Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 124 J'aime
  • 7 Commentaires

Choc culturel...et gynécologique !

Chapitre 1

Une visite médicale éprouvante...pour le praticien !

SM / Fétichisme
Saddam Al Jezouly, gynécologue de son état, tentait de réconforter comme il le pouvait, la pauvre jeune fille en pleurs devant lui:
“ Aicha, je ne comprends pas pourquoi tu pleures ? J’ai reconstitué ton hymen. Tu pourras te présenter “vierge” au mariage...tu n’es pas heureuse ? Tu n’aimes pas ton mari futur ?
— Si, mais je vais trahir et mentir à tout le monde, avec cette histoire ! J’ai tellement honte docteur !
— Écoute ma fille, il est dit dans le Saint Coran, que tu as le droit de mentir pour préserver le bien et la tranquillité de la communauté . C’est ce que Allah, que son Nom soit Loué, nous a appris. En un sens ce sera un tout petit mal pour un plus grand bien. La chair est faible, ma fille, nous fautons tous un jour ou l’autre. Le Très Miséricordieux te le pardonne déjà. Inch’ Allah ! “

La jeune fille rassérénée, quitta le cabinet du gynécologue, en le remerciant avec effusion .Ah, il en fallait de l’écoute et de l’empathie, pour pratiquer la gynécologie dans ce quartier à dominante musulmane. Cela, le docteur l’avait toujours su: aider les autres, les soigner, préserver leur santé et leur bien être, aussi bien du corps que de l’âme. Pour lui c’était un apostolat. Il savait qu’il n’y avait pas de hasard; le “Mektoub” ! Allah faisait bien les choses, et Saddam savait qu’il était à sa juste place, même si ce n’était pas toujours facile...Ce jour là, plus que tous les autres réunis, mais pas pour les raisons habituelles…

Il alla ouvrir la porte de son cabinet pour sa dernière patiente de cette fin de journée; et quand elle rentra en compagnie de l’homme, il faillit tomber sur son séant !La femme qu’il fit entrer, était une “ native”, bourgeoise, très bien habillée et surtout magnifique. Une créature de rêve, brune, cheveux mi longs, 1,75 m, très mince, une très belle poitrine à voir, et des jambes magnifiques. Elle était vêtue d’un long manteau en astrakan noir. Légèrement maquillée, son teint était hâlé sans exagération; du bronzage artificiel en cette fin de novembre.
Rien à voir avec sa clientèle de patients habituels, résidents pauvres et plutôt d’origine extra européenne. Que venait faire cette bourgeoise “blanche” dans ce quartier de misère ? Certainement loin de sa propre résidence. Un peu inquiet et du moins sur le qui vive, Saddam la laissa entrer, accompagnée d’un jeune homme d’environ 19 ans. Elle devait en avoir dans les 40, mais une grâce et un physique parfait, faisaient que tout un chacun aurait pu lui en donner 10 de moins…
Saddam, en s’asseyant derrière son bureau se posait plein de questions: pourquoi choisir son cabinet, et surtout qui était le jeune homme ? Son fils ? Non, une mère ne prend pas son fils pour aller faire sa visite gynécologique ! Saddam avait une sainte répulsion de tout ce qui était “sexualité dissidente”. Pour lui les gens devaient se mettre en couple, mariés ou pas, mais conserver une sexualité relativement classique, autorisée par les Saintes Écritures. Lui même était marié à Françoise, une splendide jeune femme de son age, 32 ans, sexologue de son état, et le couple se comportait bien, selon ses standards à lui; alors il s’inquiétait de ce qu’un couple hors normes, suivant les standards du quartier, venait faire par ici. Car il en avait entendu des histoires, liant diversité culturelle avec des fantasmes de gens des "bonnes" sphères de la société...Il s’attendait à des demandes fantasmagoriques, et s’apprêtait à les chasser de son cabinet, si il entendait des demandes échappant à la bienséance.
Mais dès que la femme posa son regard doux et intense sur lui, et qu’il entendit le son de sa voix, toutes ses récriminations imaginaires et préventives s’envolèrent à vau-l’eau…
“ Docteur, je viens vous voir pour une visite de contrôle,  et un petit souci de femme. J’ai bien peur qu’avec mon "amant", nous ayons un peu “exagéré” lors de nos derniers ébats…
— Exagérer ? Nous allons voir cela. Monsieur n’a pas pu refréner ses ardeurs ? (En désignant le jeune homme. Saddam sentait comme un malaise l’envahir...il craignait d’entendre la suite de l’explication de cette femme ! Mais en même temps celle-ci exerçait comme une fascination sur lui...)

