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Chose

Chapitre 1

Zoophilie
Je suis une chose.J’ai décidé de m’offrir à une institution qui ferait de moi un objet sexuel, un trou. La seule chose importante pour moi dans la vie serait de savoir quand je me ferais fourrer la chatte et quand je jouirais.Une existence basée sur le plaisir sexuel intense et fort, par tous les moyens, tous les trous et n’importe quels partenaires.J’ai 25 ans, je m’appelle Léa, je fais 1m70 pour 60 kg, un bon 110 C, un joli cul bien rebondi. J’ai donc pris la décision de devenir une chose.
Je suis allée visiter une institution de repos, car ma vie avait été très stressante ces derniers temps et j’avais besoin de me couper de tout ça. J’ai trouvé cette « maison » sur un site internet, qui n’avait que des avis favorables. J’ai alors téléphoné et réservé un séjour d’un mois, massages, repos, détente, piscine, soleil au programme.
Quand je suis arrivée, la femme de l’accueil m’a gentiment prise en charge et expliqué qu’ici, je serais libre de tout. Elle m’a conduite au sas de désinfection, car étant très fatiguée j’étais sensible aux germes et bactéries… Elle m’a présenté à une femme petite et ronde, sans aucun atout physique, grosse et boudinés, cheveux un peu gras, regard pervers et pénétrant… puis elle est repartie.Je suis restée donc seule avec Chantal (c’est son nom) qui m’a expliquée que cette désinfection ce faisait avec un jet du genre thalasso.— Je vais vous demander de vous déshabiller derrière le paravent et d’enfiler la petite blouse que vous y trouverez.Je m’exécute donc, file derrière le paravent me déshabille entièrement et entreprend d’enfiler la fameuse blouse, qui était trop petite d’au moins une taille. Je lui fait donc remarquer et elle me répond que c’est fait exprès. Je me retrouve donc devant cette femme, qui me dévisage de la tête aux pieds, en blouse blanche, moulant outrageusement mes seins et mes fesses, dévoilant même mon mont de vénus tellement elle est serrée. Je file rapidement près du mur carrelé, en tirant sur le bas de ma blouse qui m’arrive juste au-dessous des fesses et qui remonte quand je marche.— Prête ? On commence.Et me voilà donc aspergée d’une eau tiède, sentant un parfum merveilleusement sensuel. Le jet est juste à la bonne pression, tout est parfait. Elle m’asperge le dos, les jambes et les fesses et me demande de me retourner. Elle continue avec mes épaules, mes bras et mes seins. Elle insiste longuement sur mes seins, j’ai même l’impression que la pression s’intensifie. Mes tétons se dressent sous le jet. Puis elle descend et insiste bien sur mon sexe. Chantal coupe le jet et s’approche de moi. Elle regarde mes seins tendus, les tétons bien visibles sous le tissus blanc devenu transparent et me dit qu’il n’y a plus qu’une dernière formalité, un détail sans importance à régler. Elle m’entraîne vers un siège de type gynécologique et me demande de m’installer, pieds dans les étriers.— Je vais vous raser le sexe, ce n’est pas très hygiénique tous ces poils.Et la voilà qui se met à l’œuvre. Je me retrouve très vite glabre comme une enfant. Je sens l’air frais sur mes lèvres et ses doigts me frôlent de temps en temps. C’est agréable d’être prise en charge de la sorte et je me laisse totalement aller. Puis elle prend un petit linge très fin, qu’elle mouille et entreprend de me rincer de la mousse restante. Elle tapote légèrement l’ensemble de mon sexe.— Il reste beaucoup de mousse autour du clitoris. Excusez moi, mais il faut rincer.Et voilà Chantal qui se met à me tapoter le clitoris. Elle finit par m’écarter les lèvres de sa main gauche, pour m’essuyer délicatement le bouton qui commençait à s’énerver. Elle m’ouvrait les lèvres et me décalottait puis directement avec son doigt se mit à me le triturer dans tous les sens. Je mouillais, excitée et incapable de me soustraire à cette caresse inattendue et tellement plaisante.— Votre clitoris est énorme, et vous avez le sexe trempé. Je ne peux pas vous laisser comme ça.Elle me vissa deux doigts dans la chatte et m’aspira le clito. Elle me l’aspirait et le lécher avec tellement d’entrain que j’avais l’impression qu’elle essayait de l’avaler. Elle me fit jouir, se redressa et avec un regard de mépris profond me traita de cochonne.— Tu es une cochonne, tu t’offres comme ça, à la première personne venue.— Je n’en ai pas l’habitude. (j’étais complètement déboussolée).— Tu reste les jambes ouvertes et dégoulinantes de mouille devant moi. Mon collègue va apprécier, il aime les salopes dans ton genre. Mais jusqu’où es-tu capable d’aller ?J’étais perdue et ne comprenait plus rien. Puis le fameux collègue est arrivé, m’a baisée en discutant de tout et de rien avec Chantal. J’avais tellement envie de sexe que je ne me reconnaissais pas. Me laisser faire par des inconnus comme ça n’était pas mon genre du tout. Il a finalement giclé sur mon clito, que Chantal s’est mise aussitôt à lécher avec gourmandise pour ne pas en perdre une goutte.