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La chienne de Marcel

Chapitre 7

Marcel partage sa chienne.

Avec plusieurs hommes
Les semaines suivantes, je subis d’autres humiliations avec des pratiques plus ou moins sordides des gadgets divers et de différentes tailles, peu à peu mon corps ne résiste plus, maintenant il réclame sa part de plaisir. La sodomie est présente à chaque fois. Au bout de quelque temps, mon anus se dilate de plus en plus facilement. Quand Marcel m’encule, je prends un plaisir bestial, peut être est ce dû au fait qu’il me prend souvent en levrette ou à quatre pattes comme une chienne, que ce côté qui peut paraître dégradant a sur moi un effet totalement contraire.
En entrant dans l’allée de la maison mon cœur fait un bond dans ma poitrine, la voiture de Jacques est devant le garage, il est rentré avec deux heures d’avance que ce passe t il, aurait il des soupçons ?Je rentre dans la maison inquiète.— Je suis là ! Me crie Jacques de la chambre.
J’arrive tremblante dans la chambre, pour le voir remplir un sac de voyage qui est sur le lit.— Je pars tout à l’heure en Espagne, avec le propriétaire de la distillerie pour réparer son bateau.Je ne rentrerais pas avant mardi ou jeudi soir, je te téléphonerais quand nous serons arrivé.— Laisse-moi faire ton sac pendant que tu vas préparer ta trousse de toilette.
Une grosse berline vient le chercher et je me retrouve seule pour trois ou quatre jours, un instant j’ai eu peur qu’il connaisse mon activité du vendredi après midi.Demain j’irais flâner en ville pour trouver une ou deux nouvelles robes, c’est ce qui convient le mieux pour ma nouvelle activité du vendredi après midi.
Jacques est reparti en déplacement, je devrais être habituée, mais ce qui m’angoisse maintenant, c’est que Marcel va encore faire de moi son objet de plaisir, sa chienne obéissante.À présent qu’il m’a piégée pour de bon, il fait tout ce qu’il veut de moi pendant que mon mari est au travail ou en déplacement.
Il est dix-neuf heures le téléphone sonne, je décroche, c’est Marcel ?— Puisque ton mari ne rentre que mercredi matin, ce soir, je t’en mène avec moi voir des amis, je passe te prendre chez toi a vingt heures trente, ne met pas de sous vêtements avec ta robe.Je me demande comment il a su que Jacques est parti pour plusieurs jours. Excitée et en même temps angoissée, comment cela va se dérouler. Sortir avec un autre homme que mon mari, je n’ai jamais fait ça auparavant.
Marcel vient me prendre devant le portail, je monte dans sa voiture. Il fronce les sourcils en soulevant un pan de ma robe.— Je t’avais dit sans sous vêtements, tu ne m’as pas écouté, tant pis pour toi !Je baisse la tête comme une enfant prise en défaut, comme je ne sais pas où l’on va, je ne veux pas me balader cul nu. Nous traversons le village pour nous diriger vers la ville. Il s’arrête dans une petite rue de la vielle ville.-Vient suis-moi.
Nous pénétrons dans un petit bar, pour nous asseoir au fond sur une banquette à l’abri des regards.
Le patron vient nous servir les boissons commander par Marcel, pour moi il m’a pris un chocolat chaud et lui un demi de bière. Au bout de cinq minutes deux hommes rentrent et viennent vers nous.— Salut les gars voici Nicole dont je vous ai parlé.— Bonsoir Nicole. Répondent les deux hommes ensemble. Puis se présente en me serrant la main, André ! Paul !Marcel s’étant lever à leur arrivée, André et Paul, se sont assis de chaque côté de moi, ils me serrent d’un peu près, leurs mains frôlent mes cuisses à chacun de leurs mouvements, mais je n’en fais pas cas.
Marcel commande deux bières et s’assoit en face de nous. Pendant la conversation Paul détourne mon attention, mais j’ai bien entraperçu Marcel mettre quelque chose dans mon chocolat puis il me dit de le boire pendant qu’il est encore chaud, docile je m’exécute.Je me rends compte tout de suite que quelque chose a changé. Ils me serrent de beaucoup plus près.
Je fais comme si je me rends compte de rien. Je dois me rendre à l’évidence que leurs intentions sont plus qu’amicales. Cependant, quelque chose en moi, sans doute favorisé par la chose versée dans mon chocolat qui doit être un aphrodisiaque, fait que je ressens des bouffées de chaleur dans mon corps et je suis curieuse de savoir jusqu’où ils vont aller. Leurs mains se font de plus en plus précises, ils n’hésitent pas à faire glisser la fermeture éclair de ma robe et à glisser une main dans la fente ainsi créée.