— Non, il y a confusion. Celui-ci est mon fils Thomas. Je suis divorcée, alors ne prenez pas le terme “amant” au pied de la lettre. Pour moi il revêt une connotation romantique… “

Saddam était charmé par le timbre sensuel, mais pas vulgaire de la femme, et par son français parfait ainsi que son sens de la formule… voilà qui le changeait de ses dialogues habituels.
“ Je peux vous poser une question ?
— Mais je vous en pris docteur, pourvu qu’elle n’échappe pas aux principes de la bienséance .
— Non pas du tout, je vous rassure. Pourquoi avoir choisi mon cabinet, dans ce quartier déshérité ?
— C’est une question de morale et de sociologie. Voyez-vous j’ai une très bonne situation sociale et un très bon statut dans la société. Or je ne ne désire pas que mon fils s’imagine, tel le prince Siddhartha, qu’il en est de même pour tous nos concitoyens. Aussi dans un principe d’égalité et de partage, je fais l’effort de l’emmener dans des quartiers déshérités comme celui ci, j’espère ne pas vous avoir vexé en disant cela?
— Non pas du tout, je commence à comprendre votre point de vue.
— Donc en venant ici, mon fils apprend à connaître des personnes qui n’appartiennent pas à son milieu, et j’espère ainsi lui faire comprendre que sa situation n’est due qu’à “un accident de naissance”, et qu’il aurait pu se retrouver à vivre dans un quotidien fort éloigné du sien.
— Que voilà une pensée originale dans notre monde d’individualisme et d’égoïsme. Madame c’est avec joie que je deviendrais votre praticien, si tel est votre désir. Votre “combat” de justice et de mixité sociale me va droit au cœur. Si bon nombre de nos concitoyens pensaient comme vous, je crois que la peur et le rejet de l’autre iraient en décroissant.
— C’est bien comme cela que je le vois.
— Bien, si vous voulez me suivre et vous déshabiller .”
,

Le gynécologue allait se diriger vers son cabinet de consultation derrière son bureau et il avait tourné le dos, alors que sa patiente se délestait de son manteau d’astrakan, qu’elle déposa sur la chaise. Mais comme 8 secondes plus tard elle ne le suivait pas, il s’en retourna et découvrit un spectacle fort insolite. Mme Garnier, Céline de son prénom, se déshabillait bien, mais devant le bureau, sous les yeux de son fils.
Saddam interloqué, ne put piper mots quand il vit le chemisier blanc toucher le sol, laissant apparaître une poitrine d’un bon 90 C, avec des seins en forme de poire au gabarit parfait. Et quand la jupe de tailleur tomba elle aussi sur le sol, révélant une madame Garnier, nue, en bas et porte-jarretelles noir, sans string, il ne put éviter de pointer son regard sur le pubis décoré d’une mince ligne de poils châtains. Bafouillant il dit:
“ Mam...madame Garnier, quand je vous ai dit de vous déshabiller, il s’agissait de le faire ici, dans la cabinet d’examen, non point sous les yeux de votre fils.
— Ne vous inquiétez pas pour lui, ma nudité lui est habituelle. Thomas veux-tu bien ramasser mes vêtements s’il te plait ?
— Bien mère !
— Ah, je garde mes bottines si cela ne gêne pas l’examen ?
Mhumm, non… “

