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Chienne un jour, chienne toujours

Chapitre 12

J’en veux encore et encore.

Divers
L’eau coule sur nos corps, Justine, collée à moi, m’aime telles les chiennes qu’elle dresse, éduque à ses vices. Notre bain n’en est que plus voluptueux. Plus tard, dans sa chambre, elle me couche, se pose sur mon corps. Elle se montre délicate, douce, avenante. Elle est exactement le contraire de cette nuit, je comprends mieux Marguerite. Quand mes amours nous rejoignent, Marguerite se mue en soubrette en léchant nos pieds à Justine et moi. Soudain, le doux son d’une musique légère nous sort de nos fantasmes, nous nous levons pour rejoindre la tente, complètement nues. Sous cette tente, les corps s’étirent, se lèvent, s’embrassent. Il va être midi, un homme arrive, une grosse trousse sous le bras. Justine se dirige vers lui, l’embrasse longuement. Je le reconnais et Martine aussi. Je pousse Martine vers cet homme en la suivant. Martine est tremblante face à l’homme. Justine le pousse tendrement devant ma sœur.
— Fifille, il est grand temps, tu ne trouves pas ? Jojo, toi aussi, c’est dans ton contrat, ne l’oublie pas sale chien.— Je ne l’oublie pas divine Maîtresse. Me répond mon Jojo.— Pour elle, elle vous le dira. Pour lui, la même chose, mais avec le numéro deux. — Et c’est moi qui raque. — Justine ! Non !— Ma belle enfant, je te dois ça après cette nuit que tu m’as fait vivre. Marguerite sera avec vous, mon amour veut mon nom sur son corps.

Justine embrasse l’amour de sa vie, Marguerite fond entre les mains de cette femme aussi étrange qu’amoureuse. On emmène mes amours. Avec les frangines, nous regagnons la tente. Il fait faim à table, deux soumises couchent l’une d’entre elles devant nous, son corps couvert de bonnes choses. Nous ne dévorons pas que les brioches et autres, non, le corps y passe pour son plus grand plaisir. Une bonne heure plus tard, lascive, belle, somptueuse, Martine arrive dans son plus simple appareil, élégante. Près de moi, elle pose genou à terre, me dévoilant sa nuque en retirant le pansement qui le recouvre, j’y lis mon prénom, son amour pour sa sœur, moi. Sur son bras droit, dans un cœur, mon prénom encore, comme sur son pubis avec juste marqué en plus que ma sœur est ma soumise. Je l’embrasse aussi amoureusement que je l’aime.
— Tout ce que je fais sur mon corps est pour toi, ma petite sœur. Si je voulais me donner à Madame, c’était pour être éduquée afin de devenir une meilleure chienne. Mais tu y es arrivée aussi bien qu’elle l’aurait fait. Je suis à toi, tu as tout pouvoir sur moi, même celui de vie ou de mort. Je suis et resterai ta chienne, ton esclave ou tout ce que vous voudrez, que je sois Maîtresse. — Ma chérie, ne me parle plus jamais de vie ou de mort. Sinon, tu ne pourras t’assoir un an durant.