Ils deviennent plus entreprenants, je tente de résister à leurs mains qui remontent le long de mes cuisses. En revanche lorsque André, une main sur ma nuque me bloque la tête, il colle sa bouche à la mienne, mes défenses tombent brutalement, ma bouche s’ouvre pour accueillir sa langue, mes mains ne luttent plus, mon corps se détend, mes cuisses s’écartent. Je réponds au baiser d’André, tandis que des mains remontent le long de mes cuisses et se glissent sous mon slip.  Paul ouvre le haut de ma robe, plonge son visage entre mes seins. Je ne peux retenir un gémissement lorsqu’un doigt atteint mon clitoris. Un reste de lucidité me fait penser à la folie de la situation, hors elle est bien vite étouffé par la bouche de Paul qui prend la suite d’André, alors que celui-ci, sort un de mes seins de ma robe, il se met à le téter. Les minutes suivantes voient mon slip être descendu le long de mes cuisses puis de mes jambes jusqu’à mes pieds.
Je me retrouve le haut de ma robe entièrement ouvert et le bas de celle ci relevée jusqu’à la taille. Il n’y a plus d’obstacle à leurs yeux, leurs mains et leurs bouches. Ils me caressent, m’embrassent me pénètrent de leurs doigts jusqu’à me faire jouir brutalement, mes gémissements sont étouffés par la bouche de Paul collée à la mienne.
Marcel se lève avec le sourire aux lèvres.— Je te laisse en bonne compagnie Nicole.— Vous la ramènerait chez elle ! Marcel m’abandonne à ses amis.C’est pour eux le signal, ils se lèvent et me prennent par la main, m’entraînent à l’extérieur, abandonnant sur place mon slip. Je n’ai même pas osé regarder le patron en sortant du bar.
Nous montons avec Paul dans la voiture d’André, Paul monte à l’arrière avec moi, tandisqu’André prend le volant. Paul ouvre son pantalon, baisse son slip, laisse apparaître son sexe bandé, puis, sans plus attendre, m’attrape par les hanches, il m’empale dos contre lui. J’en ai le souffle coupé, je ne m’attendais pas à ça.
Son sexe m’emplit sans difficulté, tant l’excitation que j’ai eu quelques instants avant a préparé mon ventre. Il fait passer ma robe par-dessus ma tête. Ma situation me parait d’un érotisme phénoménal ! Je me retrouve nue, appuyée sur le dossier du siège avant, empalée sur le sexe de Paul. C’est la première fois que je me retrouve livrée à des inconnus par mon maître chanteur.
Je n’ai pas le temps de culpabiliser, car le plaisir monte dans mon ventre, je me mets à me trémousser d’avant en arrière et de droite à gauche. Paul malaxe mes seins, André, de sa main droite, tente de toucher mes seins et mes cuisses. Il s’arrête bientôt sur un parking et vient nous rejoindre à l’arrière. Je me livre totalement à leurs désirs.
André m’embrasse avec ardeur tandis que ses mains vagabondent sur mes seins et mon ventre alors que le sexe de Paul au fond de moi me fait haleter de plaisir. Il jouit à longues giclées chaudes dans ma grotte en feu, André prend la suite, il m’arrache du sexe de Paul, m’allonge la tête sur les cuisses de Paul et se glisse aisément dans mon puits d’amour d’où s’écoule le sperme de Paul, il me laboure violemment tandis que Paul, saisit ma tête à pleines mains et entre son sexe luisant de notre jouissance dans ma bouche. Pas une parcelle de ma peau n’échappe à leurs explorations.
Le résultat de ce traitement est dingue, je jouis sans interruption pendant plusieurs minutes jusqu’à ce qu’André jouisse à son tour, un violent orgasme me secoue et me laisse inconsciente. Je me retrouve allongée sur la banquette arrière, André a repris le volant et Paul a repris ses explorations, investissant sans vergogne mon cul avec ses doigts. Moi qui pense en avoir terminé, je dois me rendre à l’évidence qu’ils ne sont pas du même avis.
Les doigts de Paul glissent dans mon anus sans difficulté, tant ils sont lubrifiés de nos plaisirs. De mes reins monte un désir nouveau, moi non plus, je ne suis pas rassasiée. Nous nous arrêtons, Paul abandonne mon anus et me fait sortir. Les deux garçons m’entraînent nue vers l’entrée d’un petit immeuble résidentiel, Paul me tient par le cul, tandis qu’André me pelote sans vergogne.