— Léa, je suis Samy. Je souhaiterais que tu t’offre à moi, sans restriction ni retour. Je te propose de vivre pour et par le plaisir. Je m’engage à ce que tu jouisse par tous les moyens possibles, mais tous tes orifices seront miens et tu m’appartiendras. J’userais de toi à mon gré. Tu devras toujours être disponible, mais sache que je t’offrirai. Tu te feras fourrer par des hommes, des femmes, parfois même des animaux. Ta chatte, ta bouche ton cul seront des réceptacles de diverses choses, c’est-à-dire de sexes, de jouets sexuels, d’objets… Le veux-tu ?J’étais terrifiée à cette idée, pourtant je m’entendis répondre— Oui Samy, je m’offre à toi. Fais de moi ce que tu veux et quand tu le veux.Le mois que je passais, Samy et Chantal me préparèrent. Je me faisais baisée à heures régulières, soit par Samy, soit par les godes de Chantal. Ils m’ouvrirent le cul aussi. Lorsque ce mois toucha à sa fin, j’étais devenue une vraie chienne en chaleur, le moindre objet qui aurait pu me procurer du plaisir je le voulais dans ma chatte. Chatte qui étais toujours baveuse de mouille. Lorsque Samy m’a proposé soit de rentrer chez moi et d’oublier soit de vraiment lui appartenir, j’ai choisi de rester. Il m’a emmenée dans une salle d’examen et m’a demandé de m’asseoir dans le siège de gynécologue. Il m’a attaché les pieds aux étrier, les mains aux accoudoirs et la taille au siège.— J’ai besoin de t’attacher car un ami t’a réservé. Il veut t’essayer, mais il a des fantasmes un peu bizarres et tu pourrait vouloir te débattre. Mais ne t’en fais pas, toutes les cramouilles qui sont passées entre ses mains sont ressorties pissant de bonheur.Il quitta la pièce dans un rire gras. J’étais pas très à l’aise, mais suffisamment excitée pour être curieuse. Il faut dire que depuis le départ j’étais sous aphrodisiaque puissant, qui me rendais vraiment nymphomane.Le fameux ami est arrivé. Il a poussé trois chariots roulants à l’intérieur de la pièce, eux-mêmes recouverts d’une couverture. Je ne pouvais pas voir ce qu’il y avait sur ces chariots. Il installa son siège entre mes jambes. Le siège étant surélevé, quand il s’assiérait il se retrouverait le nez face à ma chatte. Puis il vint se mettre à côté de moi et posa une main distraite sur mon sein gauche. Il était vieux, au moins 70 ans, l’air un peu fou du professeur tournesol dans les tintin de ma jeunesse.— Tu es une belle femme. Tu dois faire envie à beaucoup de monde. C’est dommage que je ne puisse plus bander, je ne pourrais donc pas te baiser, mais ne t’inquiète pas, mes amies le feront à ma place. Elles sont fidèles et très perverses, je serais là pour les guider.Je ne comprenais pas un mot à ce qu’il racontait. Quelles amies ? je ne voyais personne d’autre dans la pièce. Tout en me racontant ça il me caressait les seins, énervant mes tétons déjà tout dur et dressés vers lui, comme une supplication à la succion. Il se pencha et me téta les seins comme un enfant le ferait. Il enroulait sa langue autour de mes tétins qui continuaient d’enfler de désir. Puis il se dirigea vers ma chatte, et s’assit entre mes jambes. Je ne voyais plus que le sommet de son crâne. De ses deux pouces il m’ouvrit la fente.— Tu es déjà toute mouillée et bien ouverte, nous allons pouvoir commencer. Mes amies s’impatientent. Elles aiment tellement le sexe et je sens que tu vas les aimer aussi.Tout en disant cela, il se leva, et disposa les chariots sur mes côtés afin que je puisse bien les voir et ôta les couvertures. Je poussais un cri d’horreur en voyant tous les contenus des boîtes et bocaux, tandis que lui se mit à rire. Je me débattis dans mes liens.— Voyons, tu vas jouir comme la pire des salopes. C’est ce qu’elles font toutes.Il plongea la main dans un bocal et me posa deux escargots sur chaque sein, ainsi que quatre sur la chatte. C’était froid, gluant. Il se mit à jouer avec ceux de mes seins, qu’il posait sur mes tétons. Je sentais le mollusque se ventouser sur mes pointes. Il fit pareil sur ma chatte, tout en encourageant ses escargots de bien me téter le bouton. J’étais mouillée comme jamais. Lorsqu’il s’en aperçut, il retira ses bêtes, et les rangea dans leur bocal. Je le vis mettre des gants et sortir de son aquarium la plus grosse anguille que j’avais jamais vu. Il la positionna à l’entrée de mon sexe et entreprit de me la fourrer. Il faisait des allers retours avec l’animal. Une fois bien au fond, il la maintenait. Je la sentais se tortiller au fond de ma chatte. J’ai jouis deux fois, avant de me mettre à pleurer.