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La chienne de Marcel

Chapitre 9

Nicole devient chienne

Zoophilie
Nicole devient chienne.
Pendant le repas, Jean remplit mon verre dès qu’il est à moitié vide, je me grise toute seule de cette situation de soumise.Jean vient se placer derrière moi pendant que Jeanne me parle de soumission.
— Tiens, voilà ton collier puisque tu es une chienne, dit-il en me passant un large collier en cuir autour du cou.
A l’humiliation d’être rabaissée au niveau d’une bête se rajoute l’angoisse de ne pas savoir ce qu’ils vont me faire subir cette nuit.
Jeanne se lève, me prend la main pour m’amener sur le tapis du salon.
— Tu es une chienne que je vais mettre en chaleur, viens embrasser ta maîtresse.
Je préfère les hommes bien sûr, mais sa douceur féminine est très agréable et sensuelle. Cependant avec elle, c’est encore mieux, bien plus excitant, car nous sommes amies et je suis sa soumise.Ses paroles me troublent. Je me colle contre elle, écrasant ses seins contre les miens. Cette douce sensation me plaît particulièrement.
Nos bouches s’ouvrent et nos langues se rencontrent pour sceller ma soumission à ma nouvelle maîtresse. Doucement, je fléchis les jambes, descends doucement jusqu’à ce que ma bouche se trouve à la hauteur de son sexe. Quand mes lèvres touchent son clitoris trempé, elle jette le ventre en avant pour que je boive son miel qui coule doucement.
Sa jouissance est rapide et les cris qu’elle pousse me font comprendre qu’elle en veut encore.Tout ne fait que commencer entre nous deux, j’aime cette soumission.Elle me relève sans me quitter des yeux, elle me lèche la bouche, puis elle appelle.
— Brutus !
C’est un chien qui vient immédiatement me renifler les fesses.

— Mon Dieu ! OH non !
Pas besoin de lui expliquer très longuement. Je suis intimement persuadée qu’il a l’habitude et sait ce qu’on attend de lui, car de suite son museau entre mes cuisses cherche ma fente.Je suis trempée, tremblante par l’excitation qui me prend le corps.
— Mets-toi à quatre pattes ! m’ordonne Jeanne.
Sans dire un mot, je me mets à quatre pattes comme pour une levrette, puis les reins relevés, les fesses écartées, je lui présente mon sexe affamé et gluant.Brutus lui aussi semble nerveux, il gémit, me sent puis me lèche. Hum quel délice !Je tends davantage ma croupe à Brutus. Un frisson me parcourt tout le corps lorsque sa langue râpeuse touche mon petit bouton.
Sa langue me pénètre légèrement, puis elle remonte entre les lèvres de ma moule pour s’échouer sur mon anus. Les secondes passent, ma cyprine s’écoule de plus en plus abondamment, je deviens bouillante et ce qui doit arriver arrive, je jouis. Et je ne l’ai pas senti venir. Comme s’il savait, Brutus me monte sur le dos et tout va très vite, je sens que je vais à présent me faire prendre comme une chienne en chaleur.
L’idée d’être livrée à un animal devrait me faire horreur, et pourtant les coups de langue m’ont chauffée de plus en plus. Je perds la tête. Jamais on ne m’a léchée avec cette fougue, cette force, cette gratuité.
Excité comme il est, il donne dans sa précipitation des coups de reins dans le vide. Je sens la pointe de son sexe cogner mes fesses et les premières giclées de sperme couler le long de mes cuisses.Malgré mon appréhension, j’ai le réflexe d’ouvrir les jambes et d’arquer le dos, m’offrant ainsi involontairement à la saillie.
— Aide Brutus, Jeanne ! Il ne trouve pas l’entrée.
Elle profite que je tourne la tête, elle saisit la bite de Brutus et la guide à l’entrée de mon jardin d’amour. Dans un bref instant de lucidité, je pousse un cri de refus.
— NONNNN Jeanne ! Tout mais pas ça ! NON !
Je sens ma grotte s’ouvrir. Aidé par mon attitude soumise. Il se penche lourdement sur mon dos, ajustant sa position pour obtenir un effet maximal.
La tête posée sur mes avant-bras, je regarde entre mes jambes et je vois la main de Jeanne tenir le bout du sexe de mon futur amant et le présenter devant mes lèvres gonflées de désir.
