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Christine en Niqab

Chapitre 5

SM / Fétichisme
CHRISTINE EN NIQUAB – 5 de 6Le marché.

Ali, n’aime pas gaspiller la marchandise. Hilary a trop de valeur. Profitant de ce qu’il doit livrer au marché des esclaves Winta, la gazelle noire qui a cessé de plaire. Il fera d’une pierre deux coups. Avec des complicités, il substitue à la belle Hilary une dépouille enlevée à la morgue locale. Avec le sac hermétique dans lequel sont enterrées les condamnées, personne ne s’apercevra du subterfuge. Pendant que le sérail assiste bouleversé à l’exécution, une camionnette emporte discrètement Winta et Hilary vers de nouveaux horizons. Ce sera un long et pénible voyage, cagoulée dans leur burqua et leur hijab et lié à l’arrière d’un 4x4. Sorties de la voiture, elles tomberont dans les bras l’une de l’autre. Pendant quelques jours, elles seront remises sur pieds et préparées sans qu’elles aient la moindre idée du sort qui les attend. Seront-elles lapidées ? Vendues ? Libérées ? Elle passent de l’espoir à la résignation puis à l’inquiétude..Ali les a cédés au plus célèbre marchand d’esclaves d’orient. Il les fournira à de riches esthètes avec comme condition particulière, qu’elles ne soient pas vendues dans la région.Pour montrer la détermination des geôliers. Elles se retrouvent les pieds entraves sur des bas flancs dans une grande pièce en compagnie de quatre hommes jeunes et d’une fille cachée sous une burqa. Ceux qui se montrent agités recevront une décharge de Taser qui les fait se rouler sur eux même en hurlant. Après une nuit éprouvante, les esclaves sont préparés, apprêtés, lavés, huilés et pour les filles soigneusement maquillés. Le marché secret aux esclaves se déroule dans les sous sols discrets d’un grand hôtel d’une mégapole arabe. Tous les esclaves sont nus sauf la musulmane en burqa et nijab qui recouvre les deux filles laissant les tétons visibles. Ils ont les poignés retenus dans le dos par une chaine qui est accrochée à leur cou. Un vaste salon meublé de canapés profond et de tapis luxueux dans lequel a été construit des portiques en bois. Les captifs y seront attachés les bras et les jambes en croix, le temps de la vente. Tout cri ou lamentation est sanctionné par un coup de fouet. Cette salle de vente recèle toutes les techniques modernes de communication : Caméra de télévision, liaison internet, lignes de téléphone permettant aux amateurs d’apprécier la marchandise à distance. Une quinzaine de clients triés sur le volet, - dont plusieurs femmes -sont présents dans la salle. Mais un nombre plus important se cache derrière leur écran ou leur téléphone.Dans une première phase, les «objets » sont longuement exposés. Un préposé soulève un instant les masques pour faire apprécier les yeux et le visage. Les invités présents peuvent toucher et soupeser les corps magnifiques qui leur sont proposés. Ils ne se gênent pas pour apprécier les seins, investir les vulves et les trous, vérifier les dents et pour les hommes jauger le sexe et les parties. Certaines pousse l’examen jusqu’au sphincter. Un des jeunes à la peau d’ébène, dans un geste de révolte, crachera sur un client. Calmé au Tazer, il sera pendu par les pieds au portique et très durement corrigé. Leur beauté et leur prix les destinent à servir de courtisanes ou de gitons pour de riches dignitaires africains ou asiatiques.Les enchères démarrent en arabe avec le directeur de l’hôtel comme meneur de jeux ! :« Mesdames, Messieurs, un peu d’attention, la vente va commencée.Je n’hésite pas à qualifier cette vente aux enchères d’exceptionnelle. Les lots proposés sont de tous premier choix. Les prix vont atteindre des niveaux jamais vu à ce jour. Un rideau se lève sur le grand noir accroché au portique. Il semble cassé, il porte de nombreux stigmates.Voici le lot numéro n°1. Ce grand négre se nome Samba. C’est un jeune lion rétif, que nous avons du dompter il y a quelques minutes. Mais il a le cuir épais. Il intéressera ceux qui aiment dresser les jeunes sauvageons. Cent quatre vingt centimètre ! Soixante dix kilos ! Une verge de quinze centimètre au repos et vingt huit centimètre en forme confirme-t-il en branlant malheureux sous les rires de l’assemblée. Mes doigts