à se moquer de nous, encore moins à nous insulter. Un jour pourtant, le 24 décembre, nous faisions notre distribution habituelle, quand une femme vint à nous, grande, l’air sauvage. Ses mots résonnent comme une condamnation à mort. Ma cravache à la main, je relève sa tête, lui remets les idées en place et l’invite à venir un samedi visiter Madame et ses chiens. Cette femme n’en démord pas, ses insultes fusent, ma cravache cingle sa poitrine, sa croupe, elle se met à pleurer de rage, ma gifle lui cloue son caquet.
— Vous ne voulez pas comprendre Madame qu’il y a, ici, dans cette ville, comme partout ailleurs, des gens qui vivent et pensent autrement que vous. Mais qui êtes-vous donc pour vouloir dicter, régenter nos vies que nous voulons libres de toutes contraintes politiques et religieuses ? Il n’est jamais fait mention dans vos livres saints que nous devions vivre tous la même vie. Et vous, simple mortelle, vous voulez décider à la place du Tout-Puissant. Qui vous en donne le droit, montrez-moi ce blanc-seing et seulement là, je vous obéirais, mais pas avant. Adieu Madame, passez d’agréables fêtes dans votre triste vie sans avenir. S’il vous venait à l’idée que je n’ai pas tout tort, voici une carte de visite, un flyer et un bon de réduction, je vous invite à y venir. Il se peut que cette visite éclaire votre vie monotone et sombre. Adieu Madame !

Encore une fois, je fis l’unanimité parmi les passants qui se pressent tous pour leurs derniers achats de Noël. La femme me regarde partir sans ne plus protester que par ses larmes. Entre ses doigts, elle serrait fortement tout ce que je venais de lui remettre. Je lui adresse un tendre sourire, ce qui m’étonne du reste. J’avoue ma grande satisfaction quand je parviens à remettre une personne à sa place ou plus bas que terre.
De retour, les chiennes filent faire le ménage et moi de reprendre ma place, dans mon antre, le sous-sol. Encore un détail, ma Fifille et moi avons rendu nos appartements respectifs depuis bien trois mois et vivons avec nos amours, dans leur maison. Un matin, alors que je fais l’ouverture avec Fifille et Roxanne, je me retrouve nez à nez avec Jojo, mon enculeur de première. Aussi sec, je l’entraîne à l’intérieur, laissant aux chiennes, dès l’arrivée de Roxanne, l’occasion de faire leurs preuves dans le magasin. Au sous-sol, mon Jojo est médusé.
— Tu travailles ici maintenant ?— Eh oui, comme tu le vois. — Et cette tenue, c’est pourquoi ?— Pour attirer les clients, les cochons et cochonnes comme toi ! — Espèce de petite salope, tu sais combien tu m’as manqué ?— Et toi mon Jojo, mais j’ai été si occupée que je te demande pardon. Dis-moi, tu aimes toujours enculer les femmes que je sache. — J’adore ça. — Et si je te proposais d’en enculer à pleines brouettes chaque jour qui passent ? Disons cinq pour commencer !— Miam, dis-moi où et je signe. — Oh oh, pas si vite, mon mignon ! Tout d’abord, il te faudra faire un essai, Madame serait certainement déçue si tu ne montrais pas à la hauteur. Mais, dis-moi, mon biquet d’amour, tu es libre le premier week-end de janvier ?— Je crois que oui, pourquoi ? — Alors, dépêche-toi de m’enculer sauvagement pour commencer et on en discute après.

