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Chroniques d'un amant

Chapitre 4

au gîte

Voyeur / Exhibition
Cela faisait plusieurs semaines que l’on ne s’était pas vus. Elle m’a donné rendez-vous dans un gîte, en pleine campagne à plus de deux heures de route de chez moi. Pas de chauffeur personnel cette fois-ci. Je dois m’y rendre par mes propres moyens, qu’elle a surestimé d’ailleurs. Ce qui est drôle avec Farah, c’est qu’autant parfois, elle sait intimider en usant de son argent, autant il lui arrive d’oublier totalement que nous n’avons pas le même train de vie. Ce jour-là par exemple : elle m’avait envoyé par SMS l’adresse du gîte, en complétant l’information par un « dis à ton taxi de te déposer au niveau du portail vert. » Je n’étais évidemment pas venu en taxi. Le seul covoiturage que j’ai trouvé m’a déposé dans un village voisin, puis j’ai fait du stop.
J’arrive enfin au gîte. C’est classe, mais moins que les hôtels que Farah a l’habitude de fréquenter. Je n’ai pas le temps d’atteindre l’accueil qu’un monsieur m’interpelle :
— Vous cherchez Farah c’est ça ? — Heu... moi ? Oui ! C’est ça.— Sa chambre est à l’étage, première à droite.— Merci beaucoup !
Je frappe, elle me dit d’entrer. En ouvrant la porte, je la découvre presque nue. Elle porte une robe de chambre tout en transparence, légèrement bleutée, rien dessous. Ça m’excite déjà, mais je fais de mon mieux pour le cacher. On discute un peu, elle semble contente de me revoir.
— Tu es dans le gîte depuis longtemps ?— Non non, juste pour le week-end, avec toi.— D’accord.— Les deux grosses valises que tu vois c’est parce que je rentre de vacances avec mon mari !— Ah ! Où étiez-vous ?— En Grèce.
C’est vrai qu’elle a bronzé. Sa peau est encore plus jolie que d’habitude. Seins nus sur la plage, elle a dû en faire rêver plus d’un. Moi aussi j’ai bronzé, mais ça s’arrête au niveau des manches : travail oblige.
— J’ai prétexté un boulot urgent pour rentrer plus tôt de vacances, il me gonflait !
Dit-elle en faisant référence à son mari. Puis elle reprend : « de toute façon, il est mieux sans moi, à l’heure qu’il est, il doit être en train de se taper une gamine de vingt ans ! » Cette phrase laisse un blanc derrière elle, Farah est gênée, elle regrette cette dernière phrase. Moi je souris, la situation m’amuse.

