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Chloé, ma belle-soeur salope

Chapitre 2

une rencontre inattendu

Avec plusieurs femmes
Vous vous souvenez du repas d’anniversaire ? Celui où ma femme et sa sœur avaient décidé d’être horny ? Et bien c’était il y a déjà une semaine. Depuis tout est calme, ma belle-sœur ne m’a pas envoyé de SMS et avec Louise, hormis une partie de jambe en l’air lundi, pas grand-chose. Aujourd’hui, elle se levait tôt pour son travail de cadre. Moi j’étais en RTT. J’en ai donc profité pour faire la grasse matinée. Je fus tiré de mon sommeil aux alentours de 10h par la sonnerie de la porte. Je me lève, en pensant que c’est le facteur, ou bien Louise qui a oublié quelque chose. J’enfile un peignoir et vais ouvrir. Quelle fut ma surprise lorsque devant moi, Chloé se présentait, habillée d’une jupe et d’un crop top. Comme je ne m’y attendais pas, j’étais quasiment nu devant Chloé. Sans en perdre une miette, elle me lança.
— Bah dit donc, tu te gênes pas toi !— Que... Qu’est-ce que tu fais là Chloé ?— Ma sœur ne t’a pas prévenu ? Je passe récupérer le carton d’affiche de collection.
Sur ce, elle rentre d’un pas décidé et se dirige vers le salon. Le carton d’affiche de collection ? Qu’est-ce qu’elle va en faire ? Après tout, ce ne sont pas mes affaires, je trouve juste ça bizarre qu’elle ait un soudain intérêt pour ce carton qui traîne chez nous depuis longtemps. Je la rejoins au salon, et devant moi, je la vois, penchée au-dessus du carton, sa jupe relevée qui me laisse voir la naissance de ses fesses. Mon sang ne fit qu’un tour et mon membre commençait à se durcir. Pour ne rien arranger à la situation, elle ne trouvait pas ce qu’elle cherchait et remuait ses fesses, ce qui avait pour effet de me faire encore plus bander. Lorsque j’entendis un "Ah c’est bon". Elle se redressa et me montra une affiche, elle représentait une femme de cabaret parisien des années 20. Elle me tendait l’affiche fièrement, cependant un autre détail attira mon attention : je voyais deux petites bosses sortir au travers de son crop-top. Elle ne portait pas de sous-vêtements.
En temps normal, je n’en aurai pas tenu compte, c’est le droit de chacun de s’habiller comme il le souhaite, cependant j’étais sûr que ses deux tétons ne pointaient pas à son arrivée. Je vis son regard troublé, et ses joues rougir, je suivis la direction de ses yeux lorsque je vis mon sexe dur sorti du peignoir. Je le remettais dans le peignoir en balbutiant des excuses. Elle se contenta de se rapprocher de moi et de me dire, sur un ton très calme :
"-Bander devant la sœur de sa femme est un comportement indécent, tu n’imagines pas le nombre de copains de ma sœur qui voulait me sauter, heureusement tu n’es pas comme ça. Je réplique immédiatement :
— Bien sûr que non, jamais je ne ferai ça.
Toujours en se rapprochant de moi, elle saisit mon sexe au travers du peignoir, et, se penchant à mon oreille, me dit :
— Tu as raison, c’est sûrement le réveil qui te fait bander comme un âne, moi par contre, je ne m’explique pas mon état..."
Elle commençait à me masser la verge au travers du peignoir, un pur bonheur. Moi j’avais une vue plongeante sur ses seins, encore une fois, la situation a vite dégénéré. Mais cette fois-ci, nous ne sommes que deux. Je sens de plus en plus ma verge gonfler sous le massage. Je me saisis d’un des seins de Chloé, ce qui eut pour réaction de la faire sursauter, je le malaxais dans ma main. Je peux sentir sa respiration s’accélérer petit à petit et je vois son sein darder au travers du crop-top. Totalement à sa merci, je lui lance un "dommage qu’ils soient emballés". Elle ne me répond même pas, se contente juste de s’écarter, baisser son tissu sur son nombril, laissant exploser ses deux seins aux tétons érigés et entreprit de revenir me caresser ma verge. Ayant l’accès libre à ses seins, je lui pinçais les tétons sans retenue, des petits cris sortaient de sa bouche.