Le gynécologue, surpris et très embarrassé par la conduite fort originale et le naturel de sa patiente, lui demanda de se poser sur la table d’examen. Elle s’installa dans les étriers, gardant porte-jarretelles, bas gris et bottines en cuir. Saddam n’avait pas eu le courage de lui demander de tout enlever. Pour la première fois dans son métier, il se sentit intimidé et à la fois grisé, par la splendide créature qui l’attendait, jambes écartées et sexe ouvert sur la table d’examen. D’autant qu’il était fort rare qu’une de ses patiente s’affiche en tenue très érotique comme celle-ci: bottines de cuir noir, bas gris et porte-jarretelles, tout cela lui faisait penser aux oripeaux des femmes de mauvaise vie, qu’il abhorrait... n’osant poser directement son regard sur le pubis de sa patiente, il se concentrait sur son visage. Mais parfois, de façon furtive son regard venait s’égarer sur les seins magnifiques et le sexe “offert”. Il commença son interrogatoire médical.
“ Quel âge avez vous ?
— 39 ans.
— Combien de grossesses ?
— 2, Thomas, 19 ans et Julie, 21.
— Des problèmes lors de l’accouchement ?
— Aucun.
— Menstruations normales ?
— Oui, pas de problèmes de ce côté-là.
— Bon alors quel est votre petit souci avec votre ami ?*
— Et bien, c’est un peu délicat...disons que j’ai des pratiques “un peu insolites” …
— C’est a dire ?
— Je vis une relation non conventionnelle avec mon amant, et je ne peux résister à toutes ses demandes…
— Non “conventionnelles” ? (Saddam avait peur d’entendre la suite…)
— Et bien je vis mon amour dans une relation de soumission intégrale. Je suis avec un homme qui a une très grande imagination…
— Et ?
— Et bien il adore me goder de toutes les façons possibles. Cela va jusqu’à quasiment une sorte “d’empalement”. Et je crois que nous y avons été un peu fort !
— ( Cela se confirmait, se raclant la gorge, au bord d’un mélange de nausée et d’envie morbide de savoir, Saddam poussait l’investigation. )  C’est à dire ?
— Et bien mon amant a installé un “donjon” dans notre propriété, et il me place suspendue à une barre, mue par un treuil électrique, et ensuite il vient “m’empaler” sur une tige de bois présentant des diamètres différents. Ce jour là nous avons essayé ce qu’il y avait de plus gros !
— Par Allah, mais c’est... c’est …( les mots d’horreur restaient coincés dans sa gorge !)
— Je suis vraiment désolé docteur, vous devez vraiment me prendre pour une dévergondée, mais c’est plus fort que moi. Mais peut être ne vous vous rendez pas compte de quoi je parle. Thomas, veux tu bien apporter mon portable s’il te plait . “

Et horrifié, sans avoir pu placer un mot, une parole de rejet, une interjection, Saddam vit le fils entrer dans le cabinet, lancer un regard blasé sur le corps nu et écartelé de sa mère, et lui donner le téléphone. Puis il attendit là, jetant un regard pas le moins gêné sur le sexe ouvert de sa génitrice. Saddam se demandait s’il avait bien tout son sens critique. Comment la mère pouvait-elle exposer son sexe, les cuisses ouvertes dans la posture la plus impudique qui soit, devant son fils et cela sous  ses yeux atterrés.
 “ Merci, mon grand, c’est bon, tu peux disposer ! Venez voir, je vais vous montrer docteur.”
Saddam, privé de toute résistance, abasourdi par tout ce qui lui arrivait, était sidéré, comme déconnecté. Il s’avança près de Céline qui lui montrait une vidéo. Alors les yeux exorbités, rivés sur le portable, il n’arrivait pas à quitter la scène dont il était le témoin, même si son esprit lui hurlait de ne pas regarder. La tension sexuelle et une envie morbide et perverse qu’il ne se connaissait pas, lui interdisaient de prendre ses jambes à son cou !
Dans une pièce rouge carmin, et noire, avec divers instruments SM : chevalets, croix de saint André fixée au mur, assortiment de cravaches, fouets, martinets, pinces, godes… sa patiente en guêpière de cuir noir, qui lui arrivait sous les seins, dont les pointes étaient torturées par deux pinces reliées à une chaîne, était bien suspendue, les poignets liés à une espèce de joug en bois horizontal, relié par des chaînes à un treuil. Ses deux jambes,  gainées de bas résille, relevées en équerre, étaient elles aussi entravées au joug, présentant son entrejambe largement ouvert. Son anus était comblé par un Plug, tandis que sa fente largement dilatée et brillante de lubrifiant, était engoncée sur un “pal” en bois, avec un gland en matière synthétique. Tandis que la femme gémissait, elle était progressivement abaissée sur le pal et relevée de façon alternative. Au vu de ses gémissements et de ses cris d’encouragement, elle semblait goûter la délicieuse torture …
“Voici le dispositif docteur, pour que vous compreniez mieux à présent. J’ai éprouvé une grande extase sexuelle, peut-être est-ce pour cela que je ne me suis  pas aperçue que les parois de mon vagin étaient enflammées. Toujours est-il que je n’ai pas pu refaire l’amour avec mon amant, ce dont il est fort contrit. Et moi aussi, mon insatisfaction n’allant que croissant au fil des jours. Voudriez-vous m’examiner. ?
— Heu...oui, oui …”

