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Christophe, son amant

Chapitre unique

Hétéro
Nous sommes un couple dans la cinquantaine, mariés depuis vingt cinq ans, nous travaillons tous les deux dans des établissements différents, et avec des horaires également différents. Mon épouse Simone travaille en équipe, elle est contrôleuse dans une boite alimentaire tandis que je travaille à la journée dans un bureau d’étude. Nos deux enfants sont étudiants et nous ne les voyons pas très souvent. Nous nous entendons bien mais il faut bien avouer que nous subissons l’usure du temps, l’époque des folies au lit nous a passé et nos rapports s’espacent de plus en plus.Quand Simone me parle de son travail, il lui arrive souvent de parler de ses collègues avec qui elle passe beaucoup de temps, par force. Elle me raconte un peu les histoires qui circulent sur telle ou telle de ses collègues féminines.Souvent il lui arrive aussi de parler de Christophe, un chef d’équipe à qui elle a affaire lors de ses contrôles. Et je remarque que son nom revient souvent dans sa conversation.— Dis donc, il me semble que tu parles beaucoup de lui. Qu’a t’il de si particulier ?— Euh, rien, c’est un collègue avec qui je travaille beaucoup.Sa réponse dénote une certaine gène, surtout qu’elle rougit fortement en répondant.— A mon avis, ton Christophe c’est pas qu’un collègue, j’ai l’impression que t’as un faible pour lui, je me trompe ?— Ben, c’est vrai que je le connais mieux que d’autres, c’est plus un copain qu’un collègue.— Tu es amoureuse de lui ?— Non, sûrement pas, tu sais bien que c’est toi que j’aime.— Alors Qu’est ce qui se passe ? J’ai remarqué que parfois tu rentres tard, et que tu passes beaucoup de temps dans la salle de bains avant de te coucher, alors explique.Je la vois changer de visage, ses yeux se remplissent de larmes, elle s’effondre sur le canapé.— Je l’avoue, j’ai eu des rapports avec lui. Comment vas tu ma pardonner ! Ah ! J’ai honte, Je te demande pardon.Je la redresse et je la prends dans mes bras, je l’embrasse sur son visage, ses yeux mouillés de larmes, sur la bouche. Elle n’ose pas me rendre mon baiser, je la serre dans mes bras.— Calme toi, chérie, raconte moi plutôt.Elle sanglote encore un peu puis elle se calme.— Cela fait longtemps que Christophe me drague, au début c’était sur le mode plaisanterie, il me disait qu’il aimait bien les femmes dans mon genre, il me complimentait sur mon corps, qui pourtant n’est pas mis en valeur par la blouse et la charlotte. Puis il venait me rejoindre dans ma cabine de contrôle et il essayait de me prendre par la taille ou par le cou, évidemment je le chassais mais discrètement car la cabine est vitrée. J’avoue que j’étais troublée par ses attentions, il essayait aussi de m’embrasser, soit quand il me disait bonjour, soit le soir avant de partir, ses lèvres se rapprochaient de plus en plus des miennes. Puis ce qui devait arriver arriva. Voilà, c’était il y a environ un mois, j’étais du soir, Christophe vient me voir à mon poste.« Viens ma chérie, j’ai quelque chose à te montrer. » Il m’appelle toujours comme ça, il était tard et tous les chefs étaient partis, et les lignes tournaient tranquillement. Il m’emmène vers l’escalier qui mène au sous sol, à peine descendus, il m’enlace et il m’embrasse, je suis surprise et je réagis à peine, je le laisse faire et je crois bien que j’ai répondu à son baiser. — Tu peux pas savoir comme j’ai envie de toi. me dit il en me caressant le dos et les fesses. — Arrête Christophe, c’est pas raisonnable, si on nous voyait.— Mais si, viens, à cette heure il n’y a personne ici.il m’entraîne tout en m’embrassant dans le sous sol, c’est assez peu éclairé et derrière des tuyauteries de vapeur, il y a un semblant de cloison et des cartons à plat empilés. Il m’allonge sur les cartons et il se couche sur moi, il m’embrasse en glissant sa main entre mes cuisses, j’essaie de le repousser mollement et je sais que je vais lui céder. Après quelques caresses sur ma chatte en guise de préliminaires, il ne prend pas le temps de m’enlever ma culotte mais il la repousse sur le côté avant de présenter sa bite. Sa bite est très dure et il me pénètre d’un coup. Il me baise en profondeur, et je jouis aussitôt sans le vouloir, il continue assez longtemps avant d’éjaculer au fond de moi, me faisant jouir encore comme une folle.Le temps de reprendre conscience, je vois que Christophe est déjà parti. Je replace mes vêtements du mieux que je peux avant de remonter dans l’atelier. Quand je reviens je regarde si personne ne s’est aperçu de mon absence, je me sens mal et j’évite Christophe quand je le vois. J’ai honte, je pense à toi et je m’en veux d’avoir autant joui.— Et puis ?— Je m’étais promise de ne pas recommencer, mais à chaque fois que je voyais Christophe, je ne pensais qu’à sa bite.
