C’était l’anniversaire de Christiane. En ce jour de printemps ensoleillée, cette plantureuse blonde fêtait ses 30 ans. Jérôme son mari lui avait promis une belle surprise pour la soirée et il lui avait recommandé d’être à son avantage. Pour faire plaisir à Jérôme, Christiane avait fait quelques achats la semaine précédente et alors qu’il était 18h00, elle venait d’enfiler la parure qui pensait-elle allait fortement émoustiller son époux. Car La belle plante blonde espérait que son homme saurait se montrer à la hauteur pour fêter dignement ses trois décennies d’existence. Ainsi avait-elle revêtu un top dos nu à motifs léopards tendu sur ses seins fermes et opulents, ainsi qu’une courte jupe noire étroite et fendue qui laissait entrevoir le haut de ses bas marrons maintenus par un large porte jarretelle assorti. Christiane avait en outre chaussé des escarpins de cuir marrons à talons fins de 13 cm garnis de lanières qui enserraient ses fines chevilles. Bien décidée à rendre Jérôme fou d’excitation, la jeune femme ne portait pas de slip laissant sa somptueuse croupe rebondie offerte et prête à être honorée par son homme.Christiane venait de se servir une seconde Marie Brizard lorsque la sonnette de l’appartement retentit. Persuadée qu’il s’agissait de son mari, elle s’empressa d’aller ouvrir et se retrouva nez à nez avec un colosse à la peau noire, vêtu d’un costume beige, d’une chemise rouge entrouverte sur un torse puissant arborant une épaisse chaîne en or, et de chaussures en daim marron à lacets. Christiane retint une exclamation de surprise alors que le type se présentait. — Bonsoir, je suis Samuel le collègue de bureau de Jérôme. Il m’a invité à dîner. Puis voyant l’air interloqué de la jeune femme, il ajouta:— J’espère que cet étourdi n’a pas oublié de vous prévenir. Confuse, Christiane se mit à rougir en bafouillant. Samuel éclata alors de rire tout en examinant la jeune femme en détail puis il ajouta avec sérieux. — Ce cachottier de Jérôme nous avait caché qu’il avait une épouse aussi séduisante. Christiane baissa les yeux quelque peu embarrassée lorsque le téléphone se mit à sonner. Elle se précipita pour aller décrocher et dans sa course dévoila involontairement à Samuel le liseré de ses bas ainsi que le haut dénudé de ses cuisses nerveuses. Elle revint rapidement avec le combiné sans fil tandis qu’à l’autre bout, son mari s’excusait de son retard et lui expliquait qu’il espérait être là d’ici une heure. Christiane répondit alors avec un soupçon d’irritation:— Ton ami est arrivé. Tu avais oublié de me prévenir que nous ne serions pas seuls dit-elle. — C’était volontaire ma chérie répondit Jérôme naturellement. Je t’avais bien dit que je te préparais une surprise. Mais n’aie crainte, tu verras : Samuel est très sympathique et très drôle. A mon avis il saura te faire patienter. Franchement surprise, Christiane finit par répondre:
-Eh bien d’accord puisque c’est ce que tu souhaites.Jérôme envoya un dernier baiser à son épouse avant de raccrocher . La belle femme blonde se tourna ensuite vers Samuel et lui sourit.— Entrez donc puisque Jérôme vous a convié ce soir. Nous allons l’attendre ensemble.L’épouse conduisit le noir dans le salon et l’invita à s’asseoir. Samuel s’installa confortablement dans le canapé après avoir enlevé sa veste. En bon mâle alpha, il ne se priva pas de prendre ses aises écartant délibérément ses jambes pour occuper au mieux l’espace. Christiane impressionnée malgré elle par la force tranquille dégagée par le colosse à la peau couleur d’ebène attendit qu’il marque son territoire avant de lui demander ce qu’il désirait boire. L’homme opta pour un bourbon tandis que la jeune femme se servait une dose supplémentaire de Marie Brizard.Christiane s’assit