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Chienne un jour, chienne toujours

Chapitre 11

Mon Jojo passe la rampe haut la main.

Zoophilie
— Gilberte, où avez-vous trouvé ces atours superbes qui embellissent le corps de cette sublime créature ?— Marion y est pour beaucoup Madame, tout vient de notre magasin. Nous avons un fournisseur qui s’est spécialisé dans les tenues anciennes. Certes, si l’apparence est d’époque, le reste est dans des tissus modernes. Pour Nathalie, Marion a mélangé cuir et latex avec un peu de satin.— Le résultat est... disons vraiment... Oh et puis zut et zut, je n’ai pas les mots. Venez mes chéries, un doigt de porto nous fera grand bien. Si, je l’ai ce putain de mot, extraordinaire. Marion, ton goût pour vêtir vos clients me stupéfie à chaque fois. Tu as un don, c’est aussi limpide que de l’eau.

Dans son boudoir, la petite chienne Micha nous sert un vieux porto, un chef-d’œuvre tout droit venu du Portugal. Ouvrant une armoire, Micha nous fait découvrir des écrans sur lesquels nous découvrons Jojo sur la table d’auscultation. Mais c’est qu’il aime le bougre de salopard, il bande comme un âne. Décidément, mon Jojo est un homme que je connais encore bien mal. Pendant ce moment hautement excitant, Micha s’affaire entre les cuisses de sa Maîtresse, remuant agréablement sa jolie petite queue de bichon maltais. Mes yeux ne peuvent se détourner des écrans. Amélie caresse les boules de notre Jojo, ce con risque de jouir. Pourtant, la main de Marguerite fesse le beau cul de Jojo, il jouit sur la table, à quatre pattes. Marguerite semble fâchée de voir sa table souillée de sperme, elle oblige Jojo à lécher sa semence. Grand dieu, j’y voyais un refus, ce con obéit en bandant encore. Maintenant, c’est, pour lui, le moment de recevoir sa belle queue canine.
Si la queue pénètre lentement, mon Jojo tire une de ces gueules à faire pâlir de peur un épouvantail. Je ne peux m’empêcher de rire, il connaît enfin ce que signifie être enculé.
Dehors, sous une grande tente chauffée, Fifille, Roxanne et les autres soumis s’activent à dresser les tables de façon parfaite et il vaut mieux, connaissant le caractère perfectionniste de Madame. Derrière les écrans, je ris encore quand mon Jojo grimace, la queue en forme de sexe de gros chien va-et-vient son rectum, il grimace dur le bougre. Comme c’est la première fois et pour ne pas la perdre, Marguerite la lui attache à la taille. Une bonne tape sur la bite de Jojo, il débande, Marguerite s’empresse de lui mettre une petite ceinture de chasteté masculine sur ses beaux attributs de mâles. J’avoue qu’il me manque Fifille entre mes cuisses, voir mon Jojo traité de la sorte et qu’il aime, me met dans tous mes états et ce n’est pas Gilberte, ni Justine qui vont me dire le contraire.
Quand il arrive, Justine entre en jeu et ses ordres claquent comme des coups de fouet. Jojo me fixe pendant une seconde et obéit sans réfléchir. Son sourire qu’il m’adresse en dit long sur son plaisir. Il ne cesse de m’étonner.
— Lèche-moi, Jojo. Ordonne Madame Justine.

Et mon Jojo obéit entre les cuisses de Madame, il lape, lèche et fait jouir Madame. Gilberte propose à notre hôtesse une bonne sodomie. Micha se démène pour lubrifier l’anus de sa Maîtresse avant qu’elle ne guide cette bite libre et tendue. Madame me fixe, se mordant les lèvres au moment où le gland de Jojo la pénètre. Amélie et moi venons près de Madame, délivrons sa généreuse poitrine pour la téter. Madame fait signe à Gilberte, les deux femmes s’embrassent amoureusement. Marguerite arrive, se jette dans la mêlée et notre Jojo s’active dans le cul généreusement rond de Madame. Je m’empare de sa bouche, son baiser est encore meilleur qu’auparavant dans mon appartement.
— Merci Maîtresse, tu me fais vivre quelque chose de merveilleux.— Tais-toi et baise tes Maîtresses comme un bon chien, en silence !

Là, il marque un temps de surprise avant de m’obéir docilement. Une caresse lui fait comprendre que je suis contente de lui. Madame jouit des coups de queue entre ses fesses.
— Votre Jojo, je le veux pour chien, je le veux.
— Je ne peux vous le donner, Madame, parce que nous aimons notre Jojo. — Je vous comprends et vous envie.

À son oreille, je lui chuchote que nous allons lui trouver un aussi bon mâle comme elle le désire. Le sourire et le baiser de Madame me ravirent. Madame jouit encore, j’ordonne à Jojo de jouir dans ce cul, il obéit et jouit sans retenir sa satisfaction. Madame s’effondre sur le tapis.
— Retire-toi Jojo, assis ! Brave chien. Tu feras un bon toutou si tu continues comme ça.