Saddam était comme vidé, déshumanisé, il fonctionnait en mode automatique, ne réagissant que de façon "programmée". Il prit un spéculum, le présenta entre les cuisses de sa patiente, et doucement écarta lèvres et parois vaginales. Avec sa lampe frontale, il aperçut effectivement de légères lésions dans le vagin. Les mains tremblantes, Saddam devait lutter pour s’empêcher de caresser les magnifiques nymphes, ainsi offertes, à sa concupiscence de mâle...
“ Madame, vous êtes un peu irritée, mais rien de bien grave. Je vous déconseille à l’avenir l’usage inconsidéré de votre “mécanique”, ou alors avec l’utilisation d’un meilleur lubrifiant en quantité considérable ! ( Les mots lui étaient douloureux dans la bouche, il aurait voulu sermonner la femme, et lui dire qu’il était inconcevable qu’une femme de bonne vie, se livrât à de telles extravagances lubriques ! Mais son devoir de neutralité, ainsi, il devait bien se l’avouer, qu’une attirance suspecte pour la femme, lui interdisaient de tels propos ! D’autre part il sentait, bien malgré lui, un désir abject pour ce qu’il avait visionné, et une envie sexuelle démesurée pour son corps de déesse ! Tout cela lui avait échauffé l’esprit !)
— Merci docteur, il sera fait suivant votre avis.
— Je vais vous prescrire une pommade apaisante et cicatrisante.”

Comme un robot, Saddam tourna les talons et s’assit à son bureau. Il prit une ordonnance et écrivit le nom du médicament. Céline refit son apparition, toujours à l’aise dans sa nudité triomphante; de façon calme elle se rhabilla, remettant sa jupe de tailleur, et reboutonna sans se presser, son chemisier blanc. Subjugué, Saddam ne pouvait délier son regard de son corps de rêve.
“ Merci docteur ,vous êtes très doux et compréhensif !
— C’est mon métier madame… voilà, ceci en application pendant 4 jours, et abstenez-vous de toute relation sexuelle durant ce temps .
— ( Regardant son fils à la dérobée, madame Garnier répondit ), grands dieux, ce ne sera guère chose aisée !”
Puis il raccompagna la belle et son fils. En refermant la porte, fugitivement, il lui sembla que le jeune homme palpait le petit cul de sa mère.

