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Chroniques d'un coquin

Chapitre 2

Mes retrouvailles avec Océane

Divers
Quelques semaines après l’aventure du premier chapitre, ma relation avec Océane a fini par voler en éclat après quelques écarts de part et d’autres qui ont conduit à une relation toxique mais extrêmement intense sexuellement. Peut-être que je raconterai cette période un jour, mais pour le moment le prochain épisode de mes frasques concerne nos retrouvailles avec Océane deux ans après notre rupture.Malgré notre séparation, nous avions gardé le contact, nous prenions régulièrement des nouvelles l’un de l’autre. Ces messages ressemblaient très fort aux messages que l’on reçoit à nos anniversaires de personnes un peu perdues de vue :— Hey bon anniversaire, comment ça va? Tu fais quoi de ta vie?
Mais un jour qui n’était ni mon anniversaire ni le sien, Océane m’écrivit pour me demander un service. A l’époque elle travaillait loin de chez elle et prenait le train pour venir dans la ville où j’habitais. Elle m’expliqua qu’elle devait exceptionnellement commencer le travail très tôt le matin et n’avait aucun train lui permettant d’être à l’heure. Elle voulait savoir si je pouvais la dépanner et l’héberger une nuit. Ayant un canapé-lit, j’acceptai (je sais ce que vous allez dire, mais j’avais vraiment en tête de la faire dormir sur le canapé).
Tout était prévu quand elle arriva chez moi en début de soirée. J’avais préparé une pizza comme elle aime avec des ananas dessus (d’ordinaire je suis dans la team "contre les ananas sur la pizza", mais que ne ferait pas un homme pour une femme…). Nous discutions de tout et de rien, rattrapant le temps perdu. J’appris qu’elle fréquentait quelqu’un de manière occasionnelle et qu’elle nourrissait des doutes quant au futur de cette relation. J’essayais de ne pas être jaloux, mais la revoir en face de moi ravivait une passion enfouie depuis quelques temps. Nous nous mîmes d’accord pour regarder un film, dont j’ai complètement oublié le titre aujourd’hui, après avoir débarrassé la table. Elle me demanda si elle pouvait prendre une douche en attendant que je prépare le film, je lui donnai donc un linge et la laissa dans la salle de bains. Mon cœur accéléra légèrement sa cadence en l’imaginant nue à quelques mètres de moi seulement. J’imaginai l’eau couler sur sa forte poitrine et ses magnifiques fesses bombées, et eus un instant d’hésitation en voyant la lumière du trou de la serrure de la porte qui me séparait d’elle. Je résistai à la tentation, sachant pertinemment que la voir nue m’exciterait instantanément et je ne voulais pas qu’elle puisse voir mon émoi en sortant. Je retournai donc au salon devant la télé. Lorsqu’elle sortit, elle portait uniquement mon sweat qui lui arrivait au milieu des fesses, dévoilant juste un petit string blanc qui faisait ressortir la perfection de ses deux lobes. J’eus un instant d’arrêt la voyant ainsi. Elle me demanda si cela me dérangeait qu’elle reste ainsi (peu) vêtue, je me ressaisi juste assez pour lui dire qu’il n’y avait aucun souci pour moi.
Le film se passa tranquillement, nous étions captivés par l’écran. Au bout d’un moment, je sentis sa tête se poser de fatigue sur mon épaule. Etant fatigué également, je ne réagis pas. Machinalement, ma main se posa sur sa hanche, à la limite du sweat. Peu à peu, mon pouce entreprit un léger mouvement de caresse. Mon petit doigt finit par glisser du sweat pour effleurer sa peau douce. Un frisson me parcourut et je crois qu’il fut partagé. Quelques instants plus tard, ma main était entièrement passée sous le sweat pour l’effleurer du bout des doigts. Je sentis le tissu de son string à quelques millimètres de mes doigts et cela commençait à m’exciter. La fatigue se faisait de plus en plus marquée et je finis par lui proposer d’arrêter le film pour préparer le canapé-lit et dormir. Elle me répondit qu’elle était épuisée et avait la flemme de faire son lit. Cela ne la dérangeait pas de partager mon lit, celui-ci étant assez spacieux, il n’y avait aucun risque. J’acceptai.
