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Chroniques d'un coquin

Chapitre 1

Exhibition en voiture

Voyeur / Exhibition
Après plusieurs années passées sur ce site, j’ai eu envie de raconter moi aussi certaines expériences, certains fantasmes. Si cette première histoire vous plaît, je partagerais avec plaisir d’autres récits de mes expériences passées (certaines fantasmées, d’autres non). En tout cas pour commencer, j’ai décidé de vous parler de ma relation avec Océane (prénom d’emprunt par souci d’anonymat).
J’avais rencontré Océane sur une célèbre application de rencontre depuis quelques mois et, sans être réellement en couple, on se voyait souvent et nous nous étions mis d’accord pour ne voir personne d’autre. Peut-être que je reviendrais plus tard sur le début de notre relation qui, autant en bien qu’en mal fut la relation la plus intense que j’ai eu jusqu’à ce jour.
Ce qui m’a tout de suite plu chez elle c’est son grand sourire et l’énergie débordante qui ressort d’elle. Physiquement elle n’est pas en reste non plus, une belle brune, un visage harmonieux, les pommettes remontées les yeux légèrement en amande (j’appris bien vite qu’ils pouvaient être cependant très expressifs) qui lui donnait un air sauvage et sexy. La nature l’avait dotée d’une poitrine généreuse, je n’ai jamais pensé à lui demander sa taille mais je miserai sur un 90D, ainsi que d’adorables fesses rebondies qui ont tendance à se trémousser dès qu’elle est un peu excitée. A l’époque j’habitais en colocation et Océane ne supportait pas mes deux colocataires qui nous laissaient peu voire pas du tout de temps seuls dans l’appartement. Aucune intimité ne nous était permise jusque dans le lit où nous nous efforcions de garder nos ébats silencieux.
Cette histoire se passe lors d’une soirée de décembre, malgré l’hiver approchant les températures extérieures étaient plutôt douces pour l’époque. D’habitude frileuse, Océane porte une jolie robe bleue s’arrêtant à mi-cuisse et mettant en valeur ses magnifiques seins avec un décolleté assez marqué.
Après avoir mangé en ville nous rentrons en voiture chez moi. Alors qu’elle se plaint de mon appartement et de mes colocs à mon oreille distraite, toute ma concentration étant accordée à la route, je lui réponds machinalement qu’au moins nous avons un lit confortable où faire l’amour. Sans ça nous n’aurions pas d’autre choix que de devoir le faire dans la voiture.
Et le démon sous la gueule d’ange se réveille, un sourire coquin et excité que je connais bien se dessine sur son visage :
“Ben...moi ça m’exciterait beaucoup de le faire dans ta voiture” me lâche-t-elle de but en blanc, sa main se posant sur ma cuisse.
Mon sang ne fait qu’un tour et voilà qu’en une phrase le démon réveille le volcan de désir qui sommeille en moi. Mon excitation monte d’un cran à l’idée de lui faire l’amour dans la voiture, probablement les vieux restes d’un fantasme d’adolescent.
La circulation ralentit fortement et nous voilà dans un bouchon, autant en profiter pour débuter les préliminaires à une nuit de sexe endiablée. Je pose ma main sur sa cuisse dénudée :
“Ah bon? Réponds-je, d’un ton sans équivoque._ J’ai toujours rêvé de le faire, m’avoue-t-elle. “
Ses caresses se font de plus en plus entreprenantes, je sais qu’elle est déjà excitée. La voiture avance, je calme le jeu et retire ma main de sa cuisse, non sans la laisser s’aventurer à l’orée de sa robe. Je frôle au passage sa poitrine, elle pousse un léger souffle à peine perceptible.
“Calmons-nous un peu, j’ai besoin de mes mains pour conduire._ Mais les miennes sont libres. Essaie de te concentrer si tu peux”

