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Christine en Niqab

Chapitre 3

SM / Fétichisme
CHRISTINE EN NIQUAB -3 DE 6Interrogatoire.

Je pris place dans la camionnette entièrement close qui allait conduire Christine dans sa nouvelle « résidence ».Bien qua sa visibilité soit très limitée par le niqab afghan dont on l’avait revêtue. Je pris l’élémentaire précaution de m’envelopper dans une tenue traditionnelle bédouine, de m’affubler d’une barbe et de me munir de lunettes de soleil. Nous parlions en arabe et je limitais mes réponses en forçant ma voix.Christine était assise contre la paroi de séparation avec la cabine. Ses mains recouvertes de longs gants et ses chevilles étaient maintenues par des menottes en cuir et fixées aux coins de la camionnette. Dans cette position, la poitrine ressortait nettement sous la burqa de satin. Ali me fit remarquer que ses tétons commençaient à pointer. Nue dans cet océan de satin noir, complètement entravée, une réaction physiologique était somme toute assez naturelle. — Tu vas être mise au secret dans les locaux de la sureté. Nous allons t’interroger le temps qu’il faudra.— Ce n’est pas possible. Répondit-elle faiblement. C’est une erreur. Où est Jean-Paul ? Je vous en prie.— Ton ami sera châtié comme il convient.Ali souleva le hijab, il découvrît les lèvres et y posa les siennes. Elle eu un instant de recul. Il s’empara d’un téton et lui fit faire un tour complet. Christine poussa un cri qui fut étouffé par la langue d’Ali. — Allons petite européenne orgueilleuse. Il te faudra bien nous dire à qui était destiné ses plans d’attentats terroristes… Toi ou ton fiancé ? Lequel craquera le premier ? Lui murmura Ali en étreignant ses seins à travers la douce étoffe. De mon coté, je retroussais lentement la burqa.— Oh, non, gémit-elle. J’exposais le ventre et de l’autre main, je m’attardais sur les genoux. Je progressais vers le minou. Mon doigt, s’invita dans la fente. Elle essaya en vain de se soustraire à la palpation. Je pinçais violement les grandes lèvres. Ali étouffa le cri qui perçait. Alors, je fouillais sans ménagement la matrice jusqu’à y glisser plusieurs doigts. J’insistais par des allers et retours dans le cloaque humide.Les pleurs et les cris firent place à des gémissements plus équivoques. Une source d’une liqueur odorante se mit à resurgir. Ali se retira. Je retroussais la burqa jusqu’au dessus des seins, j’en pris un en bouche que je mordis durement. Christine s’emporta dans un magnifique orgasme. Alors, je me plaçais debout. Je mis ma bite sur ses lèvres – J’avais pris soin de changer radicalement de parfum – elle voulut refuser. Une gifle magistrale la ramena au principe de réalité. Je pu forcer l’ouverture. Une fois mon sexe bien au chaud, je me servis de sa tête pour m’enfoncer jusqu’à la glotte. Après deux ou trois minutes de ce régime, les larmes qui inondaient la figure m’émurent à un point tel qu’une longue salve lui badigeonna le fond du palais. Je me retirais mais lui maintien la bouche fermée jusqu’à la complète abortion de ma sève. Christine pleurnicha de honte et de contrition jusqu’à la fin du voyage.En fait, la camionnette avait volontairement tournée en rond pour s’engouffrer dans le sous-sol d’un immeuble isolé à quelques kilomètres de l’aéroport.Christine fut extraite du véhicule et la tête recouverte. Elle fut conduite dans une cellule. La aussi de discrètes caméras permettaient de visionner tout ce qui s’y passait. Une jeune femme lui retira le masque. Ali fit les présentations.— Je te présente Aicha qui est retenue comme toi. Elle va te tenir compagnie et t’expliquera le fonctionnement de la prison.Il referma à clef derrière lui. La cellule mesurait trois mètre sur cinq. Le plafond haut, elle ne comportait pas de fenêtre. L’éclairage se composait de deux lampes inaccessibles. Pour tout mobilier un grand matelas sans draps ni couvertures était posé sur une scène en bois pourvue de chaînes à chaque coin. La table et les deux tabourets en bois massif étaient fixés dans le sol. Au fond, une alcôve voutée où une baignoire était creusée à même le sol. Une glace et une petite desserte faisait office de table de maquillage. C’est alors que les nerfs de Christine lâchèrent. Elle s’effondra sur le lit dans des cris hystériques et un fleuve de larme. Un garde se précipita. Il asséna une série coup de fouets qui calmèrent la prisonnière. de Aicha la pris dans ses bras pour la consoler autant qu’elle le puisse. Christine se calma peut à peu. Aicha lui retira sa burqa et la conduisit vers le fond de la pièce. Elle invita la jeune femme à s’assoir dans une vasque remplie d’eau tiède. Christine eu un geste de refus.— Tu dois te laisser faire. Tout est filmé, si tu refuse, ils viendront te battre et moi aussi !Aicha se délesta de sa chemise et commença à la savonner avec une douceur et un raffinement en contraste total avec le traitement qu’elle avait subit depuis quelques heures.
