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Chloé est encore plus belle comme ça...

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Cela fait des années que je l’observe, que je la suis du regard le plus longtemps possible, ce dès que je l’aperçois dans la cour de l’immeuble, dans la rue ou partout ailleurs... Chaque seconde de plus pendant laquelle je peux l’admirer... est un moment de bonheur intense, de pur ravissement !
Elle est vraiment belle, Chloé... Trop belle, même !
Chloé, c’est ma jeune voisine de palier... et je dois vous avouer que je suis un tout petit peu amoureux d’elle. Un tout petit peu... euh ?! Non ! Je suis fou amoureux d’elle, à vrai dire... ce depuis la première fois où j’ai croisé son regard de jade et son sourire enjôleur, un jour où je passais à l’office du tourisme de la ville.Chloé est hôtesse d’accueil à l’office du tourisme... elle est l’office du tourisme à elle toute seule... capable de faire tomber n’importe qui amoureux de la ville ! A moins que ce soit d’elle ?!
A l’époque, elle n’était pas encore ma voisine et elle n’était pas en couple. Oui, je sais... j’avais oublié de le préciser ; Chloé s’est mariée depuis et habite de fait avec un mec grand, beau et jeune... mon cauchemar depuis que j’ai appris cette funeste nouvelle.Ma Chloé avec un "barbot" qui, comble de mon malheur, n’a rien trouvé de mieux à faire que de lui foutre un "morpion" dans le buffet ! Oui, Chloé est enceinte depuis peu et c’est un drame pour moi !
Autant le jour où j’ai découvert que c’était elle, certes avec aussi son "abruti" de mari, qui emménageaient dans l’appartement juste à côté du mien, je me suis dit que c’était un signe du destin et je me mis à espérer pouvoir la séduire, lui faire prendre conscience de son erreur de casting... Autant avec un mioche en plus, je savais que je ne luttais plus à armes égales et que tout était perdu ! Je n’avais plus un seul adversaire... mais bientôt deux !
Je m’étais donc résigné de continuer à la regarder caché derrière les rideau de mon appartement et à vivre mon amour impossible en fantasmant sur ses courbes parfaites... Ces courbes qui, d’ailleurs, de jours en jours, se transformaient avec l’avancée de sa grossesse... Elle était de plus en plus belle, avec son ventre qui s’arrondissait et son visage qui respirait toujours un peu plus la joie de vivre, celle de mettre bientôt au monde son enfant !
Qu’aurais-je donné pour, ne serait-ce qu’une fois, la voir nue devant moi, pour lui caresser le ventre, lui embrasser les seins... lui faire l’amour délicatement !? Mon âme au diable... ma vie ?!Pour autant, je n’étais même pas sûr qu’elle m’ait remarqué depuis trois ans que nous étions voisins ; qu’elle faisait attention à moi lorsque nous nous croisions dans les couloirs de l’immeuble ?! Certes, il y avait bien un "bonjour" échangé... mais plus par habitude et courtoisie de bon voisinage qu’autre chose.
C’est pourquoi je fus surpris quand Chloé frappa à ma porte, en ce beau matin de mai... Je ne pouvais de fait pas m’imaginer ce qui allait suivre...
Elle était vraiment trop belle, Chloé, avec son regard de jade !
J’étais d’un seul coup comme pétrifié devant elle, balbutiant un inaudible "bonjour"... Je n’osais imaginer le visage cramoisi que je devais lui offrir à cet instant.
Chloé... Ma belle Chloé... Là, devant moi ! Elle était venue frapper à ma porte...
"Bonjour, monsieur BRETIUDE... Je ne vous dérange pas ?— ...— Vous étiez peut-être occupé ? Je vous dérange !?— Non... Euh... non ! Pas du tout...
Elle me fixait avec un regard circonspect, qui me mettait encore plus mal à l’aise... M’avait-elle vu, tout à l’heure, derrière le rideau de ma fenêtre, en train de la regarder prendre son linge sur son balcon ? Je me sentais tel un adolescent qui vient de se faire surprendre en train de se masturber ! Minable ! Oui, oui... je me sentais minable !
— Vous... Vous avez besoin de... de quelque chose, mademoiselle ? — Oui, s’il vous plait, monsieur BRETIUDE... je...— Ne m’appelez pas monsieur... je préfère Bernard... mademoiselle !— D’accord, monsieur Bernard ! Moi, c’est Chloé... me dit-elle avec un petit sourire malicieux.