Je parviens au prix d’un effort surhumain à garder le contrôle sur la voiture (nous roulions très lentement je vous rassure), malgré sa main qui presse désormais mon sexe gonflé et emprisonné. Elle me masturbe lentement à travers mon jeans, alors que nous sommes au milieu de la circulation. La situation m’excite et j’ai peur de ne pas tenir longtemps, je lui demande d’arrêter.
Elle profite d’un nouvel arrêt pour me mordiller l’oreille puis m’embrasser tendrement dans le cou. C’est mon point faible et elle le sait, elle veut m’exciter et je sais bien que je ne peux pas lui résister. Je m’abandonne et ferme les yeux pendant deux délicieuses secondes où le temps semble s’être arrêté, emporté par ces lèvres sensuelles qui me font frémir.
*TUUUUUUUUT* *TUUUUUUUUUUT*
La file a un peu avancé, le conducteur derrière, impatient, me sort de ma transe d’un coup de klaxon. Je reviens au monde réel, mais ça y est, le volcan est entré en éruption. Un sourire carnassier se dessine sur mon visage. Elle veut jouer, jouons. J’embraye la première et lâche le pommeau de vitesse pour revenir frôler l’extérieur de sa cuisse.
“Je croyais que tu avais besoin de tes mains pour conduire? Me taquine-t-elle.”
Pour seule réponse ma main passe sur sa cuisse pour s’aventurer sous sa robe, effleurant sa peau sensible. Ses caresses s’accentuent, elle cherche à passer sous mon jeans. Pas de bol ma ceinture complique la tâche.
Moi en revanche, rien ne me retient d’atteindre son string que je sens déjà humide. Mon doigt trouve instantanément son petit bouton d’amour que je flatte légèrement, avant d’appuyer doucement lui arrachant un long soupir de plaisir. Je joue avec elle quelques secondes encore, puis je remonte jouer avec ses tétons, profitant de son décolleté et faisant preuve de souplesse pour envahir son ce soutien que je rêve de lui enlever. Son téton s’érige rapidement, je calme mes ardeurs pour la frustrer et viens caresser son visage.
Sa bouche attrape au vol mon doigt et le suce avidement, ne laissant aucun doute à ce qu’elle préférerait prendre en bouche.
La circulation me redemande toute mon attention et c’est à contrecœur que je dois retirer mon doigt, pensant avoir quelques secondes d’accalmie.
Mais voilà que mon Océane, d’habitude prude (en tout cas en public), s’attaque à ma ceinture des deux mains et finis rapidement par libérer mon sexe tendu de mon caleçon.
— Mais qu’est-ce que tu...
Je n’ai pas le temps de m’exclamer que sa bouche s’est déjà emparée de moi, m’arrachant un gémissement de surprise et de plaisir mêlés. Les deux mains sur le volant me voilà dans une situation incongrue, dans les bouchons à deux minutes de chez moi, ma copine me suçant avec une fougue inégalée.
Je lui dis d’arrêter alors que ma main se pose sur sa tête, pour imprimer le rythme et la profondeur de sa gâterie. Je guette du regard, finalement personne ne peut nous voir, mais la situation m’excite terriblement. Je m’efforce de maitriser ma voiture, à chaque coup de frein elle enfonce mon sexe plus loin dans sa gorge, mon dieu ce qu’elle fait ça bien. Ma main s’échappe du volant pour aller caresser ses fesses et relever sa jupe, mais la ceinture de sécurité me retient de pouvoir accéder à son intimité.
La file avance à nouveau, je mets le clignotant et tourne sur la petite ruelle qui mène chez moi. En 30 secondes je me gare et défait ma ceinture, enfin je peux laisser mon corps se lâcher et perdre pied dans ce brasier de désir et de passion. Sa bouche s’occupe toujours de moi, je relève sa tête et l’embrasse fougueusement, ma main glissant directement sous sa jupe, son string est désormais trempé, je le mets de côté et glisse deux doigts directement en elle. Je ne l’ai jamais senti mouiller comme ça, c’est dire si elle est excitée.
Nous passons rapidement sur la banquette arrière où je m’allonge sur elle. Je reprends enfin un peu la situation en main. Je frotte ma queue contre sa chatte prête à m’accueillir. Elle me supplie du regard de lui faire l’amour ici et maintenant, sauvagement. Je la fixe quelques secondes avant de la pénétrer doucement. Je fais durer le plaisir et à peine les premiers centimètres franchis que je me retire. Je joue ce petit jeu quelques instants, sa frustration est maximale lorsque je la pénètre d’un coup, lui arrachant un “oh putain” de soulagement. Je ressors ma queue luisante de mouille puis reviens au plus profond d’elle lentement mais profondément. Je ressens chaque centimètre carré de son sexe autour du mien. Ses yeux écarquillés, signe de plaisir, m’encouragent à continuer ce rythme. Mon excitation me pousse à accélérer le rythme, mes vas-et-viens deviennent puissants et rapides, je l’amène au bord de l’orgasme rapidement.
Je m ‘arrête soudainement, un éclair de tristesse passant sur son visage laissant ensuite place à une profonde frustration.
Avant qu’elle ne s’offusque je lui susurre à l’oreille :— La nuit est longue, profitons-en.
Elle ne dit rien, confiante que je vais tout faire pour son plaisir. Elle sait qu’elle va jouir comme jamais ce soir.
