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Chienne un jour, chienne toujours

Chapitre 9

Le vice me plonge toujours davantage dans la perversion.

Avec plusieurs femmes
Je me dirige vers Roxanne, lui positionne sa bouche, sa langue frétille déjà. Sa bouche prête à recevoir mon urine, je fixe mon Jojo et me soulage.
— Tu vois cette chienne, elle fait partie du lot, n’oublie pas, une heure.— Non, attends, qu’est-ce qui me prouve que vous tiendrez vos engagements ?— Rien du tout. Mais le cas échéant, nous te virons, nous te trouvons un job, un appart et on te le meuble. Mais très loin d’ici. — Et ?— Si tu dis oui, tu rends ta piaule, tu donnes tes fringues et tes meubles à qui tu veux et tu débarques chez nous sans ne plus pouvoir en sortir qu’en laisse. Une dernière chose, si toutou tu deviens, nous devrons faire aussi ton éducation, comme pour Roxanne et ma sœur. Encore une chose, tu seras annelé et tatoué comme va l’être ma sœur, Fifille.— Ta sœur ?— Oui, Martine, c’est Fifille. Alors beau gosse ?— Je vais dire oui si vous me faites un contrat écrit avec tout ce que tu viens de me dire dessus. — OK, considère ça comme déjà fait. Roxanne, viens, il va certainement vouloir uriner entre tes jolies lèvres pulpeuses, ma chérie. Je te laisse mon chou, le temps de faire ton contrat.

En haut, mes compagnes, comme Fifille, découvrent, à mon sourire, que Jojo a dit oui et c’est l’excitation qui l’emporte. Aussi, j’expose les clauses du contrat qu’Amélie se fait un plaisir de rédiger sur l’ordinateur. C’est à ce moment que ce monsieur de tout à l’heure revient avec Madame à son bras. Excitée par le oui de Jojo, je les emmène directement au sous-sol en les tenant par la main.
— Voilà mon antre, prenez tout le temps de choisir comme il faut, je suis là en cas de souci pour vous conseiller. Si une envie vous prenait Madame, n’hésitez surtout pas à me le demander, je suis là pour exaucer le moindre de vos vœux du mieux que je peux. N’est-ce pas monsieur ? — Mon mari m’a parlé de sa petite mésaventure, j’en suis encore tout émoustillée. — C’est compréhensible Madame. — Dites, si j’osais, je voudrais bien voir cette chienne dont m’a parlé mon mari. — Elle est prise en ce moment. Une seconde, vous permettez ? Fifille, viens ma chienne. Elle arrive, vous verrez, elle est belle comme tout. C’est la compagne de laisse de celle qui soulagea votre époux. Oh, pas de madame ou de mademoiselle avec moi, je suis Marion. — Bien Marion, merci. — La voici, n’est-elle pas merveilleuse ?— Exquise. Justement, un moment, chéri, tu peux aller voir pour ce que nous discutions ?— Tout de suite ma princesse. — Voilà, je dois vous avouer que...


L’épouse m’expose son souci avec son compagnon. Dans les faits, ce n’est pas Madame qui désire être soumise, mais lui. Assise près de moi, elle continue son récit. Après une bonne dizaine de minutes, je lui montre mon Jojo menotté sur sa chaise, sa bite maintenant emprisonnée dans son carcan d’acier et les yeux bandés.
— Cet homme sait sodomiser comme personne, il baise comme un dieu. Mais voilà, je vis avec mes compagnes, toutes les femmes que vous avez vues, sauf Roxanne. Roxanne, viens ma belle. Ce que je peux faire pour votre couple, c’est vous mettre en contact avec une personne plus spécialisée dans l’éducation d’homme chien. — Et, cette personne pourrait quoi pour nous ?— Faire de votre mari la personne qu’il veut être, un bon toutou à sa mémère. Vous auriez un homme de ménage prêt à tout pour vous satisfaire le moindre de vos désirs et sur tous les plans. Regardez-le dans le rayon canin, il se choisit déjà sa race. Lui, personnellement, je le verrais bien en grand caniche.— Vous croyez ?— Allez vers lui, parlez-lui comme s’il était votre petit chien adoré.

