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Christine VI : Midlife Crisis

Chapitre 17

Hétéro
Le lundi 17 juin, je suis appelé par Fabienne à son arrivée. Comme toujours lorsque j’entre dans son bureau pour la première fois de la journée, elle se lève. Robe noire à manches courtes, évasée à partir de la taille. Élégante.— Tu prends un café ?J’acquiesce. Pendant que le café coule, nous nous embrassons. Fabienne me caresse subrepticement l’entrejambe, mais elle se reprend alors et dit :— Tu sais que nous avons le meeting "Horizons 2025" cette semaine à Saint-Flureau. Il y a dix jours, j’avais demandé à ce que tu y participes, car tes nouvelles responsabilités nécessitent que tu assistes désormais aux meetings de direction. Je sais que le délai est court, mais je n’ai eu la réponse positive que ce matin. Il me faut ta confirmation d’ici midi.— Ça devrait être bon. Je dois juste m’organiser avec ma femme.— Pour rappel, le meeting se déroule mercredi et jeudi à l’Hôtel FlureauStar Inn où nous sommes logés. Jeudi après-midi, nous avons une activité de type "Team Building".  — Ok, parfait.— Tu me confirmes ta participation d’ici midi ? Et tu me dis pour ton assistante ?— Mon assistante ?Fabienne sourit.— Je leur ai dit que tu avais une assistante permanente et qu’elle devait également assister au meeting. Je suis sûre que Mélissa sera ravie de t’accompagner. Dois-je te préciser que les cadres et leurs assistantes bénéficient de chambres simples communicantes durant le séjour ?
Fabienne n’ajoute rien. Nous buvons notre café pour elle m’embrasse à nouveau. Je lui mets les mains sur les fesses et nargue :— Dommage, j’aurais bien aimé avoir une chambre communicante avec la tienne.Elle me remet la main au paquet.— Moi, j’aurais préféré une chambre double.J’ai relevé sa robe. J’ai les mains directement sur ses fesses. Je la glisse dans sa raie et introduit mon majeur dans son cul. — Je suis sûr que tu peux faire quelque chose….Elle gémit doucement :— Je ne sais pas… Il faut que j’appelle l’hôtel…Je l’agenouille alors sur le canapé à côté duquel nous nous trouvons. Je m’accroupis derrière elle et commence à lécher son anus. Fabienne gémit de plus belle. — Mmmh… Pas ici… c’est trop dangereux… Mais elle ne me repousse pas, ne change pas de position. En un instant, je suis debout, la queue droite face à cet orifice étonnamment facile à pénétrer. J’enfile ma bite jusqu’à la hampe, lentement, puis je ressors. Je me rhabille. Fabienne est folle :— Salaud !! Tu m’encules et tu me laisses en plan !Elle sourit néanmoins. Elle ajoute :
— Je vais voir ce que je peux faire auprès de l’hôtel…
De retour à mon bureau, j’appelle Mélissa. — On est convié au meeting "Horizons 2025".— "On" ?— Oui, "on". — Faut que tu m’expliques, là. Qu’est-ce que je vais aller faire à un meeting de direction ?— J’y suis convié à cause de mes nouvelles fonctions. Et Fabienne leur a dit que j’avais une assistante.— Fabienne a dit ça ?!?— Oui.— C’est mercredi et jeudi à Saint-Flureau. On dort là-bas, chambres communicantes, team building le jeudi aprèm’, apéros, cocktails, bons repas… La totale. T’es partante ?— J’ai rendez-vous chez le dentiste mercredi matin. Pas possible de déplacer, il faut six mois pour pouvoir y aller. — Tu viens après. Je ne pense pas que ça pose de problème.— Dans ce cas-là, c’est bon pour moi.Un smack et Mélissa sort. Je vais appeler ma femme mais je me ravise. A la place, je lui envoie un mail de convocation au meeting, avec tous les détails. Elle me répond un quart d’heure plus tard : "Je suis ravie pour toi et fière de te voir prendre des responsabilités dans l’entreprise. Aucun problème pour les enfants et moi, je m’organise. Bisous"Je m’attendais à une réponse positive et un peu plus qu’un "OK". Mais là, je dois dire que sa réponse me touche énormément.
J’en informe Fabienne et me fais pardonner mon "retrait" du matin à midi. Chez moi, uniquement dans son cul, en vitesse, car elle a un meeting. L’après-midi, je me remets péniblement à mon travail.
