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Chienne un jour, chienne toujours

Chapitre 13

C’est plus fort que moi, il me faut corrompre, salir tous ceux qui m’approchent.

Divers
— C’est ça. Mais toi raconte. — Je suis divorcée depuis un mois et libre comme l’air. Mon ex me verse une jolie pension qui me permet de bien vivre sans trop travailler. Bref, j’ai tout pour être heureuse. Enfin, c’est ce qu’elle prétend, notre grande sœur.— Et pas de nouveau... Demandais-je.— Tu rêves ou quoi, enfin pas pour le moment. — Enfin, si t’es en manque, y a Jojo, il baise bien et encule à merveille. — Pas ce soir, je suis morte. Et vous, Madame Justine, je crois vous avoir déjà vue, mais je ne serais dire où. — Dans une revue peut-être ? — Cela se peut, effectivement, mais laquelle, je ne me souviens pas. — Dog & cat ?— Oui, c’est ça, vous y parliez dressage de chiens. Disons pour des chiens particulièrement affectueux. — Je vous avais comprise, comme nous toutes, du reste. — On a ce qu’il faut si tu veux un homme. Ajoutais-je en riant.— Dis, comme tu y vas. Tu veux déjà me marier ?— Oh non, juste te faire goûter à notre vie. Tu sais, depuis que je connais ces femmes, je ne suis plus la petite sainte-nitouche, je suis devenue une...— Salope de la pire espèce, une vicieuse comme vous ne pouvez pas vous l’imaginer. Ajoutaient Madame Justine et Gilberte, de concert.— Toi, salope, j’ai de la peine à croire. — C’est pourtant la réalité, j’aime le sexe et ces femmes plus que tout au monde. — La vache, et fifille, elle ne dit quoi ?— Faut lui ôter son masque. — Ne bouge pas. Je vois ça d’ici, lécher nos minous toute la journée. — Y a pire, Caroline !— Quoi donc ?— Madame Justine, s’il vous plaît.— Oui ma chérie. Comme vous ne l’ignorez plus, Marion est une accro du sexe sous toutes ses formes. Chez moi, je dresse des soumis, des hommes chiens ou des femmes chiennes, comme Jojo et Fifille ou encore Roxanne. Mais ce n’est pas tout. Avec Marguerite, ma compagne, nous dressons de vrais chiens pour... comment dire... affectueux n’est pas le mot exact, ce serait plus pour nous...— Vous baisez ?
— Oui, c’est exactement ça. Et votre sœur et moi, la nuit du nouvel an, on en a profité pour nous faire prendre par mes chiens. — Beaucoup ?— En tout, nous en avons 22 maintenant, tous des mâles, des bergers belges, que des pures races.— Je vois ça. Alors c’est donc vrai. Marion, je peux te parler en privé ?— Oui, suis-moi.

J’avais la peur au ventre, elle fit encore venir Martine. Dans la cuisine, assise, elle nous regardait longuement. Soudain, elle se mit à pleurer à chaudes larmes. Nous nous sommes précipitées près d’elle.
— J’ai un aveu à vous faire. Je n’ai pas un rond, je suis à la rue et tout ça parce que je me suis fait fouetter et mettre par une dizaine d’hommes dans un gang-bang improvisé. J’ai tout perdu dans le divorce. — Ma pauvre, ne t’inquiète de rien, tu vas venir vivre avec nous. Y a toute la place qu’il faut. Fifille fait ton office. — Oui Maîtresse. — Laisse-toi faire, abandonne-toi. Ici, tu vas jouir et tout oublier. On va t’aimer comme l’une des nôtres.— Tu ne comprends pas, je suis aussi chienne que Martine et...— Comme nous toutes ?— Si tu veux. Si tu savais ce que vos dires m’ont fait du bien ! Je suis comme vous deux, une salope, une pute, une femme à soldat, une marie-couche-toi-là.— Ce doit être de famille, ma chérie. Tu sens, tu sens comme notre sœur te fait du bien, ma belle ? — Oui, elle lèche bien. Fifille, continue, je t’en supplie.

Je profitais de son désarroi pour l’embrasser à pleine bouche. Marguerite, quelque peu inquiète de nous voir revenir, était derrière moi, me tenant par mes hanches.
— Continue, ma chérie. — Elle reste, je vous le demande à toutes. — Elle reste, c’est déjà d’accord, nous avons tout entendu. Elle peut loger chez nous en attendant.— Je veux bien. Caroline ? Elle va jouir ! Oui, jouis petite sœur, sens comme c’est bon.

Devant Marguerite et moi, sous la langue bienfaitrice de Fifille, Caroline prit son plaisir à deux mains. Dans le salon, un peu plus tard, un clin d’œil à ma Justine lui fit comprendre d’user, d’abuser de ma grande sœur pour lui faire oublier ses peines.
— Ma chérie, pour cette nuit, tu vas aller dormir chez Madame Justine. D’accord ?— Oui, j’ai besoin d’un bon lit. — Bien, Madame et Marguerite sont nos meilleures amies, elles vont bien te traiter, tu vas voir. — Entre nous, je m’en fiche un peu, je suis si fatiguée de tout, de mon divorce. Mon ex m’a traînée dans la boue. — Pas de souci. Ici, on t’entraînera dans nos vices, tu verras comme c’est bon !