Une petite tape sur sa tête ravie, je musèle sa bite dans sa ceinture de chasteté. Dehors, les soumises de Madame s’activent ferme, il commence à neiger. Madame se relève, digne, elle vient embrasser le front de notre toutou avec amour.
— Je crois que vous avez là un des meilleurs hommes chiens que je n’ai jamais vu. Marguerite, qu’en penses-tu, mon amour. — Il est superbe à voir ta bouille et il encule à merveille. — Tu l’as dit bouffi.

Madame exige qu’il passe deux semaines chez elle pour un dressage parfait. Nous nous embrassons pour cimenter notre accord. Certes, ce n’est pas pour plaire à Jojo, mais qu’importe, il a signé. Pendant que nous habillons, refaisons une beauté, les premiers invités de Madame arrivent, la musique de chambre baroque commence à enchanter nos oreilles. Madame et sa compagne se pressent dehors pour accueillir leurs invitées. Dehors, de nombreux Maîtres arrivent avec leurs chiens. Faut reconnaitre que Madame sait recevoir. Marguerite s’occupe de parquer les chiens dans le chenil chauffer et leur donner à manger. Avec mes amours, nous découvrons de nouveaux Maîtres. Nathalie tient fermement son pipo en laisse. Dehors l’apéritif bat son plein, nos vêtements attirent automatiquement les regards sans pourtant faire tache. Aussi, nous nous débarrassons de nos chiens dans le chenil pour être plus à l’aise. Sous la tente, seules les soumises et chiennes de Madame Justine et Marguerite nous servent.
Parfois, une main vient caresser tendrement les fesses nues des serveuses délicieusement soumises. Madame se lève, lève son verre et nous offre ses vœux pour la nouvelle année, bien qu’il ne soit pas encore l’heure. Un hourra s’élève sous la tente après le discours de Madame.
On mange, on boit, on bavarde, on rit, Madame a l’art de recevoir dans la peau et cela se voit. Amélie s’ennuie un peu, je sais à qui elle pense, cette petite jeunette vue un jour de novembre chez Madame. Pourtant, Amélie est passée tout près de cette demoiselle, de cette jeune soumise canine, sans la reconnaitre cependant, la jeune soumise portait un déguisement de bichon maltais. Avec Gilberte et Nathalie, nous lui donnons de la tendresse. Soudain, semblant surgir de nulle part, Marguerite vient prendre la main d’Amélie sous le regard bien veillant de Madame Justine. Emportée, Amélie ne sait ce qu’il l’attend. Un clin d’œil de Justine semble nous demander de patienter un peu. La soirée est merveilleuse, la musique baroque agréable, le repas exquis, les vins sublimes agrémentés par de sublimes petites soumises, le bonheur absolu. Et Amélie nous revient, les larmes coulent sur ses joues, Gilberte s’empresse de venir les lécher.
Derrière elle, au bout d’une jolie laisse tressée, une jeune demoiselle absolument sublime, mon âge, c’est elle, la jeune demoiselle qui était avec la mère de Madame. Je me lève, m’approche de cette belle créature. Un peu farouche, elle fuit ma caresse, un sourire, elle revient près de ma main, me la lèche et se laisse faire. Amélie tend une enveloppe à sa sœur, Gilberte va pour la lire, Madame arrête la musique.
« Mademoiselle Amélie, vous m’avez connue alors que j’étais sous l’emprise d’une femme que je n’aimais pas. Vous m’avez tirée de ses griffes. Je vous ai aimée au premier regard. Aujourd’hui, avec l’aide de Marguerite et Madame Justine, je viens vous implorer de me prendre sous votre aile. Je suis prête à être vôtre. Je ne demande qu’un peu d’amour, de tendresse.
Votre bichon maltais Micha ! »
Les larmes coulent sur les deux visages qui s’embrassent tendrement sous les applaudissements des convives. Gilberte et moi enlaçons ce couple fraichement créé par Marguerite et Madame Justine. À table, posée sur les cuisses d’Amélie, Micha lèche le visage de sa Maîtresse.
— Amélie, quand je vois Micha, je n’en voudrais pas pour chien, non.— Comment peux-tu nous dire ça, toi, Marion ? Tu es...— Laisse-moi terminer, ma belle. Personnellement, je la prendrais comme une belle petite chatte, regarde ses yeux, parfaits en siamoise, regarde sa chevelure, un peu de bleu encore, de clarté et tu as la plus merveilleuse siamoise qui soit, ma douce. — Pardonne à ton amour de s’être emportée parce que tu as entièrement raison. Micha, tu ne seras pas un bichon maltais, mais une belle et délicieuse chatte siamoise. — Ce que mademoiselle veut, je le veux aussi. — Putain, allez vous arrêter toutes les deux, j’ai envie de chialer comme une madeleine. Hurle presque Madame Justine.