Je ne pus m’empêcher de venir jouer avec ma langue sur ses seins, tout d’abord en faisant le contour, puis en faisant de petits cercles autour de son téton, enfin en suçotant la boule de chair sous les gémissements de Chloé. N’en pouvant plus, elle me supplia :
"- Hmm... J’ai envie de toi Ma... hmmm Maxime.
— Non ce n’est pas possible, je suis avec ta sœur Chloé.
Elle me regarda avec un air de chien abattu.
— Mais... Tu ne peux pas en rester là...— Non bien sûr que non, mais je ne te prendrai pas chez moi."
Je vis la déception dans son regard, alors pour ne pas tout perdre, je lui dis quand même "Par contre, il va bien falloir me sucer pour me calmer". Son visage s’illumina, elle saisit les deux pans du peignoir et les écarta, laissant apparaître ma verge bander à son maximum. Elle s’agenouilla, prit ma verge entre ses doigts, la soupesa, et commença de son autre main à me titiller le gland du bout des doigts. Cette sensation était magnifique, alors qu’elle commençait à me branler doucement, elle lâcha"-Ma sœur a de la chance de pouvoir sucer cette bite tous les jours... Dis est-ce qu’elle est chienne au lit ?Ce mot chienne m’interpella, Chloé si douce jusqu’à la traiter sa sœur de chienne. Ne m’entendant pas répondre, elle resserra sa prise sur ma verge, ce qui me tira de mes pensées.
— Heu... non, en tout cas, pas en ce moment.— Quel dommage, tu dois être rempli alors, je veux que tu te vides en moi, je veux te goûter, voir si ton goût me plaît."
Il ne fallait pas plus pour me mettre dans un état second d’excitation. Elle non plus visiblement puisqu’elle approcha le gland de sa bouche et le léchait du bout de sa langue. "Mhhh je l’adore, une belle et bonne glace". Très vite, les coups de langue se firent plus appuyés, et petit à petit, c’était des petits bisous qui venaient se poser sur ma verge. De son autre main, elle me malaxait les boules. Sa langue s’aventura jusqu’à la garde de ma verge, avant de remonter : c’est le moment qu’elle choisit pour me prendre en entier dans sa bouche. Malgré sa bouche plutôt étroite, ma verge coulissait centimètre par centimètre dans sa bouche. Elle bavait abondamment sur ma bite. Lorsqu’elle arriva à son maximum, elle resta figée quelques instants avant de commencer des va-et-vient. Elle me suçait comme une pro, et je me sentais défaillir sous ses coups de langue. Elle se libéra une main pour la descendre entre ses cuisses et se caresser.
Elle accélérait au fur et à mesure qu’elle me prenait en bouche, j’allais bientôt me vider :
— Mhhh c’est bon continue.— Glurp... j’adore ta glurp queue mon salop.— Mhh tu veux me pomper hein tu veux mon jus.— Oui glurp je n’attends que ça.— Alors, prépare-toi.
A ces mots, je saisis sa tête, si elle allait me faire jouir, je lui donnerai quelque chose qu’elle n’oubliera pas. Progressivement, je commençais à prendre le contrôle du mouvement de sa tête, je dictais maintenant la cadence. J’accélérais, avec pour seul objectif de lui casser la bouche, je lui baisais sa petite bouche comme une chatte, elle, manquait de s’étouffer à chaque fois que je la pénétrais trop loin avec ma queue. Ne pouvant plus tenir, je bloquais ma prise dans sa bouche avant de jeter de gros jets de sperme au fond de sa gorge. Une fois retiré, je voyais le sperme couler de sa bouche. Elle se redressa, ma semence encore dans sa bouche, réajusta son crop top, et me tendit ses doigts pleins de mouille. J’allais les lécher, lorsque soudain nous entendîmes la porte s’ouvrir. C’était Louise.

A suivre...
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