ensuite au bord d’un fauteuil en tirant sur sa jupe pour essayer de masquer le haut de ses bas à l’homme qui lui faisait face. Celui-ci fit mine de ne rien remarquer et commença à parler et à enchanter son hôtesse avec des anecdotes dans lesquelles il n’hésitait pas à mettre en avant son courage et son pouvoir de séduction. Au bout d’une demi-heure, la jeune femme était sous le charme du mâle alpha et elle avait abandonné toute méfiance appréciant sans réserve les compliments que Samuel lui prodiguait avec subtilité. Profondément enfoncée dans le fauteuil, Christiane croisait et décroisait ses longues jambes, sans se soucier de dévoiler au noir la pilosité fournie de son intimité.Celui-ci se régalait du spectacle offert involontairement par son interlocutrice qui avait complètement oublié qu’elle ne portait pas de culotte.Après une ultime gorgée, Samuel fit remarquer à son hôtesse que son verre était vide. Christiane se releva et vint servir son invité avant de lui tendre son verre à nouveau rempli. En le saisissant, Samuel effleura la main de la jeune femme qui tressaillit au contact de l’homme:— celui-ci fixa Christiane avant de poser son verre et d’enserrer son poignet délicat entre ses longs doigts puissants. La jeune femme frissonna. Le mâle noir la dévisagea d’un air gourmand. — on dirait que tu as froid. Viens donc t’asseoir près de moi. Ce serait vraiment dommage que tu ajoutes un autre vêtement à cette tenue si seyante. Déstabilisée par le soudain tutoiement et le compliment du noir, Christiane se mit à rougir en proie à un trouble difficilement maitrisable. Samuel en profita pour l’attirer sur le canapé.— Tu auras plus chaud si tu t’approches de moi déclara t-il avec aplomb…— Vous croyez… ? balbutia la jeune femme en frissonnant à nouveau. — Bien sûr et je suis persuadé que tu penses comme moi, rétorqua l’homme tout en passant le bras autour de la taille de sa voisine qui sentit sa vulve s’humidifier imperceptiblement au contact de la peau foncée. Le mâle attendit quelques secondes en souriant de toutes ses dents blanches avant de glisser la main sous l’étoffe du top pour la poser sur le ventre chaud de la jeune femme et l’attirer vers lui.Celle-ci aurait dû résister mais la puissance virile du noir était exacerbée par l’alcool consommé par la jolie blonde. Une douce chaleur avait gagné l’intérieur de ses cuisses et elle n’avait nullement l’intention de repousser son si viril voisin. Ses réflexes de femme fidèle étaient en train de se diluer dans le désir qui embrasait inexorablement son corps. Christiane prit acte de sa vulnérabilité et ferma les yeux. Samuel en profita pour approcher sa bouche des pulpeuses lèvres rouge vif qu’il goûta du bout de la langue avant d’embrasser sa conquête. Celle ci ne s’opposa pas à l’appendice agile qui forçait sa bouche. Encouragé par la passivité de son hôtesse, le mâle dominant glissa sa main droite sous la courte jupe de Christiane et se mit à masser délicatement l’intimité humide de la femelle qu’il venait de dompter. Leur lèvres restèrent soudées durant de longues secondes avant que Samuel demande à sa conquête de retirer sa jupe et de lui dévoiler son minou touffu.La blonde s’exécuta docilement et tout en échangeant des Baisers fougueux avec le noir elle entreprit de le déshabiller. Bien vite, l’homme se retrouva vêtu d’un simple caleçon et Christiane y plongea la main avec gourmandise pour saisir la tige somptueuse qui s’y cachait bien mal. En découvrant la colonne de chair démesurée, la femme blonde ne put retenir un cri de surprise. Bien qu’encore flasque, cette queue dépassait largement en longueur et en épaisseur le sexe de Jérôme au mieux de sa forme. Christiane sidérée ne pouvait détacher ses yeux du membre majestueux qu’elle sentait palpiter dans sa main. Samuel arborait le sourire triomphant du mâle dominant qui savait qu’une nouvelle femelle allait s’ajouter à son cheptel.