ne peuvent faire le tour de son l’instrument. Il comblera celui ou celle qui en sera propriétaire. Ajoute-t-il en triturant la bite du jeune homme. Mis à prix quinze mille dollars. Il sera adjugé vingt sept mille !Le rideau se ferme. En coulisse ont décroche et emporte le premier lot puis ont traine sous le portique le second. Le rideau se lève. Lot n°2 : « Voici le second, par pudeur nous tairons son âge. Il mesure déjà cent soixante et onze centimètre pour cinquante sept kilo. Il est de type indo-africain, les plus beaux. Son oncle me l’a vendu parce qu’il trainait dans des quartiers douteux où des jeunes se vendent à de vielles touristes blanches. Comme vous voyez (il caresse son sexe) il est déjà bien monté. Il le retourne et écarte ses fesses. Je peux vous certifier que ce coté est tout neuf. Pour sa jeunesse et sa santé la mise à prix est de vingt mille dollars mais il vous fera de l’usage. Un libanais et une femme voilée, se le disputeront avec acharnement. Elle l’emportera pour quarante quatre mille dollars ! Le rideau se baisse alors que de grosses larmes coulent sur le visage du jeune garçon qui a été longuement trituré. Lot n°3 appelle le commissaire priseur. Un jeune européen gît accroché au portique.Ce jeune homme est un cas. Il nous a été vendu par des pirates somalien qui l’on découvert, bourré de shit, dans un voilier au large des côtes. Nous l’avons sevré et croyez que même à coups de trique, ce n’est pas simple. Puis nous l’avons remplumé. Vous le voyez telle que la nature la faite. Depuis un mois, son sexe est enfermé dans une camisole remplie de piquants qui lui interdisent de bander et de se vider. C’est une délicatesse que nous offrons à son acheteur. Quand il jugera bon de le délivrer, ce jeune homme sera très très ardent. Allons, Mesdames ! Voici une opportunité à ne pas laisser passer. Mise à prix dix sept mille euro. Les téléphones chauffent jusqu’à quarante neuf mille accordé à la secrétaire d’une épouse chinoise.Lot n°4 : Le dernier des hommes en vente à vendre. Il s’appelle Jimmy, il est américain. Il est nu et comme pour tous les autres un harnais de bouche l’empêche de protester bien que chez lui cela soit peut utile. C’est un modèle de foire, indique le tôlier. . « Ancien GI, trente ans. Prisonnier des talibans ils lui ont coupé une partie de la langue. Cela limite ses jérémiades mais lui permet d’enfourner à la fois, deux mandrins de belle taille. Néanmoins, ce n’est là le coté le plus impressionnant chez lui » affirme-t-il en retournant le jeune homme : Une assistante lui tend un pot de crème. Il s’enduit la main et la fourre dans les fesses de Jimmy. Visiblement cette intrusion lui est familière et agréable à le voir porter ses fesses sur la main qui le fiste. Bientôt, la main du commissaire à totalement disparue dans l’anus, l’esclave qui rugie de plaisir et asperge un assistant d’une giclée de stupre ! « C’est le seul esclave que je connaisse qui jouit sans se toucher, rien qu’en se faisant enculer. Il faut dire que pendant les deux ans de sa captivité en Irak, il a servis de baisodrome à tout un régiment des forces spéciales de Saddam. Il y a pris tellement goût qu’il s’est volontairement livré aux Talibans qui nous l’on revendus dégouté. Il comblera vos amis les mieux pourvus. Un cas vous dis-je ! C’est la raison pour laquelle j’en demande vingt mille dollars. L’assistance bruisse de protestation : Hors de prix pour une vielle pédale, et autres amabilité. Au dépit du maître de cérémonie, il partira faire l’ordinaire d’un géant africain pour quinze mille dollars.
Maintenant, mesdames et messieurs, nous allons vous présenter les trois jeunes filles. Encore que pour celle qui est recouverte la question puisse être posée. Le marchand soulève doucement le niqab pour faire apparaître le magnifique visage d’une femme arabe aux longs cheveux noirs brillants et aux yeux vert émeraude. Les pommettes saillantes, le nez droit et les lèvres écarlates épaisses et silicones. La burqua n’est fermée que par quelques pressions sur le devant. Elle s’efface découvrir une poitrine en obus, des hanches très marquées et, au milieu des cuisses, pend un long sexe au repos. Le meneur de jeu s’en empare comme s’il s’agissait d’un morceau de viande.
