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Chroniques d'un couple fou d'amour

Chapitre 1

La perte de virginité

Hétéro
Bonjour cher lecteur,Les noms des protagonistes ainsi que les âges ont été changés, afin de respecter l’anonymat de ceux-ci. Au début de nos chroniques, les personnages sont Matthieu, 18 ans, narrateur, et Pauline, 24 ans. Ce chapitre-ci démarre lentement mais je vous promet, si vous aimez, d’aller crescendo vers bien d’autres choses (fantasmes et histoires vraies).Bonne lecture ;)
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10 juin 2012.Je me souviens du jour de notre rencontre, ce fameux 10 juin 2012.Tu as ouvert la porte, avec ton magnifique sourire rayonnant sur ton visage d’ange. J’ai immédiatement craqué devant ce sourire, qui ne m’a jamais quitté depuis.Tes longs cheveux dorés tombaient en cascade sur une poitrine discrète et joliment mise en valeur par un décolleté, décoré par un collier "sautoir". Tu avais des pommettes saillantes, des yeux verts-de-gris et un petit nez tout mignon. Lorsque ta silhouette élancée s’est retournée pour nous guider, mon père, mon frère, ma soeur et moi vers l’intérieur de la maison, je n’ai pu m’empêcher de te détailler de haut en bas. 1m65 de sensualité, avec au milieu, des fesses rondes à tomber !C’était donc un dimanche lors d’une réunion de famille barbante, au cours de laquelle l’alcool et la nourriture furent consommés sans modération. Nous nous sommes beaucoup tournés autour, tantôt en jouant innocemment, tantôt en rigolant ou en se moquant gentiment de l’autre. Ce fut une séance de drague fort plaisante. Je me souviens particulièrement d’un moment : celui où, en riant et en discutant avec d’autres personnes, tu t’es assise sur mes genoux car je t’avais volé ta place, et qu’il n’y avait pas de raison que tu ne reprennes pas ce qui t’était dû. Tu ne le savais pas, mais dès que tu t’es assise, un début d’érection a pointé le bout de son nez.
Jamais je n’avais eu de contact si proche avec une fille qui me plaisait, et j’étais donc fort émotif à 18 ans... Heureusement, de ces prémices d’érection, tu n’as rien senti.Le moment venu, nous nous sommes quittés en nous échangeant nos numéros. Et durant plusieurs jours, nous avons continué la séduction par messages et appels de temps en temps.3 semaines durant, nous n’avons eu que nos téléphones pour parler. 3 semaines pour nous avouer notre amour mutuel, pour nous découvrir, apprendre à nous connaitre, et aussi à nous exciter.Ainsi, je me rappelle très bien des séances de masturbation que j’ai pu faire, en lisant tes messages coquins sortis tout droit de ton imagination débordante. Nous nous chauffions mutuellement par des sextos, des photos envoyées sur Skype (mais jamais de nos sexes, seulement des photos suggestives).3 semaines durant lesquelles nous avons dû planifier nos retrouvailles : ce serait le dernier week-end de juin, après mes examens de dernière année.Ce week-end là, rien de laissé au hasard. Mes plus beaux vêtements, mon meilleur parfum, et mes plus beaux mots d’amour m’accompagnèrent dans mon voyage en train jusqu’à toi. Arrivé à la gare, tu es venue me rejoindre et nous nous sommes croisés à mi-chemin. Nous nous embrassâmes pour la première fois en plein milieu de la rue, baiser qui fit même sourire le conducteur de la voiture que nous bloquions. Main dans la main, nous avons fait route jusqu’à chez toi, ou plutôt jusqu’à chez tes parents, que j’avais rencontré 3 semaines plus tôt également.
Une fois arrivés après une belle promenade le long d’une rivière sublime, tu leur dis que nous allions regarder un film sur ton ordinateur pour ne pas les déranger dans leurs tâches quotidiennes. Nous filons donc à l’étage où nous choisissons le film ensemble.Il ne fallut néanmoins pas longtemps pour que ton attention se détourne du film. Tout en m’embrassant, tu me caressais le torse encore couvert de mon T-shirt. Je t’avais déjà fait part du fait que j’étais encore vierge, et de mes petites inquiétudes concernant mes aptitudes et la taille de mon sexe. En effet, je n’étais pas de ces gars qui comparent leurs engins en toutes occasions en jouant à qui a la plus grosse. Mon seul point de comparaison était la panoplie de vidéos pornographiques du web.Tu tentais de me rassurer et de me mettre à l’aise. Tu commenças par enlever mon T-shirt, puis le tien, ton pantalon puis le mien. Nous nous retrouvâmes ainsi en sous-vêtements tous les deux. Tu repris tes caresses sur mon torse, descendant toujours plus bas vers mon entre-jambes. Tes doigts effleuraient l’élastique de mon boxer, et tu continuais de m’embrasser sensuellement, nos langues entamant un doux ballet.Tu continuas de prendre les choses en mains, en enlevant ton soutien-gorge, révélant de très beaux seins en forme de poire, sur lesquels se dressaient fièrement de magnifiques auréoles. Tu descendis ensuite ta tête, coupant court à ce spectacle, pour m’enlever mon boxer.Une fois celui-ci baissé, ta réaction me fit peur. Tu poussa un cri de stupeur. Tu trouvais en effet que mon sexe fièrement dressé, du haut de ses 16cm pour 4.5 de diamètre était de taille généreuse, comparé à ceux que tu avais pu voir. Ceci me rassura.Continuant de prendre les choses en mains, je sentis ton souffle puis ta langue caresser le bout de mon gland. Tu entrepris une fellation très convaincante, qui fit monter mon excitation (et la tienne si j’en crois la tache humide sur ta culotte) à son paroxysme !
Alors même que je commençais à aimer cela, tu t’arrêtas brusquement. Tu me dis que tu n’en pouvais plus, tu enlevas le dernier rempart couvrant ton intimité, et tu te couchas à côté de moi, les jambes écartées."A toi de jouer, maintenant !", me dis-tu avec un air de défi. "N’aies pas peur, je vais te guider".Je vins donc me placer au dessus de toi, tu agrippas mon sexe dans tes doigts, et tu me guidas vers cette antre humide, me faisant vivre une infinité de sensations, d’émotions, et de désirs que je découvrais pour la première fois...Ainsi, j’ai perdu ma virginité dans une jouissance magique, ce 30 juin 2012, après t’avoir fait jouir pour la première fois (et pas la dernière) sous l’assaut de mon bassin.
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