— Ne t’inquiète pas, lâcha t-il d’une voix qui fit frisonner Christiane tu n’imagines pas le bien qu’elle va te faire. Crois moi ma belle, ta jolie chatte va miauler de bonheur. Mais d’abord tu vas apprivoiser le monstre et l’accueillir au fond de ta gorge. Christiane était rouge de désir. Jérôme n’existait plus. La femme s’agenouilla silencieusement entre les cuisses musclées du noir avant de saisir sa pine à pleines mains et de porter le gland phénoménal dans sa bouche. Elle suçait avec délectation le beau Samuel dont la queue se raidit complètement devenant si grosse que Christiane avait du mal à garder l’extrémité entre ses lèvres. Tout en branlant la verge avec dextérité elle léchait passionnément le gland et le noir ne tarda pas à décharger forçant la plantureuse blonde à avaler sa semence dans un grognement triomphant. Il aida alors la jeune femme à se relever puis lui retira son dos nu avant de saisir les seins opulents qu’il massa avec douceur. Trempée de désir, Christiane avait saisi de nouveau la queue pendante du noir et la branlait pour lui rendre de la vigueur. A sa grande satisfaction, le dard se dressa rapidement dur comme un roc. Doucement Christiane s’assit sur les cuisses de Samuel puis approcha le gland contre son pubis. Avec prudence, elle commença à s’empaler sur la verge somptueuse. Le sexe démesuré distendait la chatte de la jeune femme qui gémissait de plaisir tandis qu’il s’immisçait au plus profond de son vagin.— Tu l’apprécies ma grosse queue on dirait ma belle lâcha alors Samuel dominateur en plantant son regard dans les yeux mi-clos de la femme de son collègue. Christiane ne répondit rien. Le regard perdu, la femme en pamoison se laissait envahir en gémissant par le tenon de chair marron qui distendait ses parois intimes. Le mâle exultait:— Tu es comme toutes les bourgeoises blondes, tu es incapable de résister à la grosse bite de Nègre. La jeune femme ne put retenir un cri aigu Lorsque l’enorme cep de Samuel tapa le fond de son vagin après avoir rempli son intimité écartelée comme jamais. L’étalon la saisit alors par la taille puis sans effort apparent, la fit monter et descendre sur son pieu turgescent. La jeune femme comblée râlait de plaisir en accélérant progressivement le mouvement tandis que Samuel l’encourageait par ses propos crus et dominateurs. Rapidement, Christiane se tendit comme un arc submergée de plaisir pendant que Samuel déchargeait en elle le jus abondant de ses couilles de taureau. Momentanément épuisée, la jeune femme s’affala sur le torse puissant de son amant qui tout en lui caressant le dos de la main gauche avait introduit l’index et le majeur dans son anus qu’il s’était mis à masser de manière experte. Ravie, Christiane déposait de petits baisers sur le torse et dans le cou de Samuel en ronronnant de plaisir avant de lui offrir ses lèvres avec reconnaissance. L’homme l’embrassa fougueusement puis la fit se lever avant de quitter le canapé à son tour . Il la prit alors dans ses bras et la conduisit dans la chambre où il la déposa sur le lit allongée sur le ventre avant de s’asseoir auprès d’elle. Il se mit à la caresser tendrement en écartant doucement et largement les cuisses fermes et nerveuses de Christiane. De nouveau, il se mit à farfouiller dans l’anus de la jeune femme puis s’agenouilla entre ses jambes. Samuel saisit alors la taille de sa maîtresse puis se pencha et se mit à lécher le petit orifice rose avec délectation arrachant des petits gémissements de contentement à la jeune femme. Pendant de longues minutes, il lubrifia ainsi l’anus faisant en sorte de