Tout çà faisait partie du complot et JP se délectais du scenario proche de celui que Christine avait fait endurer quelques jours plus tôt à son amie Dominique. Le cerveau de la belle captive, submergé par l’émotion et l’angoisse, était à mille lieux de faire le rapprochement.Aicha, était retenue dans cette geôle depuis quelques mois. Elle s’était fait pincée à la douane avec quelques centaines de gramme de coke. Par amour et naïveté, mais les deux ne vont-ils pas de pair ? Elle avait accepté de rendre service à son amant un fils de famille régnante. Elle tomba dans un piège, victime d’une de ces innombrables querelles de fratries qui alimentaient la chronique locale. Depuis, elle était au secret. Il existe encore aujourd’hui des pays qui pratiquent la lettre de cachet ! Quand au fiancé commanditaire, il avait oublié jusqu’à son existence…Tout en racontant son histoire à sa compagne, Aicha accomplissait son office avec une expertise si bien que Christine a bout de force et de nerfs se laissa baigner comme un bébé. Ce que Aicha se gardait bien de dire à sa nouvelle amie, c’est que de son efficacité dépendait son possible élargissement. De toute façon, elle n’avait pas le choix. Elle devait être la face douce de l’impitoyable complot. — On va nous apporter à manger. Puis je te raserai avant que les hommes ne viennent. Assura-t-elle. Christine qui n’était pas au fait des mœurs en vigueur au sud le la méditerranée, ignorait que les mâles orientaux exigent de disposer de chattes entièrement lisses. Aicha couvrit Christine d’une légère chemise de coton dont les transparences laissait deviner tous les appâts. Aicha originaire de Turquie, était plus petite et un peu plus en chair que Christine. Sa poitrine un peu forte exposait deux énormes mamelons presque noirs d’où bondissait de véritables pis de vache. Ses hanches généreuses, une fente presque noire que couvrait une toison frisée et abondante, signait un tableau très prisé dans la péninsule. C’était là sa seule faute. Avoir croisé sans le savoir un dignitaire, rival de son amant. Depuis, elle était à son service presque chaque nuit. Jusqu’à ce que le prince se lasse et la libère couverte d’or. Ou, si elle avait la malchance de déplaire, finir ses jours dans une maison pour soldat dans quelques caserne au fond du désert. Elle recouvrit Christine d’une chemise propre et parfumée, se couvrit à l’identique et montra comment plier sa burqa. — On les change tous les trois jours. Mais nous n’avons que deux parures en tout ajouta-elle en souriant.— Quand les hommes viendront te visiter, ils préviendront par une sonnerie. En leur présence tu seras nue. Tu devras quitter immédiatement ta chemise mais tu devras cacher ton visage avec ton hijab. Le reste de ton corps devra rester exposé. C’est la règle. Tu devras te tenir prête, maquillée de jour comme de nuit. Tu devras baisser les yeux devant les hommes. Il t’est interdit de les regarder sous peine de subir le fouet. Ici, tu dois te soumettre à leurs volontés. Quand ils pénétreront dans la chambre, tu devras te mettre en position de prière la tête contre le sol, les fesses offertes et écartées. S’il tu dois quitter la pièce, tu devras passer la burqa en plus du hijab. — C’est affreux ! Quand pourrais-je sortir d’ici.— Ici, personne ne sait quand ni comment on va sortir. Mais tu es très belle. C’est un atout pour ta survie. Mais tu dois être soumise.Une sonnerie retentie.— Vite ! Expliqua Aicha. En trois seconde elle quitta sa chemisette et en enfila son hijab. Christine restait figée sur place. Aicha se précipita pour la préparer, alors que deux hommes pénétraient dans la cellule. Aicha plaça Christine à genoux le dos à la porte. Le gardien vociféra en claquant son fouet sur les fesses de Christine qui se redressa en hurlant. Il posa le plateau et d’un œil noir. Il prit Christine par le bras et la traina devant le lit. Mais Aicha se mit à vociférer et se prosterna au pied du gardien. Elle lui expliqua dans sa langue que c’était la première fois. Qu’elle serait plus rapide les prochaine fois. Dans un claquement de fouet sur le dos d’Aicha, il se retira avec un œil de mépris.