Éreinté par cette visite déroutante, il s’assit à son bureau, ou plus précisément se laissa tomber sur son fauteuil. Se passant les mains sur le front, complètement claqué, il se remémorait en boucle les événements des 20 dernières minutes...20 minutes !Il lui semblait que le couple improbable lui avait ruiné deux ans de sa vie si bien rangée, si bien réglée. Saddam était un bon musulman, croyant sans exagération ni fanatisme. Il lui semblait que la religion était là pour donner du courage aux hommes, et leur faire espérer un destin meilleur. Néanmoins en cas d’extrême urgence, il avait un petit flacon de cognac, un “cordial”, pour remédier à une crise de panique ou un étourdissement d’une patiente. Il le sortit du bureau et s’en versa une rasade dans la bouche. Puis sortit un paquet de tabac à rouler, là aussi pour les grandes occasions. Il se mit à fumer en se repassant le fil des événements.
La femme avait la classe, c’était indéniable, elle était d’une beauté à couper le souffle. Son corps était divin. Elle était d’une sensibilité et d’une intelligence vive. Mais pourquoi tant de perversité, tant de luxure chez un être si angélique ? Quel était donc le monstre qui lui imposait...enfin “imposer”... elle avait expliqué elle-même, qu’elle était la victime plus que complaisante et consentante de son  “bourreau” !
Et son fils ? Laisser son fils voir sa nudité, lui laisser contempler ses nymphes ouvertes et exposées à la luxure! Qu’est ce qui se passait entre ces deux là… Une intuition abjecte se dessinait dans son esprit... intuition qui ne le laissait pas de marbre pourtant, hélas.Sa femme, Françoise, lui parlait de temps en temps de ses propres patients à elle...enfin dans les limites du raisonnable, car Saddam ne voulait pas trop en savoir sur les délires et les dysfonctionnements sexuels de ces derniers. Pourtant quelques mois auparavant, elle lui avait parlé d’une femme qui avait des désirs peu avouables pour son propre fils. La femme se remettait difficilement de son divorce, son fils était vierge et avait beaucoup de difficultés avec la gent féminine. Comme le désir était très fort entre ces deux personnes majeures, en libre disposition de leurs facultés mentales, Françoise avait conseillé à la femme d’explorer cette relation incestueuse, et de voir, en prenant son temps, ce qui pourrait en découler ou pas.
Saddam avait été horrifié par la tolérance plus qu’excessive de sa compagne ! Mais elle lui avait répondu qu’ils ne feraient de mal à personne, peut-être même du bien entre eux deux, et que cela leur passerait bien un jour...alors pourquoi pas ?
En tout cas Saddam savait de source sûre, sa praticienne de compagne, que de telles relations existaient...et il se demandait si ce n’était pas le cas ici,pour cette mère indigne et son fils…Mère indigne...en tout cas Saddam devait s’avouer, à son corps défendant que toute cette histoire, même si elle contrevenait à ses principes moraux assez strictes, lui procurait une certaine excitation… En pleine torpeur, écrasé par la fatigue de la journée et les émotions récentes, il se voyait caresser les seins et le sexe de cette femme, emprisonnée sur sa table d’examen, ou même dans son donjon, en train de cravacher cette femelle putride, pour lui faire passer le goût de l’inceste avec son fils.
En proie à son rêve, il fut saisi par la sonnerie de son téléphone:
"Docteur Al Jezouly ? C’est Mme Garnier...pardonnez moi de vous déranger en cette heure tardive, mais je crois que je fais une allergie à votre pommade. J’ai le vagin en feu !
— Surtout n’en mettez plus, et passez me voir demain  à mon cabinet, avant 8h00 du matin !
— Oh mon dieu, vous étiez encore là ? Je pensais tomber sur votre boîte vocale ! Merci pour votre sollicitude docteur. Dieu vous garde ! “

Ayant reposé le téléphone, Saddam eut une grande bouffée de chaleur et de désir ! Soudain, l’illumination: cette femme n’était qu’une catin, une “sharmuta”, une pute, une salope. Elle était venue le voir dans son cabinet, pour l’allumer, exposer ses charmes, le rendre fou de jalousie, de lubricité. C’était un démon femelle, un “Djinn” qui venait entamer la résolution des hommes de Bien, comme lui ! Mais elle ne perdrait rien pour attendre cette salope!Il allait revoir la femme, elle serait à sa merci sur la table d’examen ! Il allait lui faire cracher le morceau… avait-elle bien une relation incestueuse avec son fils...et si c’était le cas : lui faire comprendre que ce n’était pas bien, que c’était “haram”. Il se demandait même s’il n’allait pas lui infliger une expiation. Après tout il pouvait lui même passer la nouvelle pommade, pour calmer "le feu", que Madame avait dans la chatte...voire lui donner un coup de lance pour éteindre l’incendie ! Ah elle aimait les relations de soumission et jouissait sous la “torture”, comme elle le lui avait montré sur cette vidéo infecte...et bien elle allait voir ! Elle allait en tâter ! Il la ferait jouir de sa souffrance, cette “karba”!
Saddam en proie à une surexcitation sexuelle, bandait comme un taureau; de telles pensées impures ne lui ressemblaient pas… décidément cette femme avait une bien étrange influence sur lui. Saddam avait l’impression d’être la proie du démon, du “Sheitan” !Lui un homme si rigoureux, si rationnel, se laissait aller aux histoires de bonnes femmes, qu’il avait entendues, étant petit, à Tikrit, dans son Irak natal !
Après une nuit de peu de sommeil, peuplée de cauchemars mêlés de rêves érotiques, où il se voyait faire des choses lubriques et abjectes, concernant Céline Garnier, il se rendit à 7h00 du matin à son cabinet, le cerveau en feu, et le sexe dur comme une barre de fer.

 Dans sa sacoche un instrument médical pour le moins insolite : une cravache !
Diffuse en direct !
Regarder son live