— Cette presque jeune fille de vingt ans s’appelait Farid dans une autre vie. Ses instincts pervers l’on conduit dans des lieux de débauche où il fut initié à la pédérastie passive. C’est là qu’il fut pris en main par un amant qui le conduisit dans une discrète clinique où il fut transformé en vu d’être vendu aujourd’hui. Comme vous le voyez une paire de seins majestueux lui a été greffé. Pour les spécialistes, ce sont des 95 D. Les hanches ont de quoi ravir les mains d’un honnête homme, quand au reste, jugez vous-même. Poursuit-il en allongeant démesurément la pinne restée molle. — Il s’agit d’un lourd investissement mais, vous admettrez que le résultat est à la hauteur de l’espérance. La transformation a été complétée par une initiation au comportement qu’une épouse doit avoir en toutes circonstances.La jeune fille se trémousse sous les caresses.— Dernière particularité, malgré les apparences, cette jeune fille a conservé entière ses capacités érectiles. Mais, elle a été formée pour bander à la demande. « Allez ! » lui dit-elle. On voit alors un long serpent de chaire s’allonger sous la main du vendeur. Il la laisse en plan pour s’emparer de son marteau. — Véritable couteau Suisse, elle saura rendre un service complet à tous les membres de la famille… Mise à prix vingt cinq mille dollars. Le téléphone chauffe à nouveau, la salle aussi. Finalement la belle sera adjugée pour la somme de soixante mille dollars. Le commissaire priseur se frotte les mains.Avant de pouvoir acquérir les deux des plus belles filles de l’orient, nous nous accordons un petit entre-acte pendant lequel une collation vous sera servie. Vous aurez tout le loisir de pouvoir admirer nos deux authentiques princesses. Le rideau se lève. L’assemblé pousse des oh, admiratifs devant de telles beautés pendues sur deux portiques. Elles portent une longue robe de mousseline, rose pour Hilary, crème pour Winta : Toutes en légèreté et transparences, elles révèlent les trésors intimes des deux esclaves. Ces robes sont somptueuses, fendues jusqu’aux reins, avec des bretelles de style Marilyne nouées autour du cou, et serrées sous la poitrine par une large ceinture de perles. Winta est ferrée : Un anneau lui a été passé dans les narines d’où pend une longe chaînette en or. Chaque tétine et les grandes lèvres sont percées. Les anneaux sont reliés entre eux par une grande chaîne d’or. Le collier et les bracelets en cuir qui les lient au portique sont recouverts de perles. Leurs tétons et leurs grandes lèvres sont exagérément développés grâce à un onguent aux vertus aphrodisiaques. Leur bouche entravée et visage voilé par un hijab de mousseline qui ne laisse qu’une fente horizontale pour admirer les grands yeux maquillés. L’hôte intervient : « Nous remercions Monsieur Zimbawe qui met généreusement son acquisition à la disposition des invités mais vous permettrez qu’il l’inaugure le premier ». ajoute-t-il en montrant l’esclave Jimmy qu’on a placé nu, le ventre sur un pouf. Une cravache est placé à ses côté. L’immense roi négre écarte sa djellaba et présente à son esclave une pinne d’âne. L’ex GI enfourne le mât avec fougue mais le noir n’est pas satisfait. « Tu dors ! » Il passe la cravache à un convive pour réveiller son soumis. La cravache s’abat avec violence sans que la victime ne manifeste. « Voilà, tu le fait mieux. Continuez ! » Le dos et les fesses sont zébrées, alors, le noir se retire et vient présenter son gigantesque mandrin devant l’anus de Jimmy qui en frétille de bonheur. Le voilà défoncé jusqu’au fond ! Le noir éructe en manipulant durement les couilles. Il envoie une décharge dans le giron offert alors que l’esclave se repend sur le tapis. « Enfin, un cul à ma taille ! J’en avait marre d’éclater tous les culs que je défonçais. Il est à vous ! » Alors, c’est la ruée. Plusieurs convives se précipitent pour vider leur sexe mis en tension par le chaud show. Une femme s’empare de la cravache et décharge son trop plein d’adrénaline sur les fesses du malheureux. Qui n’en avaient pas besoin. « Voilà, nous reprenons. Pour Hilary la blanche canadienne et Winta la grande noire nubienne, ce sera