— Je... Je vous en prie ! Au contact chaud de mon intimité, d’une poussée magistrale, il entre d’un seul coup toute la longueur de sa hampe en se cambrant, en soulevant la croupe.
Il m’arrache un cri de douleur, de surprise.
— OOH ! Non ! Pas ça ! AARGH !— Te voilà une vraie chienne, comment tu trouves ça ?— C’est bon hein ! Il va falloir que tu t’habitues. Tu as vu avec quelle force il t’a enfilée ?
Bien logé dans mon puits d’amour, mon amant entame des va-et-vient frénétiques. Je sens sa barre de chair bouger en moi, là je suis bien emplie, je sens sa longue et grosse bite chaude pomper dans mon ventre. Mon amant lâche de belles giclées de foutre canin qui tapissent copieusement l’intérieur de mon puits d’amour.
Après cinq minutes de ce traitement, il prend appui sur ses membres inférieurs et d’un formidable coup de reins, il enfonce son nœud qui venait depuis le début frapper l’entrée de mon puits d’amour qui ne voulait pas le laisser passer. Il s’enfonce encore plus profond en moi en m’arrachant un cri de surprise, le bout de sa bite investit assez profondément mon utérus puis subitement, je sens son nœud se mettre à gonfler.
Mon amant me remplit au plus profond de moi-même en se projetant de plus en plus loin, c’est douloureusement bon. À chaque coup de reins, il pousse encore plus loin, poussant la pointe de son sexe dans ma grotte en feu, son extrémité frappe avec une telle force mon utérus, que j’ai l’impression qu’il le traverse. La pression dans mon ventre est terrible, je jouis devant Jean et Jeanne comme une folle prononçant des encouragements à mon partenaire qui me baise.
Se détendre avant tout, je dois me détendre pour profiter pleinement de cette délicieuse saillie.À présent, son sexe pousse plus avant, pénètre davantage, comme je ne l’ai jamais été, pleine de sa chair brûlante. Sa boule presse délicieusement les muqueuses sensibles de mon intimité.
Je sens à présent mon corps frissonner, trembler, comme pris de spasmes incontrôlables. Je gémis, râle, je couine mon plaisir. Jeanne est excitée par le spectacle qui lui est offert. Elle se caresse, se doigte aussi vite qu’elle le peut, subjuguée par le tandem contre nature que nous formons. Elle tire mes cheveux vers le haut pour que je me redresse sur mes mains, bras tendus. Je reprends la position de la chienne qui se fait saillir.
Elle se glisse sous mon ventre. Elle me gratifie de douces caresses sur les flancs puis entre les jambes, pince au passage mon clito gonflé à éclater.Brutus me couvre, le museau contre ma nuque. Il déverse en moi à grands jets une semence épaisse au fond de mon vagin. Je le sens grossir encore, s’allonger me remplir intégralement le ventre.
Une seconde jouissance m’envahit, suivie d’une multitude de spasmes me parcourant, alors que sa liqueur chaude remplit ma grotte d’amour. Je veux être sa femelle tout le temps, porter ses chiots, être sa soumise à chaque fois qu’il en aura envie, devenir une vraie chienne, prête à répondre à ses désirs. Je suis prise, soudée à lui. Je sais que Jeanne apprécie de me voir dans cette position de chienne soumise à son mâle.
Est-ce l’odeur de Jeanne en chaleur et le fait de me saillir simultanément qui le rend aussi vigoureux ou alors simplement il prend goût à me monter ? Le fait est, il me baise royalement comme jamais je ne l’ai été.Les doigts de Jeanne font en ce moment merveille. Je ne contrôle plus rien. Je ferme les yeux, me concentre sur mon plaisir immense, imminent, imparable, je vais jouir, c’est fort.
Je sens la déferlante qui grossit... Inexorablement.
— ARHHHH, AHH, OUIIII ! C’est BONNNN.
Mon cri déchire le silence qui n’est jusqu’alors rythmé que par les halètements de mon amant. Je sens un voile noir arriver, des mouches dans les yeux, des picotements dans la tête qui descendent le long de ma colonne vertébrale et remontent de mon bas-ventre en de longs papillons frissonnants.
Mon amant continue de me baiser, en donnant de temps à autre quelques petits coups de reins afin de bien assurer la prise dans mon ventre. Dans ma semi-inconscience, je regarde sa semence suinter de mon sexe et s’écouler sur le visage de Jeanne.
