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Chienne un jour, chienne toujours

Chapitre 10

Je deviens véritablement addictive au cul et plus c’est cochon, plus je…hum !

Lesbienne
Je deviens véritablement addictive au cul et plus c’est cochon, plus je... hum !

La claque sur mon cul éveille mes sens libidineux et maman le remarque vite. La main de Gilberte glisse sur la poitrine de Martine, maman s’illumine, son visage se part d’un tendre sourire. Mais papa arrive, comme à son habitude, il volubile, il extrapole, ne comprenant rien à rien. Enfin si, quand maman lui plaque sa bouche sur la sienne pour un vrai baiser, un vrai de vrai.
— Mon chéri, nos filles m’ont tout raconté. Maintenant, tu te calmes. Je crois que tu peux connaître la vérité. Nos filles sont amoureuses l’une de l’autre. — Bref, elles sont lesbiennes !— Non papa, pas que, nous ne détestons pas les hommes, crois-moi. Sauf que vivre avec eux en permanence nous gêne. Beaucoup ne veulent pas comprendre ou ne comprennent que quand ça les arrange.— Et vous vivez toutes les deux dans le même lit. — Oui sauf que ce lit contient chaque nuit cinq femmes qui s’aiment tendrement et passionnément. — Écoutez bien votre père. Parce que je pense ne jamais redire ce que je vais vous dire. Je vous souhaite la plus merveilleuse des vies à vous deux et vos amies. Voilà, je l’ai dit et je ne sais plus ce que je dois faire. (Là, il serre chacune d’entre nous et nous embrasse comme seul notre père sait le faire, des baisers qui nous enflamment quand ses lèvres touchent nos joues.)— Papa, continue à aimer maman, c’est tout ce que nous te demandons. Et si un peu de piment peut agrémenter vos désirs, venez nous trouver, il y a tout ce qu’il faut chez Madame sans Gêne. — On y va ma belle, le train n’attend pas lui. — L’amour non plus, je le sens très chaud, maman. — Il l’est ma chérie, il l’est. Entre nous, moi aussi. Je vous raconterai tout, c’est promis.

Quand ils nous quittent, Martine et moi sommes sur les rotules. Nos amours nous trouvent épuisées par cette visite surprise.
— Rigolez, mais les parents, les nôtres en particulier, ce n’est pas facile de leur expliquer ce que nous vivons toutes les cinq.— Nous avons connu. Mais à voir votre père, il semblait tout autre en sortant. — Maman nous a dit que papa était chaud bouillant pour toute une nuit de plaisir. Maman va déguster.— Elle va hurler de plaisir, oui. Pas Martine ?— Je l’espère. Si nous avons réussi à rallumer leur passion, ma chère petite sœur, c’est tout bénef ! Ce soir, on se la joue tout cool. Le couple, les parents, c’est bon, on a donné. Et je vais retirer ce froc et le foutre au fond d’une poubelle. Je ne supporte plus les pantalons.— Tiens Martine, à propos de ce couple, Roxanne nous a dit que le mari s’y croyait déjà ?
— Et comment, même sa femme parle de lui comme de son caniche.— Madame Justine nous invite à venir la trouver samedi.— Et Jojo qui débarque, on fait comment ?

