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Chroniques d'un employé modèle

Chapitre 1

Hétéro
Préambule - J’ai déjà publié par ailleurs ce texte et plusieurs autres chapitres qui l’ont suivi. Ce forum m’a paru offrir un ton et une atmosphère propres à la reprise et à la prolongation de l’évocation des multiples facettes de ce cadre professionnel un peu particulier. Ainsi débutent donc les chroniques d’un employé modèle...
Il est 8h45, j’ai rendez-vous à 9h00. Je suis largement à l’heure.
Je me gare sur le parking de cette petite tour de bureaux de la banlieue parisienne où je dois passer mon dernier entretien, celui qui validera mon embauche. Madame Géraldine Leray, Chef de Département m’attend. Je réajuste mon nœud de cravate et je franchis la porte d’entrée. Face à moi, le comptoir d’accueil trône entre deux rangées de portillons qui ouvrent sur les cages d’ascenseur, pour peu que l’on ait le badge qui permet de les franchir. Les trois hôtesses sont de jolies femmes que je trouve particulièrement élégantes dans leur tailleur bleu marine. Ajoutez à cela le charmant sourire qui accompagne les instructions qui me sont données, et me voilà momentanément un peu moins tendu. "Voici votre badge, c’est au septième étage. Vous récupérerez votre pièce d’identité en sortant. Bonne journée".
Les portes s’ouvrent, j’entre dans la cabine et appuie sur le 7. A la façon d’un compte à rebours, les étages vont maintenant défiler. Les battements de mon cœur recommencent à s’accélérer, le moment fatidique approche. Un arrêt au premier étage suspend cependant le temps pour laisser entrer une charmante passagère. Plutôt grande, blonde aux cheveux longs attachés en queue de cheval. Tailleur jupe gris, talons assortis, et chemisier blanc. Sa mise classique et son allure distinguée me font d’autant plus d’effet que le léger parfum de patchouli qu’elle dégage me fait énormément d’effet. Les portes étant fermées, la gêne qui frappe si souvent les inconnus qui se retrouvent dans la promiscuité d’un ascenseur ne m’épargne pas. Et le coupable renflement de mon pantalon m’enfonce un peu plus. Elle appuie sur le 10. Dernier étage, et probablement celui de la direction, je suppose.
C’est elle qui engage la conversation. Je ne l’aurais pas fait de toute façon. "Vous êtes nouveau ici ? Nous ne nous sommes jamais rencontrés". "En fait, je viens passer un entretien". "Je vois, bonne chance, dans ce cas". Sourires. Silence. Je rougis et mon pantalon continue à essayer de me trahir. C’est lorsqu’elle touche la bosse à travers le tissu de la braguette que je réalise que sa main s’est mise en devoir, certes avec douceur, de tenter de me mettre en confiance. Je suis pétrifié, mon cœur monte en régime. J’ai une dernière pensée pour mon entretien, et lorsque la porte s’ouvre au septième étage je l’ai déjà oublié. La jolie main aux doigts fins et agiles caresse maintenant plus fermement. Elle a même réussi à libérer mon pauvre sexe comprimé au moment où nous reprenons notre ascension. L’élégante personne me branle. Ici. J’ai de toute façon oublié où je suis.
Deux hommes en costume cravate attendent au dixième. Lorsque l’ascenseur ouvre ses portes, ma bienfaitrice est accroupie. Sa jupe est retroussée autour de sa taille. Ses si jolis doigts s’occupent maintenant de son sexe à elle, avec un léger bruit de clapotis qui en dit long sur le plaisir qu’elle a à m’engloutir dans sa bouche. Les deux hommes restent immobiles. Je les regarde avec un sourire crispé. Le spectacle ne dure que quelques secondes. Notre course reprend, vers le bas cette fois, abandonnant à leur hébétude nos deux spectateurs. Lorsque nous arrivons au quatrième étage, où notre cabine a apparemment été appelée, la dame s’est relevée et a repris mon membre en main. J’ai dû défaire quelques boutons de son chemisier pour accéder à sa poitrine. Mes lèvres rencontrent les siennes, mes mains glissent sur ses seins. Nos langues se mêlent, ses tétons roulent entre mes doigts. La porte s’ouvre sur deux nouveaux cadres tirés à quatre épingles, mais l’un d’eux est cette fois une femme. La créature est blonde platine et ses longues boucles tombent sur un chemisier de soie noir avec lequel elles contrastent admirablement. Elle porte un pantalon gris qui met en valeur un tour de taille inversement proportionnel à celui de son exceptionnelle poitrine. A nouveau, nous reprenons notre course sans que ces braves gens n’aient pu embarquer.
