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La chienne de Marcel

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Nous sommes tous réunis autour d’un lunch chez Laure et Frédéric pour leurs trente ans de mariage. Mon mari, Jacques, est là aussi. Pour une fois qu’il n’est pas en déplacement. Le printemps est bien là, le soleil chauffe les invités en ce dimanche d’avril et le punch coule à flot dans les verres.
Mon verre n’a pas le temps de se vider complètement que Jeanne, une connaissance de longue date, vient me le remplir avec un petit sourire. Je commence à avoir chaud moi aussi, mais chose incompréhensible, c’est dans le bas de mon ventre que naît cette chaleur.
Les pointes de mes seins durcissent et deviennent sensibles, je me sens troublée, la tête me tourne un peu. Je m’éloigne des invités pour que mon mari ne me voit pas dans cet état, car il se moquera de moi devant tout le monde en disant que je suis saoule.
Je fais le tour de la maison et rentre dans une petite serre adossée au mur de la clôture, dans le fond du jardin. Il règne là une douce chaleur climatisée. Je contemple les orchidées de toutes les couleurs.
Soudain je sens deux mains chaudes glisser sur mes cuisses, remontant ainsi ma robe. Je laisse faire, pensant que c’est Jacques qui vient enfin s’occuper de moi dans ce petit coin isolé de la fête.
Il y a bien longtemps qu’il ne m’a pas fait l’amour.
Quand il n’est pas en déplacement professionnel, il est dans le garage à restaurer une vielle voiture. Il approche de la soixantaine et moi j’ai quelques années de moins. Les mains vont directement sur mon fessier.
Je pousse un petit gémissement quand elles serrent mes fesses.
J’aime me faire peloter le cul et je sens ma chatte mouiller quand elles pressent mes fesses en passant des doigts dans la raie de mon cul.
Je sens surtout la queue durcir contre ma hanche.
Je suis étonnée de voir la vitesse à laquelle il prend du tonus. Une main se glisse dans ma petite culotte pour descendre sur ma moule, qu’elle commence à masser. Puis deux doigts écartent mes grandes lèvres pour s’introduire dans la moiteur de mon puits d’amour.
J’écarte les cuisses pour lui faciliter le passage.— Tu mouilles bien, tu es en manque ?
Je sursaute, je me retourne en serrant les cuisses, c’est Gilles le beau-frère de Laure. Surprise d’avoir été touchée intimement, je lui demande de me laisser de peur d’être surprise par mon mari.
— Il faut d’abord que tu libères ma main de ta chatte en chaleur. Et ne me dit pas que tu n’as pas envie de moi, j’ai remarqué que tu m’observais et ce n’est pas la première fois que je m’en aperçois. Même Jeanne me l’a déjà fait remarquer.
J’ouvre mes cuisses qui se sont refermées par réflexe quand j’ai sursauté de surprise. Le pire, c’est qu’il a raison, je l’ai maté à plusieurs réunions en me créant des infidélités imaginaires.
— Il ne faut pas prendre tes rêves pour de la réalité, que je lui réponds en poussant sa main hors de ma culotte.
Gilles m’attrape par les cheveux et colle sa bouche sur la mienne. Là je fonds, je l’embrasse goulûment. Je sens bien qu’il fait quelque chose avec son autre main.
Nous avons bien mélangé nos langues dans un baiser baveux.Gilles, appuie sur sa main, qui est toujours dans mes cheveux, il pousse ma tête vers le bas.
J’ai le réflexe de mettre mes genoux à terre. Là je comprends ce qu’il faisait avec son autre main.
À genoux devant lui, je me retrouve avec sa bite devant mon visage. Il l’a sortie de son pantalon.
— J’ai envie que tu me la suces Nicole. Jacques ne le saura pas, ce sera un petit secret entre nous. Fais-moi une bonne fellation jusqu’au bout !
Excitée, j’ouvre grand ma bouche, j’accède à sa demande. Les verres de punch m’ont excitée depuis un bout de temps. La tête de la bite de Gilles, entre dans ma bouche.
Je suis surprise par la saveur et la douceur de ce morceau de chair, alors que cela me déplaît fortement de sucer mon mari. À genoux devant Gilles, j’avale sa queue, ses mains dans mes cheveux et il fait coulisser sa bite rapidement entre mes lèvres.
Cela fait au moins cinq minutes que je suis à genoux devant lui à sucer son membre. De le sucer, je mouille comme une chienne en chaleur. Totalement excitée, j’oublie tout maintenant, les invités, la fête, mon mari.
Je prends goût à être à genoux devant Gilles.
— Je suis bien, tu es une bonne suceuse. Continue, ça monte.Ses mots m’excitent encore plus, je m’acharne de plus belle sur la queue de Gilles.
Sa bite gonfle de plus en plus dans ma bouche. Je sens le gland tressauter sur ma langue, je ne réalise pas tout de suite ce qui se passe, je manque de m’étouffer sous la première giclée qui fuse sur mon palais.
— Avale salope ! MMMMMM ! Avale tout…Je suis heureuse de donner ce plaisir à Gilles. Mais, je n’ai pas d’autre choix que de laisser sa queue remplir ma bouche de son sperme.
Quand je sens que ma bouche est tellement pleine, je ne peux qu’avaler cette crème que j’apprécie. Je ne veux plus lâcher la bite de Gilles, je continue à la sucer pour ne pas perdre une goutte de son plaisir.
