Ce soir Jacques m’invite dans un très bon restaurant, il est tout joyeux. Il m’a dit qu’une nouvelle vie commençait pour tout nous deux. Il a exigé que je m’habille d’une robe sans sous-vêtements , juste une guêpière avec des bas. Sur le chemin du retour avec ses doigts, il me branle le clito et il me fait jouir deux fois de suite. Comme il roule doucement, je ne compte plus les appels de phares et les coups de klaxons des voitures excédées par sa lenteur. A peine franchi le seuil de la maison, il me retire ma robe et me sodomise en levrette sur le tapis du couloir, après m’avoir lubrifié l’anus avec ma mouille. Il me sodomise encore dans le lit conjugal et je suis toujours en guêpière avec les bas. — Tu restes comme ça toute la nuit, je recommencerai demain matin, maintenant que tu ne me refuses plus ton cul, j’ai ce plaisir en retard et j’ai besoin que tu sentes la chienne souillée. Le lendemain, matin après le petit déjeuner, Jacques me sodomise en levrette sur le tapis du salon. — Reste dans cette position de chienne. Me dit-il, je le vois mettre le caméscope sur un trépied pendant que l’excédent de son sperme ruisselle sur ma vulve. Jacques toujours nu, il fait rentrer mon amant occasionnel qui a passé la nuit dans le garage, il conduit son museau entre mes fesses, donc il ce met tout de suite à lécher. Après ses très agréables préliminaires, il me monte comme d’habitude, lorsque je deviens sa prisonnière et que je jouis, Jacques vient présenter sa queue devant ma bouche pour se faire sucer. — Je ne me suis pas lavé la bite depuis hier, c’est pour le goût. Dit-il avec un sourire. Quand il remplit ma gorge avec une bite bien propre, il a continué à me filmer avec mon amant ancré en moi, après qu’il s’est libéré de ma grotte, il la filme béante, ruisselante du sperme de Rex. Le caméscope est relié au grand écran de la télévision, lorsque je me vois à l’écran avec mon amant sur les reins, un frisson augmente ma jouissance surtout, lorsque je vois sa boule sortir en écartant les lèvres de mon sexe dégoulinant de son jus. Jacques désire continuer à me filmer quand il me sodomisera et que Rex en fera de même et ainsi de suite. La journée va être occupée à ça pour le plus grand plaisir de Rex, qui va abondamment me saillir. Dans l’après-midi pendant que je prends un peu de repos, Jacques s’absente une petite heure pour revenir avec une laisse et un collier en cuir avec une médaille gravée à mon nom, qu’il a acheté dans une animalerie. Il met tout de suite le collier que je trouve très beau. Jacques me promène en laisse d’abord dans la maison puis dans le jardin. J’entends des petits jappements sortir du garage ? Je regarde Jacques avec interrogation. — Je suis allé chercher du renfort pour satisfaire ma chienne en chaleur. Nous rentrons dans le salon, Jacques me dit de rester sur le tapis au milieu du salon. Il attache la laisse a un pied de la table.Jacques m’ordonne : — Reste à quatre pattes et offre-toi à tes mâles !
