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Christine -b

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
Je ne sais pas depuis combien de temps j?observe Christine, probablement toute ma vie déjà. En tous cas c?est l?impression que j?ai, car ma vie ne commença que lorsqu?elle emménagea en face de chez moi. C?était l?été, un comme ceux que j?avais toujours passé à la maison. J?étais, une fois de plus, assis devant mon ordinateur et abattais des monstres virtuels pour lesquels, dans la vie réelle, je me serais enfoui à toute allure. Je les abattais les uns après les autres, si bien que je m?approchais de plus en plus du record de la semaine passée. Je jette un coup d?oeil par la fenêtre et je l?aperçois sur le trottoir, Christine, un ange, magnifique. Elle n?a à l?époque que dix ans, mais elle possède déjà le pouvoir d?attirer les regards, pas rien que le mien. Elle a des cheveux blonds, lisses, qui lui descendent jusqu?aux fesses comprimées dans un short étroit. Sa peau est basanée et semble reluire, et ses mouvements sont d?une grâce que je n?ai jamais connue, ni avant ni après. Inutile de dire que j?ai perdu la partie et que le record ne fut pas battu. Christine emménagea dans la maison en face de la nôtre et sa chambre se trouvait parallèle à la mienne. Je vendis le jour même ma console de jeu pour me procurer un télescope, car mon enfance était subitement terminée, l?apparition de Christine me faisant découvrir l?Amour. Depuis ce jour, je ne vécu que pour Christine. J’ai ainsi passé le reste des vacances à observer comment elle a installé sa chambre. Dormir et manger n?était plus qu?actions secondaires, même les rendez-vous avec les copains, tout m?était égal. Je ne sais pas si elle avait remarqué ma présence, car elle ne fit rien qui pouvait le démontrer. Mais quand même, lorsqu?il était temps pour elle d?aller se coucher, elle se retournait chaque fois, avant que je ne puisse en voir trop. Ces rituels nocturnes allaient me poursuivre pendant des années, le corps de Christine s?épanouissant de plus en plus pour devenir une créature de rêve, mon rêve. Chaque soir elle déposait sur son lit une nuisette ultra courte, dont le tissu semblait tissé avec de la toile d?araignée, flottant sur son corps, comme s?il n?osait la toucher. Doucement, avec des gestes harmonieux, elle se déshabillait, se balançant au rythme d?une musique langoureuse. Elle semblait caresser son corps, ses doigts caressant une peau immaculée. Elle enlevait en dernier son chemisier sous lequel elle ne portait que rarement un soutien-gorge, mais au dernier moment elle se retournait et ne me permettait qu?une vue sur son dos cambré.Cela devint pire en été, quand la chaleur restait la nuit, si bien qu?on n?avait pas d?autre choix que de laisser une fenêtre ouverte, afin de se rafraîchir un peu. Christine utilisait un ventilateur, placé au pied de son lit envoyant son courant d?air au-dessus de son corps, soulevant parfois cette nuisette transparente. Et Christine jouissait de cette situation, se tordant sur le lit couvert d?un drap de satin, les gouttes de sueur luisantes sur son corps. Je ne pouvais dormir aucune nuit, car je me mettais au lit seulement quand Christine s?était endormie. A ce moment mes sens étaient encore tellement en émoi, qu?il m?était impossible de dormir. En particulier quand Christine, en plus de l?air frais du ventilo, laissait ses doigts courir sur son corps. Elle se caressait le ventre plat, remontait vers sa poitrine, qu?elle pelotait, sans que la nuisette ne bouge, empêchant tout regard. Parfois elle se cambrait, lorsque sa main glissait vers le bas, disparaissant sous le slip. Pour augmenter les sensations, elle ramenait les jambes l?une contre l?autre, roulait d?un côté vers l?autre, d?abord sur le ventre puis de nouveau sur le dos, augmentait sa cambrure, jusqu?au moment attendu où elle jouissait presque douloureusement. La plupart du temps j?arrivais au même moment qu?elle, comme si elle savait exactement ce qu?elle devait faire et pendant combien de temps, pour m?amener à distance à l?orgasme. Et puis arriva l?époque, année du bac, où elle ramena des copains à la maison. Tel un masochiste ? car je savais bien que j?allais en souffrir ? je regardais ces combats sur le lit engendrés par le désir. J?observais des mains de garçons plonger sous son Tshirt et empoigner ses seins magnifiques, des langues obscènes glisser dans sa bouche et en prendre brutalement possession. Une nuit, elle ramena un jeunot dans sa chambre. J?avais remarqué qu?ils étaient arrivés, se parquant un peu plus loin, certainement pour ne pas attirer l?attention des parents déjà couchés. Juste avant qu?ils ne pénètrent dans la maison, Christine se retourna, regardant dans ma direction, comme si elle voulait s?assurer de ma présence. Naturellement, j?étais là, comme chaque jour de sa vie ici. Arrivés dans sa chambre, l?époque de la contenance semblait terminée. Son copain la pressa contre son corps, l?embrassa passionnément, pendant que ses mains la déshabillaient. Elle aussi le déshabilla, ouvrit son jeans et glissa sa main dans son short, gonflé par un sexe raide à en tendre le tissu. Cela excitait tellement son copain, qu?il la retourna et voulut la coucher sur le lit. Mais Christine se déroba et, ainsi, il la poussa contre le bureau qui se trouvait devant la fenêtre et ainsi dans mon champ de vue. Pas loin de l?explosion, il lui arracha le slip, sortit son membre gonflé et la pénétra par derrière. Son bassin ondulait frénétiquement, je pouvais le voir car le corps de Christine était chaque fois poussé en avant. Ses deux mains empoignèrent ses seins et les malaxaient fermement pendant que Christine gémissait. Ses coups de reins augmentaient de puissance et les grimaces de Christine montraient bien qu?elle en jouissait autant que lui.
Mais à chaque fois, son regard se portait dans ma direction, elle me regardait. Elle savait que j?étais là, caché derrière ma fenêtre.
Ces scènes se répétèrent plusieurs fois, et à chaque fois il me semblait que Christine faisait le nécessaire pour que je puisse l?observer à ma guise. Ses acteurs masculins changeaient, elle et moi restions.
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