Elle était encore plus belle que je me l’imaginais... là, juste en face de moi ! Des yeux... Une bouche... Des seins... J’avais une folle envie de tendre le bras, de toucher le bout de ses seins qui pointaient et tendaient le fin tissu à motifs de sa robe... de faire remonter le bas de celle-ci pour découvrir ses cuisses et son ventre rebondi... de m’agenouiller devant elle et de m’enivrer de son parfum tout en lui mordillant délicatement le sexe au travers de sa petite culotte en dentelle ! Oui... elle ne pouvait qu’être en dentelle, sa petite culotte... j’en étais sûr !
Chloé me tira de ma torpeur, de mes songes érotiques !
— Monsieur... Bernard... j’aurais besoin que vous veniez m’aider à déplacer deux meubles et une armoire chez moi. Vous avez le temps ?— Euh... oui... bien sûr ! Euh... Je... je suis à vous dans deux minutes ! Je passe un pull...— Merci ! A tout de suite ! Je vous attends dans mon appartement... Et puis, je vous ai préparé un petit réconfort !
Elle retourna chez elle, non sans m’avoir fait un petit clin d’œil en passant le seuil de ma porte d’entrée... à moins que ce fusse mon imagination qui me jouait des tours ! Peu importe... je couru prendre un chandail propre dans ma chambre, puis me mis du déodorant avant de l’enfiler. Même si j’avais probablement bien trente ans de plus qu’elle, c’était peut-être mon jour de chance !
A soixante ans passés, cela faisait quelques années que je n’avais pas ressenti une telle excitation ! Je sentais ma bite retrouver une vigueur que je ne lui connaissais plus, se tendre et essayer de s’évader de ce pantalon d’un seul coup trop étroit ! Il fallu même que je fasse un peu de rangement là-dedans et que je replace l’attirail de façon à ce que Chloé ne voit pas mon érection comme un nez au milieu d’un visage !J’enfilai une paire de mocassins et fermais la porte à clé... au cas où cela se prolonge un peu ! Une lueur de perversité me traversa l’esprit...
La porte de son appartement était entrouverte mais je frappai malgré tout, n’osant entrer...
— Entrez Bernard ! Nous vous attendions...
"Nous"... J’eus à peine le temps d’analyser ce "nous" de Chloé qui me signifiait que nous ne serions pas seuls, elle et moi... que je pris comme un grand coup de poing dans le bide, en découvrant déjà trois hommes assis dans le salon ! Des vieux comme moi... Deux, j’en était sûr, étaient des voisins habitant le même immeuble, l’un au troisième étage et l’autre au rez-de-chaussée... Le troisième homme, je l’avais déjà également croisé... mais je n’étais pas certain qu’il habite par là, dans le quartier.
— Bonjour Bernard... Entrez ! Ne soyez pas timide !... me dit Roger, le voisin du troisième, en esquissant un sourire amusé.
Avait-il perçu ma déception de les voir confortablement installés dans le canapé et un des fauteuils disposés autour d’une table basse ? Toujours est-il que je restais planté debout à l’entrée du salon, telle une poule qui regarde l’œuf qu’elle vient de pondre !
— Venez, Bernard... Même si vous vous connaissez peut-être déjà, je vais faire les présentations avec ces messieurs qui sont également là pour m’aider... me lança Chloé en arrivant de la cuisine et en me prenant par le bras.
Quelle douce chaleur, que de sentir son bras contre le mien et de frôler son ventre... c’était à moi qu’elle devait s’offrir... à moi seul ! Que faisaient-ils là, ces vieux "cons", à me casser mon plan, mon rêve d’idylle avec Chloé ?!
— Bernard, je ne vous présente pas Roger puisque vous semblez bien vous connaitre... D’ailleurs, n’avez vous pas presque le même âge ?— Je suis de 52 ! ... répondit tout de suite Roger.— ...
Aucun son ne sortit de ma bouche... la situation me paraissait irréelle, comme si j’attendais de me réveiller d’un seul coup et de m’apercevoir que j’étais toujours dans mon appartement ! Mais non ! J’étais bien dans le salon de ma voisine, emprunté, mal à l’aise, à ne pas savoir quoi faire pour me mettre davantage en valeur devant Chloé...
— Moi, c’est Ahmed, votre voisin du rez-de-chaussée... "classard" avec Roger, en passant ! ... me dit l’homme assis dans le fauteuil, en se levant et en me tendant la main.
Il était grand et sec, le regard alerte, le visage buriné et bronzé comme s’il avait travaillé toute sa vie sous le soleil... Mais, ce qui m’impressionna le plus, c’était ses mains... des mains de travailleur, de terrassier... à côté desquelles les miennes d’ancien enseignant à la retraite, paraissaient ridicules, toutes frêles.