— Oh, tu as reçu un coup par ma faute…— Ce n’est rien. J’en ai vu d’autres. Il faudra aller plus vite quand ils sonnent ! Tu as compris ?— Oui, répondit –elle abasourdie. — La nuit, nous sommes généralement au service de nos maîtres. Mais comme c’est ta première nuit et qu’ils veulent t’interroger demain, ils te laisseront dormir. Enfin, j’espère.— Ne me laisse pas. Je t’en prie.— Ce n’est pas moi qui décide. Si mon maître me veut, je devrai te laisser. Mais c’est peut probable car normalement je soupe avec lui et ils ont déposé mon repas. Allez, il faut manger.— Je n’ai pas faim.— Tu dois manger sinon ce sera vingt coups de fouet ! Tu le dois ! Allez, je vais en manger un peu mais tu dois faire un effort.Les deux filles finissent le repas et s’allongent sur le lit. — Je vais te raser.Aicha retira la liquette de Christine et l’exposa en travers du lit. Elle assujettit ses chevilles et ses poignés aux quatre coins au moyen d’une menotte en cuir. En tirant sur les chaînes, elle écarta les cuisses et les bras de sa compagne d’infortune. Christine émit quelques soupirs réprobateurs.— Laisse toi faire, n’oublie pas que tu es filmée.Elle alla frapper à la porte. On lui remit un nécessaire de rasage. Elle glissa une serviette sous les fesses de Christine. Elle se mit à tondre méthodiquement la petite chatte se tenant un peu sur le côté pour que derrières leur écrans les spectateurs ne perdent rien de la séance. Une main tirait un peu sur la peau pour permettre à l’autre de traquer la moindre trace de pelage. Christine commença à émettre de petits gémissements. Aicha fit trainer plus que nécessaire le blaireau, de l’autre main, elle ne se privait pas de chiffonner les lèvres outrageusement exposées à la plus grande confusion de sa compagne. Christine se retrouva parfaitement glabre. A sa grande frustration, Aicha interrompit la séance. — Elle est à point ! Observa JP. On peut y aller.Il était loin le petit stagiaire humilié de la boite de pharmacie. Après trois années passées dans la péninsule et la complicité du pervers Ali, JP était devenu un prédateur implacable. Les hasards de la vie l’avaient remis en présence de Christine. Cela n’avait éveillé au début qu’une aigreur agacée. La vitesse avec laquelle elle était tombée dans ses bras l’avait amusé. Quel corps ! Pourquoi ne pas en profiter ! Il fut moins étonné de la désinvolture qu’elle afficha dès le premier émois passés, que de la retrouver intact la Christine sure d’elle, fière et arrogante. Il avait surtout revécu traits pour traits la duplicité qu’il avait subit dix ans auparavant. La perversité qu’elle manifesta à l’égard de son amie Domi était plus inattendue. La porte s’ouvrit brutalement. Aicha recouvrit le visage de Christine et se revêtit du Tchari et se mit en position au pied du lit. Christine se mit à trembler, attachée, masquée, nue et vulnérable. Elle se tendit dans ses liens. Ali ordonna à Aicha de quitter la pièce. Il tira sur les liens pour les tendre au maximum. . Christine gémit quand ses cuisses se retrouvèrent quasiment à l’horizontale exposant outrageusement sa vulve lisse. JP se plaça devant le sexe alors qu’Ali rapprochait ses lèvres du voile. JP enfonça brutalement sa queue dans la fente béante et humide. Alors qu’Ali soulevait le voile pour forcer la bouche. Christine gémit sous la poussée simultanée des deux bites. Après avoir bien ramoné la chatte, JP changea de trou. Christine ne put s’empêcher de hurler et de s’agiter. C’est la première fois qu’un homme passait par là. Elle n’a jamais accepté cette odieuse déviance. Maintenant, elle subissait le pal figé dans ses fesses. La pression était intense, insupportable. Sa bouche était pareillement occupée. Son violeur se retira lui procurant une vive douleur mais aussitôt, il reprit