Micha vient sur mes jambes, se blottit contre moi, lèche ma main, signe d’un pacte à jamais cacheté. Nos bouches se trouvent, une larme coule sur ma joue, Amélie vient me la lécher, Gilberte enveloppe nos corps de ses bras. Micha est une belle chatte, douce, affectueuse. Ma main la fouille tendrement, son regard plongé dans le mien, elle jouit doucement, comme si un petit vent chaud venait effleurer mes joues, un moment de grâce. Je me lève, la dépose sur les cuisses de sa Maîtresse.
— Amélie, il lui faudra un costume à la hauteur de sa beauté. — Tu veux bien t’en occuper ma chérie. Me demande Amélie.— Pour toi, pour elle et pour nous toutes, je vais te trouver la perle rare. Gilberte, lèche cette larme, elle coule de joie, elle me gêne dans mon bonheur.

La langue de ma douce compagne essuie cette larme, ma bouche prend la sienne, j’ai envie d’aimer sans compter. Gilberte se lève, prend ma main, regarde Madame. Madame nous fait un élégant signe de main avec un large sourire. Gilberte m’emmène à sa suite. Dans une pièce, elle me pose sur le sol, remonte ma robe, pose son visage sur ma cuisse.
— Mon amour, être seule avec toi, c’est un... — Ce n’est rien d’autre que ce que je veux plus souvent.

Les mots se turent, l’amour prit sa place. Nous nous sommes aimées jusqu’au douzième coup de minuit. Encore presque nues, nous avons rejoint la tente. À notre vue, Madame donne le signal. Les soumises retirent leurs atours, Marguerite arrive avec tous nos chiens, la suite n’est jouissance de la chair, plus de chiens, plus d’humains, un amas de chair s’aime, baise, s’encule à tout va. Gilberte et moi prenons Madame dans nos bras. Jojo, près de nous, je l’implore de vider ses couilles dans tous les culs qu’il pourra contenter. Martine, ma jolie Fifille est prise par deux beaux hommes chiens, aimée, elle jouit merveilleusement. Une dame distinguée nous parle de cul, de couille, de foutre. La main de Gilberte s’enfonce dans son sexe, la femme hurle son bonheur. Madame reçoit les miennes en ses orifices, sa bouche en mon sillon, elle jouit. Un coup d’œil, Jojo encule à tout va, passant d’un cul à un autre sans discernement de sexe.
Possédé à son tour, il ne peut refuser cet homme qui s’enfonce dans son fion. Je suis heureuse de le voir perdre ce pucelage. Avec Madame qui jouit encore, sa langue qui lave mon cul amoureusement, nous jouissons toutes les deux. Je l’abandonne pour une autre femme tout aussi généreuse dans ses formes. Une queue se pose sur ma rondelle, la force, me pénètre, inutile de me retourner, c’est mon Jojo qui m’encule. Avec moi, il va tout donner. Il me retourne, un homme vient me prendre mon sexe, ma bouche boit cette femme, je vais jouir et je jouis quand cette belle queue me remplit mon sexe. La bouche de mon Jojo vient m’embrasser.
— Mon chien, je t’aime.

Madame passe, pressée, je devine ses intentions, je l’arrête, pose sa vulve sur ma bouche, la fixe, elle sourit, se soulage en ma bouche qui avale ce liquide chaud, émerveillée de ce vice. Dans l’excitation du moment, je viens de repousser une fois de plus mes limites. Elle explose de bonheur dès la dernière goutte dans ma gorge. Madame m’embrasse, je jouis encore, deux bites me remplissent de leur foutre, du pain béni. Bien quelques heures plus tard, les corps s’apaisent, la fougue s’estompe, les caresses deviennent plus douces, plus tendres. Fini les hurlements de plaisirs, ce n’est plus que soupir de satisfaction. Mon Jojo pose ma tête sur sa poitrine, Martine pose la sienne sur mon ventre.
Très vite, on se retrouve réuni tous ensemble. Une main, un baiser, les corps s’échauffent encore, Micha s’insinue entre mes fesses, délicieuse petite chatte. Gilberte aime sa sœur, elles sont sublimes ensemble. Jojo subit les assauts de Pipo, ils s’aiment tendrement. Décidément, mon Jojo me stupéfie. Nathalie nous cherche, tenant une plantureuse femme par la main, une soumise canine.
— Alors mon chou, se faire prendre par un homme n’a pas l’air de te déplaire ?— Grâce à votre contrat, et je n’étais pas un homme bi. — Tu verras, ta nouvelle vie, tu vas l’aimer comme jamais mon biquet, et ce, tant que tu seras à ma botte. — Oui Maîtresse.— Pas de ça cette nuit, baise-moi plutôt.