beaucoup plus cher. Le commissaire précise qu’une offre sous enveloppe fermée à été déposée. Une véritable folie s’empare des participants. Mise à prix trente mille dollars pièce. Les enchères montent vite à cinquante mille. Le commissaire maintient la tension en écartant les bretelles des robes . « Regarder ces nichons, dit-il en tordant les tétons hypertrophiés et sensibles. A soixante dix mille, beaucoup d’acheteurs s’épuisent. Alors, le meneur de jeu écarte les pans de la robe et fait apparaitre les chattes. Lisse pour Hilary et broussailleuse pour Winta. Les filles se tordent et gémissent dans leur harnais de bouche. Une assistante vient défaire les attaches d’épaule et le ceinture de perle de la noire qui apparait couverte d’or, des seins à la vulve. Intense vision érotique, que le commissaire priseur met en avant en tirant sur les anneaux. « Vous ne trouverez pas souvent sur votre route un joyaux de cette espèce. Le supplément pour la parue en or est de quinze mille dollars. Pour Winta le marteau retombe à quatre vint quinze mille dollars, ornement compris ! Hilary doit se contenter – si on peu dire ! - de soixante seize mille. Mais le suspense devient oppressant quand le commissaire déchire l’enveloppe : . Deux cent cinquante mille dollars le lot de deux ! Les filles seront adjugées au président dictateur d’une république pétrolière d’Asie Centrale. Il les fera immédiatement transporter par jet privé dans une de ses résidences secrète. Au moins, elles ne seront pas séparées. Pétrole contre turpitude !
A mille lieux du destin poignant des deux esclaves sexuelles, les jours et les nuits filent monotones dans le gynécée où des courtisanes désœuvrés meubles les heures en vaines et futiles intrigues. C’est alors que deux nouvelles « princesses » font leur entrée dans la partie commune du gynécée. La première est appelée Naomi. Quel âge peut-elle avoir ? Quinze, ou encore moins ? Quelle faute à t’elle commise pour se retrouver dans ce harem ? Aucune ! Ou alors simplement fait d’être une superbe petite poupée noire. Le frère de l’émir est un grand philanthrope. Il parcourt les camps de réfugier pour dispenser nourriture, soins, éducation et parole du prophète. Son œil de pervers, à croisé cette jeune Erythréenne en haillons d’où émanait pourtant une grâce divine. En plus, elle est vierge ! Il n’a pas été difficile de convaincre ses parents de lui vendre leur fille contre cinquante chèvres et une mobylette qui équivaut à une Ferrari dans ce coin. Le pactole permettra à toute la famille de sortir du camp et de mener une vie confortable. Un philanthrope, vous dis-je ! Mais si l’émir aime la chair fraiche, il lui la faut formée. Il déteste ces jeunes pubères hurlantes et paralysée par la peur qu’il faut forcer et qui ne comprenne rien aux subtils jeux de l’amour…Il confie donc la petite à Souanne la patronne du Harem, charge pour elle de l’éduquer comme il convient. Il a le temps, Noami est comme une réserve de recrutement. Il n’a pas encore épuisé les joies que lui procure une jeune polonaise enlevée quelques semaines plus tôt. Noami est une véritable star en réduction. Si ses hanches et sa poitrine sont déjà marquée. Ses mini seins pointent vers le ciel quand à son pubis, légèrement velu, il damnerai un saint. Alors, un émir pervers ! La petite est terrorisée, elle ne parle aucune langue pratiquée dans le sérail. Elle se réfugie derrière son niqab, dans le bien frêle rempart de sa burqa trop grande pour elle.Sanaa prend la petite sous son aile et la confie à Christine à qui il reste une forte dose de sensiblerie occidentale. Elle est indignée qu’on puisse acheter une presque enfant. Elle s’en plaint auprès de Souana. En retour, elle recevra dix coups de fouets devant la petite épouvantée administré par le plus dur des énuques. Naomi console Christine en se lovant contre son corps incendié. Elle aide Aicha à étendre sur les plaies une pommade apaisante. Elle la couvre de baiser et de caresse. S’éveille alors chez Christine les prémisses d’une volupté inconnue. Oubliant ses tourments, elles s’emparent d’un petit téton pour le mordiller, puis, sa bouche