Nos gémissements sont étouffés par ce long baiser gourmand qui n’en finit pas. Il ne s’interrompt même pas quand je pars à l’assaut de son vagin, délaissant un instant l’un de ses sein pour guider mon sexe dans le sien. Il est chaud, humide et grand ouvert. Lorsque les portes s’écartent, je reconnais mes deux cadres, supérieurs ne serait-ce que parce qu’ils résident au dixième étage où ils nous ont à l’évidence rappelés. Ils n’ont pas bougé depuis que nous les avons laissés quelques instants plus tôt, mais sont en train de se masturber avec ferveur devant le nouveau spectacle particulièrement indécent que nous leur offrons. J’ai la honteuse mais bien agréable impression d’être l’acteur d’un peep-show improvisé. Nous redescendons. Ma belle partenaire plaque ses mains de part et d’autre de la porte et se cabre de façon à m’offrir son superbe postérieur. Quelques caresses, et je la réinvestis alors que nous arrivons au quatrième où j’imagine que deux autres personnes sont restées sur leur faim. La plantureuse blonde et son compagnon sont toujours là et nous font miroir, le hasard ayant voulu qu’ils adoptent la même position que nous. Les deux imposantes mamelles blanches se balancent frénétiquement hors du chemisier noir. Malgré les coups de boutoirs qui les agitent, les deux femmes parviennent à se saluer à pleine bouche, couvrant de salive leurs mentons et le rouge de leurs lèvres dans la violence de ce baiser furieux.
La cabine nous emporte à nouveau et s’ouvre pour la troisième fois sur nos admirateurs du dixième. Ma compagne de voyage, maintenant agenouillée, m’a vivement reprise en bouche afin d’obtenir son dû en liquide. Les deux hommes s’avancent dans l’encadrement et l’un d’eux arrache la jeune femme à son ouvrage en la tirant par sa queue de cheval. Les deux pénis gonflés, nerveusement secoués par leurs propriétaires, expulsent presque simultanément leur abondante semence sur son impeccable tailleur et son chemisier qui n’a désormais plus rien d’immaculé. A peine troublée, la goulue reprend notre tête à tête alors que l’ascenseur se referme sur notre duo en sonnant, contrarié d’avoir été maintenu ouvert un peu trop longtemps. Le voyage continue, et le spectacle qui nous apparaît au quatrième étage l’inspire : tout contre la porte qui finit de s’ouvrir, la blonde platine a glissé ses mains sous ses seins, les offrant comme sur un plateau à son partenaire. Ce dernier se masturbe en annonçant qu’il est prêt à en finir. Ma belle m’attire sur le seuil, se place entre lui et moi face à sa collègue, et se saisit de nos deux membres. Haletante, elle fixe ses deux belles mains en train de nous branler, entrechoquant parfois nos deux glands. L’homme explose le premier ; je le suis après quelques secondes. La généreuse agenouillée masse ses seins, inondés de sperme blanc et poisseux. D’insolentes trainées se détachent sur son élégant chemisier noir. L’ascenseur, qui n’ose refermer ses portes sur moi, laisse retentir sa sonnerie.
J’appuie sur le 7. Ma bienfaitrice de ce début de matinée réajuste sa tenue, apparemment peu embarrassée par les pourtant très visibles tâches blanchâtres qui sont en train de sécher. Alors que la cabine s’ouvre une dernière fois pour me laisser définitivement sortir, elle me tend sa jolie main pour me saluer. "Vous allez voir, tout va bien se passer. Et je suis sûre que vous vous plairez ici"...
Il est 9h30, et je suis en retard.
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