sa percée alors que son complice continuait à contraindre sa bouche. Sur un choc un peu plus violent, elle eu le malheureux reflex, de mordre son tourmenteur. Elle fut couverte de jurons en arabe suivis d’un sifflement. Une insupportable douleur qui lui coupa le ventre en deux. Plusieurs coups de cravache s’abattirent sur la malheureuse. Après de longues aller et venues, les bites crachèrent leur venin dans un râle de mâle comblé. Elles s’essuyèrent sur le ventre de la victime qui fut ’abandonnée en pleurs dans la position où elle avait été placée. Ils quittèrent la pièce. Aicha défit les liens et aida Christine tétanisée. — Voilà, ils ont fait ce qu’ils avaient à faire. Pauvre Christine. C’est la première fois que tu es prise par derrière ? Je vais te soigner. On va prendre une douche avant qu’ils viennent nous lier pour la nuit. Il me faut t’élargir car belle et émouvante comme tu es, ils seront nombreux à vouloir passer par là. Je te placerai un plug. Dans quelques jours, ce sera beaucoup moins douloureux et dans quelques semaines tu ne sentiras plus rien…— C’est un cauchemar. Je vais me réveiller !— Tu devrais faire pipi, si tu ne veux pas devoir faire dans un sceau cette nuit. Ils vont venir nous attacher puis ils couperont la lumière. Je crois que je vais pouvoir dormir avec toi. De leur côté, les hommes étaient satisfaits.— Je crois qu’on va en faire une vraie pute.— Oui, c’est bon de la baiser de force approuva JP. Elle jouit si bien. Il ne lui faudra pas longtemps pour qu’elle ne puisse se passer de sexe et de soumission. On peut rester sur ce registre ?— Non, crois moi, c’est une coriace. Il lui faut une bonne branlée et au moins une journée au pilori. Ensuite, nous l’offrirons au prince. Il la prendra quelques mois dans sa résidence . Tu obtiendras une soumission totale et récurrente. — C’est quoi cette résidence. — Cela tiens de la prison et du harem. Au départ le prince a créé ce lieu secret pour enfermer une de ses épouses qui lui a manqué. Les riches héritiers sont de plus en plus agacés par les mauvaises habitudes occidentales de certaines de leurs femmes. A la demande des familles, les plus récalcitrantes sont « invitée » à y passer quelques semaines afin de corriger leur comportement. Là, on trouve aussi bien celles qui se sont mal conduite que celles qui ont refusé les exigences de leur mari ou fiancés. La princesse y réside depuis trois ans. Elle a offensé le prince. Elle n’en sortira pas de sitôt mais pour ton amie on pourra organiser une évasion. Les filles se reposent dans le grand lit, le cou entravé par une chaîne accroché au mur au dessus de leur tête. Aicha a enduit le rectum de sa compagne d’une crème lubrifiante. Elle a fixé le plug qui est relié par trois sangles autour des reins. Puisque les hommes n’ont plus besoin d’elle cette nuit, on à ajouté dans le thé de Christine une liqueur qui la fait dormir comme un bébé. Au matin, c’est une Christine anxieuse qui sort de ses songes. Aicha entre dans la cellule avec un plateau qu’elle dépose sur la table. Elle embrasse Christine longuement sur la bouche.— Tu m’enlève ce machin. Lui demande-t-elle en désignant ses fesses. — Je n’ai pas le droit. Tu va être interrogée, ne mange pas trop. Tous les mots qu’Aicha avait du apprendre dans le but de plonger Christine dans l’anxiété…— Mais je ne sais rien ! Je ne comprends rien à tous çà.