glisse sur le ventre nubile pour se perdre dans la vulvette humide. Elle prend la petite par la taille et la tourne au dessus d’elle afin de lui offrir sa chatte lisse. Naomi n’attendait que cela. Elle avait depuis quelques jours assistée en spectatrice à plusieurs scènes étranges où les femmes du gynécée exploraient de leur bouche les endroits les plus secrets de leurs compagnes. Aussi c’est avec une avidité de novice qu’elle plongea dans la fente béante de son amie. Christine modéra ses ardeurs, lui expliquant par son exemple où et comment placer les lèvres. Sans connaître les mots, la petite fut une élève particulièrement studieuse qui conduisit sa maîtresse au sommet de la jouissance. Après quoi, elle fit reposer la fillette sur la couche et avec toute la délicatesse elle glissa la langue. Les vigoureuses cuisses de Naomi enserrèrent fortement la tête de Christine qui en défaillie presque. Elle fut sauvée par le log feulement de l’élève qui fut submergée par un ouragan intérieur. Elle retomba un instant puis voulu aussitôt retrouver cette incroyable sensation mais Christine la calma avec de doux baisers et caresses. Sanaa se plaindra du comportement du prince au vieux souverain qui tapera sur les doigts de son fils. Le sacrifice de Christine n’aura pas été vain. La petite restera auprès d’elle de Christine. Elle lui vouera une passion sans limite. L’autre nouvelle « recrue » se nome Zohra. Seul deux grands yeux turquoise échappent de l’océan de soie noire. Mais, lorsqu’elle croise son regard avec celui de Sanaa, elles sont comme changées en statues de sel. Allons bon, se dit Christine. Il suffit que deux beaux yeux pour que ma princesse fonde. Quelle midinette ! Et dire que c’est pour çà qu’Hilary a été lapidée ! Mais Christine se rends très vite compte qu’il y a autre chose. Les deux princesses restent un moment sans voix. Des larmes ravagent leurs belles prunelles.— Sanaa ? — Izmir ?— Izmir est mort, maintenant c’est Zohra. Elles se précipitent dans les bras l’une de l’autre. S’étreignent, s’embrassant puis la princesse entraine sa compagne et Christine dans ses appartements.— Oh ma princesse, je t’ai retrouvée !Alors, elles quittent leur burqa pour de légers voiles. Zohra est contraint dans une guêpière baleinée qui écrase son estomac. Sa poitrine généreuse et ses fesses dodues en deviennent obscènes. Une culotte brodée, et ouverte et des bas de soie fixés par six jarretelles complète la panoplie. Les filles découvrent interloquées un long sexe atrophié dont le prépuce est percé d’un anneau dit Prince Albert. La bite est maintenue entre les jambes par un anneau fiché entre les cuisses là ou se trouvait les parties génitales qui ont été enlevées. — C’est bien toi ? Qu’est ce qu’ils t’on fait ? C’est horrible !Ismir était un bel homme de vingt cinq ans. Jeune policier d’élite, d’origine égyptienne, il fut chargé de la protection rapprochée de la princesse. Il n’eut que le tord d’en tomber éperdument amoureux Cette passion aurait due restée platonique si, dans un palace de Davos, pendant que son mari s’amusait avec quelques éphèbes, Sanaa l’épouse délassée n’avait à son tour succombé au charme du jeune homme. Une flamme dévastatrice dans laquelle la princesse découvrit la passion et le plaisir charnel que son prince ne lui avait jamais donné. De retour au palais, les deux amants prirent d’infinies précautions pour cacher leur idylle. Malheureusement, ils furent surpris par une femme de ménage philippine qui croyant se venger des humiliations quotidiennes qu’on lui faisait subir, alla monnayer cette révélation au chef de la sécurité en échange de son passeport et de la promesse d’un retour au pays. Elle disparue avant de passer le poste de douane. On ne badine pas avec l’honneur d’un prince fut-il impuissant. Il fit enfermer son épouse dans un harem et il réserva à son amant un châtiment particulier. La suite est racontée par Izmir, je veux dire Zohra, elle-même :« J’ai été mis au secret. Torturé pendant plusieurs jours, pour que je livre tous les détails de notre liaison. Je n’ai pas parlé…J’ai subit le fouet, les fers et bien d’autres choses mais je n’ai rien dit, je te le jure. Ils ne savent rien de précis sur nous. Ils n’ont que le témoignage d’une servante. – C’est pour cela que nous n’avons pas été lapidés. Remarque Sanaa.