La bouche de Gilberte sur la mienne m’oblige à ne plus poser de questions. Si je n’étais pas aussi fatiguée, je lui faisais l’amour, là, à même le sol, à même le béton froid. En arrivant à la maison, Martine et moi tombons sur le canapé. Même manger devient un effort presque trop violent. Nous ne tardons pas à nous mettre au lit après une brève douche. Au milieu du lit, je me colle à ma sœur et l’aime tendrement jusqu’à ce que le sommeil nous emporte à nouveau, donc très rapidement. Ce qui est merveilleux avec mes compagnes, c’est de s’endormir à deux pour se réveiller à cinq dans ce lit. Roxanne et Fifille s’empressent de nous préparer le déjeuner. Autour de la table, nous discutons projet à venir, l’évolution de Madame sans Gêne.
En laisse, les deux chiennes sont sorties pour leurs besoins. J’avoue que je suis sous le charme de voir ces deux femmes vivre pleinement leurs fantasmes. Perso, vivre en chienne et soubrette jour après jour ne me ressemble pas trop. Bien que l’envie me titille parfois, surtout en soubrette lubrique. Autant dire que de temps en temps, je ne dis pas non à tout ça. Surtout si je suis entre les mains de mes amours ou chez Madame Justine et sa compagne, Marguerite. C’est à pied qu’Amélie et moi gagnons le magasin avec les chiennes en laisse. Cela nous excite toutes. Parfois, la première arrivée derrière le comptoir est un peu fâchée de notre retard pris à cause d’une furieuse envie de jouir. Nos merveilleuses petites chiennes se comportent de manière si canine qu’elles marquent leur passage, urinant ici ou là. Ça excite encore davantage nos désirs d’être léchée par l’une ou l’autre des gracieuses petites chiennes.
Une fois chez Madame sans Gêne, chacune a ses tâches à accomplir avant l’ouverture. Pour mon compte, c’est au sous-sol que tout se passe. Comme aujourd’hui, je suis en soubrette malicieuse, tenue courte et moulante, dévoilant mes formes en ne cachant presque rien, un gros collier à mon cou, des bracelets de cuir à l’extrémité de mes membres. J’adore changer, passer de la dominante intransigeante à la petite soubrette docile et vicieuse. Pour ma sœur, il m’arrive de lui imposer d’autres tenues que sa tenue canine de dalmatien. Ma plus grande surprise en matière de changement de tenue, c’est Gilberte qui, voulant changer un peu, se déguise, sans nous concerter, en soubrette vicieuse, comme moi.
À l’ouverture, ma chérie, ma doublure, Gilberte lève les stores, dévoilant nos nouvelles vitrines. Il n’est pas dix heures, au premier, Amélie ne sait où donner de la tête. Roxanne, en belle femme aussi sexy que romantique l’aide. Au rez avec Gilberte, nous mettons en place l’arrivage de la nouvelle collection de printemps. En bas, Fifille termine l’inventaire. Cinq femmes, chacune en aimant quatre, nous vivons bien, sans nous soucier du salaire. Ce que nous aimons avant tout, c’est inciter les femmes à maintenir, à rallumer la flamme amoureuse du couple. Comme ce couple peu avant Noël, si l’épouse n’est pas encore prête à promener son mari en ville et en laisse, elle vient souvent nous acheter de la lingerie du dix-neuvième comme des vêtements de cette époque dont elle passe commande régulièrement. Certes, ils ne sont pas d’époque, c’est juste la coupe et les tissus. La voir avec son ombrelle sur l’épaule les jours de beau temps nous émerveille.
Amélie s’extasie chaque fois qu’elle vient. Il y a entre la dame à l’ombrelle et elle une belle complicité. Nous sommes toutes sous le charme de Madame Nathalie comme nous aimons l’appeler. Sans qu’elle s’en aperçoive, nous la poussons gentiment à venir promener son chien avec nos chiennes. C’est le trente décembre, alors que nous fermons boutique pour la dernière fois de l’année, que Madame Nathalie arrive avec son chien. Merveilleux homme dans sa tenue de caniche, portant fièrement sa queue plantée en son rectum.
— Madame, votre chien a fière allure et vous, vous êtes comme à votre habitude, très en beauté.— Arrêtez, toutes, vous me gêner. Et puis, c’est grâce à vous tout ça. Nous ne pouvons que vous remerciiez. Êtes-vous aussi de la fête demain ?— Chez Madame Justine ? Oui, absolument. — Merveilleux, mon Pipo se réjouit déjà de retrouver ses congénères. — Nos petites aussi, croyez bien. Mais ce soir, vous rentrez chez vous ?— C’est pour ça que nous sommes ici, je voulais vous demander si vous aviez une petite place pour moi et mon Pipo d’amour. — Nous en avons et je pense pouvoir dire que si nous laissons nos toutous seuls dans la grande cage, nous pourrions vivre une grande nuit toutes les quatre. Êtes-vous de notre avis ?— Je voulais goûter à ces plaisirs. Jusque-là, je n’osais vous le demander. — Tu entends Marion, tu débauches les gens et ils n’osent pas te demander un service. Mais surtout ce genre de merveilleux service. — Madame, je vous l’ai toujours dit, rappelez-vous la terrasse, le café ! Nous ne fermons jamais la porte à une beauté, qui plus est si cette beauté est accompagnée de son chien. — Merci mes amies. Mais c’est aussi une première pour moi. — Pour Pipo ?— Lui a déjà goûté à ce genre de plaisir chez Madame Justine. — Nous y allons, Gilberte rentre avec la voiture, Amélie et moi traversons la ville à pied avec nos petites.— À pied, ça me convient parfaitement ! seule avec mon Pipo, c’est à peine si nous osons traverser la ville. Il n’y a que dans ce quartier, près de votre boutique que nous nous risquons à nous exhiber. Nous répond Madame Natalie.

