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Chienne jusqu'au bout des ongles

Chapitre 1

Zoophilie
Bien de l’eau s’est écoulée sous les ponts depuis ma première expérience zoophile. Depuis, je n’ai cessé de penser, de fantasmer, de rêver aux pires images et films, que pouvait créer mon imagination dans ces situations aussi dégradantes. Malgré la honte ressentie à la suite de ma première aventure (voir « Histoire d’une vraie chienne »), de m’être promise par la suite, de ne jamais plus recommencer sous aucun prétexte, les jours passants, la tentation de l’interdit finit par avoir raison de ma libido, pour laisser place à des scénarii à faire rougir mon clavier d’ordinateur. Il est parfois difficile d’avouer l’inavouable, plus encore de mettre en ligne ses plus bas instincts de femme corrompue aux vices du sexe, mais j’ai voulu cela, peut-être pour me soulager d’un poids trop pesant, d’une obsession grandissante ou tout simplement d’un désir de partager mes perversions malsaines.J’avais beau faire pour m’échapper de cette emprise vicieuse, rien n’y faisait, sans cesse des pensées lubriques me taraudaient l’esprit. Je laissais Ralph, le chien du voisin, habitué des lieux, rôder de plus en plus autour de ma personne, sentir mon intimité, passer sa langue sur mes fesses, tout en vacant à mes occupations ménagères. Évoluant la plus grande partie de mon temps dans le plus simple appareil, entièrement acquise à sa cause, je lui facilitais grandement la tâche de ses explorations. Certes, lors de mon premier rapport zoophile en présence de mon mari, j’avais déjà brièvement goûté à sa langue, mais maintenant j’en étais au stade même de le provoquer, écartant mes jambes, me penchant en avant afin de lui faciliter un maximum le léchage. Ce jeu sexuel ne faisait qu’attiser mes sens, accroître mon envie débridée de satisfaire mes pulsions animales. J’étais toute proche de la rupture, prête à céder une nouvelle fois aux appels du vice, mais à un tout autre jeu, que celui de l’accouplement. Autant jusqu’à présent, je masturbais sa verge, me faisais saillir comme une chienne, autant, je n’avais jamais osé aller plus loin dans mes attouchements. Chaque jour, toujours davantage, je sentais fondre en moi tout désir de résistance. A ma demie passivité aux provocations de Ralph, je finissais par faire place à de l’incitation, allant jusqu’à m’enduire du nutella sur ma raie culière. Et comme si cela ne suffisait pas à mon dévergondage, je me positionnais même à genoux sur le canapé, face contre le dossier, jambes écartées et fesses tendues, pour faciliter l’exploration buccale de Ralph. Quant à me mettre à quatre pattes, c’était systématiquement prendre le risque de me faire grimper, une habitude devenue familière pour lui.
Pour la énième fois, je me suis offerte à la langue de Ralph, ma vulve est trempée de bave animale et de ma propre mouille. Je suis fortement excitée, je ne sais pas pourquoi, j’ai les yeux rivés maintenant sur le corps du chien, et plus précisément sur son sexe. J’ai trop envie, trop besoin de satisfaire mes sens exacerbés, de franchir une étape de plus ou plus exactement de savoir! Savoir quoi? Je ne le sais pas moi-même! Juste concrétiser une partie de mes fantasmes, pouvoir assouvir ma lubricité, me dire < je l’ai fais >.De ma main, je caresse doucement ses parties génitales, sa verge a fait éruption hors de sa gaine, je l’observe, aucune manifestation de désapprobation n’apparaît au travers de son comportement. Il sait ce qui l’attend, il sait que je suis sa chienne! Le contact de mes doigts enserrant ce sexe canin me procure une étrange sensation, à la fois de défi à moi-même, et de découverte. Je n’ai qu’une idée en tête, continuer, réaliser mon ignominie, achever ma descente en enfer. Je glisse mon visage à la hauteur de sa tige, et presque tout naturellement, ma main aidant, mes lèvres entrent en connections avec le dard animal. Dans c’est élan de continuité, je fais rentrer ma langue en scène. Elle effleure d’abord la pointe puis progressivement, m’enhardissant, je joue de celle-ci sur toute la longueur de son membre. Drôle de ressentie que j’éprouve à ce moment-là, comme si mon subconscient d’un côté me freine d’accomplir un tel acte, et d’un autre côté, c’est tout mon for intérieur qui irrésistiblement me pousse à parachever mon instinct bestial. Ma décision, que je le veuille ou pas, est déjà prise, ma bouche s’est entrouverte suffisamment pour laisser passer la bite du chien. Je referme délicatement mes lèvres, avant d’entamer une toute aussi délicate fellation. Le calme et l’immobilité de Ralph me rassure dans mon audace, m’encourage même à poursuivre mon action. Peu à peu, je prends confiance en moi, j’oublie tout ce qui m’entoure, je me rassure intérieurement, jusqu’à éprouver du plaisir à sucer cette queue. J’ai osé, je n’ai plus aucun scrupule, je n’hésite plus à enfouir ce pieu en totalité entre mes dents, soumise et consentante à une telle obscénité. Je me comporte comme une véritable bête humaine, je veux le faire jouir, pas au fond de ma gorge, pas maintenant, la prochaine fois peut-être, car je sais qu’il y aura une prochaine fois. Je veux voir sa semence couler. Je suce encore longuement son sexe, je le pousse au paroxysme de la jouissance, et quand je le sens s’agiter de spasmes annonciateurs, je positionne alors ma main de telle façon à récolter dans le creux de celle-ci l’apogée de notre relation. De l’autre, je branle vigoureusement sa bite, et je ne stoppe ma masturbation uniquement que, quand je suis sûre d’avoir vidé ses testicules. Instinctivement, je porte ma main à mes narines, et ce que je m’étais promise de ne pas accomplir, quelques secondes auparavant vole en éclat. Je me libère de tout préjugée, de toute frontière sexuelle, je commet l’irréparable, je m’étale le sperme animal sur le visage, tout en prend, je suis enlisée dans un automatisme de dépravation, je maîtrise que partiellement mes gestes, je suis complètement à côté de la réalité, je suis dans un monde irréel. J’ai du mal à me contrôler, je lèche la paume de ma main, suce mes doigts, me masturbe, je jouis à plusieurs reprises, je suis devenue prisonnière de ma perversité.Le regard dans le vide, je reste un long moment immobile, songeuse et interrogative. Ralph a quitté la pièce, certainement satisfait de l’attention que je viens de lui porter.Il m’a fallut plusieurs jours pour accepter un tel dérapage dans ma vie sexuelle, tout comme la première fois ou je me suis faite monter par Ralph, mais je sais, c’est plus fort que tout, je porte en moi les stigmates du vice.
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