-Le prince est venu lui-même me marquer de son sceau au fer rouge». — C’est affreux, murmure Christine en étreignant Naomie. .— La vie humaine n’a pas le même sens chez nous ! Rétorqua Sannaa avec flegme. « On m’a remit sur pied. Je croyais mon calvaire finit mais je me suis réveillé dans un hôpital. Placé sur une table d’opération et sous les yeux du prince, des chirurgiens m’ont châtré… A vif… Les deux filles se couvrent les yeux d’effroi. Naomi qui ne comprend pas la langue lance un regard inquiet que Christine couvre d’un baiser. « Je me suis évanoui. Quand je me suis réveillé, j’étais attaché sur un lit. On venait refaire régulièrement un pansement entre les jambes. J’ai tout de suit su qu’on m’avait châtré mais j’ai constaté qu’on m’avait laissé le sexe qui était fixé comme vous le voyez ». « Quelques jours plus tard, j’ai été transporté dans un lieu secret où j’entendais régulièrement des cris et des gémissements de douleurs. C’est un centre de la police. »« L’annexe où j’étais maintenu était assez confortable. Mais chaque matin, je devais m’habiller avec des dessous de femme, avaler des médicaments qui me faisaient beaucoup pleurer. Quelques jours plus tard, dans la soirée, on me maquilla et on me déguisa en concubine de sérail. Je fus lié sur une espèce de cheval et prince vint inaugurer mon petit trou comme il disait. Lui et ses sbires Ils m’ont violé toutes les nuits. Il m’annonça que je serais désormais une fille de harem et que devrai offrir mes cavités à tous ceux qui voudront m’honorer. Que je suivrais un traitement qui allait me transformer définitivement. Mes seins se développeraient et qu’on m’apprendrait toutes les manières des femmes. Quand je serai prête, on me récompenserait en me transférant dans son harem secret où je retrouverai ma concubine. Vous pourrez vous aimer entre femmes… Cà, je m’en fous. ! » J’avais des leçons de maintient. Je devais apprendre à m’habiller, me maquiller, manger sourire et garder les yeux baissés comme une femme. Quand mes éducateurs n’étaient pas satisfaits, c’était la cravache. Mon anus était maintenu écarté par un sexe en ivoire. Les médicaments m’ont transformé. Je suis une femme avec des seins et à fesses comme les aiment les orientaux. Je peux vous l’avouer, maintenant je me sens femme. Je suis femme… Sannaa se jette à ses pieds.— Oh, mon amour, pardonne-moi… Tout çà est de ma faute…— Non, il ne faut pas avoir de regret. Nous avons passé des moments si doux et si voluptueux. Je ne regrette rien. Je t’ai retrouvée, c’est l’essentiel. — Je te présente Christine, mon amie et Naomi. On ne se quittera pus. Je vous le promets. Comment peut-elle promettre quoi que ce soit se dit Christine fataliste.— Zora, dans la journée tu pourra te délivrer de tes dessous mais ce soir, nous vous préparerons ; Les hommes vont vous visiter. Les trois princesses se cajolent toute l’après-midi puis, le repas du soir terminé, les servantes les apprêtent. Tout d’abord, elles subissent un lavement intime. Après un long bain ont leur passe sur tous le corps une crèmes douce et enivrante. Leurs tétons et leurs lèvres intimes sont couverte d’un onguent qui les fait enfler et les rends hypersensibles mais elles n’ont pas le droit de se toucher. Leur bouche et leur intimité sont généreusement badigeonnées d’un liquide antimicrobien. Le visage et surtout les yeux sont soigneusement maquillés. Christine et Zohra sont appareillées d’une guêpière baleinée et fermement lacée qui provoque des gémissements vite réprimés d’une claque sur les fesses. Des bas de soie noirs sont fixés aux jarretelles, l’ensemble est complété par une culotte fendue. Le contraste entre leur taille prise, leurs seins laissés libre augmentent la charge érotique. Sanaa, n’est habillée de de somptueux collier et bracelet. Naomi assiste à tout cela en ouvrant de grands yeux étonnés. Toutes sont recouvertes de leur chapiteau noir. Leurs yeux seuls sont visibles mais ceux qui les