Notre petite troupe se met en marche, Madame Nathalie entre Amélie et moi, nos toutous nous devançant au bout de leur laisse. Roxanne nous semble particulièrement excitée à l’idée d’avoir un mâle près d’elle cette nuit. Pourtant, c’est Fifille qui se montre la plus entreprenante, reniflant l’arrière-train de Pipo. Ce dernier, sur un geste de sa Maîtresse, se presse, de sa truffe, sur la croupe des chiennes et, juste après le portail, il possède Roxanne pour le plus grand plaisir du couple canin. Très vite, une main, une bouche, nous nous emparons du corps de Madame Nathalie. Une fois dans la propriété, nous lâchons nos chiens et rentrons sans plus nous en occuper. Gilberte est ravissante dans son fin peignoir, sans rien en dessous. Elle nous entraîne dans la salle d’eau, mettons nue notre invitée. Ce soir, elle va connaître les joies de l’amour au féminin. Avant qu’il ne soit jour, nous l’aurons fait jouir sans fin, mourir de plaisirS divinS.
Cela commence par ce bain où six mains caressent ce corps qui s’offre, s’abandonne. Quand les bouches viennent compléter le traitement saphique, Nathalie a déjà joui un bon nombre de fois. À table, nue, ne cachant rien de nos corps à notre amie, nous l’agaçons encore. Baisée, léchée, caressée, Nathalie est conquise, violée, abusée par nos désirs de voir encore son corps exploser de bonheur. En bas, dans la grande cage, nos chiens s’en donnent à cœur joie, un mâle pour nos deux femelles, il doit vivre un rêve, que dis-je un rêve, un merveilleux fantasme, le Pipo.
Nous, nous épuisons notre invitée dans les plaisirs de l’amour. Gilberte se pose en dominatrice, nous fessant à tour de bras, les unes après les autres. Là encore, Nathalie ne contrôle plus son corps. Fatiguée, nous l’attachons en croix dans le lit, nous l’entraînons dans nos folies amoureuses, la plongeant dans notre univers rempli de vices. Sur son corps offert à nos perversités, elle subit l’épreuve des pinces à linge. Son corps se tort, non seulement de délicieuses douleurs, mais aussi, et surtout, de plaisir magique qu’elle n’osait rêver vivre seule. Vaincue, elle finit par s’endormir entre nous trois. Nous la couvrons de nos corps pour lui tenir chaud. La belle, dans son état, aurait très certainement le merveilleux rôle de la belle au bois dormant. Mes deux amours sont définitivement conquises par Nathalie. Je la savais sur le point de changer, mais à ce point, même moi, je ne l’avais pas vu. Malgré son âge, Nathalie n’en est pas moins très belle.
La regardant dormir paisiblement, heureuse de sa journée, de sa nuit, elle n’en est que plus belle encore.
De la cuisine nous parvient une bonne odeur de café. Les viennoiseries accompagnent cette odeur. Avec Amélie, tout en nous nous embrassant, nous délivrons notre invitée. Gilberte se joint à nous pour couvrir Nathalie de notre affection. Dans la cuisine, elle retrouve son Pipo, il semble heureux de sa nuit et ce ne sont pas nos petites chiennes affectueuses qui vont nous dire le contraire. Entre les cuisses de sa Maîtresse, Pipo s’affaire déjà, il bande dur le bougre. Nathalie lui promet une belle récompense chez Madame Justine. La matinée avance, Pipo s’affaire avec nos petites pour nous faire le ménage. Dans le salon, nous discutons chiffon. Avec Gilberte, nous imaginons une tenue particulière pour Nathalie, dans le plus pur style dix-neuvième, mais en latex ou en cuir, cela reste à voir. Aussi, nous confions la maison à nos toutous adorés avec l’interdiction de faire des cabrioles. Chez Madame sans Gêne, au sous-sol, nous choisissons nos tenues pour le Nouvel An.
C’est sur Nathalie que nous portons notre savoir-faire. En prenant ici ou là quelques vêtements, ustensiles et autres atours, nous l’habillons avec amour. Un peu plus tard, mais pas trop, nous voilà de retour. Jojo ne devrai plus tarder maintenant. Dans le salon, nous terminons nos tenues par de menus détails. Nous en profitons pour nous prendre en photos. Nathalie semble plaire de plus en plus à Gilberte et j’en suis heureuse. Jojo arrive, il n’a guère le temps de visiter. Je ne lui en laisse pas l’opportunité.
— Te voilà enfin prêt à vivre ta nouvelle vie mon chéri ?— Oui, pour toi et tes compagnes. — OK, tu sais ce que tu dois faire maintenant ?— Oui, être à votre service. — Alors à poil et que ça saute mon biquet. Il y a du taf pour toi. Pipo, Fifille, Roxanne, au pied. Pipo est le chien d’une bonne amie à nous. Tu connais déjà les deux autres. C’est ce qui t’attend désormais. Sache que si tu romps ton contrat, nous ne pourrons rien pour toi, tu le sais ça ?— Oui mademoiselle Marion. Je suis vôtre maintenant. — Bien, brave toutou. Alors ça vient, on n’a pas que ça à faire. On doit te vêtir comme il se doit d’être quand on est un chien comme toi. Fifille, Roxanne, veuillez nous apporter les atours canins de ce chien rapidement. Toi, à quatre pattes, et tu me suis... Mesdames, voici notre nouvelle acquisition, un beau mâle qui encule à merveille, endurant et qui va répondre au joli nom de Jojo, un superbe fox-terrier. Vous me direz pourquoi un fox-terrier, c’est parce qu’il va creuser et défoncer nos culs avec délice en y mettant tout son amour canin, pas mon Jojo ?— Ouaf !— Putain, si vite, Marion, je crois qu’on t’a sous-estimée. — Non, penses-tu, c’est juste que Jojo est amoureux de moi depuis très longtemps et que je lui donne l’occasion de m’aimer et d’aimer d’autres femmes sans que j’en éprouve la moindre jalousie. Oh, mon Jojo, il me faut te présenter une amie très chère. Je suis certaine que Madame Natalie appréciera ta belle grosse queue dans son joli petit cul.