Ce salaud m’encule aussi sec et toujours aussi merveilleusement. Sa fougue dans mon fion est un pur régal, son zob me remplit de plaisirs merveilleux. L’arrivée d’Amélie et Gilberte ne nous dérange même pas, elles nous laissent tranquillement continuer en nous souriant. Je profite de mon Jojo pour le menotter tant qu’il me sodomise en tétant mes seins, ce grand gourmand. Le laissant jouir dans mon œillet, je me retire peu après, lui mets un joli collier et entrave ses pieds d’une autre paire de menottes. Ne pouvant bouger qu’en sautillant, je le regarde se débattre à moitié nu. J’appelle mes compagnes, mes amours. Il se retrouve vite cerné par cinq femmes. Un bâillon fait taire toute envie de protester.
— Venez que je vous le présente. Alors voilà, ce mec, ce beau mec, c’est mon merveilleux enculeur favori, Joseph, alias Jojo. Je sais combien tu adores mon cul et mon cul adore ta belle grosse queue, mon Jojo d’amour. Elles, elles le savent aussi, je leur ai tout divulgué de nous deux et ça les fait mouiller. Crois-moi, tu ne peux pas savoir combien de fois on se branle en pensant à toi et ta bite fantastique. Aussi, nous avons une proposition à te faire. Amélie ?— Oui, depuis qu’elle nous parle de toi, nous rêvons de t’avoir un week-end entier. Seulement, nous ne sommes pas très chaudes à l’idée qu’un homme se promène librement dans notre maison. Alors voilà, si tu tiens à venir nous bourrer nos fions de ton gros et long appendice, il te faudra être notre esclave, notre jouet durant ces deux jours. Enfin, ou plus si tu comptes rester de manière... disons... définitive, tout est possible, mais toujours selon nos conditions et elles ne sont pas négociables. Gilberte, tu veux continuer ?— Avec plaisir ma chérie. Comme vient de le dire ma sœur, nous aimons nous faire enculer et bien en profondeur. Et les souvenirs de sodomie de Marion nous mettent, à chaque fois, sur le toit. Nous pouvons te proposer de te garder près de nous. La condition, que tu sois à notre service éternellement, jour et nuit. Oui, tu deviens notre chose, notre toutou, comme ces deux belles petites chiennes, Roxanne et Fifille. Ah, il est évident que tu n’auras plus à travailler non plus, quoique si, le ménage avec nos chiennes, une paille quoi ! Marion, on lui laisse combien de temps pour y réfléchir ?— Le temps qu’il vous encule toutes les quatre, c’est-à-dire en fin de journée, ça vous va ?— Parfait. Regarde, il bande déjà. T’as raison quand tu dis qu’il possède une belle grosse bite, ce salaud. Tu nous laisses ma chérie, il faut une personne en haut. Nous, on va tirer à la courte paille pour savoir qui sera la première à s’en prendre plein le croupion.— Ne me le crevez pas trop, mes chéries, j’en connais aucun qui sache enculer comme lui. Enfin, si, ceux de Madame, mais eux, ce sont de bons gros toutous, des monstres de clébards, des dogues allemands. Bisou mon biquet, profite un max de mes amies.

Je remonte, les laissant seules avec mon Jojo. Si j’entends une voix, des soupirs ou des râles, c’est de plaisir qu’ils envahissent l’entier du magasin. En me penchant, je remarque, à cause d’un gentil petit courant d’air que je ne porte plus rien sous ma jupe de cuir, oups ! Un client me voit et me rejoint, il est beau gosse, mais avec un air vicieux.
— Puis-je vous être utile, mon cher monsieur ?— Oui, je cherche quelque chose de spécial pour ma femme.— Comme quoi par exemple ? Nous avons ici et à l’étage une vaste collection pour émoustiller votre couple ou raviver la flamme de vos désirs les plus secrets.— Nous avons déjà ce genre de vêtement, non, c’est quelque chose de plus...— Pervers, vicieux ou...— Vicieux, c’est ça. Nous cherchons quelque chose pour enflammer nos fantasmes. — C’est beau de dire ces choses comme vous le faites. Mais quoi comme fantasme ? Ici, nous avons de quoi vous les faire vivre, il y en a tellement. Parlez sans crainte, ici, c’est comme dans un confessionnal, tout entre, rien ne sort de ces murs. Alors, dites-moi tout !— Voilà, nous désirons jouer à des jeux plus piquants si vous me comprenez. — Plus douloureux peut-être !— Oui, aussi, j’aime être fessé, ma femme aussi. — Je vois la soumission. Public ou privée ?— Non, là, c’est aller un peu vite. Disons privée dans un premier temps. — Je vois très bien. Excusez-moi. Fifille, au pied.

Ma Fifille arrive, avec le visage rempli de bonheur, sa queue de chienne à la main, elle vient de goûter à Jojo.
— Voici ma chienne. Une femme merveilleusement soumise. Sinon, en bas, il y a un homme qui est en train d’enculer mes compagnes. Alors, descendons-nous voir ce qu’il vous faudrait ?— Je vous suis.— Fifille, tu surveilles, ma chienne. Regardez comme elle aime sa situation de chienne soumise. Elle n’est pas belle comme ça ? Remets ta belle queue, ma Fifille, tu es si jolie avec.— Superbe vous voulez dire.

Nous sommes descendus, l’homme semble être perdu devant le choix proposé. Je lui montre Roxanne, je la caresse. L’homme hésite à la caresser, je présume qu’il pourrait jouir en la touchant.
— Il ne faut pas hésiter, vous pouvez la toucher, elle ne mord pas. Alors vous avez ici, tout ce qu’il faut pour le soft. Ici le hard et plus, quoique, suivant de quoi il s’agit, c’est uniquement sur commande. Ma Gilberte, tu m’as tout l’air d’être complètement épuisée. — Et comment, ton Jojo est un bon coup et je pense qu’il devrait dire oui, enfin si on le pousse encore un peu. Monsieur ?— Bonjour, je cherche quelque chose pour faire de nos fantasmes une réalité. — Alors Marion est la personne qui peut vous conduire au bon choix. Qui est en haut ?— Fifille !— OK, je vais la rejoindre. Mais ton enculeur, putain, il est de première. — Hé ?

