Début de la 4ème Chronique : UN VIEUX SE JOINT A NOUS Lors de son retour, Chloé nous raconte sa séance avec son vieux client. Sophie, ma femme, est émoustillé par son récit. Elle n’a jamais connu d’émoi avec un homme de cet âge. Elle se tourne vers moi attendant un commentaire de ma part. Mon esprit tourne à vive allure et un scénario s’impose à moi. Pourquoi ne pas transformer notre trio incestueux en un quatuor multi-âge? Il n’est pas question d’inclure mes beaux-parents. Mon beau-père est trop con il ne comprendrait pas, ma belle-mère, plus libre d’esprit aux dires de ses filles, est vraiment moche, je n’arriverai pas à bander. Quant à mes parents ils sont décédés. Par contre Jean-François, un homme de soixante-dix ans, qui plait à Chloé et attire Sophie, pourquoi pas ? Je leur propose l’idée. Elles sautent de joie à son énoncé et viennent m’embrasser de concert pour me remercier. Je vous laisse imaginer la suite… Dans les jours qui suivent, nous développons le processus pour savoir comment nous allons nous organiser. Un évènement va d’ailleurs tout accélérer. La femme de Jean-François, âgée de 65 ans, meurt brutalement d’une rupture d’anévrisme. Au contraire de ce que l’on pourrait croire, il n’est pas chagriné du tout. Avec le temps l’ennui s’était installé dans leur couple, plus d’activités sexuelles, un harcèlement permanent de sa femme pour des broutilles, des enfants installés à l’étranger qui ne se préoccupaient plus d’eux… Pour lui est venu le temps de la liberté ! Nous lui proposons de venir s’installer chez nous dans notre nouvelle maison que nous avons pu acheter grâce aux gains de Chloé. C’est plutôt un domaine car il y a au fond du jardin une petite maison où il pourra aménager. Il ne sera plus seul et il pourra participer, quand il en aura envie, à nos activités sexuelles. Il est ému par nos attentions et donne son accord sans hésiter. Nous décidons de fêter ça. Mes deux femmes ne perdent pas de temps, elles se déshabillent et nous en faisons autant. Chloé prend sa queue molle en bouche et Sophie vient lui lécher la raie des fesses tout en lui glissant un doigt dans l’anus. • J’ai pas pris de Viagra, j’ai peur de ne pas bander !• Ne t’inquiète pas on va arranger ça ! C’est Sophie qui lui a répondu. Elle travaille dans une clinique, elle a vu agir des médecins, une idée lui vient en tête. Elle va lui faire un toucher rectal. Elle fait pénétrer trois doigts dans son cul et lui masse lentement la prostate. Sous cette action Chloé a la surprise de voir que le sexe de Jean-François se redresse et prend de belles proportions. Il est étonné lui-même.• Vous êtes de belles salopes toutes les deux, vous me faites revivre.• Humm tu as une belle bite je vais me régaler et tu vas pouvoir gouter à ma chatte. Elle n’a pas le même goût que celle de Chloé que tu connais déjà. Demande à Jérôme !• Oui c’est vrai la tienne est plus poivrée… Sophie et Jean-François se mettent tête-bêche. Il glisse sa queue bien raide entre ses deux seins et se branle avec. Son anus est en position pour qu’elle puisse pratiquer un anulingus. Elle introduit sa langue dans son cul. Il empoigne les cuisses de ma femme, les écarte et lui broute le minou. Il peut le constater, les deux sœurs n’ont manifestement pas la même odeur, ni la même saveur ! • Ohhh c’est trop bon ! On voit que tu as de l’expérience. Tu sais vraiment donner du bonheur à une femme. Même Chloé ne me lèche pas aussi bien… Enfonce ta bite dans ma bouche !• Non je préfère tes seins pour l’instant. Ils sont fermes et ça m’aide à me maintenir en érection. J’ai trop envie de te baiser.• Alors vas-y prends moi ! N’attends pas ! Fais toi plaisir ! J’assiste à un drôle de dialogue. Ma femme découvre l’amour avec un vieux et, comme Chloé, elle apprécie. C’est vrai qu’il est doux avec elle et qu’il fait durer le plaisir pour mieux en avoir lui-même.
