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Christine VI : Midlife Crisis

Chapitre 14

Hétéro
Le jeudi 16 mai, en fin de matinée, Fabienne est le principal sujet de discussion entre Mélissa et moi. En la voyant habillée très sobrement le matin, je fais remarquer à Mélissa qu’elle s’est faite des idées. — Vous avez rendez-vous à quelle heure ?— Elle m’a dit qu’elle avait un entretien téléphonique prévu entre 18h et 18h15. On se voit après.— Ouais… Quand il n’y a plus personne dans la boite, elle n’aura pas la même tenue.— N’importe quoi. Et en parlant de tenue, viens par ici que je vérifie la tienne.Mélissa s’approche et lève sa jupe. Elle porte un tanga noir. Je fais "non" de la tête.— Comment ça, "non" ?— Je vais mesurer mais ton tanga n’est pas réglementaire. Elle rit. Je prends ma règle et mesure la largeur du tissu au dessus de ses fesses. — Je confirme. Il y a trop de tissu.— Je dois faire quoi ?— Si tu mets un tanga, tu dois compenser la surface par de la transparence. Elle rit de plus belle.— Donc, soit un string fin, soit un tanga transparent.— Voilà. Je vais donc te demander de l’enlever et de me le remettre.— Tu es un coquin, Florent. Un gros coquin. Mélissa ôte son tanga et me le donne. Elle replace sa robe et quitte mon bureau. Comme si de rien n’était.
Mélissa et moi avions prévu qu’elle travaille dans mon bureau en toute fin de journée, jusqu’à l’arrivée de Fabienne. Quand cette dernière ouvre la porte de mon bureau, je prends soudain conscience que Mélissa avait peut-être bien raison. Fabienne s’est changée, entièrement, et elle porte désormais une courte jupe verte à ourlet volanté, très moulante, et un chemisier semi-transparent avec nœud lavallière. Stricte, élégante, ultra sexy, surexcitante. Fabienne semble par contre irritée par la présence de Mélissa dans mon bureau. Je donne les clefs du bureau à Mélissa et quitte l’entreprise avec Fabienne. Nous prenons ma voiture.
L’apéro est un spectacle de jeu de jambes qui m’hypnotise totalement. Je suis sous le charme des ses fines chevilles et de ses deux gambettes lisses et galbées de nylon. Le dîner est ensuite plus tranquille. Concernant son comportement, il est clair que Fabienne joue de séduction. Pour autant, elle ne me drague pas. Je dirai qu’il s’agit d’une relation amicale teintée de séduction. Je n’ai aucune raison de me méfier et d’ailleurs, je profite d’un passage aux toilettes de Fabienne pour écrire à Mélissa qu’elle s’est trompée. Ou alors, la soirée avec moi l’aura fait revenir sur ses intentions. Quand Fabienne revient des toilettes, nous quittons le restaurant et je lui propose d’aller boire un verre dans un bar que je connais. Elle refuse poliment, se disant fatiguée. Je me dis alors que je vais passer sauter Mélissa avant de rentrer. Je ramène Fabienne à sa voiture, dans le parking souterrain de l’entreprise. Elle regarde dans son sac à main :— Mince, je n’ai pas les clefs de la voiture. J’ai dû les oublier au bureau.Elle semble contrariée. — Tu veux que je t’accompagne ?— Ça ne te dérange pas ? Je ne suis pas très rassurée de monter toute seule.
Je me gare, nous prenons l’ascenseur. Dans les couloirs, il n’y a que des veilleuses et, effectivement, il fait assez sombre. Fabienne ouvre la porte de son bureau et allume la petite lampe de table. Elle fouille dans ses affaires, ouvre les tiroirs. Elle sort une bouteille de gin :— Tiens, j’avais oublié que j’avais ça ici. Tu voulais boire un verre ?Quelques instants plus tard, elle retrouve ses clefs. — Je crois qu’il y a du Schwepps dans le distributeur. Tu vas chercher deux verres ?
Fabienne sert deux gin tonic et nous nous installons dans le petit canapé deux places, oublié dans un coin de la pièce. Nous trinquons. Fabienne me regarde en souriant étrangement et dit :— Il y a deux semaines, mon mari et moi avons été invités aux 40 ans d’un de ses collègues. A table, je me suis retrouvée à côté d’une femme que je ne connaissais pas et nous avons sympathisé. Quand je lui ai dit où je travaillais, elle m’a dit qu’elle te connaissait. Fabienne marque une pause et boit une gorgée :— Comment dire… J’ai vu, tout de suite, qu’il s’était passé quelque chose entre vous. On est passé à autre chose, mais elle buvait beaucoup, trop. Plus tard dans la soirée, elle m’a tout raconté…Fabienne sourit, boit et pose son verre à terre :— Elle… elle a été assez loin… dans les moindres détails…La jolie blonde passe alors la main sur mon entrejambe. Elle plante son regard dans le mien. Yeux dans les yeux, elle déboutonne mon pantalon d’une main, lentement, puis elle sors mon sexe. — Elle a dit qu’elle n’avait jamais vu une si grosse queue, même à la télé. Elle marque une pause :— Et je t’avoue que moi non plus…La DRH se penche alors sur mon entrejambe et commence à me sucer. Je pose la main derrière sa tête pour accompagner le mouvement.
Elle me passe ensuite une capote, enlève son string et vient s’empaler sur mon sexe. On est à des années lumières de la cadre supérieure que je croise tous les jours, qui semble mal-baisée avec son balai dans le cul. J’ai sur moi une femme avide de sexe, provocatrice, obscène et lubrique. Une actrice de film pour adulte. Alors qu’elle sautille très vivement sur mon chibre, elle souffle :— Prends-moi par le cul !Elle se met à quatre pattes dans le canapé, les avant-bras sur le dossier. Je la prépare rapidement, sommairement, avant de la pénétrer. J’y glisse étonnamment vite et il ne fait aucun doute que Fabienne est une habituée. Ma bite est entièrement dans son cul après quelques instants et je la pilonne. Elle gémit, supplie, crie son plaisir. Je redouble de vitesse et de vigueur et atteint l’orgasme. Je me retire. Son cul est un gouffre. Elle se tourne, haletante, en sueur, des plaques rouges sur le visage. Elle déboutonne à moitié son chemisier, retire sa jupe. Et surtout, elle dit en souriant :— Alina. Je pense que tu connais.
Nous finissons nos verres en parlant d’Alina puis Fabienne se lève pour aller chercher la bouteille sur son bureau. J’en profite pour voler une photo rapide de la DRH en train de servir les verres. Elle porte son chemisier, ses bas, ses talons et son cul est complètement découvert. Pour Mel. Fabienne revient, nous buvons un second verre et une demi-heure plus tard, j’aurai à nouveau la bite plantée dans son cul. Fabienne jouira ainsi.
En rentrant chez moi vers une heure du matin, je n’en reviens pas, je n’arrive pas à y croire. Je n’aurais jamais imaginé que Fabienne puisse être une telle cochonne. La glace et le feu. A un feu rouge, j’envoie la photo de Fabienne à Mélissa. Sans légende. Elle répond quelques secondes après :— On avait parié, non ? J’ai gagné quoi ?
Mélissa souhaitera seulement une déjeuner en tête à tête, le lendemain à midi, et que je lui racontes en détail la soirée. Excitée par mon récit, elle me fait faire un petit détour en rentrant au travail pour un "quicky" derrière un bâtiment abandonné.
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