Je la regarde s’éloigner pendant que je caresse mes deux petites chiennes adorées. La femme me revient après quelques minutes, hilare de ce qu’elle vient de découvrir auprès de son mari.
— Vous aviez raison, c’est un soumis, un...— Chien à sa mémère, ne le prenez pas mal. Déjà quand il est venu la première fois, je l’ai vu dans son regard en voyant se faire conduire par cette petite chienne. — Elle l’a réellement sucé ?— Roxanne ?— Oui Madame, il a joui dans ma bouche. — Merci ma douce, va coucher. Sauf si vous désirez qu’elle joue de sa langue entre vos cuisses ?— Non, merci ! Ainsi, ce vicieux disait vrai. Mon Dieu, quelle époque ! — Non, il a simplement envie de ne plus refouler ses fantasmes. Mais je vous vois bien en faire votre petit toutou. Tenez, voici une adresse, Madame Justine sera vous guider avec sa compagne. Elle possède le plus bel élevage de chien du pays. Dites-lui que vous venez de la part de Madame sans Gêne.— Chien, chien ou comme mon mari ?— Les deux, les deux, Madame. En plus, Marguerite, la compagne de Madame Justine est aussi la vétérinaire de l’élevage. Voyez nos deux chiennes, elles sont vaccinées et porte une puce électronique en plus de leur passeport de chiennes. Voyez votre mari revient avec les objets qu’il convoitait déjà ce matin.— Quoi, ce déguisement de berger allemand et cette espèce de queue ?— Oui, la queue est à enfoncer dans son anus. — Voilà ma chérie, j’ai tout pour le moment. — Venez, je vais vous faire votre compte.

Facturant, j’ajoute ce délicieux martinet que j’affectionne tout particulièrement et un collier avec sa laisse que j’offre. Je glisse à l’oreille de l’épouse que si elle veut mieux comprendre son mari, il lui faut être demain matin devant le magasin vers les dix heures. Je les raccompagne à la sortie.
L’épouse me sert chaleureusement contre elle, baisant mon cou d’un doux baiser. Amélie en termine avec le contrat de Jojo. Après lecture, tout y est. Avec mon Amélie, près de Jojo, nous lui en faisons la lecture complète et détaillée. Jojo signe après avoir longuement lu et relu ce contrat. Une fois signé, nous lui donnons dix jours pour liquider ses affaires et nous rejoindre dans notre maison. Habillé, je lui ajuste sa ceinture et l’embrasse tendrement avant de le renvoyer à sa niche.
À la fermeture, nos chiennes nettoient l’ensemble des étages, garnissent les rayons et nous rejoignent pour un souper qui n’est pas de trop. Une fois à la maison, notre petit groupe sabre le champagne pour la venue d’un nouveau chien, Jojo. Nos bouches s’activent déjà sur les corps offerts aux doux plaisirs de la chair. Même nos petites chiennes soumises ont le droit de jouir tout leur saoul ce soir, elles l’ont amplement mérité. Tard dans la soirée, un téléphone de Madame nous apprend que ma cliente l’a appelée pour être renseignée sur son élevage canin. Les mots de Madame nous touchent quand elle nous remercie chaleureusement. À peine le téléphone à sa place, nous nous aimons à n’en plus finir de jouir.
Ce n’est qu’au matin, au moment d’ouvrir que nous payons le prix de nos excès. Dans la matinée, fidèle à moi-même, vêtue d’une courte jupe de latex, d’un haut aussi moulant que possible que je sors ma dalmatienne et Roxanne dans sa peau de border-collie. En laisse, les chiennes distribuent nos dépliants. Nous croisons le couple, monsieur trépigne de ne pas encore être des nôtres, Madame nous suit avec son futur toutou. Sur une terrasse, mes chiennes assises à même le sol avec une gamelle d’eau, je prends le temps d’un café. Le couple vient s’asseoir.
— Votre chien peut rester debout, Madame, il pourrait s’oublier sur une chaise.

Elle me regarde avec des yeux exorbités, son mari reste sagement près de sa femme, les mains dans le dos.
— Vous voyez, il aime déjà !— Oui, hier soir, alors que je me soulageais la vessie, il est venu me renifler et me lécher. — J’espère que vous en avez au moins pris plaisir. — J’ai eu peur oui ! Mais je me suis caressée peu après. J’avoue que c’est très excitant. Aussi, j’ai appelé Madame Justine pour avoir des renseignements. Femme distinguée s’il en est. Elle m’a tout expliqué, mais c’est terriblement onéreux. — Oui, et c’est normal. Car dans ce service, il y a aussi le vétérinaire et tous les soins vétérinaires, le toilettage, tout est compris dans le prix du séjour. — Oui, elle me l’a dit aussi. C’est que j’ai peur que mon chien ne veuille plus me suivre. — Vous voyez, vous venez de parler de votre époux comme votre chien. Hein qu’il est content le toutou à sa mémère, il lui faudra un nom. — J’y ai pensé. Je me sens différente depuis hier. Vous et vos compagnes m’avez profondément troublée. — Surtout nos deux merveilleuses chiennes. Elles font ça à tout le monde. Laissez-moi vous offrir votre café, ça me fait plaisir. — Merci. Vous partez déjà ?— Oui, il le faut. Le magasin ne tourne pas tout seul. On y va les filles, aller, debout et au pas.