utiliserons ne se tromperons pas. La burqua de Christine tire légèrement sur le bleu, celle de Zohra a des reflets anthracite alors que celle de la princesse est d’un noir brillant intense. Toutes sont troublées et excité par le frôlement du satin sur la pointe de leurs seins sensibilisés par l’onguent. Le message est clair, elles sont trois femelles en chaleur dans l’attente du mâle qui va les couvrir. Elles n’ont pas le droit de se soulager et doivent conserver une attitude réservées et soumises. Un motif particulier brodé sur la burqa de Naomi indique qu’ont ne peut la toucher. Elle se contentera d’observer.Aussi, quand elles pénètrent dans le salon où plusieurs hommes dévissent en fumant le samovar, les yeux des trois favorites brillent et rivalisent de sensualité. Elles se placent à terre devant les canapés dans l’attente d’un signe. Ils sont cinq masqués : Ali, Jean-Paul, le ministre des affaires étrangère et de la défense d’une grande puissance occidentale. Noblesse oblige, l’épouse du prince s’agenouille devant le un ministre. Elle soulève la djellaba, libère respectueusement le sexe. Elle s’applique une conviction très professionnelle. Le magnifique fessier de la princesse défie Jean-Paul qui soulève la burqa et plante sa queue dans la chatte offerte. Sanaa ne marque aucune émotion. Christine est invitée à s’agenouiller devant un géant masqué. L’homme soulève le hijab et glisse ses doigts dans la bouche de sa conquête comme pour en apprécier le contour. Sous la djellaba, un énorme sexe l’attend à demi érigé. Elle essaie autant qu’elle le peu d’écarteler sa mâchoire pour avaler le terrible engin. L’homme n’est pas satisfait, il prend la tête de Christine et enfourne sa bite jusqu’à la glotte. Bien que la jeune femme ait acquit depuis quelques semaines une certaine expérience, la « gorge profonde » l’étouffe. Elle manque d’air. L’homme s’en amuse. Il attend l’extrême limite de la suffocation pour relâcher un instant la pression puis replonge violement dans le gosier. Christine pleure à chaude larmes. C’est alors que d’un signe Jean-Paul invite le sinistre à modérer ses transports. Il se vengera en enfilant violement la malheureuse. Christine gémit alors que Naomi pleure devant la souffrance supposée de sa nouvelle maman. Mais elle sera vite rassurer en voyant le village de Christine qui s’éclaire et en ettendant des gémissements qui lui rappelle ceux de sa mère le soir sous la tente. Pendant ce temps la, Zohara est au prise avec deux pieux dans la gorge et un dans les fesses. Heureusement, les hommes se vident rapidement. Ils reprendront des forces en s’amusant avec les seins et les chattes qui passent à leur portée et s’échangeront les filles une bonne partie de la nuit. Sanaa littéralement explosé par tois hommes en même temps. Elle émettra quelques rictus et soupirs de désapprobation. Aussitôt Ali l’a fait pendre par les pieds écartés à une poutre au centre de la pièce. Pour faire bonne mesure, il fera fixer Zorha dans la même position lié à son épouse. Il ne laissera à personne le soin d’appliquer vingt coups de cravache en insistant sur les sexes des malheureux qui n’en peuvent plus de gigoter et de hurler. Christine qui émet une discrète protestation, sera placée par son maître à genoux devant un fauteuil, la tête dans les coussins, pour être marquée de dix coups de cravache. Alors, Naomi se jette sur le bourreau armée de ses petits bras. Dans un grand éclat de rire l’homme couche la petite sur ses genoux et lui applique une magistrale fessée. Un des convive masqué – Jean-Paul - interrompra rapidement la correction. Les hommes quittent la pièce. Sanaa et Zorha sont décrochés. Les servantes s’affairent pour calmer les douleurs. Christine interdit à Naomi toute initiative.— Tu es bien tombé. Un autre aurait pu te bruler les fesses à la cravache ! — On est intervenue pour te sortir des griffes du prince. Ne te fais plus remarquer ! C’est clair ! Appuie la princesse.Enfin, réfugiés dans leur grand lit, les princesses et la fillette plongent dans un long sommeil aidé par une potion magique….
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