Je me fis la réflexion que s’il avait un sexe proportionné à ses mains, il devait être énorme ! Et que je ne ferais pas le poids si Chloé avait à choisir ! Drôles de pensées !?
— Enchanté... Bernard... de 54... de la fin d’année... — Le gamin de la bande ! ... lança le troisième homme sur un ton bourru.
Je ne savais plus où me foutre... pour qui il se prenait, celui-là, à me parler comme ça ?! Malheureusement pour moi, tous paraissaient amusés de cette entrée en matière !
— Mon beau-père, Gérard... un vrai boute-en-train ! Et même parfois un vrai broutard... Pourtant, il vous met quelques années dans la vue, avec ses soixante-douze ans... rajouta Chloé, alors que je serrais la main de cet homme, petit et relativement trapu, avec une tête toute ronde et sans un cheveux sur le "caillou".
Je ne savais pas comment interpréter le terme "broutard"... surtout de la part d’une belle-fille en parlant de son beau-père ? Le vieux lui avait-il déjà bouffé le minou ?!
— Alors, comme ça, Bernard, vous entendez quand ils se chamaillent, les tourtereaux ? J’espère qu’ils ne font pas trop de bruit, les coquins ?! ... me lança de nouveau le beau-papa avec un clin d’œil appuyé et un air goguenard que j’avais vraiment du mal à apprécier...
J’étais de plus en plus mal à l’aise, dans cette situation complètement irréelle, genre réunion "Tupperware" pour vieux messieurs grivois, avec Chloé qui s’affairait à nous servir boissons et gâteaux... D’ailleurs, elle me proposa un jus de fruit "maison" et me tendit l’assiette de cannelés qui était sur la table basse.
— C’est pour vous donner des forces pour la suite... rajouta-t-elle.— Merci beaucoup !
Je me demandais ce qu’il y avait donc à déplacer de si lourd pour que nous soyons quatre et qu’il faille prendre des forces ??? En tout cas, les gâteaux étaient particulièrement bons, avec une saveur que je n’arrivais néanmoins pas à définir...Roger et Ahmed avaient repris leur discussion sur les derniers évènements politiques de la semaine... discussion que j’essayais de suivre tout en ne pouvant détacher mon regard des courbes de Chloé, que l’on pouvait deviner malgré une robe relativement ample.
C’est là que l’impensable se produisit ! Gérard, assis dans le canapé, se redressa et posa une main sur les fesses de sa belle-fille, debout devant lui... Je m’attendais à ce qu’elle lui retourne une paire de gifles... mais il n’en fut rien ! Chloé resta immobile, comme si elle attendait la suite... plus de choses encore !!!
Mes deux autres voisins d’immeuble s’étaient également arrêtés de discuter ; un silence assourdissant s’était installé dans le petit appartement...
— Et bien quoi, les jeunots ?! Vous n’allez pas me dire que vous êtes choqués et que vous n’en avez pas aussi envie, de caresser les fesses de ma bru ?! Elle m’a dit que vous n’arrêtiez pas, tous les trois, de la mater derrières vos rideaux de fenêtres ! Là, vous pouvez toucher... alors profitez-en !
Comme trois morveux qui se seraient fait prendre la main dans le sac, nos regards se sont baissés vers nos chaussures respectives... Chloé et son beau-père venaient de nous moucher en toute beauté !
Pour autant, Gérard continuait à peloter les fesses de la jeune femme, faisant progressivement remonter la robe au-dessus des hanches. Chloé respirait posément tout en initiant un léger mouvement de son corps d’avant en arrière... comme une invitation à poursuivre les caresses !
Je ne savais plus du tout ce que je devais faire... j’étais perdu ! Je sentais de nouveau ma queue se tendre dans mon pantalon, se mettre au garde-à-vous ! Roger et Ahmed semblaient dans le même embarras que moi... mais avec également les mêmes signes physiques d’excitation qui pointaient au niveau de leur entre-jambes respectif. Nous nous regardions, dubitatifs... comme si chacun attendait que l’un des deux autres prenne l’initiative de rejoindre Gérard dans l’effeuillage de sa belle-fille.
C’est Ahmed qui se leva le premier et se dirigea vers Chloé, alors que le beau-père venait de découvrir complètement les fesses de la jeune femme et qu’il approchait maintenant sa bouche des deux magnifiques globes... Elle ne portait en fin de compte pas de dentelles mais une culotte toute simple en coton, avec un gros cœur rose qui semblait déjà s’être humidifié à sa base...
Mon excitation était à son comble et, écoutant enfin mon instinct primitif de mâle, je me levai donc à mon tour...
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