Je l’embrasse encore et encore. Plus tard, Jojo semble respirer le bonheur en arborant ses tatouages à ma gloire comme il me le dit si gracieusement. Sa bouche sur mes pieds qu’il dénude, il nous fait serment de nous servir fidèlement. Gilberte le relève, l’embrasse, caressant sa belle pine libérée. Sur la table, aux côtés de ce corps étendu et jouissant de bons coups de langue, Gilberte couche Jojo et l’aime tendrement. Amélie s’occupe de Micha, la belle jouit en douceur, comme si on lui donnerait des sucreries. Sur mes cuisses, ma sœur s’installe telle une belle chatte. Ma main sur son sillon, ma belle jouit tout comme Micha.
La journée s’écoule, peu à peu, les invités se retirent, fatigués par cette nuit infernale. À la fin, il ne reste que les meilleurs. Justine et Marguerite s’aiment tendrement. Nous finissons par les abandonner, abandonnant Jojo pour deux semaines. Dans notre lit, Micha a droit à toute notre affection et la petite chatte ne se prive pas pour nous rendre nos tendresses.
Pour nous toutes, il est grand temps de penser à l’avenir. Début janvier, cela fait une semaine que Jojo est dressé par Madame Justine et Marguerite. Je ne peux pas dire autrement, ce salaud me manque. Sa bite entre mes fesses me manque. Je voudrais aller le voir, pourtant, je sais que Madame Justine refusera et elle aura raison. Alors, pour me satisfaire, Micha, notre petite chatte, à ma demande, enfonce lentement sa fine main dans mon cul de salope. Madame Justine a raison quand elle me traite de salope, elle qui m’a montré jusqu’où je pouvais aller. Elle m’a repoussée bien au-delà de mes limites, de celles que je supposais impossibles. Je suis certaine que je peux encore les repousser, mais jusqu’où, c’est là la question, une question sans réponse encore.
En bas, dans le stock, près des rayons du vice, il m’arrive de m’enculer d’un gros gode en forme de sexe de chien. Alors, je m’imagine dans cette cage, près de Madame Justine, prise par ses chiens bien dressés à nous baiser, sentir leur gros nœud me défoncer, sucer une de ces queues, goûter à ce sperme canin. Avec Fifille, nous sortons faire notre tour de ville, elle en parfaite petite dalmatienne et moi en dominatrice dans une tenue d’institutrice cruelle, une badine à la main. Nous ne craignons plus les regards. Certains de ces passants savent déjà que j’ai du répondant quand il s’agit de remettre à sa place un maraud peu poli, voire vulgaire. Même les plus machos se méfient de moi. Enfin, s’il en est un qui veut se faire dresser, se soumettre, je ne dis jamais non, n’est-ce pas ma Fifille ?
— WOUAF !!!


Il arrive parfois que je croise de nouvelles têtes. De futurs clients. Parfois seul, le plus souvent en couple, je commence à croire que ma Fifille et moi attirons les foules d’ailleurs que la populace de notre ville.
Demain, j’en connais une qui va tomber des nues, notre grande sœur. Elle n’est pas encore au courant de notre nouvelle vie. Elle vient nous rendre visite, une bien trop courte visite si nous tenons à tout lui avouer. Je sais qu’elle est au courant de la partie visible, pas de nos fantasmes, pas de nos perversions et encore moins de nos vices sales, peu honorables, chapitrés par la morale des biens pensants dans la catégorie à éradiquer. Maman m’a appelée hier au soir pour nous dire, à Fifille et moi, combien papa avait changé. Quand je lui demandais si c’était en mieux, elle me répondit en plus merveilleux. Je l’entends encore pousser un AÏE à peine audible et ce bruit, le bruit d’une belle claque qui s’abattait sur son cul. Je suis restée pendue plus de deux heures au téléphone. Pendant tout ce temps, maman me racontait sa nouvelle vie, celle d’une femme soumise à son Maître, notre père. Entre mes cuisses, Fifille, un écouteur sur l’oreille, me dévorait la chatte avec délice.
Puis, en chœur, ma sœur et moi avons joui ensemble aux oreilles de notre mère en lui souhaitant une délicieuse fessée en guise de bonne année. À l’entendre nous répondre, notre père avait tout entendu. Puis, ce bruit de claque encore, ces mots, adieux mes chéries, baisez bien ensemble, fin de la communication. Avec Fifille, nous nous sommes aimées longuement pour obéir à notre mère.
Gilberte, Amélie et moi, nous nous rendons toutes les trois chez Madame Justine. Jojo va nous être rendu. Dans sa propriété, Madame donne le ton d’entrée avec un baiser enflammé et une main entre nos fesses. Aller chez elle est un plaisir qui se renouvelle à chaque fois. Marguerite arrive avec un Jojo métamorphosé. Sublime en berger belge, son poil mi-long en fait un chien de première classe.
— Marion, je te vois resplendir en le voyant. — Oui, c’est que j’y tiens à ce chien vicieux. Il encule toujours aussi bien ?— Mieux encore, et il est parfait avec mes chiens. Tu sais, ceux des cages. — Oui, je le sais. Ainsi, il aime ça ce salaud !— Il adore. Mais tu vois, je me demanderais ce que cela ferait toi et lui dans une grande cage, entourés des miens ?— Cela dépend si vous en êtes ou pas. Mais ce doit être quelque chose de merveilleux à vivre, je suppose.— Je le suppose aussi. Bref, Jojo est un chien bien domestiqué. Il est à vous et à vous d’en profiter. S’il est un peu fatigué, c’est normal, tous lui sont passés dessus. Oui, Gilberte ?— Vous parliez de quoi avec ces deux cages ?— Je crois qu’il vaut mieux que tu saches, ma chérie. Le soir du Nouvel An, Madame Justine et moi, nous nous sommes enfermées séparément dans une cage avec une bonne dizaine de chiens chacune pour nous baiser de toutes parts. — Oh oui, je vois très bien la scène. Vous n’êtes que des vicieuses toutes les deux. — Tu as raison, Marion et moi, on aime le vice sous toutes ses formes. Pour tout te dire, pire c’est, plus on aime. À propos, avec Marguerite, nous avons une très longue et savoureuse discussion. Venez à l’intérieur, il fait encore froid.