Elle est sous moi, elle plaque sa bouche contre ma moule toujours prise. Par-dessous, je la regarde laper, avaler le sperme qui dégouline de ma grotte distendue. C’est sublime, elle sait y faire ma maîtresse. Je suis à présent persuadée que ce n’est pas la première fois qu’elle lèche une femme.Ce faisant, par la position qu’elle a été obligée de prendre pour se glisser sous mon ventre, elle m’offre ainsi une vue imprenable sur sa toison pubienne, fort bien entretenue.
Son sexe est ouvert, ses poils gluants de mouille, elle aime visiblement me soumettre à son chien.Sa langue titille mon bouton, suce, lèche aussi les lèvres de ma moule et sans doute la queue de Brutus, toujours plantée en moi. De loin, je sens arriver une nouvelle déferlante de plaisir, les premières vibrations me le disent.
Le sexe fiché en moi excite les parois de mon vagin. Les caresses buccales de mon experte maîtresse ainsi que les odeurs musquées de sa vulve dans laquelle je viens de plonger ma langue avide, m’amènent sans coup férir à l’apogée de la jouissance.La précédente vague avait été sublime, mais celle-là s’annonce dantesque.
Mon amant toujours imperturbable m’inonde de son jus. Jeanne se délecte du trop-plein coulant le long de ma fente et moi je sens que je perds tout contrôle, mon bassin s’agitant frénétiquement à la rencontre du baiseur. Je le veux encore plus en moi, plus loin.
Sa pointe est fichée au plus profond de mon puits d’amour, son bout tapisse mon utérus de jets de sperme et sa boule écartèle mes lèvres intimes. Mes seins sont tendus comme jamais, mes tétons hypertrophiés. Tout en moi n’est plus qu’une zone érogène.
Je dévore la chatte de Jeanne qui me le rend bien. Elle geint comme une possédée. La situation lui a échappé à elle aussi. Les contractions dans mon anus et dans mon ventre précèdent l’arrivée proche d’un nouvel orgasme.
Comme une malade, je souffle, halète, gémis, grogne et crie enfin ma jouissance. Pour la première fois, je jouis grâce à un chien en présence d’une autre femme ! C’est contre nature, mais c’est merveilleux. Tout mon être n’est que tremblements, spasmes, frissons de plaisir. Ma jouissance est si forte, que la queue de mon amant est éjectée, laissant échapper par ma grotte béante, une giclée de sperme sur le visage de Jeanne.
Je n’ai jamais vu pareille abondance. Ses cheveux maculés, la bouche gluante d’un mélange de salive, sperme, mouille, elle fixe l’énorme queue qui pend devant ses yeux et continue à déverser les dernières giclées sur sa bouche affamée.
Épuisée, je tombe inanimée sur la Jeanne, parcourue par des décharges résiduelles, c’est à peine si je vois Jean se précipiter sur Brutus, pour amener la bite de mon amant devant moi.
— Prends-la dans ta bouche ! Avale-la, suce-la !
Je me relève et sans dégoût, il attrape l’énorme bite entre ses mains, la passe entre ses pattes arrière et me l’embouche, lui laissant lâcher les dernières gouttes de semence sur ma langue.
La taille de l’engin est toujours aussi impressionnante !Je pompe comme si c’était le sexe d’un homme, léchant, glissant sa langue autour de la boule énorme. Je suis heureuse. Je viens en moins d’une heure d’embrasser, de lécher, de me faire lécher et de me faire baiser par un chien.
Maintenant sans aucune gêne, sans aucun dégoût, je le pompe avec avidité. Pendant que Jeanne continue de me sucer la vulve en aspirant le jus à l’intérieur.
— Alors ! Tu as aimé ? Pour la première fois que tu fais la chienne, tu te débrouilles bien ?— C’était divin ! Je ne sais pas quoi vous dire d’autre.— Je me suis demandé si tu ne t’étais pas déjà servi d’un chien, me dit Jean.— Je vous jure que c’est la première fois !! Vous m’avez rendue complètement dingue ! J’ai le ventre en feu à présent, mais je ne regrette pas.— Nous avons d’autres amants comme Brutus, à te faire connaître.— Reste à quatre pattes comme une chienne que tu es devenue, tu as des hommes à satisfaire !!
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