décontracter totalement Christiane. Le massage délicat remplissait d’extase la jeune femme qui avait fermé les yeux prête à offrir sa fleur vierge à cet étalon si prévenant qui de nouveau bandait comme un cerf. Le noir vint ensuite cogner avec son gland contre l’anus dilaté de la beauté blonde qui rendit les armes après plus d’une minute de forage intensif. Quand le pieu extra large fut enfin en elle, Christiane se sentit plus femme que jamais oubliant l’intense douleur ressentie lors de cette pénétration contre nature. Samuel débuta alors un lent va et vient provoquant chez sa conquête des ondes de plaisir de plus en plus intenses. Tout en accélérant ses coups de boutoir, l’étalon massait désormais le gros clitoris de sa maîtresse qui poussait des gémissements de plaisir de plus en plus stridents. Lorsqu’enfin le noir explosa dans son fondement, Christiane fût submergée par un orgasme d’une puissance inouïe avant de hurler de plaisir. Les deux amants s’affalèrent alors apaisés et –momentanément- comblés. Christiane fut la première à rompre le silence. « Tu sais lâcha-t-elle hésitante, tu es le premier qui m’ait jamais… -Enculée ! coupa alors Samuel hilare. Mais j’ai l’impression que ça t’a plu. — Oui c’est vrai… admit la jeune femme un peu honteuse et tous deux éclatèrent de rire. Samuel se leva alors faisant face à la jeune femme qui s’était retournée et se trouvait désormais étendue sur le dos. Elle admirait le corps parfaitement musclé du noir avant de fixer son regard sur ses somptueux attributs. — Tu es un formidable amant lâcha-t’elle alors doucement. Est-ce que moi aussi je t’ai offert beaucoup de plaisir ?samuel répondit spontanément d’une voix ferme:— Bien sûr ! tu possèdes des rondeurs opulentes comme je les aime et tu es large et profonde pour bien me recevoir. En plus tu es une très bonne baiseuse prête à satisfaire un bel étalon noir. Alors… — Alors ? reprit Christiane appréhendant la réponse qu’allait lui faire son amant— Et bien désormais, je pense que tu es prête à m’appartenir répondit Samuel d’une voix neutre. Et à devenir une bonne salope soumise et disposée à satisfaire tous les desirs de son maître noir. Christiane se mit à rougir violemment après la déclaration de Samuel. Son coeur se mit à battre la chamade alors que Samuel poussait son avantage:— Tu es bien d’accord avec ça n’est ce pas ma belle salope blonde ? Soumise, Christiane baissa les yeux et hésita avant de répondre mais aucun son ne sortit de sa jolie bouche. "C’est vrai je suis à toi et je suis prête à satisfaire tous tes désirs" pensa-t-elle simplement. Cet aveu silencieux suffit à satisfaire Samuel qui enchaîna:— Très bien. Je crois que tu ne me décevras pas. Alors écoute bien : D’abord sache que tu ne dois plus porter ni slip ni soutien gorge ni collants. Si tu dois couvrir tes jambes, tu ne porteras que des bas avec de préférence un porte jarretelle. Tu dois toujours avoir un profond décolleté et ne porter que des jupes ou des robes qui découvrent le genou. Bien sûr, tu n’auras aux pieds que des chaussures à hauts talons. Tu as bien compris ? Christiane prit un air de chien battu avant d’acquiescer d’un voix faible partagée entre le désir de se soumettre à l’étalon noir et celui de se comporter en femme libérée prête à s’offrir à d’autres mâles alpha. — Parfait conclut Samuel! Demain tu me rejoindras à un endroit que je t’indiquerai et je t’offrirai une chaîne de cheville que tu ne quitteras jamais et qui indiquera à tous que tu es à moi. Troublée et excitée à la fois Christiane sourit respectueusement. La belle femme blonde venait de lui déposer les armes et Samuel était désormais prêt à l’utiliser pour son bon plaisir jusqu’à la fin de la nuit:— Maintenant lève-toi et viens sucer ton mâle.
