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Choc incestueux

Chapitre 3

Inceste
— M’expliquer quoi ? Il n’y a rien à expliquer ! L’inceste est immoral ! Rien que de repenser à vous deux en train de... Ça me donne envie de gerber ! Tu voulais savoir pourquoi j’étais parti ? Voilà pourquoi, papa. Et je ne suis pas allé dans un café mais chez grand-mère. — Ma mère ?— Oui. J’avais besoin de parler de ce que j’avais vu à quelqu’un de fiable. — Et qu’est-ce qu’elle t’a dit ?— Elle n’a fait qu’émettre une hypothèse selon laquelle tu te venges de maman en couchant avec Lily parce qu’elle essayait de te contrôler et que tu voulais lui montrer qui tu es. — Grand-mère a raison sur un point : ta mère essayait de me contrôler. Mais cela ne s’est pas arrêté là... Au fait, quel motif ta mère a-t-elle invoqué pour expliquer notre divorce ?— Elle a simplement dit que vous ne vous entendiez plus. — C’est bien ce que je pensais. Laurent, je suis désolé que tu aies découvert notre secret dans ces circonstances et tu as bien fait d’en parler à grand-mère mais tu ne connais pas la vérité. — Quelle vérité ?— La vraie raison de notre divorce. J’ai mis ta soeur au courant et elle a choisi son camp. À présent, c’est à ton tour de voir les choses telles qu’elles sont. La vérité est la suivante : ta mère avait un amant et, avec l’aide de cet amant, elle comptait faire de moi un cocu soumis à ses caprices et à ceux de son amant. — N’importe quoi, papa. Depuis que tu es parti, je n’ai jamais vu d’homme à la maison avec maman. — La raison est bien simple : lorsque maman lui a dit qu’elle ne pourrait lui donner ce qu’il voulait, il l’a purement et simplement larguée. — Tu mens, papa. Depuis ton départ, maman n’a fait que pleurer en disant qu’elle ne comprenait pas pourquoi tu l’avais aussi lâchement abandonnée pour Dieu sait quelle raison.— Elle s’est lamentée, tu dis ? La raison, je peux te la donner : elle a perdu la possibilité d’avoir un mari soumis à la maison. Depuis sa rencontre avec son amant, elle ne m’aimait déjà plus. Et moi, j’ai ma fierté. Voilà pourquoi j’ai décidé de divorcer. — Tout cela me semble un peu gros. Je n’ai jamais vu maman te donner un seul ordre en dix-huit ans d’existence.— C’est parce qu’elle n’en a pas eu l’occasion. Viens avec moi ; je vais te prouver que ce que je te dis est la vérité.
Mon père se leva de table et m’intima l’ordre de le suivre jusque dans le salon. Il alluma son ordinateur et se connecta à sa messagerie.
— Cela faisait un bon moment que je sentais que ta mère avait changé d’attitude vis-à-vis de moi. C’est pourquoi j’ai demandé à un ami informaticien de me faire transférer les mails que ta mère envoyait et recevait sans qu’elle puisse le voir. Maintenant, lis ça.
Mon père ouvrit un message et me tendit son ordinateur. Au fur et à mesure que je faisais défiler la conversation, je retrouvais les éléments dont mon père m’avait parlé. Le cocufiage, l’asservissement de mon père... Tout y était.
Je rendis l’ordinateur à mon père, le coeur lourd.
— Je n’arrive pas y croire. — Tu as eu exactement la même réaction que ta soeur. Elle non plus n’a pas voulu me croire quand je lui ai raconté ce que j’ai découvert sur ta mère. — Je suis désolé, papa. Je suis désolé d’avoir douté de toi. — Il n’y a rien à pardonner, Laurent. Au contraire, je suis très fier de toi. Tu ne t’es pas montré crédule et, pour cela, tu es plus qu’admirable car tu as défendu ce en quoi tu croyais. Maintenant que tu connais la vérité et mon plan d’action, tu peux choisir ton camp en toute connaissance de cause.— Je suis de ton côté, désormais, papa. Je ferai tout ce que tu pourras attendre de moi.— Merci, Laurent. Maintenant, va voir ta soeur. Elle sera sûrement ravie de l’apprendre.
Je rejoignis ma soeur dans la salle à manger. En me voyant arriver, Lily me regarda avec de grands yeux interrogateurs.
— Alors ? Tu comprends maintenant pourquoi j’ai couché avec papa ?— Je vois les choses plus clairement même si le fait d’avoir des relations incestueuses avec vous ne m’enchante pas plus que cela parce que cela me ferait bizarre de coucher avec ma propre jumelle et mon propre père. — C’est pour cela que nous allons y aller lentement. Suis-moi.
Lily me guida jusqu’à la chambre de notre père. Ma soeur se dévêtit et, lorsque je voulus l’imiter, elle leva une main pour me dire d’arrêter.
— Laisse-moi te déshabiller. J’aime voir ce que cachent les hommes.
Lily déboutonna mon pantalon et en fit glisser la fermeture éclair, le faisant tomber au sol. Elle m’ôta ensuite mon T-shirt et le laissa tomber par terre. Ma jumelle fit ensuite glisser mon boxer le long de mes jambes, dévoilant à ses yeux mon sexe dans toute sa fermeté.