Il n’en fallait pas plus pour qu’il bande ce salaud et il me remplit de sa bite. Je ne regrette pas sa signature sur notre pacte diabolique, digne de Satan lui-même. Plus tard, après avoir vidé mon Jojo, je fais part à Madame qu’il me faut ma dose. Debout, elle m’entraîne à sa suite. Dans son chenil, ses chiens frétillent déjà. Elle m’ouvre une cage, lâche la moitié de ses mâles. Elle s’installe dans la cage d’à côté. Ouvrant à ses chiens, elle se couche, je l’imite. Les chiens nous baisent, nous en suçons quelques-uns. Le tout se passe sous le regard de quelques-uns des convives de Madame Justine. Des hommes et des femmes qui se branlent en voyant notre déchéance si tellement jouissive.
— Madame, je vous hais, vous m’aviez caché vos vices !— Moi je te hais parce que tu es jeune, belle et si dégourdie. Tu sais manipuler les hommes comme les femmes, je te jalouse, je veux te fouetter, te punir. — Tu peux, fouette-moi, punis-moi aussi sauvagement que possible. — Alors on les achève mes bergers ?— Oui, qu’ils nous remplissent de leur foutre après on... Oh le con, il m’encule de sa bite ton berger allemand. Putain ce qu’ils sont bien tes clébards. — Ils sont dressés pour nous baiser. — Et bien dressés. Putain, ils me font encore jouir.

Je jouissais encore et encore, comme Madame, nos doigts réunis à travers le fin grillage qui nous sépare. Les chiens fatiguent, nous sortons de nos cages. Corps contre corps, nous nous aimons, nous léchons nos corps, ils empestent les chiens, le sperme, la pisse comme la cyprine. Nous nous aimons sur le sol, sauvagement, brutalement. On se pince, on se mord, on tord nos chairs et nous en jouissons. Plus je connais Madame, plus j’en suis folle. Si ce n’est pas elle que j’aime, mais ses vices, sa perversité. Enfin je l’avoue, je suis raide dingue de cette femme comme de sa compagne et de mes compagnes. Un collier, je le prends, le pose au cou de cette femme vicieuse. Elle se laisse faire, une cravache, je la fouette, visant sa croupe, elle crie plus fort, je frappe plus fort.
— Fouette cette vieille pute, fouette mon enfant, elle le mérite. — Toi aussi, bats-moi.

Nous nous fessons à coup de cravache, de martinet, de tout ce qui nous tombe dans la main. Plongeant nos mains dans le corps de l’autre, tournant nos poings dans le con de l’autre, dans le cul de l’autre. Nous ne sommes plus des humains, mais des animaux, des chiennes en chaleur. Nous nous épuisons à nous faire souffrir de plaisir, à jouir dans la douleur. Putain que c’est bon de baiser ainsi. Je ne me sens plus, Justine non plus. Nos plus bas instincts sortent au grand jour. On ne sait combien de temps, mais là, le jour est levé. L’une contre l’autre, nos corps encore dégoulinant de ces liquides infectes et bons. Nos bouches soudées, nos mains caressantes, bon sang que ce fut merveilleusement bon.
— Justine, apprends-moi tes vices. — Tu n’en as pas besoin, tu les as déjà tous en toi. T’es qu’une belle salope, tout comme moi. — J’ai envie que tu me baises de partout, toi et tes chiens, tous tes chiens, lâche-les sur moi. — Non, pas aujourd’hui, je suis morte. Si je pouvais avoir encore ta jeunesse. — J’aime tes vices, espèce de salope. — Je le sais. — Tu m’as fait vivre une nuit fantastique. Je n’aurais pas cru vivre ça un jour petite putain de bourgeoise. — Petite dévergondée. Si t’étais pas maquée avec les frangines, je te ferais ta fête chaque jour. — C’est ça que j’aime chez toi, putain de bourgeoise. Ton fric, je m’en fous. Ta baraque je m’en moque, mais toi et ta petite pute de véto, je vous hais de vivre des vices que je n’ai pas encore.— Voilà ce que j’aime en toi, c’est que tu peux être vicieuse comme un serpent en frottant dans le sens du poil et poignarder dans le dos comme avec ton Jojo. — En tout cas, aucun feu d’artifice n’aurait pu être plus beau que ceux que j’ai vécu cette nuit, merci ma Justine. — Viens, on va se faire laver par nos chiennes.

Deux vicieuses quittent le chenil, les beaux toutous de Madame, les vrais, dorment. Dehors, sous la tente, on dort les uns sur les autres. Micha, Roxanne et Fifille sont réveillées par nos soins. Prenant son escadron de charmes, Justine nous entraîne dans sa vaste salle d’eau.— Allez, lavez-nous et que ça saute.
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