Nous abandonnons le couple pour revenir à la boutique. Gilberte semble quelque peu paniquée. Un couple est en bas avec Amélie. Ce couple se dit être nos parents. Aie, la tuile que voilà. Ni une ni deux, Martine et moi allons prestement nous mettre dans des vêtements plus en phase pour nos parents. Je hais les pantalons, j’étouffe là-dedans.
— Papa, maman, quel plaisir de vous voir ici ! — Tu vends du cul ?— Non, papa, du rêve, comme toute la boutique. Ici pas de film porno, pas d’hôtesse vicieuse (hum-hum !) Que des accessoires pour réveiller et attiser les flammes du désir chez un couple. Martine, tu peux venir ?— Quoi, ta sœur aussi ?— Eh oui, papa, et ça paie bien en plus. Nos patronnes sont contentes de nous. Vous pouvez le demander à Amélie ou à sa sœur, Gilberte, qui sont nos patronnes. — Et elle ? C’est Roxanne qui revient d’une séance photo pour la prochaine campagne de pub. Tu peux aller te changer, s’il te plaît. — Et vos appartements, vous n’y êtes plus ?— Non, nous avons un très bel appartement chez nos patrons et pour un prix modique. Venez, je vous fais une visite des lieux au complet. — Vas-y chérie, je reste là.

Je vois mon père perturbé et terriblement excité à la fois. On le serait à moins en sachant ses filles travailler dans l’industrie du Q. Avec maman et Martine, nous grimpons au premier, lingerie fine et, et ou sexy. Maman caresse les matières, les palpes, elle y découvre le satin, la soie et toutes les étoffes précieuses qu’elle peut toucher.
— Vous avez mes chéries, vous nous avez fait très peur.— Mais pourquoi ? Oh, je sais, nous ne vous avons pas averti de tous ces changements, nous en sommes désolées. Mais tout est arrivé si vite qu’on ne s’est même par rendu compte du temps qui filait.— Oui et s’il n’y avait que ça. Je vous ai vue tout à l’heure sur la terrasse, nous étions en chemin pour vous voir.

Là, ni Martine ni moi ne trouvons les mots pour dire notre désolation. La honte s’inscrit de rouge sur nos joues. Maman, gentille comme un cœur, caresse nos joues.
— Dis-moi ma grande, en éprouves-tu du plaisir ?— Oui maman, je me suis découverte avec Marion, c’est un peu de ma faute et Marion fut le bouton qui allume la passion. — Ainsi vous vous aimez ?— Avec la plus grande passion qui soit. — Avec vos patronnes, tout se passe bien ?— Le plus merveilleusement du monde. Nous ne vivons plus en appartement, nous n’avons pas plusieurs lits, mais un seul pour nous cinq. — Je vois, je vois.— Ne sois pas triste, nous vivons un amour merveilleux à chaque instant qui passe. Si Martine joue les toutous, c’est parce qu’elle ressent ce besoin, comme Roxanne. Et il y en a plein d’autres qui vivent ainsi. Viens, suis-nous en bas.

Au sous-sol, alors que notre père fait encore le tour des rayons sans nous apercevoir, j’explique à maman l’affaire Jojo et le montre le contrat qu’il signait, il y a peu.
— Mon Dieu, même un homme peut vivre dans la peau d’un chien et comme un chien. — Oui maman et je m’y sens très bien. Il n’y a pas un jour sans que nous jouissions dans nos corps. Explique Martine.— Alors mes anges, tout se passe bien ?— Oui Gilberte. Je te présente notre mère. Maman, voici Gilberte. Elle est aussi délicieusement responsable, de ce que papa appelle la déchéance sexuelle, que Martine et je l’aime, belle comme un cœur. Martine et moi, aimons nos patronnes.— Vos patronnes, non, Marion, non, vos amours, le mot patron, tu le balances à la poubelle sinon je te fesse et devant tes parents !
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