— Hum... Jolie queue, frérot ! Pas aussi large que celle de papa mais tout aussi longue. Viens t’allonger avec moi ; nous y serons plus à l’aise.
Lily et moi nous allongeâmes côte à côte sur le lit paternel et roulâmes sur le côté. Ma jumelle glissa une main entre nos deux corps pour caresser mon sexe érigé tandis que les miennes lui caressaient les hanches, les fesses et les seins.
Ma soeur approcha son visage du mien et me donna un langoureux baiser sur les lèvres. Je me laissai aller à cette douce perversion interdite jugée si immorale. Nos langues entreprenaient un somptueux ballet tandis que nos lèvres demeuraient étroitement entrelacées. Lily caressait mon visage et mes épaules alors que ma main droite n’avait toujours pas quitté ses fesses et que ma main gauche malaxait encore son sein droit. Ma jumelle interrompit notre baiser et sourit.
— Papa et toi êtes exactement les mêmes : vous n’arrivez à vous détacher de mes seins.
Lily s’allongea sur le dos et m’attira contre elle. Ma soeur approcha mon visage de sa poitrine et me donna l’un de ses seins à sucer.
— Tu les aimes, mes gros seins ?— Hummmmmmmmmmmmmm !— Je vais prendre ça pour un oui.
Alors que je tétais tour à tour les globes d’albâtre de ma jumelle, la porte de la chambre s’ouvrit, livrant passage à mon père.
— Hum. Ça commence fort entre vous deux...
Lily repoussa mon visage de sa poitrine et alla déshabiller mon père.
Lorsque celui-ci fut nu, ma jumelle regagna le lit et se mit à quatre pattes. Mon père se positionna derrière elle et lui enfonça son phallus érigé dans le vagin. Pendant que mon père la limait par de puissants va-et-vient, ma soeur prit mon sexe à sa base et posa ses lèvres sur mon gland violacé pour, finalement, faire coulisser ses lèvres le long de ma hampe.
Près de dix minutes plus tard, mon père se détacha de Lily.
— À ton tour, Laurent. Lily, suce-moi.
Ma jumelle recracha mon phallus et je pris place derrière elle tandis que mon père prenait ma place entre les cuisses de ma soeur.
Lily emboucha le sexe de mon père et fit coulisser ses lèvres le long de la hampe paternelle tandis que je m’enfonçais dans son orifice vaginal rendu béant par le passage de mon père.
En m’enfonçant dans le sexe de ma jumelle, je me sentis bizarre. Je trouvais cela excitant de braver un interdit moral et d’en devoir garder le secret mais cela me semblait également gênant de faire l’amour avec ma propre soeur et mon propre père.
Malgré la gêne que l’acte que je commettais m’inspirait, je ne pouvais à présent plus reculer. Mais en avais-je réellement envie ?
Laissant la réflexion de côté, je pilonnai Lily de toutes mes forces. Au bout d’un certain temps, je sentis mon sexe palpiter dans le vagin de ma jumelle.
— Je vais jouir !— Vas-y, Laurent ; jouis sur son cul !
Lily recracha le phallus de mon père et s’agenouilla sur le lit.
— J’ai une meilleure idée : masturbez-vous l’un l’autre. Le premier de vous deux qui éjacule devra me nettoyer les seins avec sa langue.
Mon père nous positionnâmes face à Lily, nos glands face à sa poitrine. Mon père se saisit de mon sexe tandis que je me saisissais du sien.
Mon père commença à me masturber de plus en plus fort sous les encouragements de Lily qui se caressait les seins en nous regardant d’un air vicieux.
Ne voulant pas perdre, j’accélérai également mon mouvement d’ascenseur sur la hampe de mon père. Malheureusement, l’expérience ne jouant pas en ma faveur, je ressentis très rapidement l’envie de jouir. Je tentai d’accélérer davantage en pensant à quelque chose de peu ragoûtant mais la force de la main paternelle sur mon sexe palpitant eut tôt fait de briser le cours de mes pensées, me faisant éjaculer sur les seins de Lily dans un râle de plaisir.
Ma soeur prit mon phallus en main et, à l’aide de mon gland, étala mon sperme sur sa poitrine tandis que mon père se finissait à la main avant de jouir à son tour sur les globes d’albâtres de ma jumelle. Lily empoigna le sexe de mon père pour étaler sa semence sur ses seins.
Ma soeur se coucha sur le lit et me fit signe du doigt de venir la nettoyer.
— Comme tu as perdu la partie contre papa, tu vas devoir me nettoyer les seins avec ta langue en avalant tout le sperme.
Résigné, je posai ma bouche sur la poitrine de ma jumelle et lapai le sperme qui s’y trouvait non sans un haut-le-coeur au moment d’avaler.
Lorsque j’eus enfin de lécher la poitrine de Lily, mon père prit nous intima d’aller nous reposer pour nous remettre de nos émotions.
Après m’être rhabillé, je décidai de profiter de ce que Lily et mon père se reposaient pour sortir. J’avais vécu un moment très troublant et j’avais besoin d’en parler à quelqu’un.
[ à suivre ]
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