Dans le boudoir, la tête de Jojo sur une cuisse, celle de ma Fifille sur l’autre, Madame Justine nous raconte son rêve. Un rêve complètement fou, elle veut raser la maison qui sépare la nôtre de la sienne. Puis, me serrant fortement ma main, elle se lève, nous regarde longuement dans un silence parfait.
— Bon, écoutez-moi bien. Marguerite et moi, nous avons acheté cette ridicule petite villa et, si vous êtes d’accord, nous allons la raser. Mais, c’est pour mieux faire de nos deux terrains, un seul. Marguerite, je te laisse raconter la suite.— Oui mon amour. Donc, trois terrains en un, au lieu de deux séparés. Tout autour, une barricade de bois et des cyprès pour la décorer. En gros, cela triplerait la surface autour d’une seule et unique maison qui serait agrandie pour nous toutes.— La vache, imagine nos... ajoutais-je.— La place pour jouer et nous faire prendre. Nous dit Justine.— Oui ma Justine. Hier, durant la nuit, avec tes deux amours ici présentes, nous avons devisé sur toi. Tu me manques, loin de moi, c’est comme si Marguerite n’était pas près de moi. Tu comprends. Oui, je suis folle d’amour pour toi, tes compagnes, ma compagne et complice. Je n’en peux plus de vous savoir si loin de moi. J’ai mandaté une architecte de mes amies. Une femme merveilleuse qui a tout de suite compris ce que je voulais. Dans une semaine, elle veut m’apporter une maquette et les plans de ma future maison, une maison qui va doubler de surface, de volume. Ma Marion, tu sais ce que je ressens pour toi, c’est la même chose qu’avec ma Marguerite. Nous toutes, nous sommes des vicieuses de la pire espèce. Nous ne sommes bonnes qu’à corrompre la blanche colombe pour en faire notre jouet. Tiens ma Marion, comme Nathalie par exemple et son Pipo. Es-tu d’accord avec moi ? — Je ne le nie pas. J’ai une très forte addiction pour le sexe sous toutes ses formes. Rappelle-toi, ma Gilberte, la première nuit. Je t’ai demandé de faire de moi ta salope, ta chienne, ton esclave. Dis-je à ma Gilberte.— Oui, je commence à regretter de ne pas l’avoir fait, ma belle. — Ne le regrette pas, je suis devenue pire encore. Je peux être cette chienne dans les deux sens où nous l’entendons. Seulement, depuis, je l’ai connue, vous me l’avez présentée et j’en suis tombée amoureuse. Je me partage entre vous toutes, toi aussi Marguerite, je suis follement amoureuse de vous toutes. Cependant, je suis en admiration devant les perversités et les vices de Justine. Je le confesse devant vous.— Ne t’en veux pas, avec ma sœur, nous en avons longuement discuté après avoir parlé avec Justine et Marguerite. En fait, tu étais la seule à ne pas savoir, c’est chose faite. Nous t’aimons telle que tu es, vicieuse, pervertie. Tu es une vendeuse hors du commun pour faire d’un couple, tout ce qu’il y a de comme il faut, des fétichistes pervers. Dame Natalie par exemple. Le pire dans tout ça, c’est que si on veut te détester, c’est une chose impossible, réellement impossible. On t’aime toutes du même amour. Alors, tu es d’accord pour un seul toit ?— Pour sûr que je le suis et plutôt deux fois qu’une. Justine, je peux prendre ton bureau pendant une bonne quinzaine de minutes ?— Oui ma chérie, fais donc. Tu es ici chez toi !— Merci ma douce complice. Viens toi, j’y tiens plus, j’ai hâte que tu m’encules. Viens me prouver que tu es un bon chien.