— Alors vous avez recommencé ?Pendant qu’elle me racontait je me mis à bander en l’imaginant en train de baiser, je la caressais doucement entre les cuisses, je m’aperçus que sa culotte était mouillée et elle ouvrit un peu ses cuisses pour me faciliter mon exploration.— Oui, le vendredi soir nous sommes redescendus au sous sol, j’avais trop envie de sa queue. J’avais retiré ma culotte d’avance et il m’a léché la chatte un moment pendant que je le branlais puis il m’a prise en levrette et il m’a pistonnée longuement, j’étais dans un état second et je jouissais sous ses coups de boutoir. J’ai même dû crier sans le vouloir. Il m’a de nouveau injecté sa semence, je lui avais dit que je prenais la pilule. Après être remontée, j’avais encore le ventre et la chatte en feu, si fort que j’ai rejoint Christophe sur le parking et nous avons baisé de nouveau dans sa voiture, j’étais folle de sa bite et je l’ai laissé m’enculer, j’ai encore joui comme jamais. Oh, pardon chéri de te dire ça, mais avec lui c’est juste physique, il me fait jouir si fort ! Mais c’est toi que j’aime.— J’aimerais le croire. Continue.— La semaine suivante j’étais du matin et il était hors de question de descendre mais dès le lundi je suis allée chez lui à la sortie du boulot. Aussitôt arrivés on s’est déshabillés et nous nous sommes jetés l’un sur l’autre sur son lit et nous avons commencé un soixante neuf enfiévré. Il s’est mis au dessus de moi, j’avais sa queue au dessus de mon nez et je lui ai pris en bouche aussitôt pendant qu’il me mangeait la moule.J’espère que tu n’es pas choqué, chéri ?— plus rien ne me choque, maintenant, continue parce que tu m’excites grave. Je lui réponds en lui pénétrant la chatte avec deux doigts.— Je l’ai sucé en le branlant, il me fit jouir en me suçant le clito et je le fis jouir à son tour en lui enfonçant un doigt dans le cul. Ensuite il m’a pénétrée et nous avons encore baisé et joui plusieurs fois. Enfin il a fallu que je me rhabille pendant qu’il refaisait le lit défoncé car son épouse n’allait pas tarder à rentrer.— Tu es quand même gonflée, ça t’excite de me raconter ça, tes turpitudes avec ton amant, tu te conduis comme une salope.— Oh oui, j’aime bien faire la salope avec lui !— Pourquoi seulement avec lui, tu ne m’as jamais fait ça à moi !— Non, avec toi, je n’ose pas.— Eh bien il va falloir que tu changes si tu veux rester avec moi.— Je ferai tout pour toi, mon amour. Dis moi ce que je dois faire.— On va établir des règles, déjà je pense qu’il est dangereux pour ton travail d’aller baiser dans votre baisodrome du sous sol, si tu te fais pincer, c’est la porte. Je veux tout savoir, quand tu baises et où tu baises, je veux que tu deviennes aussi salope avec moi qu’avec ton amant, comprends tu ?— Je vais essayer.— Non, non, tu vas pas essayer, tu vas faire. D’abord, quand tu vas baiser avec ton amant, je te défends de te laver, tu viens te coucher aussitôt.— Ça veut dire que je peux continuer de le voir ? Tu me pardonnes ?— Te pardonner ? Ça va dépendre de toi. je ne peux pas t’empêcher de baiser si tu en as envie mais tu devras tout me raconter. Mais tu lui dis pas que je sais.— Tu es un amour, je t’aime.