— Tu vois, mes amies te plaisent. Il n’y a pas de honte à prendre du plaisir et à jouir de toutes les situations. Ne pleure pas, nous commençons juste. Tu as encore un soupçon de morale, mais tu verras, bientôt la seule chose qui t’importera sera de savoir quoi te fourrer pour jouir. Je vais te la retirer et la remettre dans son aquarium, mais je vais encore te faire jouir, tu en redemanderas, crois-moi.Il m’ôta l’anguille frétillante de la chatte, ce qui me fit jouir une troisième fois, tandis que je pleurais silencieusement de plus belle. Il me tripota le clito, tout en me doigtant copieusement la chatte. J’ai arrêté de pleurer pour pouvoir jouir quatre fois d’affilée. Il me fit jouir pendant quatre heures. Tout y passa, des mollusques, des poissons divers, des poulpes… Il finit par me fourrer quelque chose de froid dans la chatte.— C’est un spéculum, c’est pour bien t’ouvrir. Je vais aussi ouvrir ton col de l’utérus car je veux te fourrer jusque-là.Il fit ce qu’il dit. Puis il souleva un bocal que je n’avais pas encore vu, afin que je puisse voir son contenu. Il était rempli d’asticots. Des vers blancs longs comme un petit doigt et grouillant dans tous les sens. Ils étaient très vivaces.— Ne t’inquiète pas, j’ai trois bocaux de vers. Ils sont inoffensifs et vont tous finir dans ta chatte. Tu vas être pleine. Et regarde, tu as vu comme ils gigotent ? C’est parce que j’ai trouvé un produit qui les énerve. Imagine comme ils vont te procurer du plaisir à se trémousser ainsi dans ta matrice.Il prit délicatement une poignée de ses petits asticots chéris et me la lâcha dans la chatte, qui était grande ouverte grâce au spéculum placé. Ce qui m’effrayais le plus c’était surtout l’ouverture de mon col.— C’est merveilleux, on dirait qu’ils sont doués d’intelligence. Tu te rends comptes ils vont en direction de ton utérus. (Il se mit à les encourager). Oui vas-y mon beau, tu y es presque. Tu verras, c’est un trou accueillant, qui aime se faire fourrer, tu vas pouvoir bouger à ton aise et je t’y enverrais tes copains. Oui, oui, oui. (Il me regarda d’un air triomphant). Ca y est, il vient de tomber dans ton utérus. Mais ne t’inquiète pas, je filme tout. Comme ça tu pourras te branler en regardant le film après. Il reparti d’un rire gras. Je me remis à pleurer silencieusement, et me déconnecta de mon corps, qui lui continua à vivre.Lorsqu’il retira le spéculum, je me sentais toute gonflée, ballonnée, mais je ressentais du plaisir. Un plaisir sourd et lancinant. Au plafond, je vis une vidéo se mettre en place. Je me rendis compte qu’il s’agissait de ma chatte bien ouverte, ainsi qu’un dispositif permettant de maintenir le col bien ouvert également. On aurait aisément pu me fourrer un doigt dans l’utérus. Puis je vis une dizaine de petits vers atterrir sur mes muqueuses. J’entendis ses fameux encouragements et vit effectivement un asticot tomber dans mon trou noir. Puis avec une tige fine, je vis le vieux pervers pousser les autres asticots en direction du trou, qui furent happés, tout comme le premier. Une autre poignée plus importante que la première suivie, puis encore une et ainsi de suite. Chaque fois il les aidés à aller se perdre dans mon utérus. Sa voix dans la vidéo annonça qu’il m’avait fourré deux bocaux dans la chatte. Les vers continuèrent à pleuvoir sur ma chatte. Jusqu’au moment où, mon utérus était plein et nous voyions les vers qui débordaient. Je le vis retirer le spéculum et bien refermer ma chatte. Puis il m’expliqua qu’à présent je verrais tout en direct.Je vis un vibromasseur approcher de mon clito et se poser dessus. Je sentais le plaisir monter de plus en plus vite et de plus en plus fort et je jouis. Ma chatte dégoulinait de jus. Il me fit jouir six fois comme ça, sans décoller le vibromasseur de mon bouton devenu hyper sensible. Puis il me fourra un gode fin et recourbé dans la chatte.— C’est pour agacer ton point G. Tu vas me sortir les asticots en jouissant. Tu vas tellement gicler et pousser que ça va se faire tout seul.Il me fourra à une telle vitesse que très vite je me mis à jouir en criant. Je mouillais de plus en plus, le plaisir étant de plus en plus fort. Puis, à l’orgasme suivant un premier jet sorti de ma chatte. Le second était chargé de petits vers blancs. Je n’arrêtais pas de jouir. Je me pissais dessus en même temps, c’était tellement bon. J’ai perdu connaissance après un énième orgasme, et quand je me réveillais j’étais allongée dans une chambre, sur un lit, avec un petit mot sur la table de nuit me disant qu’il ne fallait pas que je m’inquiète, j’avais étais vidée et nettoyée de tous les asticots.
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