La bite de Gilles ramollit dans ma bouche. Ses mains dans mes cheveux, il pousse ma tête en arrière. Puis il remet sa bite dans son pantalon et sort de la serre sans un mot, me laissant là abasourdie, complètement perdue comme dans un rêve.
Mais, je n’ai pas rêvé, mes genoux me font mal et j’ai encore le goût de son sperme dans la gorge. Je reste là, assise sur mes talons, une main sur ma culotte humide en me demandant quelle est la cause de cette soudaine excitation en pleine fête entre amis.
Deux semaines sont passées depuis mon égarement dans la serre de Laure. Je suis toujours à m’interroger sur cette soudaine bouffée de chaleur dans mon bas ventre.
Ce dimanche, Jacques et moi sommes invités au repas d’anniversaire de Jean. Je suis enchantée, car je sais qu’il y aura Gilles, qui a profité de ma bouche dans la serre chez Laure.
Nous sommes nombreux et je me retrouve assise en face de Marcel, un collègue de travail âgé de cinquante ans. Je le soupçonne de fantasmer sur moi au travail.
Pendant l’apéritif Marcel me glisse à l’oreille qu’il veut me rencontrer seule dans la petite dépendance à l’extérieur de la maison.
Au milieu du repas, il quitte la table. J’attends quelques instants, et me lève aussi.
Je me dirige vers l’extérieur quand j’entends Gilles m’appeler.— Nicole ! Que t’arrive-t-il aujourd’hui ? Tu n’as pas l’air dans ton assiette ?
— Laisse-moi, il faut que j’aille prendre l’air, je suis fatiguée. - Je peux t’accompagner ?
— Non je préfère rester seule. Je sors, sentant le regard de Gilles dans mon dos. Je rentre dans le cabanon où je retrouve Marcel qui m’attend en train de regarder des photos.
— Que veux tu Marcel ? Je n’ai pas beaucoup de temps.                                                                                                                        - Tu es très photogénique, regarde. Il me tend des photos où l’on me voit, dans la serre de Laure, à genoux devant Gilles, en train de lui faire une fellation.
La situation est plus que compromettante pour moi. Qui a bien pu prendre ces photos ? Nous étions espionnés. — Dis-moi, ton mari est au courant de tes activités extra-conjugales ?
— Tu es un personnage répugnant. Que veux tu de moi ? De l’argent ? — C’est une idée, mais en attendant j’ai d’autres projets pour toi. On va voir tout de suite si tu suces aussi bien que ce que je vois sur les photos.
Je le regarde dans les yeux avec un air de défi.— Me donneras-tu les photos, si je te la fais cette pipe ?— Bien sûr ma jolie collègue de travail, je ne suis pas fou non plus. Allez, suce-moi tout de suite.
Je m’abaisse jusqu’à son bas ventre. J’ouvre son pantalon et en sort son sexe flasque. Marcel me rapproche la tête et place son membre à l’entrée de ma bouche.
J’aspire ce morceau de viande avec mes lèvres. Je le sens gonfler rapidement.
Il passe une main dans mes cheveux pour faire coulisser ma bouche sur son sexe devenu énorme.Mais, c’est moi qui gère ma fellation, c’est mon plaisir d’avoir cet homme à ma merci.
Une de ses mains s’attarde sur mes seins, les pelotent au travers de mon chemisier. Je sors son membre de ma bouche pour reprendre un peu mon souffle. Je lèche son gland avant de remettre son sexe dans ma bouche. Je sens qu’il arrive au bout du voyage.
— T’es vraiment une bonne suceuse ! Tu es quand même une salope ! Je vais jouir !Quand il m’insulte comme ça, c’est qu’il n’est pas loin de jouir. Et voilà! Son sperme jaillit dans le fond de ma gorge par saccades, chaud et crémeux.
— AARRRRHH ! Avale putain ! De toute façon, je ne peux pas faire autrement, c’est tout juste s’il ne jouit pas directement dans mon estomac. Il se retire, satisfait. Marcel se rajuste. Je me redresse pour prendre les photos.
— Non, je les garde ma belle. J’ai d’autres projets pour toi. Et ne t’inquiète pas, ton mari ne saura rien tant que tu m’obéiras.
— Salaud ! Tu m’avais promis de me les donner.
— Tu rêves ! Je ne vais pas me priver d’une si bonne suceuse. Marcel sort, me laissant seule. Je viens de me faire avoir. Je reprends mon souffle, avant de rejoindre les autres.
La porte s’ouvre à nouveau et je vois Jeanne apparaître.— J’ai tout vu Nicole !— Quoi ?! Que fais-tu ici ? Va-t’en, tu n’as rien vu du tout.
— J’ai tout filmé avec mon portable, regarde comme tu es belle. Tu devrais faire du cinéma. C’est mieux que les photos que j’ai prises dans la serre chez Laure.
— C’est toi les photos ? C’est toi qui les as données à Marcel ?— Oui, c’est moi, et c’est moi aussi qui t’a servi le punch. J’avais mis dedans de quoi t’exciter.
— Tu veux quoi ?— Que tu deviennes une chienne en chaleur.
— Mais pourquoi ? Pourquoi tu fais ça ? Elle sort en laissant la question sans réponse. J’ai toujours le goût de sperme plein la bouche. Je retourne au lunch près de Jacques pour me rincer la bouche en avalant un verre de vodka.
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