Nous nous couchâmes donc dans le même lit, j’en profitai pour l’épier lorsqu’elle se mit entièrement nue à l’exception de ce petit string blanc qu’elle garda pour dormir. Au moment de rabattre la couette, nous étions à une distance relativement chaste, aussi je fus surpris de la sentir venir se lover dos contre moi, en position des "cuillères" dans laquelle nous adorions dormir à l’époque. Je décidai d’accepter son câlin et l’entoura de mes bras. Nous étions collés l’un à l’autre, ses fesses contre mon sexe pour l’instant au repos. Je sentis sa main venir prendre la mienne et me caresser les doigts, il n’en fallut pas plus pour déclencher chez moi une vague de désir impossible à contenir. Je répondis à ses caresses, et rapprochai ma tête de son cou. Je sentis ses fesses débuter de très légers mouvements, typique de son excitation. Je déposai alors quelques baisers sur son épaule, et ce fut le signal que nous cédions les deux à nos pulsions. Ses fesses accélérèrent leur mouvement contre mon sexe qui gonfla rapidement. Une de mes mains vint les caresser, puis leur asséner rapidement une petite claque bien sèche. Elle gémit. Je savais que la fessée l’excitait comme rien d’autre au monde. Je continuai mon petit jeu, ses fesses s’agitant de toute part sous l’excitation. Elle étouffa ses gémissements en prenant trois de mes doigts en bouche pour les sucer avidement. Perdant patience, je sortis mon sexe bandé et le frotta contre ses lobes de chair. Rapidement elle décala son string, m’offrant ainsi sa vulve déjà trempée. J’adorais sentir la mouille abondante d’Océane couler sur ses cuisses et mon sexe. Elle prit ma queue dans sa main et la présenta à l’entrée de sa chatte. Sans plus de politesse, je la pénétrai lentement, insérant ma queue entière en elle, lui arrachant un petit cri aigu, à peine étouffé par mes doigts toujours dans sa bouche. J’entrepris rapidement un mouvement de va et vient en elle, claquant ses fesses de mes hanches. Je pris un plaisir incroyable à retrouver cette petite chatte chaude et terriblement humide autour de ma queue. J’enfonçai mes doigts toujours plus profondément dans sa bouche, jusque dans sa gorge. Sous l’excitation, ce manège dura quelques minutes seulement. Je sentis son vagin se contracter, sa bouche avalant ma main presque au complet, mon orgasme fut immédiat et je déversai mon sperme brûlant en longues saccades en elle.
A nous restâmes quelques secondes comme ça, blotti l’un contre l’autre, haletant, transpirant, sans rien dire. Elle se tourna vers moi, souriante. Je me mis à sourire bêtement à mon tour. Toujours en silence, je me décidai alors à enfin l’embrasser et redécouvrir ainsi la douceur de ses lèvres et de sa langue.
Ses baisers passionnés redonnèrent de la vigueur et rapidement une mi-molle fit son apparition sous la couette. Je vins sur elle, nos bouches collées, je m’installai entre ses jambes. Je pris mon sexe et le frottai vigoureusement contre son clitoris. Son excitation n’était pas retombée et rapidement je sentis quelques gouttes de sa mouille gicler au rythme des frottements de ma queue. Nos regards se fixèrent et ce fut elle qui prononça les premiers mots depuis que nous étions au lit :— Baise-moi fort.
Je ne me fis pas prier et enfonçai d’un coup ma queue en elle, lui arrachant un soupir de soulagement et de plaisir. Malgré mon premier orgasme mon sexe était dressé comme jamais. Après quelques allers et retours je me retirai et la fit se positionner en levrette. Je contemplai ce cul hyper bandant, heureux de le retrouver. Joueur, je frottai mon gland entre ses lèvres, la pénétrant à peine. Elle me supplia de venir en elle. Je me maitrisai encore assez pour lui asséner de grandes claques sèches sur ses fesses. Elle adorait ça et je sentais son jus d’amour couler le long de mon sexe, le long de ses cuisses. Elle ne tint plus et finit par s’empaler elle-même jusqu’à la garde. Je l’attrapai alors par les hanches et lui fis fougueusement l’amour. La fougue laissa place à la bête, je la cambrai davantage encore, sa tête contre l’oreiller, pour la défoncer littéralement. A chaque coup de rein je sentais sa mouille gicler. Je vins lui baiser la bouche de mes doigts qu’elle suça goulûment. Pour libérer ses derniers remparts de bienséance, je l’insultai :— T’aimes ça salope hein? Elle te manquait ma bite! Putain c’est trop bon de baiser ta petite chatte, tu mouilles comme une chienne.
Ce à quoi elle répondait :— Oh oui je suis vraiment une salope, je te sens trop bien, vas-y baise-moi.