— Moi aussi je t’aime, et tu m’as donné une sacrée envie de te baiser, viens dans la chambre.Je lui arrache à moitié ses vêtements et je la pousse sur le lit, je me mets à poil à mon tour, elle m’attends les cuisses ouvertes, je glisse mes doigts dans sa chatte, elle est trempée, je m’installe entre ses cuisses, je présente ma bite et je la pénètre d’un coup. Ma queue glisse toute seule dans son conduit bien lubrifié. Je la défonce à grands coups de reins, elle couine, bouche ouverte et les yeux à demi fermés. Ses seins rebondissent en cadence. Je ne l’ai jamais baisée aussi brutalement mais elle m’avait mis le feu, elle ne se plaint pas, j’ai plutôt l’impression qu’elle en jouit.À cette cadence je sens l’éruption monter, dans un dernier coup j’envoie la dose au fond de son vagin. D’habitude j’éjacule à l’extérieur, sur son ventre ou ses cuisses mais là il fallait que je me vide en elle, sans doute un peu de vengeance et aussi de jalousie, savoir que son amant ne se gène pas. Deux ou trois va et vient de plus pour bien lui étaler mon foutre dans son conduit et je me retire, je la laisse revenir doucement de son plaisir avant de lui proposer le nettoyage de mon goupillon, d’ailleurs je ne lui propose pas, je lui impose, la forçant à ouvrir la bouche et à me gober.Ça la change des vieilles habitudes quand elle rechignait à me sucer, et pas longtemps, et pas fort.Je vois qu’elle a fait des progrès avec son amant car elle me pompe hardiment, alternant avec le léchage tout du long de ma queue, y compris mes valseuses.— Oui, c’est bien, chérie, tu vas devenir ma salope préférée, continue.La façon de me pomper ne tarde pas à me remettre en forme, j’ai de nouveau envie de la prendre, je la fais mettre à quatre pattes, elle me tend ses fesses, je lui caresse son petit trou, elle essaie de reculer mais je la tiens fermement d’une main. De mes doigts libre je récupère le mélange de nos sécrétions et je lui enduis, enfonçant un doigt puis deux dans son fondement, je vois qu’il a servi car il a pris de la souplesse, alors qu’elle me l’avait toujours refusé.Je remplace mes doigts par ma bite, je pousse, le cratère résiste un peu mais ça rentre, je m’enfonce doucement, elle soupire un peu le temps de s’habituer, elle est encore un peu serrée mais ça va se faire maintenant je suis bien au fond, mon pubis contre ses fesses, je commence à aller et venir, lentement d’abord puis plus vite.— Ah, oui ! J’aime bien comme tu m’encules, ah ! C’est bon, vas y !Encouragé de la sorte je la pistonne plus vigoureusement, elle pousse des cris inarticulés, je vois qu’elle se branle en même temps, je suis au paradis, ma bite coulisse à merveille, juste assez serrée pour me donner un plaisir fou, je continue plus longtemps mai je finis par ne plus pouvoir me retenir et je remplis son fondement d’une bonne dose de sperme. Nous nous écroulons l’un sur l’autre, nous nous embrassons longuement, épuisés et comblés l’un de l’autre.Puis les jours passent, quand Simone rentre du boulot je me rends compte tout de suite si elle a baisé ou non, à la fois à ses yeux cernés et à l’odeur de sperme qu’elle ramène. Ça arrive une fois ou deux par semaine et j’en profite pour la baiser à mon tour.Un jour, elle me dit :— Christophe fait des travaux chez lui et il aurait besoin d’une perforatrice, tu pourrais lui prêter la tienne ?— Tu ne lui a pas dit que je savais pour vous deux ?— Non.— Eh bien tu lui diras que si il la veut, il n’a qu’à venir la chercher.— Tu ne vas rien lui faire ?— Ne t’inquiète pas, chérie, dis lui simplement.Le surlendemain, Simone me dit :— Christophe viendra samedi après midi.— D’accord, je vais lui préparer la bécane.Puis arrive le samedi. Vers quatorze heures on sonne. Simone est nerveuse et angoissée, elle ne bouge pas.