Le voilà près à vivre sa première journée d’éducation chez Madame Justine. Ce qu’il ne sait pas mon toutou, c’est un passage obligatoire entre les mains de notre vétérinaire, Mademoiselle Marguerite.
— Mon Jojo, il est grand temps qu’on t’éduque pour nos besoins. Amélie, je te laisse le mettre en laisse.— Miam, s’il veut m’enculer dès maintenant ?— Amélie, voyons.

Entre les deux murs, notre Jojo suit nos toutous, première leçon. En arrivant derrière la belle demeure de Madame Justine, nous la trouvons déjà à l’œuvre pour ce Nouvel An, dressant ses chiennes avec l’aide de Marguerite. Nous la saluons avec la déférence due à son rang, nous baisons sa bouche d’un baiser tendre et affectueux, tout comme pour Marguerite.
— Madame, je vous présente Jojo, notre nouveau toutou. Un beau spécimen de fox-terrier. Chez vous, nous désirons qu’il apprenne les bonnes manières canines. C’est un enculeur de première et il ne sera pas dit que vous n’en profitiez pas, vous et votre amoureuse. — Merci délicieuse enfant. En effet un bien beau mâle. Et tu nous dis qu’il sodomise à merveille ?— Justine, moi qui suis difficile, je confirme, il encule délicieusement. Ajoute Amélie.— Alors nous allons voir ça cette nuit mes enfants. Marguerite, mon amour, prends bien soin de ce bel étalon. Qui accompagne le toutou ?— Amélie, Madame Justine.— Bien.

Je ne voulais pas être présente. Jojo, et je le connais trop bien, il va détester ce qu’il va subir. Mais, pour qui veut passer du stade d’homme ou de femme libre à celui de chien docile et soumis, il faut en passer par là. De notre côté, Gilberte, Nathalie et moi mettons nos toutous à la disposition de Madame Justine. Mais Madame veut autre chose en voyant la tenue sublime de Natalie, notre amie.
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