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Chloé à Paris

Chapitre 3

Trash
J’ai enfilé ma robe en silence, essayant de reprendre mes esprits. Je ne savais plus où j’en étais avec cet homme qui me manipulait depuis la veille et m’amenait à me sentir coupable alors qu’il exigeait de moi des choses obscènes sans que j’y trouve à redire. Au contraire, j’étais vexée parce que je n’avais pas su lui demander de lui faire une fellation. Je ne le vis plus de la journée et travaillai d’arrache-pied à lire et annoter des romans. Ce n’était pas des textes difficiles, juste des romans français écrits par des écrivains lambda. En sortant, je passai récupérer mon maillot de bain et filai à la piscine. Vingt longueurs plus tard j’étais épuisée mais l’esprit vidé de toute scorie.   Le soir, je m’astreignis à étudier de nouvelles vidéos en me concentrant sur le vocabulaire employé ; et parfois les dialogues étaient particulièrement colorés, vulgaires voire orduriers. Sans y penser, je me caressais en essayant de percer le mystère des gorges profondes. Pas facile à comprendre, car si certaines filles semblaient avoir la technique d’un avaleur de sabre, d’autres vomissaient dès que le sexe masculin butait au fond de la gorge. Mes lectures sur cette technique me permirent de comprendre que tout dépendait de la déglutition, qu’il fallait maîtriser le réflexe de vomir quand on touchait la luette.   Le lendemain matin, je me demandai en allant travailler ce que mon patron allait encore exiger de moi. Dans le métro, je me repliai sur moi-même, douloureusement consciente de ma nudité sous la robe. Je me mis nue dans son bureau et attendis, tentant en vain de me décontracter. Pas facile de rester immobile, complètement offerte, dos à une porte même pas fermée à clef. Je me détendais peu à peu quand l’ascenseur s’arrêta à l’étage. Je me raidis aussitôt, tremblant imperceptiblement quand la porte s’ouvrit derrière moi.   — Écarte tes jambes, il n’y a pas un mètre ! C’est mieux, je te punirai si tu n’arrives pas à te positionner toute seule.   Une douleur vive sur la fesse droite me fit pousser un petit cri aigu. Il venait de me donner une bonne claque du plat de la main ! Je me calmai en respirant par la bouche. Il en profita pour glisser deux doigts joints entre mes lèvres en me dévisageant d’un air autoritaire.   — Suce mes doigts, montre que tu es une bonne pipeuse. Là, c’est bien.   Les yeux dans ses yeux, malgré la rougeur montait jusqu’à mes oreilles devenues brûlantes, je m’appliquai à lécher ses doigts jusqu’à ce qu’il les retire.   — Alors, tu as toujours envie de me sucer ? — Oui Monsieur. Si vous le souhaitez. — Alors demande-moi. — Oui Monsieur. Si vous le souhaitez, votre salope est prête à vous sucer. À sucer votre bite. — C’est mieux, mais tu n’es pas assez explicite. Pas assez salace. Pour te punir, je vais claquer tes fesses dix fois. Demain ce sera avec la ceinture si tu me déçois encore. — Oui, pardon Monsieur.   J’allai travailler en pleurnichant, les fesses brûlantes de la punition reçue. Il n’y était pas allé de main morte, c’est le cas de le dire. J’eus du mal à m’asseoir confortablement, heureusement que j’aimais mon travail : je me plongeai dans l’analyse d’un roman sur lequel je passai la journée. Le soir, je me concentrai dans les dialogues pornos les plus graveleux et les plus obscènes, rougissant souvent en m’imaginant les prononcer devant mon patron. Je m’armai de courage en me dénudant le matin suivant, me tenant prête à assumer le discours salace que j’allai devoir tenir. Quand le patron entra derrière moi, je retins mon souffle et passai nerveusement la langue sur mes lèvres. Sans un mot, il posa une main sur ma hanche tremblante et glissa l’autre entre mes cuisses disjointes pour constater mon état : j’étais trempée. Ce que voyant, il claqua deux fois mes fesses.   — Alors, petite chienne, on mouille déjà de bon matin ? — Oui Monsieur. Bonjour Monsieur.
