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Christine VI : Midlife Crisis

Chapitre 10

Hétéro
Le lendemain matin, Christine me salue comme ces derniers jours. Aucun mot sur mon retour à 1h du matin. Et à vrai dire, elle est peut-être sortie elle aussi, je n’en sais rien. La journée est chargée et seul un smack avec Mélissa me détourne un instant de mon travail. Le jeudi 21 est du même acabit, sauf que je passe chez Mélissa en fin de journée. Nous faisons l’amour puis elle m’explique que Felipe va récupérer les armoires vides, les découper et s’en servir pour faire le dressing et ainsi limiter les coûts. Elle a terminé de nettoyer la baie vitrée que je découvre de jour pour la première fois. Prodigieux. Felipe travaille dans son appartement jusqu’au lundi 25. Mélissa s’est installée chez son frère jusque là. Nous avons une discussion le lundi 25 et nous renonçons à tout contact au travail, tout déjeuner ensemble et privilégions la communication via la messagerie.
Le mardi 26, je passe chez elle en fin de journée. Felipe est là. Il vient de terminer d’installer le lit escamotable et c’est fantastique. Compte tenu de la taille de son appartement, c’est idéal. Le dressing qu’il a créé est étonnamment fonctionnel et selon les désidératas de Mélissa. Cette dernière est comme une folle. Il faut tout nettoyer, tout ranger, mais sa joie est telle qu’il ne fait aucun doute qu’elle s’attellera à cette tâche avec grand plaisir. Felipe s’en va et Mélissa vient m’embrasser.— Merci de m’avoir motivée, Florent.— Tu l’aurais fait sans moi aussi.— Je ne sais pas. J’avais tellement l’habitude de voir l’appart comme il était…Face à la baie vitrée, je l’enlace.— Voilà. Ici, tu domines la ville, tu en es la reine.Je déboutonne son chemisier bleu et découvre un sublime soutien-gorge noir en dentelles. De marque. Je sors les seins de leur coque :— Ton peuple découvre tes sublimes seins en forme de poire. Connaisseur, il les désigne comme canon de beauté. Délicat, il veut en prendre grand soin. Gourmand, il aime y goûter. Mélissa rit et m’invite à continuer.
Je remets sa poitrine en place et remonte lentement sa jupe. Mélissa frotte ses fesses contre mon sexe. Stupeur en haut de ses cuisses : pas de collants mais des bas et surtout, des jarretelles. Fière de son effet, elle dit :— A circonstances exceptionnelles, tenue exceptionnelles, non ?Je ne réponds rien et continue de remonter la jupe. Pas de culotte et son sexe est glabre. Je souris :— Et rasage exceptionnel ?— Mmmh… Oui… Tu aimes ?Je passe les mains à son entrejambe et écarte les lèvres de sa vulve face à la fenêtre. Grandiloquent, j’annonce : — Peuple de Mel, le minou royal !Nous éclatons de rire et Mélissa se tourne alors pour m’embrasser. La jupe toujours à la taille, je poursuis :— Tes fesses sont présentées à ton peuple. Le plus beau cul de tout le royaume, ils en sont complètement fous. Mélissa entre dans le jeu :— A ce point-là ?— Une rondeur parfaite, une taille jugée divine, un forme surexcitante, une douceur incroyable… — Jamais on ne m’avait dit ça…
— Je le vois partout, tout le temps.— Que penses-tu de ça ?Mélissa monte sur le lit, s’y agenouille avant de s’appuyer sur les mains. Elle remonte sa jupe au dessus de ses fesses, écarte les jambes et se cambre autant que possible. Position de rêve, vision divine. Je viens derrière elle, passe une capote et glisse dans son vagin. La première position sur le nouveau lit est une levrette paradisiaque avec Mel en tailleur, sans culottes, talons et porte-jarretelles. Peu après, en cuillères au bord du lit, Mélissa murmure :— Putain, c’est vrai qu’on baise sur la ville !