Jacques fait rentrer Rex suivit de Brutus et de Sultan et deux grands chiens bruns genre malinois.Aussitôt Rex vient me sentir, puis se met à me lécher depuis le clito jusqu’à l’anus.Ouah ! Il suffit de quelques minutes pour que je prenne mon pied et pour que je jouisse en haletant et en gémissant. — Alors ma petite salope, tu aimes ça te faire lécher par Rex ?— OOOH ! Ou !— Donc, avant qu’il te monte avec ses frères, tu vas aussi lui faire plaisir. Il prend Rex par le collier. Lui, il veut me monter, comme d’habitude, mais il lui dit : — Laisse-toi, faire, mon chien. Il comprend ? En tout cas, il se laisse faire. Jacques lui met le museau en face ma tête et me dit. — Tu l’embrasses ? Les autres, vous attendez ! Je ne sais pas si les chiens comprennent, mais ils font bien semblant. Rex vient vers moi qui suis à quatre pattes. Il me lèche la bouche. Sur le même ton qu’il a employé pour donner un ordre aux chiens, il me dit, tu l’embrasses ! Ce n’est pas ce que je préfère. Je sors la langue et la mélange à celle toute baveuses de Rex. — Bien ! Brave chienne, embrasse le bien, il t’aime et toi aussi, tu l’aimes ! Je sens les dents du chien contre ma langue, j’ai plein de salive et de bave dans la bouche. Après un long baiser, bouche à ... Babines et langues qui se caressent, Jacques ordonne ! -Monte la, Rex !! Je suis en position, je cambre bien les reins. Le chien renifle mon cul avec délice. Aussitôt, le chien enserre ma taille entre ses pattes puissantes. Je sens son sexe énorme le long de ma chatte. Jacques vient derrière nous et empoigne le sexe de Rex. Je gémis ! - Doucement, doucement, Maître. Tu parles ! Doucement ? Rex est excité ! Une fois que le bout de son sexe a pénétré dans mon vagin, il donne un grand coup de reins et s’enfonce en moi ses trente centimètres de verge. — AARRGGHH ! Je vois des étoiles ! Il y a bientôt les messages que mon puits d’amour envoi à mon cerveau : C’est le bonheur absolu ! C’est vrai c’est énorme ! A la fois le sexe du chien et les sensations qu’elle me procure ! Je suis la femelle qui accueille le sexe de son amant avec ravissement et ne tarde pas à jouir sous lui . Pendant que mon mari filme la scène.Il continue à me limer à grands coups de reins, tout en bavant abondamment sur ma nuque. Jacques passe du côté de mon visage et il ordonne à un des chiens. — Brutus, ici ! Il n’attendait que ça. Il le fait mettre, le cul vers moi. Ensuite, il passe une main entre ses pattes et ramène son sexe tout aussi énorme, rougeâtre avec des parties plus roses. Un liquide visqueux sort du méat.— Suce le comme tu me suces ! Bon ? J’ouvre la bouche. L’autre chien tourne autour de nous, impatient de participer à l’orgie. Je suis obligée d’ouvrir complètement la bouche pour sucer le sexe. J’essaie de me synchroniser sur les coups de reins de Rex, mais il va trop vite. Je sens, enfin, le sexe gonfler dans mon vagin, la dilatation est telle que j’ai un nouvel orgasme. Par saccades, Rex m’inonde le vagin. Je sens que son sperme déborde de ma chatte et coule sur mes cuisses et puis un ploc. L’énorme sexe sort de mon puits d’amour, ça me fait un vide. J’ai l’impression que mon vagin reste entrouvert ?Jacques prend le sexe du chien que je suce et le serre à la base. Je le sens, lui aussi, gonfler et soudain c’est comme si on ouvre un robinet dans ma bouche ? Il m’envoie des saccades de sperme, j’avale et laisse couler le surplus sur ma gorge et mes seins. Jacques parle à Sultan, il le fait se coucher sur le dos.Je n’ai d’yeux que pour cette énorme pine. Je vais avoir tout ça en moi ?Il choisit bien ses mots pour me dire. — Chevauche-le et enfonce sa pine dans ton minou. J’obéis ? Je prends le sexe de Sultan en main et m’accroupis dessus, le faisant pénétrer dans mon puits d’amour lubrifié par Rex. MMMMH ! Il me remplit complètement ! Je me baisse pour bien me l’enfoncer, jusqu’à toucher le fond de mon puits.Je sens qu’il y a un autre chien derrière moi et qu’il me grimpe dessus. Je jette un coup d’œil et je vois que Jacques est avec le chien, derrière