Nous grimpons ainsi trois étages et Paul nous fait entrer dans ce qu’il me dit être son appartement. C’est fou  ? Je me comporte comme une pute ? Heureusement qu’il est tard, car n’importe qui peut me voir nue entre les deux garçons.
À peine entré, André se déshabille et vient se coller contre moi, toujours fouillée par les doigts de Paul. Il m’entraîne avec lui, ce qui fait sortir les doigts de Paul de mon cul, nous nous écroulons sur un lit, moi sur lui. Il fait entrer son sexe dans mon ventre, il me tient fermement par les hanches, me fait aller et venir sur lui.
Mon ventre s’enflamme, je me mets moi-même à remuer ma croupe. C’est alors que je sens Paul dans mon dos appuyer son sexe à la porte de mes reins. André stoppe ses mouvements, me bloque fermement de ses mains, tandis que la verge de Paul force doucement l’entrée de mes reins. Ces deux-là n’en sont certainement pas à leur premier coup d’essai !
Une fois le gland passé, Paul n’a plus aucun mal pour enfoncer son sexe dans mon cul. Je n’ai pas le temps de protester, car mes deux amants se mettent à me pilonner en rythme ; le plaisir explose dans mon ventre et dans mes reins. Je ne peux me retenir d’exprimer bruyamment mon plaisir, tout l’immeuble doit être au courant de nos ébats.
Bien calées en moi, les deux bites vont et viennent, se frottant l’une contre l’autre, elles me donnent orgasme sur orgasme. C’est divin ! Lorsque André jouit dans mon ventre suivit par Paul dans le fond de mes reins, le plaisir est tel que je perds conscience.Ils n’en ont pas fini avec moi. Je suis sortie des vapes par le sexe d’André qui force ma bouche, mes deux amants m’utilisent encore plus d’une heure, en prenant plusieurs photos de leurs exploits, ils me font jouir comme jamais et me laisse enfin épuisée à même le lit.
En m’éveillant, je mets plusieurs secondes à comprendre où je me trouve. Je me lève pleine de courbatures, je laisse mes deux amants d’un soir dormir sur le lit, je trouve la salle de bain.Je me glisse dans la douche et laisse l’eau couler sur mon corps.
Lorsque je sors de la salle de bain couverte d’une serviette, ils sont réveillés, je lis dans leurs yeux que je n’en ai pas encore fini, ils ne me laissent pas le temps de dire non. La serviette est arrachée, je me retrouve écrasée entre leurs deux corps. Je sens leurs sexes durcir sur mon ventre et contremes fesses. André, qui me fait face, me soulève en me tenant par les cuisses pour me faire descendre lentement, son sexe pénètre le mien jusqu’au fond.
Dans mon dos, Paul prépare mon cul avec un puis deux puis trois doigts avant que je sente sa bite s’introduire dans mes reins. Ils me baisent debout pendant de longues minutes, je jouis encore sous leurs assauts. André se lâche le premier, mais Paul me baise encore trois quatre minutes avant de m’inonder les entrailles.
Ils ne me laissent pas le temps de repasser par la salle de bain, Paul me prend par la main, m’entraîne entièrement nue, du sperme coule à l’intérieur de mes cuisses. Nous sortons de l’appartement de Paul, descendons les trois étages sans rencontrer quelqu’un, nous sortons pour rejoindre sa voiture sous le regard incrédule, toutefois ravi d’un brave papy promenant son chien.
Dans la voiture, je peux récupérer ma robe que j’enfile tant bien que mal. Paul me dépose devant chez moi. Je rejoins ma maison, en marchant à petits pas de peur que mon ventre ne laisse encore s’écouler plus de sperme. Une fois rentrée je me précipite dans la salle de bain pour prendre une bonne douche.
Marcel a fait de moi sa chienne obéissante. Il obtient tout de moi, ainsi quand il me demande de ne plus mettre de dessous lors de nos rendez-vous, je m’exécute sans la moindre objection. J’ai découvert le plaisir d’être nue sous une robe, de sentir le vent caresser ma croupe et mon sexe, d’être en état d’excitation permanente. Je suis devenue un objet sexuel qu’il utilise a sa guise pour son plaisir et maintenant celui de ses amis, je le soupçonne d’en tirer un profit. Ou cela va-t-il me mener, mais c’est tellement bon.
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