Ils changent de position pour adopter celle du missionnaire. Au-dessus d’elle, les bras tendus, son gland repose sur le nombril de Sophie. Dans un mouvement de son fessier, il le fait glisser pour lui faire effleurer son clitoris, le mettre ensuite au contact de ses lèvres vaginales avant de le faire disparaître dans le tréfonds de son vagin. Il s’arrête là et savoure le début de sa pénétration. Il se sent tout puissant, pas impuissant. C’est la première fois que ça lui arrive depuis longtemps. Avec Chloé il a eu besoin de Viagra, avec Sophie il est rassuré, nul besoin de chimie.• Tu sens comme je suis gros et dur ? C’est toi qui me fait cet effet-là ! Je vais te faire jouir à n’en plus finir pour te récompenser. Tu vas demander grâce pour que je termine… C’est ce que tu veux ?• Oh oui je te veux ! Tu me fais languir ! Défonce-moi avec ta grosse queue ! J’en ai envie ! Fais avec moi ce qui te ferait plaisir, je suis à toi ! Ces mots, qu’elle a prononcés à dessein, multiplient le désir de Jean-François. Il a l’impression que son sexe durcit encore plus. Dressé au-dessus d’elle, il la regarde tendrement. Ses mains se dirigent vers ses seins qu’ils caressent doucement. Il prend entre ses doigts ses tétons qui s’érigent sous la légère pression qu’il exerce sur eux. La tête de Sophie ballotte de droite à gauche sous l’effet du désir qu’il lui procure. Elle ronronne comme une chatte en chaleur, d’ailleurs « la sienne » ruisselle de sa mouille. Il ne la pas complètement pénétrée qu’elle a son premier orgasme. Il en est fier. Il s’abaisse sur elle et promène sa bouche sur son visage, son cou, puis ses seins. Il remonte et prend ses lèvres, sa langue s’insinue dans sa bouche. Elle répond à son baiser en enroulant sa langue avec la sienne. C’est violent mais ça exprime son envie de jouir avec cet homme qu’elle ne connaissait pas encore il y a quelques heures. Il est vieux mais tellement beau pour elle. Dans son inconscience, elle a l’impression de faire l’amour avec un père qu’elle n’aurait pas eu, forme détournée d’un inceste pur. Elle sent le gland que son amant fait bouger par une rotation de son bassin pour lui élargir la chatte. Elle saisit de ses deux mains le barreau qui le prolonge et le branle doucement. Elle apprécie sa dureté et savoure ces instants. Leur baiser est toujours aussi profond. Il lui prend ses mains et les enlève de sa queue. Elle est surprise et ne voit pas où il veut en venir. Elle n’a pas le temps de chercher une réponse qu’il s’enfonce brutalement, d’une seule poussée rectiligne, au fond de sa matrice. Leurs bouches sont séparées par le cri qu’elle pousse sous cette action à laquelle elle ne s’attendait pas. Il ne s’arrête pas là. Dès lors il va entamer une longue série de va-et-vient rapides faisant ressortir son dard pour le renfoncer immédiatement au fond de son vagin. De courtes pauses où il reste au fond d’elle sans bouger puis il réattaque sa défonce. Sophie crie, pleure, jouit, jouit encore. Elle n’en peut plus. Elle le lui dit. Il ne l’écoute pas. Elle ne compte plus le nombre d’orgasmes que son amant lui procure. Il est infatigable et, chose incroyable, encore dur. Chloé et moi nous les regardons hallucinés. Je bande comme un âne. Chloé vient s’asseoir sur mes genoux, dos à moi, et s’empale sur ma bite. Je prends en main son ventre gonflé par sa grossesse. Elle n’en peut plus elle aussi de les voir aussi sublimes. Jean-François continue son travail de démolition avec Sophie. Cela fait plus d’une demi-heure qu’il la perfore ainsi quand il lui dit :• Je sens que je vais jouir et tu vas finir avec moi. Tu le veux ?• Oh oui vas-y baise moi ! Finis ! C’est trop bon !Pour lui montrer qu’elle en a une envie folle, elle lui met un doigt dans le cul pour lui masser à nouveau la prostate. C’est une provocation. Il bande encore plus. Sa bite est dure comme du bois. Il accélère la cadence et dans une ultime poussée il crie :• Oh je jouis ! Oh c’est trop bon ! Je t’aime !• Arrrhhh ! Oh j’ai jouis aussi en même temps que toi. Tu m’as inondé de ton sperme. Je t’ai bien senti. Je sens encore les spasmes de ta queue. Je t’aime aussi ! Jean-François s’écroule sur elle, épuisé et heureux. Dans le même temps, émulés par ce spectacle, nous jouissons aussi à l’unisson Chloé et moi. Ils se détachent l’un de l’autre. Jean-François se met sur le dos et s’endort. Sophie se relève, le visage extasié. • Il m’a tuée ! Vous avez vu comme il bandait et comment il a utilisé mon corps ?• Oui ! S’il avait agi comme ça avec moi l’autre jour j’aurais certainement fait un accouchement prématuré ! Il t’a vraiment emmené au septième ciel…• Oui et puis tu vois, j’ai déjà envie de recommencer avec lui. J’aimerais bien qu’il me défonce ma rondelle• Laisse-le se reposer ou il risque d’avoir une attaque ! Dans quelques heures vous pourrez remettre le couvert ! Maintenant tu l’auras toute à toi… Fin de la 4ème Chronique : UN VIEUX SE JOINT A NOUS