Nous sortons de la voiture et nous dirigeons vers mon appartement. Mais je décide d’improviser et, la menant par la main, je nous fais descendre dans un petit renfoncement qui mène vers un bâtiment administratif. Il est tard aucun risque que quelqu’un nous surprenne ici.
— Enlève ton string et donne-le moi.
Elle reste interdite quelques secondes puis s’exécute, regardant sans cesse aux environs si quelqu’un s’approche. Ce début d’exhibitionnisme m’excite au plus haut point. Elle me tend le tissu rose, j’adore cette couleur elle le sait, puis je sors mon sexe, qui s’est quelque peu ramolli en marchant. Sans que nous échangions le moindre mot elle se met à genou et me prend en bouche, me faisant reprendre du poil de la bête instantanément. Je ne tiens plus et la relève. D’elle-même elle se penche et prend appui contre le mur, sans attendre je me glisse derrière elle. Son excitation est restée au plus haut je la sens à deux doigts de jouir et je ralentis, ne faisant de notre étreinte qu’un lent échange de soupirs, au rythme de mon sexe fiché en elle. J’accélère pour la gémir, elle se retient de crier, puis je me retire à nouveau. Je me rhabille devant son air médusé, c’est la deuxième fois que je lui interdis son orgasme tant attendu.
Nous reprenons le chemin de chez moi, main dans la main. Rapidement nos mains se baladent sur nos corps bouillants de désir, je glisse sous sa robe, dévoilant ses fesses à quiconque serait derrière nous. Un regard du coin de l’œil me confirme que personne n’a pu assister à la pleine lune, mais je sens que l’air froid au contact de son intimité a remonté d’un cran son excitation, chose que je pensais impossible.
Arrivés dans le hall de mon immeuble dépourvu d’ascenseur, nous empruntons l’escalier en direction du dernier étage. Une fois n’est pas coutume et je décide de me passer de galanterie en la laissant ouvrir la marche pour admirer ce cul qui me fait terriblement bander. Je le caresse à travers sa robe quand, à mi-chemin elle se retourne, m’embrasse avec passion, sa langue s’emparant de la mienne puis me tire au sol, sur elle. Sans que je ne comprenne rien je me retrouve à faire l’amour dans l’escalier. Océane se laisse aller au plaisir, je lui bâillonne la bouche pour ne pas réveiller les voisins, elle se met à sucer trois de mes doigts comme si c’était une queue, les enfournant au plus profond possible. Sa chatte est désormais inondée et sa mouille coule abondamment, ce qui m’excite au plus fort.
Mais je reste maitre de la situation et j’interromps une troisième fois son plaisir. Elle me fusille du regard et sa frustration menace de laisser place à la colère.
Une fois dans l’appart je décide de la surprendre une nouvelle fois. Mes colocs sont enfermés dans leurs chambres, il est tard ils n’en sortiront plus. Je l’entraine dans la cuisine, m’assieds sur une chaise et la tire à moi. Elle comprend tout de suite mon intention et s’empale sur moi. Mon coloc le plus proche est à cinquante centimètres, séparé uniquement par une fine cloison, on s’efforce d’être silencieux. Elle m’offre son cou et son décolleté, que je couvre de baisers pendant que son bassin oscille d’avant en arrière. L’étreinte bestiale laisse peu à peu place à une sensualité amoureuse.
Nous nous dirigeons finalement vers ma chambre. En une poignée de secondes nous nous retrouvons nus, et je profite enfin de cette poitrine restée prisonnière trop longtemps. Mais rapidement nos besoins reprennent le dessus, je me couche sur elle, nos bouches fusionnées et nos sexes imbriquées. Nous reprenons un rythme le plus lent possible, faisant place à des sensations que nous n’avions jamais ressenties jusque-là. Je sens la chaleur de son être m’aspirer, je glisse en elle comme sur de la soie, profondément.
Nos mouvements se coordonnent parfaitement, nos corps ne font plus qu’un, je sens son orgasme qui approche, faisant venir le mien. Ses fesses se soulèvent au rythme de mes coups de rein, rendant la pénétration encore plus profonde. Je sens ses muscles se contracter, son visage se crispe ses gémissements emplissent toute la pièce. A peine son orgasme jaillit que je sens tout mon être se raidir, nous jouissons de concert pendant de longues secondes. Je la sens toute tremblante, encore submergée par un orgasme fulgurant pendant que j’éjacule longuement en elle, mon corps crispé autour du sien dans une euphorie tétanisante.
Nous nous endormons l’un contre l’autre après cette soirée torride pour une nuit courte mais au sommeil réparateur.
Réveillé au petit matin par mon réveil, je me tourne contre elle pour la trouver endormie. Après l’avoir réveillée à son tour par des bisous nous faisons tendrement l’amour, comme à notre habitude, mais nos corps encore liés par ces étreintes passionnées se retrouvent et nous jouissons à nouveau dans un concert de gémissements et de petits cris qui aura sûrement réveillé mes colocataires. Tant pis.

J’espère que cette première histoire vous aura plu et je suis tout ouï à toute remarque et conseil, d’autres suivront peut-être selon l’accueil reçu.
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