L’homme ne saisit pas tout de ce que nous disons. Il fouille, touche, caresse tout ce qui semble vouloir combler ses fantasmes, surtout tout ce qui concerne les objets et tenues comme celle que portent Roxanne et Fifille, le coin canin. Je le laisse choisir. Après un long moment, il revient vers moi, un peu gêné. Je vois distinctement une belle érection déformer sa braguette.
— Voudriez-vous soulager cette raideur ?— C’est possible ? Parce que je ne tiens plus, j’ai trop mal.— Je n’en doute et puis, si c’est gentiment demandé, tout devient du domaine du possible. Roxanne, viens ma belle, oui, tu es magnifique. Fais-nous plaisir, ma chérie, emmène monsieur et soulage son pénis de cette douloureuse raideur. — Mais...— Pas de mais monsieur, cette chienne est là pour obéir à n’importe quel ordre donné. Laissez-vous faire, votre épouse n’en sera rien, je vous en fais serment.

Je pouffe sous cape en le voyant tenir la laisse de Roxanne qui me fixe tout sourire. J’ai juste le temps de lui dire de regarder devant lui, qu’il évite un coin de mur de justesse. Après un bon moment, il revient, tout sourire.
— Je vais revenir, et avec ma femme. Votre boutique, elle a tout pour nous plaire.— Merveilleux. Et si vous revenez avant la fin de l’année, il y a 15% sur tous vos achats. — Je vous prends votre carte et votre dépliant. — Faites, c’est là pour ça. Le bon est à l’intérieur. Dès l’an prochain, nous allons créer une carte de fidélité pour nos bons clients. — Qu’est-ce cri ?— Ce n’est rien, c’est ma compagne qui jouit d’un de nos amis. Il sait enculer comme personne. Avec lui, une sodomie devient diaboliquement délicieuse.

Rougissant, il nous quitte un peu interloqué de ce qui se passe derrière la tenture blanche du sous-sol. Rejoignant mon amour de Gilberte, elle s’étonne de voir un homme seul pénétrer chez Madame sans gêne. Je lui avoue qu’il m’avait vue montrer involontairement mon intimité en rangeant une paire d’escarpins. Nos bouches s’embrassent tendrement, sa main constate vite mon absence de culotte, c’est divin. Maintenant que nous sommes toutes les cinq, on partage nos impressions sur mon Jojo. Mes quatre amies de cœur me prient d’aller entendre la décision de mon Jojo, ce que je fais avec empressement.
— Alors mon Jojo d’amour, comment trouves-tu mes amies ? Oh, pardonne-moi. Voilà. Je retirais son bâillon.— Vous êtes des folles, de merveilleuses folles. — Et tu décides quoi ?— Je ne sais pas encore. Tout quitter pour vivre en esclavage parmi cinq femmes, c’est pas facile comme décision. — Je vois que monsieur veut du rabe !— Je ne dis pas non, mais pas tout de suite. Délivre-moi ma belle. — Non, j’ai envie que tu nous rejoignes mon Jojo, ta belle queue me manque cruellement parfois. Mes compagnes sont épuisées par tes coups de queue dans leur cul. Nous t’offrons tout sur un plateau, une belle maison, grand terrain, possibilité de baiser deux chiennes de temps à autre et de nous enculer, ou plus, quand nous, nous le souhaitons. La contrepartie de tout ça, c’est que tu deviens notre toutou. Mais tu verras que c’est agréable, divin même. Et si tu te montres à la hauteur, tu verras plein de culs à baiser certains week-ends. Tout ça, nourri, logé et blanchi. Et puis, quand je dis cinq, c’est nous toutes seulement. Il se peut, si tu es à la hauteur que nous te présentions à d’autres belles petites chiennes comme moi !— T’es réellement une salope de première. Ce doit être pour ça que j’adore remplir ton cul. Bon, en gros, vous voulez faire de moi votre esclave pour pouvoir être enculée par Popol.— Exact ! Et tu disparais de la surface de la terre. — Comment ça ?— Enfin, nous te prendrons au magasin, comme nos chiennes, mais plus de bière avec tes potes, plus de virées. Tu vis uniquement avec nous et pour nous. Pèse bien le pour et le contre, cinq culs et plus si tu es sage et à la hauteur. Regarde ta belle bite, elle bande de joie. Laisse-moi la convaincre une dernière fois de vivre avec nous.

Ma croupe à l’air, je le suce en titillant son anus de mon majeur ou ma langue, je sais qu’il apprécie. Quand il jute, ce n’est que quelques gouttes de sperme qui finissent dans ma bouche, mais c’est bon à prendre, miam !— Ben mon cochon, elles t’ont vidé mes petites vicieuses. T’as pas détesté, mon salaud. Je te laisse encore une heure. Après ça, si tu refuses, je ne veux plus jamais te revoir.
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