Alors que j’accélère le rythme, elle ne demande de ne pas jouir et de l’avertir avant. Ce que je fais quelques instants plus tard. Elle me demande de me retirer et je viens à califourchon sur elle. Elle me masturbe alors et j’éjacule. Le premier jet gicle jusqu’à son visage tandis que les autres maculent son cou et sa poitrine. Elle me prend ensuite dans sa bouche et me nettoie. Elle fait un clin d’œil :— Il fallait arroser ça, non ?Nous éclatons de rire. Nous passons tour à tour à la douche et je dois prendre congé d’elle en raison d’un dîner avec un ami.
La distance que j’entretiens désormais avec Christine rendent les week-ends plus calmes à la maison. Je me sens bien, je ne suis plus frustré, je suis détendu, disponible pour les enfants et les tensions sont quasiment inexistantes. Étrangement, je sens que mon désir physique envers ma femme diminue alors que nous nous entendons mieux au quotidien. Je meure également d’envie de lui demander si elle a eu des aventures, mais je me retiens. De son côté, elle ne laisse rien paraitre et c’est parfois un peu déstabilisant. Aussi, j’essaie autant que possible de profiter de ces bons moments en famille.
Dorénavant, je passe deux à trois fois par semaine chez Mélissa en fin de journée. Elle apprécie mes passage et semble satisfaite de la régularité de nos rapports. Elle me dit ne pas vouloir se remettre en couple pour l’instant et coucher avec moi lui convient parfaitement. Je vais par ailleurs manger chez elle le mardi 12 mars. Auparavant j’avais annoncé à Christine par message que je dormirai ailleurs. Elle m’avait répondu ceci : "Ok. Merci de m’avoir prévenue". Aussi, j’annonce à Mélissa que je peux passer la nuit avec elle, mais à ma grande surprise, elle se montre peu enthousiaste :— J’ai mes règles.— Et ?— Et on va pas baiser !— Tu es assez vexante.Mélissa sourit et prend conscience de sa bourde. Elle vient m’enlacer :— Excuse-moi. Je suis super heureuse de passer la nuit avec toi. J’aurais juste préféré être en mesure de coucher avec toi. Je vais être un peu frustrée.— On aura d’autres occasions, rassure-toi.
La soirée est des plus agréables et nous parlons sans cesse, sautant d’un sujet à l’autre, riant de l’un, philosophant sur un autre. Après le repas, nous allons sous la couette et nous nous câlinons. Mélissa me fait une magnifique fellation.
Etrangement, nous n’abordons le sujet professionnel que vers 23h et Mélissa vient rapidement à me parler de Barbara, une ancienne collègue qui a changé de département. Mélissa et Barbara ont sympathisé lors d’un apéritif organisé dans l’entreprise. Mélissa me fait part des gros soucis de couple de Barbara. Elle et son partenaire seraient au bord de la rupture. Depuis un an, un an et demi, plus rien ne va. Je suis particulièrement sensible à ce que m’annonce Mélissa, car j’ai travaillé face à face avec Barbara durant près de sept ans et nous étions très complices durant une période où la boite ne marchait pas bien. On se serrait les coudes. Il y a quatre ans, elle a souhaité changer de département et nous ne sommes plus dans le même bâtiment. Nous nous croisons environ une fois par semaine désormais. Je connaissais toute sa vie privée, je l’ai soutenue durant son divorce, aidée, réconfortée, consolée. Un lien fort existe entre nous, mais sans ambiguïté. Elle est en couple depuis six ans avec un autre homme, jouissant d’une excellente situation. Mélissa a son avis sur les problèmes de Barbara :— Elle devrait faire comme moi : se séparer de lui et avoir un sex friend comme toi, un mec qui me comble au pieu et que ne m’attire aucun emmerde et aucune prise de tête.— Tu as raison, je vais la sauter.Mélissa ricane :— Tu penses que c’est le genre ?— A avoir un sex friend ? Pas du tout !
Mélissa passe la nuit sur mon épaule, broyée au moment où son réveil sonne. J’ai particulièrement bien dormi et ouvrir les yeux sur une ville dans la brume en très agréable compagnie est tout bonnement parfait.
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