Dans le boudoir, je repensais à cette longue discussion. Jojo reniflait mon anus, le léchait, plongeait sa langue à l’intérieur et m’enculait enfin avec délice comme à chaque fois. Il me rendit folle, folle de plaisir. Il nous fallut bien plus que ces quinze minutes pour qu’il me baise de partout, même ma bouche. Sans prendre le temps de remettre ma robe comme il faut, je rejoignais mes amours au nombre de quatre autour de cette table. À les voir me dévisager, on voyait que j’avais pris mon pied.
— Alors, comment ?— Marguerite, tu as fait des merveilles et toi, ma Justine, c’est juste un autre Jojo que je découvre avec énormément de plaisir. — Ça se voit sur ton visage, il t’a défoncée comme jamais on dirait. — Et ce n’est rien de le dire.

Madame Justine tendit sa main au-dessus de la table, Marguerite posa la sienne par-dessus. Toutes, nous posions notre main droite sur ces deux mains.
— J’ose prétendre qu’à dater de ce jour, nous ne soyons plus que les plus grandes salopes que la terre puisse porter, à nous et nos soumis. Clame Justine tel un serment.— À nous, à nos soumis et à tous ceux de notre race ! s’exclame Amélie.

Justine se leva, m’embrassa en tenant tendrement la main de Marguerite. J’étais un peu émue, je le reconnais. Pourtant, en regardant la pendule derrière Amélie, je sursautais. Caroline n’allait plus tarder à arriver. J’en avisais mes amours. Justine et sa délicieuse compagne décidèrent de nous accompagner. C’était uniquement dans le but de savoir comment j’allais tout raconter à ma sœur, notre grande sœur.
De retour, Fifille jouait encore d’une baballe. Au téléphone qui sonnait, Amélie m’apprit que c’était Caroline qui venait d’arriver par le train, qu’elle prenait un taxi. En gros, elle serait là dans à peine une dizaine de minutes. Fifille et moi, nous nous sommes longuement regardées. Près de moi, la tête sur ma cuisse, Jojo relevait ses yeux, ses beaux yeux bleus. Ce salaud bandait encore et pas qu’un peu. Une voiture s’arrêtait devant le portail, Roxanne s’empressait d’ouvrir après le départ du véhicule.
Si vous aviez vu la tête de Caroline, grand dieu, elle fut sur le cul. À la porte, avec Fifille et Jojo, assis comme de bons toutous, elle me fixa longuement. J’eus peur qu’elle me gifle l’espace d’un moment.
— Alors, tu te décides à entrer ?— Petite salope, j’ai qu’une envie !— Quoi, de me fesser ?— Tiens, pourquoi pas. Non, là, j’ai surtout une envie de te faire un gros poutou sur ton front. Où est notre sœur ?— Devant toi, juste là. — Quoi, Martine en dalmatienne, c’est elle ?— Oui, c’est aussi ma soumise, ma chienne comme celui-ci. — Toi, tu as des choses à me raconter. — Et pas qu’un peu. Tien, regarde le beau crâne de notre frangine. — Putain, lisse comme la peau d’un bébé. — On le lui rase chaque jour.

Dans le salon, je fis de longues présentations. J’eus encore peur que Caroline n’aime pas mes amies de cœur, il n’en fut rien. Bien que je sois la benjamine de ces femmes, mes amours, elles font fi de mon âge, comme celui de Micha. Caroline s’assoit près de moi, Fifille pose sa tête sur sa cuisse.
— Alors ?— Notre sœur m’avait dit aller voir son gynécologue. Mais c’était un mensonge, je l’avais lu dans ses yeux. Aussi, je l’ai suivie. Elle est allée se faire anneler son nez, son clito, enfin son capuchon de clitoris. Puis, elle est allée se faire raser son crâne avant d’aller chercher un sac chez Gilberte, elle tenait une petite boutique de lingerie fine en façade et derrière un merveilleux rayon de jouet pas des plus doux, genre fouet, cravache, menotte et tout ce qui va avec. Après...

Je continue mon récit, décrivant chaque détail avec la plus grande précision. Alors, que je contais encore, Caroline se mit à caresser le crâne chauve de notre sœur. La nuit commençait à tomber quand j’en terminais avec notre vie nouvelle. Sa main sur ma cuisse, la caressant tendrement, elle m’avoua déjà être au courant d’une petite partie, et ce, grâce à nos parents.
— Tu sais que maman est la soumise de papa. Qu’ils sont comme des gamins, qu’ils prennent leur pied chaque jour et même plusieurs fois. — Nous l’avions deviné avec Fifille, heu, enfin Martine quoi.— Fifille, je trouve que cela lui va bien et lui, c’est Jojo, c’est ça, celui dont tu m’as parlé au téléphone ?
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