— Peut-être que ton ami a parlé ? Tu seras vite fixée. On prend un bain.Aicha asperge abondamment Christine en laissant trainer les mains sur la peau si douce. Elle essai de divertir son amie pour lui faire oublier sa condition et le sort qui lui est promis. Elles finissent de se sécher quand la sonnerie les faits sursauter. Les filles sont en position quand les gardiens pénètrent dans la chambre. Un ordre est lancé pour qu’Aicha couvre sa compagne d’une longue burqa noire et d’une étoffe par-dessus le tchador. Ses mains sont liées dans le dos. Totalement aveugle, elle est agrippée sous les bras et trainée dans les couloirs. Elle pleure. Appelle son fiancé. Des portes et serrures s’ouvrent et se ferment, on la pousse dans un ascenseur puis dans une pièce qui sent l’humidité. Là, ont lui retire sa burqa. On est entravée par un large bracelet de cuir aux poignés. Des chaînes grincent qui la soulève jusqu’à ce que ses doigts de pieds effleurent le sol. On retire le bandeau. Malgré le niquab, une vive lumière l’aveugle. Dans le contre jour, elle ne peut voir ceux qui lui font face. Elle reconnaît la voix de celui qui la prise sur son lit. Quelle est belle ! se dit JP alors qu’elle se balance un peu, suspendue sur la pointe des orteils, les seins tirés vers le haut, la fente lisse encore fermée mais si émouvante. Ali la fait tourner sur elle-même. — Alors, orgueilleuse espionne occidentale. Tu vas nous dire pour qui tu as convoyé ces documents et à qui tu devais les remettre ?— Je ne sais pas pleurniche la prisonnière. Je ne peux rien vous dire.JP lève une cravache qui marque les belles pommes joufflues. Christine couine. Elle s’agit dans ses liens en vain car de longues stries se dessinent sur le ventre et les fesses. Christine tourne sur elle-même comme Domi le faisait il y a quelques jours dans son appartement de Genève. Elle sent un objet brulant se rapprocher de ses seins. — On va te réchauffer le bout des seins au fer rouge.— Noooooooooon ! Hurle la malheureuse. La pointe de feu touche le bourgeon. La pauvre fille hurle et se débat autant qu’elle le peu. En fait, on lui a fait le coup de la glace qui remplace au dernier moment le fer rouge mais dans l’état psychologique de la martyre l’effet est identique. Christine s’évanouie.Un seau d’eau lui fait reprendre ses esprits.— Tu vas compter les coups de fouets. — J’attends ! Un… Clac ! Hou ! Ail…Ail…Pitiée…— Deux ! slach ! Aaaaaahou ! Trois ! Slach ! Aaaaaaaaouh !Le corps, des genoux aux épaules est marqué de lignes sanguinolentes. Christine s’évanouie à nouveau. On lui passe le niqab, les hommes la détachent pour la porter sur un pilori, à genoux, ses mains et sa tête son maintenue dans un carcan en bois. En dehors du niqab, elle est nue. Elle y sera immobilisée toute la journée. Aicha viendra lui donner à boire, apaiser ses douleurs au moyen d’un baume, elle devra même l’aider à satisfaire ses besoins. Tous les hommes qui passent par là pourront lui prodiguer des attouchements, certains n’épargneront ni sa bouche ni sa chatte. Toutefois, ils négligeront le petit trou. En fin d’après midi, elle sera à nouveau emmenée dans la salle de torture où elle croisera deux soldats qui soutiennent, un homme masqué dont le corps nu n’est plus qu’une plaie ouverte. Jean-Paul ! Hurle-t-elle à l’infortuné qui ne réagit pas !Prise d’un dernier sursaut de rage, elle rue les épaules en avant mais avec ses mains liées dans le dos, il lui est impossible d’espérer autre chose qu’une série de coups. Elle se retrouve comme au matin, nue, voilée balançant à une corde. Les minutes qu’elle passe à attendre une nouvelle séance de torture mettent à mal son cerveau totalement perturbé. Elle sent le souffle d’un homme sur son cou. On lui retire le niqab pour le remplacer aussitôt par un masque en cuir. Une barbe courte et rêche irrite ses tendres mamelles. Une bouche dévore ses tétines. Les lèvres se régalent sur son ventre. Elles effleurent le nombril, puis, la bouche lui grignote la chatte. Elle s’émeut, sa moule transpire. Tout vaut mieux que le fouet se dit-elle résignée. D’ailleurs que peut – elle faire d’autre que s’offrir pour espérer la clémence de son bourreau. Alors, quand il soulève ses cuisses pour la pénétrer, et qu’elle comprend qu’il est nu sous sa djellaba, au lieu de résister, elle place ses cuisses autour des hanches de l’homme poussant ses reins vers la bite pour faciliter la saillie. Elle s’ouvre autant qu’elle le peut. Commence à se perdre en soupirs et gémissements forcés. Mais l’homme ne s’en contente pas, il