On se laisse aller à un moment de tendresse. Je m’avance vers elle et l’embrasse. Mes mains s’aventurent un peu sous sa robe, sur ses fesses et ses hanches. Puis, face à face, son ventre vient toucher mon entrejambe déjà durci. Brusquement, elle me repousse. Sourire taquin aux lèvres, elle me dit « enfile un maillot de bain, il faut absolument que l’on aille essayer le jacuzzi ! »Farah me tourne le dos et s’éloigne en faisant glisser sa robe de chambre le long de son corps. Coquette, elle essaye plusieurs maillots avant d’en choisir un. Un deux pièces, bleu aussi, comme sa robe la transparence en moins. Moi je ne porte qu’un vieux short de plage acheté dans un magasin de sport au début des beaux jours.
Nous ne sommes pas seuls dans le jacuzzi, mais celui-ci est immense. Un couple de trentenaires nous dévisage en nous voyant arriver, en réponse, on leur sourit gentiment. Il y a quelques mois, la situation m’aurait rendu mal à l’aise, mais ce n’est plus le cas aujourd’hui. Je m’en amuse même. Je m’assieds en face de Farah avec l’envie de reprendre où nous en étions. Les remous cachent le retour de ma légère érection. Farah le sait, elle commence à me connaître. Mais elle me repousse et prend ses distances à nouveau. Puis, alors que j’étais déçu, je sens son pied venir masser mon sexe. On fait de notre mieux pour que nos attitudes extérieures ne trahissent pas ce qui se passe sous l’eau, mais malgré nos efforts, j’ai l’impression que le couple d’à côté se doute de quelque chose. Ils essayent d’être discrets, mais c’est raté, je les vois jeter des regards en notre direction toutes les deux secondes. Farah les a vus aussi, elle sourit en les fixant des yeux.
Mon érection ne pouvait plus être contenue dans mon short, j’ai dû le faire glisser sous mes testicules. Farah continue son massage pédestre. Sa voûte plantaire, appuyée contre ma verge, a acquis la forme de celle-ci. Mes bras sont posés de part et d’autre du rebord, mais ceux de Farah sont sous l’eau. Son sourire décontracté me donne un indice sur l’emplacement de ses mains.
On donne des idées au couple d’à côté, je crois. Leurs corps se sont rapprochés et malgré les remous, je crois distinguer la main du jeune homme entre les cuisses de sa compagne. Mais soudain, nous sommes tous les quatre interrompus par un des gérants du gîte ; « tout se passe bien ? » demande-t-il innocemment. On répond brièvement pour mettre fin au plus vite à cette conversation qui n’arrive pas au bon moment, mais celui-ci poursuit ; « Vous désirez quelques choses ? Une boisson peut-être ? ». Là, les remous ralentissent, et je vois que l’homme bloque une demi-seconde sur mon sexe que je n’ai pas eu le temps de cacher correctement. Il s’arrête alors, et repart d’où il est venu en forçant un sourire de gêne. « Ouf ! J’ai bien cru qu’il allait nous énumérer tout le catalogue du gîte ! » me dit Farah en riant.
Le couple d’à côté reprend déjà ses affaires, et nous faisons de même. Désormais, c’est plutôt nous qui les regardons. Pour être honnête, la femme m’excite un peu... ce n’est pas difficile dans ces conditions. Farah ne semble pas non plus insensible aux épaules carrées de l’homme, qui dépassent de la surface de l’eau. Elle le dévisage en se touchant, son visage grimace de plaisir, mais elle n’en oublie pas pour autant ma queue.
L’homme a un physique de nordique : blond vénitien, une courte barbe rousse recouvre sa mâchoire carrée. La femme est plus fine, cheveux blonds platine en chignons sur le haut de son crâne, le port de tête d’une danseuse classique. L’excitation a retiré l’expression lissée de leurs visages, et leurs corps adoptent des positions plus subjectives.
Les jambes de la jeune femme sont maintenant franchement écartées. D’une danseuse, elle n’a pas uniquement le port de tête, mais aussi une souplesse de hanche certaine. Lui ne se gêne plus pour parcourir le maillot de bain une pièce de sa compagne avec sa main. Une coupe sportive qui colle parfaitement au corps de la jeune femme.
Moi je me suis rapproché, installé à côté de Farah. Nos visages tournés en direction de nos invités, on se masturbe mutuellement.
Puis, puisqu’il semble inutile de faire l’effort de se cacher (je reprends ses mots), Farah décide d’enlever son haut. Nos voisins de jacuzzi ont bien marqué un temps d’arrêt pour contempler la belle Méditerranéenne dénudée, puis ils sont retournés à leurs occupations sans plus de gêne.
Je n’ai pas résisté longtemps à l’envie de goûter ses seins. Mes lèvres, ma langue et mes dents aussi, passent pendant de longues minutes du gauche au droit, sans interruption, guidées parfois par Farah elle-même. Quand je me redresse, je vois Farah et l’autre homme, les yeux dans les yeux s’échanger des regards intenses. La femme quant à elle, est bien trop perturbée par la main de son compagnon pour s’en rendre compte. Ses yeux sont fermés et sa bouche grimaçante forme un « O » silencieux.
Je ne suis pas jaloux, mais j’avoue que moi aussi j’aimerais mettre ma compagne dans le même état. Je redouble alors d’efforts, faisant glisser quelques doigts dans le vagin de Farah. Elle semble particulièrement disposée ce soir, alors doucement, je laisse glisser un pouce dans son anus. Farah lâche alors immédiatement l’homme des yeux pour me regarder moi. Son visage se fige, puis se détend à nouveau jusqu’à sourire. La seconde phalange de mon pouce rejoint la première. Je remue mes doigts, elle remue ses fesses de façon synchrone, et ses respirations se font bruyantes.
Face à nous, le couple se lâche encore un peu plus. Le large dos de Monsieur est maintenant émergé, lui, complètement penché sur sa compagne qui par miracle ne s’étouffe pas. Sa verge est entre les deux mains de sa belle qui le branle avec amplitude. Il jette toujours quelques coups d’œil en direction de Farah, mais cette dernière est dans un autre monde désormais. Ses yeux sont clos et je crois bien que même si quelqu’un arrivait pour nous sortir de l’eau, elle ne s’en rendrait pas compte.
Soudain, Farah revient à elle et décide de me tirer hors de l’eau. On enfile un peignoir en vitesse et direction notre chambre. Je ne sais pas ce qui lui a pris, mais nous n’avons même pas dit au revoir à nos amis du soir.
Une fois dans la chambre, Farah se dirige vers une de ses valises et en sort un lubrifiant qu’elle me lance. « Tiens ! Mets-toi ça... Et termine ce que tu as commencé. » Me dit-elle en s’agenouillant sur le matelas et en écartant ses fesses, le visage planté dans un coussin. Je ne me fais pas prier. J’enfonce mon sexe lubrifié d’une traite dans son anus. Elle crie, mais de plaisir, je crois... J’entame de vigoureuses allées venues, ses fesses houleuses viennent se fendre sur mes crêtes iliaques et le coussin peine à masquer ses cris. Son anus dilaté, rose, gorgé de sang, contraste entre la peau de ses fesses bronzées et mon sexe d’une teinte similaire. Peu de temps après, mon sperme vient se déverser au plus profond de ses muqueuses. Elle ne crie plus. Nous restons silencieux un moment, puis je m’extirpe de ses fesses et me dirige vers la salle de bain.
Lorsque je reviens après être passé sous la douche, Farah est toujours là, étalée sur le lit dans la position dans laquelle je l’ai laissée juste avant. Ses jambes ont perdu leurs crispations, son anus a retrouvé sa dilatation initiale et quelques gouttes de sperme ont coulé jusqu’au matelas. Sa seule marque de bronzage : le triangle de son string sur le haut de ses fesses. Son dos est noirci par le soleil et partiellement couvert de ses cheveux encore mouillés. Sur son visage, je vois que quelques larmes ont défait son maquillage.
Je la couvre d’un drap et m’endors à côté d’elle.
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