moi, je râle : — Non Jacques, pas deux en même temps dans mon minou ? Mais le bout du sexe de l’animal vient me caresser l’anus. OOH ? Il faut que je me décontracte. Avec mon puits d’amour complètement occupé par Sultan, ce n’est pas facile. — Doucement, mon chéri, c’est ? AAARRHHHHH ! Il pousse un bon coup sur les reins du chien et je suis sodomisé d’un coup.Mon anus résiste et les chiens frottent presque leur énorme bite l’une sur l’autre.Je revois des étoiles. J’ai l’impression que je vais m’évanouir, c’est l’effet que me fait toujours une très grosse pénétration anale. Mon cerveau réagit en fabriquant des endorphines. Le message suivant se forme dans mon cerveau : deux chiens te baisent ! Une énorme pine dilate ton vagin, une autre ton cul. Je croyais que j’avais été aux limites de l’élasticité, de mes deux puits d’amour, mais non ? Jacques donne une bonne poussée au cul de mon sodomite et le nœud bulbeux s’enfonce en moi. La force de la poussée me fait rentrer celui de Sultan dans mon vagin. Là je ne crie pas ? J’ai un blanc. Ensuite, une sensation incroyable. Un truc énorme, un orgasme d’une force incroyable ? Jacques amène le troisième chien devant moi. — Allé ! Il y a un trou à combler ! Il est très grand, alors à quatre pattes, je suis presque à la hauteur de son sexe. Jacques l’aide a monté ses pattes avant sur mes épaules ? Je comprends ce qu’il attend de moi. Je me retrouve avec le sexe du chien devant mon visage.Et quel sexe ? Gros, très rouge, avec des parties noires. Il est mouillé, il sent très fort. J’ai un mouvement de dégoût ! Jacques me prend par la nuque et pousse mon visage contre le sexe. — Suce-le ! Que faire d’autre ? J’écarte les lèvres au maximum pour le faire entrer dans ma bouche. Le bout est tout mouillé, le goût est très fort à la fois salé et fade. Le chien a compris, qu’il peut me saillir la bouche. D’un coup de rein, il le pousse à fond, j’ai la bouche remplie, le nez dans ses poils et le gland contre ma luette. — Tu vas le pomper jusqu’à ce qu’il jouisse dans ta bouche et tu l’avaleras. Me dit Jacques. Le chien descend ses pattes avant de chaque côté de mes aisselles et a grands coups de rein, il me baise la bouche. Ma bouche est pleine aussi maintenant. Quelles sensations ? — Tu aimes ça ? Hein,, ils te remplissent tous tes trous. Je ne peux pas répondre, j’ai la bouche pleine. Ils sont endurants. J’ai un autre orgasme et un autre revient presque aussitôt.En jouissant une deuxième fois, je serre sans doute la pine dans mon vagin, car Sultan arrose le fond de mon puits d’amour de puissantes décharge. Ensuite, l’autre jouit dans mon derrière et le dernier chien gémit, son sexe grossit dans ma bouche. Mon puits d’amour et mon jardin secret avalent le tout sans broncher, par contre l’autre m’envoie des saccades de sperme qui envahissent ma bouche que j’avale en partie, le surplus s’échappe de mes lèvres, ça me coule sur le cou. Le chien se retire de mes épaules, me laissant prisonnière des deux autres. Jacques vient filmer ma bouche bavant de sperme, avec mon visage ravagé par les orgasmes successifs pendant le temps de mon adorable emprisonnement. Après un très loin moment, les chiens me libèrent une fois leurs nœuds dégonflés. Mon ventre gargouille à cause des quantités de sperme que les chiens ont déversés en moi. Jacques me caresse la tête. — C’est bien ma chienne ! Faut que je récupère un peu. Après l’intensité de tous ses orgasmes, sous l’objectif de la caméra, je m’écroule sur le tapis, je dors à moitié. Puis, je m’endors tout à fait.Le soir, il monte le film qu’il a fait sur la journée, il va le montrer à Jean et son épouse, si la vidéo a du succès, il se décidera à en faire d’autres. Je suis devenue la chienne de mon mari en une soirée, Jeanne a réussi à faire de moi une chienne en chaleur pour tout le monde, elle a accompli sa vengeance. Mon mari est heureux, il se voit cinéaste pornographique avec son épouse dans le rôle principale pour des scènes inimaginables.
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