veut l’enculer. Magnanime, il se sert de sa liqueur pour lubrifier son conduit. Il l’embroche d’un seul coup. Elle a découverte, à son cœur défendant, cette odieuse intrusion qui ne lui a apporté que de la douleur et de la honte mais cette fois, c’est le rut de la femelle comblée qui lui sort de la gorge. L’homme ne s’y trompe pas, il l’empale jusqu’à la garde.Pendue par les bras, cloué à un homme par le sphincter, elle n’est plus qu’une femelle à satisfaire. Mais, c’est quand ses seins sont étreints, que tout à coup, elle ressent une tension incontrôlable. Ce qui lui reste d’amour propre la pousse à résister. . Oh, non ! Je ne vais pas jouir se dit-elle. Mais la possession est trop forte. Rien ne semble pouvoir retenir l’orgasme qui monte en elle. C’est l’explosion ! L’orgasme qui la dévaste est le plus fort qu’elle n’ait jamais ressenti. Elle hurle, vocifère, gémit dans des soubresauts incohérentes. L’homme la maltraite mais ouverte comme jamais, elle l’encourage. Oh, c’est bon, c’est bon ! Enfin, elle retombe dans une béatitude inconnue. Le cœur et le cerveau en miette. C’est donc çà ! Se dit JP en la laissant retomber dans ses liens comme un pantin désarticulé. Elle est maso, comme son amie Domi, elle aime se tordre de douleur en coulant comme une fontaine. Ali qui est resté à distance lui susurre à l’oreille.— Alors petite pute. Il te faut une correction pour t’envoyer en l’air. C’est donc pour ça que tu ne parle pas. Ce que tu veux c’est te faire battre jusqu’à t’éclater le cul… Et bien, tu vas danser !— Oh, non, Monsieur, je vous en prie, je ne sais rien. Ne me battez pas…Ahou !!!! Un violent coup de fouet la ramène brutalement à une douloureuse réalité. Les douloureux sillons du matin sont à nouveau labourés. Oh nooooooooooon ! Je n’en peux plus ! La cravache s’abat méthodiquement. Christine sent ses forces l’abandonner. Elle va mourir, elle le sait. . Tout à coup, un brouhaha interrompe la correction. Le tortionnaire s’adresse à elle. .— Ton fiancé a avoué. On lui a fait assister à ta correction. Il a tout de suite tout lâché. C’est lui qui a caché le micro film. On va s’occuper de lui. Tu va regagner ta cellule. On statuera sur ton sort demain. Tu seras surement lapidée. C’est le sort que l’on réserve aux amants maudits. On la décroche puis on la recouvre de ses attributs vestimentaires, une burqa mais le niqab lui permet , enfin, on lui lie les mains derrière le dos. Elle est guidée dans les dédales et déposer dans sa cellule. Aicha se précipite. — Oh Christine, Ils t’ont tellement battue. Je vais te soigner. Mais je vois qu’ils ne t’ont pas mis le niqab afghan. C’est bon signe. — Ils m’ont dit que Jean-Paul avait parlé ? Ils ont arrêté de me torturer mais ils vont me lapider.— Elle déshabille son amie. La douche longuement à l’eau tiède. Elle lui masse la peau labourée par la cravache. La sonnerie retentie ! Les gardiens déposent le repas sans se préoccuper de l’état des filles qui n’ont pas eu le temps de se couvrir. — Oh, ils ont vu notre visage et ils ne nous ont pas fouettés. C’est mauvais signe. Le trou du diable ! C’est là qu’on lapide les femmes adultères. Un grand trou avec plein de cailloux autour et les soldats qui les lancent jusqu’à la mort ! Les femmes sont liées sous la burqa. J’ai peur…Quelques minutes plus tard, les filles se retrouvent nues, voilées et liées sur le lit Le thé qu’on leur a servit et les tourments qu’elles endurent les plongent dans un sommeil angoissé. Au réveil, plusieurs gardiens s’emparent des filles. Malgré leur cris et leurs tentatives d’y échapper, elles sont liées par des cordes, les genoux collés à la poitrine, les mains derrière le dos. Un bâillon leur est enfoncé dans la bouche. Une vaste burqa noire et un nijab opaque leur sont placés sur le dos et la tête. Les gardiens les portent comme un paquet et les dépose dans un véhicule qui se met en route. Elles vont être lapidées !
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