— Eh bien, Simone, va ouvrir.Elle ouvre la porte, elle le fait rentrer, ils se font une bise très rapide.— Voici Christophe, le collègue dont je t’ai parlé.— Ah, bonjour Christophe, Simone m’a beaucoup parlé de vous, asseyez vous.— Bonjour monsieur, Simone m’a dit que vous voulez bien me prêter votre perforatrice, ça va bien me dépanner.— Pas de souci, en ce moment je ne m’en sers pas. Je vous offre quelque chose, une mousse ?— Oui merci, ça ira très bien.Je le regarde, c’est un beau mec, il a bien quinze ans de moins que nous, je comprends que mon épouse ait pu craquer.Je regarde mon épouse, elle s’est assise en face de lui et il la dévore des yeux, d’autant qu’elle ne lui cache pas trop son entrecuisse.— Alors, Christophe, je suis content que tu m’aies demandé de te prêter ma perfo, c’est bien, par contre j’aurais bien voulu que tu me demandes pour que je te prête ma femme, tu comprends ?— Euh, quoi ?— Ne fais pas l’étonné, je suis au courant. Ça fait bien deux mois que tu la baises, n’est ce pas ?— Il faut que je t’explique.— Que tu explique quoi, quand tu la baises, comment tu la baises, et puis quoi ?— Ça fait des années que nous nous connaissons, j’ai affaire à elle plusieurs fois par jour, mais quand on a une femme appétissante comme la tienne, il ne faut pas être étonné qu’elle me donne des envies, désolé pour toi, mais je n’y peux rien.— Tu as de la chance, quand j’ai su j’avais envie de te démolir la tronche, puis je me suis aperçu que tu avais réveillé la libido de mon épouse, et qu’elle m’en fait bénéficier, donc il ne me reste plus qu’à te remercier, c’est un cadeau inespéré pour notre couple.— Tu me rassures, j’avais eu peur.— Simone, va remercier Christophe comme il le mérite.Elle se lève et vient s’asseoir sur ses genoux, il me regarde d’abord pour avoir une approbation, puis il l’enlace et ils s’embrassent à pleine bouche, aussitôt il glisse sa main sous son maillot pour lui caresser les seins, elle lui tient la tête pour continuer de l’embrasser, il la pelote, sa main redescend, glisse sur sa jupe et s’insinue entre ses cuisses.Elle me fait signe de m’approcher, je m’assieds.— Christophe, Tu veux bien partager avec moi ?— Avec plaisir.Nous la plaçons entre nous deux, une cuisse sur chacun, nous l’embrassons tour à tour et même ensemble, nos trois bouches et nos langues s’échangent. Nos mains se promènent sur ses cuisses et viennent explorer son entrecuisse, bientôt nous avons chacun un doigt glissé dans sa culotte et pénétré dans sa chatte trempée. Visiblement elle est mûre.Nous nous levons et je les emmène dans la chambre, nous la déshabillons vite et la faisons s’allonger puis c’est à notre tour de nous mettre à poil.Nous nous agenouillons à ses côtés et nous lui présentons nos bites, elle sait ce qu’il lui reste à faire, elle nous les prend en main et elle commence à les branler avant de les sucer l’une après l’autre.Nous rapprochons nos bites pour qu’elle les suce en même temps mais elle n’a pas la bouche assez grande alors elle alterne. Pendant qu’elle s’occupe de nos queues, nous lui caressons les seins, le ventre et son entrecuisse, elle déborde de cyprine qui lui coule entre les fesses. Nous sommes bien raides et il va falloir passer à autre chose, quand Christophe vient se placer entre ses cuisses elle nous dit :— Je vous veux tous les deux dans ma chatte. Allonge toi, Christophe.Il s’allonge, le mat bien dressé, mon épouse l’enjambe et s’aide de sa main pour se pénétrer du mandrin.Je vois la bite disparaître presque entièrement dans sa chatte brillante de mouille et elle se couche sur son amant pour l’embrasser.Je m’installe entre leurs cuisses et je guide ma queue contre celle de Christophe, ça fait drôle et je dois forcer un peu sur sa bite pour entrer, heureusement qu’elle soit aussi mouillée.Je pousse, sa chatte est serrée pour accueillir nos deux queues.