 — Alors, qu’as-tu à me dire, ce matin ? — Monsieur, votre petite salope aimerait avoir l’autorisation de lécher vos couilles, de sucer votre grosse bite et de boire votre sperme. — Ah, c’est mieux cette fois. Et si tu n’arrives pas à me satisfaire ? — Dans ce cas, vous me punirez, Monsieur. Vous pourrez battre votre salope autant qu’il vous plaira. — Je suis d’accord pour la pipe, cette fois, mais avant j’ai envie de te punir pour ta stupidité de blonde mal dégrossie incapable de s’exprimer correctement. — …Euh, oui Monsieur, je ne suis que votre salope.   Je me suis alarmée quand j’ai aperçu du coin de l’œil qu’il enlevait sa ceinture des passants. Je me doutais que ça devait faire plus mal qu’une fessée à main nue. Il me l’avait promis la veille, d’ailleurs. Ravalant ma salive, je tentai de rester bien immobile sans trop me crisper. Pour autant le premier coup me prit au dépourvu. Cinglant, accompagné d’un claquement sec de cuir contre peau.   — Aïe ! Non, pas ça ! — Tais-toi, idiote, ou je te bâillonne avant de te fouetter sur la chatte et les seins ! — Je vous en supplie, non ! — Cinq coups de plus, et je reprends à zéro. J’avais prévu dix coups, se sera donc quinze !   Je me mordis la lèvre inférieure en serrant les dents et le goût du sang emplit ma bouche ; il ne plaisantait pas et j’allais devoir tenir. Je respirai profondément, essayant de maîtriser mon angoisse. Il frappa rapidement, je retins avec peine le hurlement qui montait dans ma gorge en décomptant les impacts. Arrivée à quinze, je soupirai de soulagement, à travers les sanglots qui obstruaient ma gorge. Mais je glapis de surprise quand les doigts de Chandler plongèrent en moi, me trouvant trempée de cyprine.   — Vierge et salope, un cocktail de rêve. Allez, à genoux je t’autorise à me tailler une pipe.   J’obtempérai en ravalant mes larmes ; il ne m’avait pas fait très mal en fin de compte, même si mes fesses devaient être cramoisies. Les doigts malhabiles, je m’attaquai à son pantalon privé de ceinture que je débouclai ; quêtant l’approbation de mon patron, je fis glisser le vêtement sur ses cuisses velues, entraînant malgré moi le boxer et dénudant sa virilité. Libérée, la verge se tendit vers moi, provoquant mon émoi accompagné d’un mouvement de recul.   Ma première verge pour de vrai ! Je l’examinai d’un œil méfiant : moins grosse que celles vues sur le Net, elle me parut presque appétissante, le gland effilé et violacé couronnant un fût pas très long et un peu conique, sillonné de veines épaisses en relief. Je me mordis la lèvre inférieure avant de l’humecter, déclenchant l’impatience de Chandler.   — Eh bien, tu te dépêches ? Ou tu préfères que je te punisse encore. — Non, je regardais... — C’est vrai que c’est ta première bite, constata-t-il d’un ton radouci. Elle te fait envie ? — Oui, je vais…   Je ne finis pas ma phrase, préférant avancer ma bouche et gober le gland. Tiède, doux, au goût un peu salé… Avec un parfum de savon aussi. Au moins mon patron faisait preuve d’hygiène corporelle, j’appréciai. Je creusai mes joues pour pomper le plus fort que je pouvais, arrachant un gémissement de plaisir à Chandler qui posa la main sur ma nuque. Il commença à me guider de la voix et du geste, m’attirant en avant pour me faire avaler l’intégralité de la colonne de chair.   Eh bien, la théorie, ce n’est pas la pratique ! Je m’étranglai et manquai de vomir, secouée par des haut-le-cœur épouvantables. La main dans mes cheveux me guidait en avant, en arrière, je jouais de la langue sur la colonne de chair bien raide qui frémissait joliment sous mes caresses. Docilement, je relevai les yeux vers ceux de Chandler qui souriait de manière diabolique. Je compris qu’il allait jouir aux soudaines contractions qui parcoururent sa verge, mais n’essayai pas de m’échapper. J’avais intégré qu’il me fallait recevoir sa semence en bouche.   Là aussi, j’avais tout bon, sauf que je n’avais pas prévu de m’étrangler quand la semence jaillit ; je toussai, le sperme ressortant par mes narines. Les yeux brouillés de larmes, je me reculai pour tousser et cracher encore, au grand mécontentement de mon patron.   — Tu es nulle ! Tu n’as aucune expérience, c’est vrai, mais tu aurais pu essayer d’avaler mon sperme. C’est un honneur pour une salope comme toi de boire la semence de son maître !   J’avais du mal à retrouver mon souffle, déglutissant pour contenir la nausée qui menaçait de me faire vomir. J’avais bavé sur ma poitrine dressée, sur mes cuisses. Je ne devais pas présenter une bonne image de moi, si j’étais incapable de donner du plaisir à mon patron sans me comporter comme une souillon. Pour un peu, j’en aurais pleuré. Je soupirai un peu fort, dépitée.   — Je vous prie de m’excuser, Monsieur. J’espère m’améliorer, si toutefois vous voulez encore de moi. — On verra ; file travailler, tu as plusieurs ouvrages à relire.   Le lendemain matin, j’étais en position quand l’ascenseur s’arrêta. Je pris une grande inspiration, creusant mon ventre et me concentrant pour rester bien en place. Chandler caressa mon épaule en passant devant moi, me faisant frissonner.   — Alors, ma petite salope, tu as quelque chose à dire ? — Oui, bonjour Monsieur. Votre jeune salope souhaite pomper votre grosse bite, et que vous la dirigiez de votre voix et de vos mains pour que vous soyez mieux sucé que hier. — Tu entends, Marie, elle fait des efforts. — Oui, je pense qu’elle sera parfaite, après un bon dressage, répondit une voix féminine derrière moi.
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