A 18h, je rentre à la maison. Comme il m’arrive de le faire parfois, je m’ouvre une bière. Sans lui demander, j’en ouvre une pour Christine, la verse dans un verre avec un peu de limonade. Comme elle aime. Je lui apporte. Elle me sourit sans marquer de surprises. Il y a pourtant des mois que je n’ai rien fait de tel pour elle. Nous trinquons, sans un mot. Juste en sourires.
Mercredi 19 juin, je me lève très tôt. J’arrive au travail peu avant 6h30, heure du rendez-vous avec Fabienne. Elle a tenu à ce que je me rende à Saint-Flureau avec elle et Sabrina, son assistante sexagénaire. Nous papotons durant tous le trajet, tranquillement. Un accident sur l’autoroute nous retarde un peu avant d’arriver à Saint-Flureau. Nous arrivons à l’hôtel vers 8h45 et le check-in est un peu expédié. Les quatre chambres, celles de Sabrina, Mélissa, Fabienne et moi, se suivent… et sont toutes communicantes et la mienne se trouve entre celle de Fabienne et celle de Mélissa. Sabrina est déjà dans sa chambre alors que Fabienne et moi arrivons aux nôtres. En entrant dans la sienne, elle me dit :— Tu m’ouvres ?Pénétrant dans la mienne, je déverrouille la porte communicante puis je range mes vêtements, notamment un second costume, dans l’armoire. Fabienne frappe à la porte à 9h10 et entre, pressée. — Nous n’avons pas beaucoup de temps.C’est le moins que l’on puisse dire ! Le meeting débute à 9h30 et Fabienne, agenouillée devant moi, me pompe avec frénésie. Avec son tailleur gris, ses cheveux ramenés en chignon et ses lunettes, elle m’excite énormément. Me repoussant dans le lit, elle m’enfile une capote et vient me chevaucher avec tout autant d’énergie. Elle jouit, moi aussi. Passage par la salle de bains. — C’est la première fois que nous faisons l’amour et que je ne te sodomise pas. Elle rit.— Ça n’arrive pas souvent.— Avec ton mari non plus ?— Il me gronde, il dit que ça n’est pas bon pour moi que nous le fassions si souvent.— Souvent comment ?— Trois rapports sur quatre environ.— Mais combien de rapport par semaine ou par mois par exemple ?— Bah, en moyenne, deux par semaine environ. — Oui… quand même…Elle rit. Un baiser et nous nous retrouvons dans le couloir, non sans qu’elle soit repassée par sa chambre. Heureusement, car Sabrina nous attend.
Nous arrivons juste à l’heure pour le meeting et saluons rapidement nos collègues. Je suis assez impressionné par cette réunion de cadres et je suis dans mes petits souliers. J’ouvre grandes mes oreilles, mais je suis plus captivé par la prestance et les qualités d’expression des divers orateurs que sur le fond. Cela s’équilibre après une petite heure. A côté de moi, Fabienne semble un peu s’ennuyer. Elle me fait un clin d’œil. Reste que je ne vois pas passer les trois heures que dure cette première partie.
A 12h30, nous nous rendons dans une autre pièce de l’hôtel où un apéritif est disposé. L’occasion de discuter avec d’autres cadres que je ne fréquente pas nécessairement au quotidien. L’occasion aussi d’être présenté au représentant hollandais de notre holding. Après la poignée de main et quelques mots échangés en anglais, je vois Fabienne arriver vers moi. Elle sourit :— Alors, on fréquente la haute société maintenant ?Je ris.— Ben oui, tu vois, ça sert aussi à ça. Merci beaucoup de m’avoir permis de venir.— Mais de rien. Je suis certaine que ça va te servir.Nous finissons nos verres puis elle dit :— Viens, il faut que je te montre quelque chose.Nous sortons de la pièce par une haute porte-fenêtre et traversons une large terrasse en pierre. Au  bout, la vue est magnifique : une vaste jardin ombragé puis un lac et dans le fond, les montagnes. — Ah, c’est superbe, vraiment !Regardant alentours, Fabienne dit :— On ne mange qu’à 13h. On va faire un petit tour dans le jardin ?En me tournant vers elle, je n’ai aucun doute ses intentions.
Nous descendons un escalier et nous retrouvons dans un parc luxuriant aux arbres anciens. Je m’y sens immédiatement très à l’aise. Fabienne semble également impressionnée par la majestuosité du lieu. Nous n’allons pas loin. Sortant du chemin principal, nous nous glissons derrière un buisson touffu et Fabienne me suce plus calmement que le matin. Je la prends ensuite debout, par derrière, d’abord en vaginal puis en anal. Nous revenons à l’apéritif comme si de rien n’était et passons au déjeuner quelques instants plus tard.
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