— Ah ! Oui ! Mes hommes ! Baisez moi bien !Je commence à faire coulisser ma queue et je m’aperçois qu’elle a tendance à se faire éjecter de son conduit, je ne peux faire que des petits mouvements et Christophe est aussi obligé de rester presque statique.Heureusement Simone a de la ressource, elle nous masse le sexe avec les contractions de son vagin. Nous continuons un moment puis Christophe demande à changer.C’est à mon tour de me mettre dessous, Simone vient s’empaler sur moi et Christophe vient finir le sandwich en glissant sa bite contre la mienne.C’est à mon tour de rester statique mais Christophe qui a une queue plus longue que la mienne peut amplifier ses va et vient ce qui a un effet terrible sur ma bite qu’il branle par ses mouvements avec ses couilles qui frottent sur les miennes et en plus des contractions de vagin de mon épouse.Je sens monter la sauce, j’essaie de m’enfoncer encore plus et j’éjacule en criant, ça déclenche la jouissance de Christophe qui nous inonde de son sperme à la suite de quoi nous sommes éjectés du vagin qui déborde de nos sécrétions qui coulent sur mon bas ventre.Nous nous retrouvons allongés de chaque côté de mon épouse le temps de reprendre des forces, nous lui caressons le corps et l’embrassons à tour de rôle tandis qu’elle nous branle doucement.Le premier à recommencer à bander est évidemment Christophe, privilège de l’age !Dès qu’il bande suffisamment elle l’attire sur elle et ils repartent pour une nouvelle partie à deux cette fois, ils ne font plus qu’un, bouches soudées, ventres collés, jambes mêlées, ondulant lentement, j’ai une pointe de jalousie mais la vision de leurs corps est une vraie merveille d’amour. Je ne peux m’empêcher de les caresser tous les deux qui s’aiment en gémissant doucement. Je glisse ma main vers leurs cuisses, je vois la bite de Christophe coulisser de toute sa longueur dans le sexe de mon épouse, j’avance ma main, je lui caresse les bourses la racine de sa queue puis les lèvres brillantes de cyprine de la chatte, ça leur déclenche une accélération de leurs mouvements, leur baise devient plus sauvage, enfin je glisse mes doigts sur l’anus de son amant, ce qui le fait hurler en éjaculant sa semence au fond du vagin de mon épouse.Je les laisse se remettre, je me rhabille et je vais au salon. Après un bon moment Christophe arrive, il s’est rhabillé aussi tandis que Simone est partie dans la salle de bains. Il s’assied à mon côté.— Alors, Christophe, je voudrais connaître tes intentions, est ce que tu veux me la piquer ?— Tranquillise toi, ce n’est pas dans mes intentions, tu sais, je suis marié, mon épouse est la mère de mes enfants et il n’est pas question pour moi de la quitter. Je ne sais pas mais j’ai l’impression que tu ne te rends pas compte comme ta femme est attirante, tu n’en profites pas assez, pour moi, dès que je la vois j’ai envie d’elle, c’est très physique.— D’accord, dans ces conditions tu pourras venir ici quand elle le voudra, que je sois là ou pas, mais je préférerais être là.— Alors on va se revoir souvent.
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