Ne voulant jouir trop vite, je ralentis la cadence, lui laissant reprendre son souffle. Matant son cul de près, cul qu’elle m’avait toujours refusé, j’eus une idée. Je vins délicatement poser mes doigts luisant de salive contre son petit trou comme elle aimait, et la pénétrai de deux doigts directement. D’instinct, elle recula d’elle-même pour enfoncer mes doigts.La vision de mes doigts dans son fondement m’excita et je repris mon assaut dans sa chatte, mes doigts l’enculant au même rythme. Ses cris raisonnèrent et elle finit par jouir en giclant sur ma queue et les draps. Elle ne s’arrêta pas pour autant et continua d’elle-même à s’empaler. Je sentis mon orgasme monter et l’en informa. — Viens dans ma bouche.
Elle s’allongea alors sur le dos, la tête légèrement redressée. Ma queue dressée vint à la rencontre de sa bouche. Elle me goba d’un coup et entreprit une pipe d’anthologie. Rapidement, je bloquai sa tête avec mes mains et lui baisai littéralement la bouche, enfonçant ma bite jusque dans sa gorge. Ses bruits de gorge et le flot de salive coulant sur sa poitrine eurent raison de mon excitation et rapidement un premier jet de sperme gicla dans sa gorge. Je me retirai rapidement pour finir d’éjaculer sur son visage, marbrant son sourire et ses beaux yeux.
Après un rapide nettoyage et quelques sourires de contentement, nous nous recouchâmes en cuillère, épuisés de plaisir, et nous endormîmes rapidement. Alors que je pensais que le reste de la nuit serait plus calme, je fus tiré de mon sommeil par sa bouche s’activant sur mon sexe. Dans la pénombre de la nuit (et de mes yeux endormis) je distinguai seulement la couette qui se soulevait et se baissait au rythme de cette douce fellation. Avant que je ne puisse réaliser qu’Océane était en train de réaliser un de mes fantasmes – me faire réveiller par une pipe – mon sexe était déjà dressé, prêt au service. Je me redressai pour caresser les fesses tendues en ma direction. Sentant mon contact, Océane se mit en 69 sur moi, me présentant sa croupe. J’entrepris de lui rendre la politesse et commençai à lui lécher tendrement la chatte. De nouveau, la tendresse laissa rapidement place à la fougue. Je lui glissai trois doigts dans sa chatte dégoulinante de mouille et la pilonna brièvement avant de venir caresser son petit trou. Deux de mes doigts la pénétrèrent, ses cris devenant un ton plus grave. Un troisième doigt les rejoint et continua de dilater son anus. Elle revint se coucher à mes côtés et m’embrassa.— J’ai encore envie de toi. Baise-moi.
Je m’exécutai sans discuter et présentai ma queue tendue devant sa chatte, caressant son clitoris du gland. — Non, pas par-là.
Je mis quelques secondes à réaliser. Après tant de temps, Océane voulait enfin que je la prenne par le cul. Devant mon air stupéfait, elle ajouta : — Je veux que tu m’encules bien profond.
Serviable, je posai donc mon gland contre sa rosette et poussa doucement. Entre le travail de mes doigts et sa mouille abondante qui coulait, j’entrai sans difficulté en elle. Quel bonheur intense de sentir son conduit étroit autour de ma bite. Je fixai intensément ses yeux écarquillés de plaisir, qu’elle était belle quand elle baisait. Je fis de lents va et viens, elle se caressait et se doigtait en même temps. Ses cris emplissaient la pièce mais m’excitaient bien trop pour que je ne me soucie des voisins. Je ne résistai pas à l’embrasser pendant que je lui limais le cul bien profond. Après de langoureux baisers je me retirai, la plaçai en levrette, et revins prendre possession de son cul, la tenant fermement par les hanches. Je lui attrapai les cheveux pour la cambrer au maximum et lui assénai de puissantes fessées, ses cris devinrent hurlements :— Putain oui, encule-moi profond. Je suis ta salope, défonce-moi.
J’étais devenu une machine et me démenai comme un dingue dans son anus. Sentant mon orgasme monter, je lui plaquai la tête contre l’oreiller et lui fit sucer mes doigts qu’elle avala. Elle avait toute ma main dans sa bouche, sa bave coulait jusqu’à mon poignet.Mon orgasme fut intense, mon corps entier se crispa, tendu comme jamais, éjaculant ce qu’il me restait de foutre dans son cul. Elle jouit quasi-instantanément également, giclant à nouveau sa mouille sur moi.Il me fallut bien plusieurs minutes pour retrouver un rythme cardiaque décent et pouvoir respirer normalement, mais je venais de vivre une de mes nuits de baise la plus intense jusque-là. Je m’endormis comme une souche, éreinté par de multiples jouissances.Au petit matin, Océane était déjà partie prendre son train, me laissant comme souvenir des draps à mettre à la machine à laver. J’étais content de ces retrouvailles sans lendemain, pensant que ce serait la dernière fois avec elle, mais l’avenir finira par me prouver le contraire…peut-être au prochain chapitre.
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