Madame Justine prit notre grande sœur avec sa compagne, notre vétérinaire. Chez ces deux merveilleuses femmes, Caroline allait passer une nuit sulfureuse en leur offrant son corps soumis et docile.
Quelque temps plus tard, en plein mois de mai, les travaux commençaient. Les murs qui nous menaient chez Madame furent détruits, la petite villa rasée et la grande clôture en bois dressée avec sa longue haie de Cyprès tout autour. La grande maison de Madame Justine fut bien agrandie, du simple, elle passa au triple de surface habitable. Sa maison terminée, fin septembre, on vida celle de mes deux amours, Amélie et Gilberte. On emménagea toutes chez Madame Justine et Marguerite, cela occasionna une grande fête, une de plus, pendant laquelle, Justine et moi, devant Caroline, ma grande sœur, nous fûmes prises par l’ensemble du chenil de Madame Justine. Ce fut aussi le tour de Gilberte de goûter aux chiens de Madame en ma compagnie. Je ne dirais pas qu’elle a détesté, elle hurlait de plaisir jusqu’à perdre connaissance. Il est vrai que nous l’avions préparée, physiquement s’entend.
Quant à notre maison, on lui fit une véritable fête à coup de bouteille de champagne et d’orgasme avant qu’elle ne soit entièrement rasée pour faire place au nouveau chenil.
Caroline nous quittait pour mieux nous revenir quelques semaines plus tard. Son divorce étant enfin réglé, elle pouvait se donner corps et âme, surtout son corps. Elle se présenta chez Madame dans son plus simple appareil. Pour tout vêtement, elle portait un fin collier de cuir et une laisse assortie. Très vite, elle fut prise dans le tourbillon de nos jeux pervers. Elle ne se priva pas de donner tout son être à nos perversions. Et nous n’allions pas nous gêner pour l’entraîner sur cette pente très savonneuse que sont nos vices. Chez Madame et avec elle, c’est ensemble que nous l’éduquons à nos vices les plus perfides. Caroline va tout connaître, tout subir pour devenir comme moi et madame, une salope de la pire espèce qui soit. Caroline, avec nous toutes, oublie vite les désagréments de sa vie antérieure, oublier le divorce. Épanouie, elle se donne en tant que soumise sexuel. Parfois, une bonne et cinglante punition nous emporte, elle et moi, dans des orgasmes démesurés.
On lui trouve un emploi dans le sous-sol, avec moi, dans notre magasin où il n’y plus de patronne, mais des folles du sexe, des accros, des addictives, des fondues du cul. Il m’arrive de la promener dans les rues, pour distribuer nos flyers à qui en veut. Et puis, parmi nous, il est une belle petite siamoise. À ma connaissance, c’est la seule chatte au monde qui aime se faire baiser par une meute de chiens en rut. Encore un détail, de 12 au départ, 22 par la suite, le chenil compte maintenant 34 bergers belges entraînés et éduqués à nous baiser. Si parfois, un chien est vendu à quelqu’un, c’est toujours pour son bien et celui du client, féminin ou pas. Je n’oublie pas ces soumis venant effectuer un stage de dressage intensif, jamais plus d’une dizaine à la fois des deux sexes.
Chez nous, avec Justine, réunies autour d’un repas toujours aussi délicieux, on cherche un nom à la nouvelle propriété. Si je me souviens bien, c’est Caroline qui l’a trouvé. Certes, il n’est pas affiché sur la porte d’entrée, mais il figure en bonne place au-dessus de la porte du chenil. Une belle enseigne en fer forgé sur laquelle il est écrit LE VICE REND LIBRE, tout simplement. Juste au-dessous, on a ajouté : BIENVENUE CHEZ LES SALOPES !
Un soir, que nous avions bu plus que de raison. Justine eut envie de goûter à quelque chose de plus violent que le fouet. Avec Marguerite, elle fut écartelée au milieu du terrain, entre deux poteaux. Nous avons laissé le soin à sa compagne officielle de la fouetter cruellement à l’aide d’un chat à neuves queues pourvu de toutes petites pointes acérées. Elle dessaoula vite notre maîtresse des vices. Son cul ne fut plus que plaie et sang avant qu’on ne la délivre. Si elle n’avait pas joui, ce qui était le cas, elle fut satisfaite du résultat. Elle insista pour que des photos de son postérieur soient prises en compagnie du dit martinet. Une fois imprimée, Justine les fit afficher pour tous nouveaux stagiaires comprennent qu’ici, ils étaient uniquement là pour obéir et subir.

Depuis, c’est le bonheur et bien plus encore, le plaisir de la chair sous toutes ses formes et j’insiste bien. C’est cette quête du plaisir qui nous soude, la quête d’un plaisir absolu, de l’orgasme ultime, celui qui vous terrasse, vous désarticule, vous démembre !
Mais ça, c’est une autre histoire !
Fin.
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