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Chroniques d'un employé modèle

Chapitre 5

Orgie / Partouze
« Je ne vois vraiment pas où est le problème »... Anne doit hausser la voix pour se faire entendre dans le brouhaha du RER. « Franchement, tu reconnais toi-même que tu as joui intensément et que tu as copieusement arrosé le carrelage. Je veux bien croire que c’est un peu humiliant, mais bon... Et puis tout le monde sait ça : quand madame Leray est tendue, et il y a de quoi après le Comité Exécutif d’hier, elle a besoin de se défouler. Alors avec une dominatrice de son calibre, mieux vaut ne pas traîner trop tard dans les couloirs de la boîte. Ou dans les toilettes ». Elle sourit sur ces derniers mots. Je ne dis rien. Elle n’a pas tort, je crois que c’est mon amour propre qui a le plus souffert. Encore que... Mon intimité anale reste quelque peu meurtrie. Ma collègue rompt le silence. « Tu n’es pas venu en voiture, aujourd’hui » ? « Non... Je devais la faire réviser »... Je ne m’étends pas plus, et notre conversation se retrouve à nouveau au point mort. Le wagon est plein à craquer en cette fin d’après-midi. Nous venons de passer la Défense, à l’heure où cadres et employés de bureau quittent leur tour pour l’étouffante promiscuité des transports en commun. Anne et moi sommes quasiment plaqués l’un contre l’autre par la foule qui nous entoure. Je lève les yeux comme si c’était la seule échappatoire pour fuir son regard. Cela semble l’amuser...
Elle glousse. Se trémousse légèrement. « Qu’y a-t-il » ? En guise de réponse, je n’obtiens qu’un petit mouvement de sa tête m’invitant à regarder un peu plus bas. Deux mains sont plaquées sur sa poitrine et semblent s’agripper à la veste de son tailleur vert sombre. Leur entretien impeccable, des manchettes blanches fermées par de distingués boutons carrés argentés sortant d’un costume noir trahissent l’élégance du propriétaire de ses effrontées baladeuses. Les doigts malaxent lentement. Ma rousse collègue paraît s’amuser de la situation, sans gêne aucune. Je lève les yeux pour démasquer l’homme et compléter son portrait. Il se tient derrière elle calme, impassible. Brun, la raie sur le côté. Porte des lunettes et une cravate violette. Je le fixe, il ne me voit pas, apparemment perdu dans ses pensées comme la plupart des gens autour de nous. J’imagine les siennes lubriques... Anne fait un mouvement brusque qui ramène mon attention sur elle. Les deux mains viennent brutalement d’ouvrir les pans de sa veste et de son chemisier dont quelques boutons ont probablement été arrachés. Le col blanc ouvert sur les revers de son tailleur offre maintenant un décolleté indécent dégageant son imposante poitrine. Je ne peux m’empêcher de lâcher une remarque teintée d’un soupçon de reproche : « tu aurais pu mettre un soutien-gorge »... Elle soupire, agacée.
Anne ne semble pas particulièrement mal à l’aise bien que, telles deux araignées vicieuses, les mains s’affairent. Les tétons dressés roulent entre les indexes et les majeurs, les seins plantureux se déforment sous les paumes masseuses. « Et quand je dis que la chef a besoin de se défouler, ça n’a rien à voir avec ton travail. D’ailleurs elle a encore dit tout à l’heure que tes dossiers étaient »… Je l’interromps, un peu abasourdi : « excuse-moi, mais j’ai du mal à parler boulot avec quelqu’un qui est en train de se faire peloter devant tout le monde ». Elle me dévisage un instant et reprend d’un air taquin : « mais c’est qu’il bande, le coquin ! Et pour ta gouverne, je sens aussi des mains courir sur mes cuisses… ». Puis, haussant la voix par provocation : « je vous en prie messieurs, retroussez donc ma jupe ; j’aimerais tant vous laisser profiter de mes bas et de ma peau »… Je rougis. Mon regard balaye la plateforme saturée de monde. Personne ne réagit. J’essaie de reprendre mes esprits, mais des doigts curieux se mettent à tâter ma braguette pour confirmer mon érection. « Anne, tu exagères » ! A peine ai-je lâché ces quelques mots que je réalise que les mains de ma perverse collègue n’ont rien à voir avec cette impertinente caresse. Elles sont déjà bien occupées à masturber deux énormes sexes masculins dont elles font glisser le gland décalotté contre le haut des bas maintenant dévoilés. La jupe remontée autour de la taille est reléguée au rang de ceinture, ce qui me permet de constater que, comme souvent, cette incorrigible cochonne ne porte pas de culotte.
Le parfum de patchouli qui se dégage de ma voisine de gauche m’enivre. J’adore cette odeur. Mon visage s’est rapproché de sa nuque lorsqu’elle a avancé son épaule droite devant mon bras gauche, à l’occasion d’un cahot du train. Le même mouvement lui a permis d’accéder à mon entrejambe. La délicatesse de ses caresses ne laissant aucun doute sur la qualité de la dame, je baisse ma braguette et laisse sortir mon pénis. Elle l’empoigne immédiatement avec la ferme intention d’entretenir sa raideur. Ma main se laisse descendre le long des hanches de l’impudente et part à la découverte de sa croupe. Sous le tissu tendu de la jupe, je sens des fesses fermes et des formes que j’imagine parfaites. Je ferme les yeux et hume les boucles de la chevelure noire qui tombe sur son tailleur beige. Ma virilité continue de s’épanouir entre ses doigts. Un gloussement d’Anne me tire de la douce torpeur dans laquelle je commençais à me délecter. Son travail manuel a porté ses fruits : le sperme gicle sur ses deux cuisses, et coule le long de ses bas en longues trainées blanches. Mon sexe bondit entre les doigts de ma bienfaitrice. Ma respiration s’accélère et mon excitation ne cesse de croître. Ma main exploratrice agrippe le tissu, fait remonter la jupe petit à petit, repli après repli, jusqu’à ce que je sente enfin la douceur de la peau de ces désirables fesses. L’inconnue marque un temps d’arrêt. Puis reprend la masturbation. Anne gémit doucement en apercevant ma glorieuse érection. Elle s’en pourlèche les babines, la garce…
Des bras que je devine nombreux écartent et soulèvent les cuisses de la perverse rouquine, exposant à la hauteur de mon entrejambe son impudique chatte détrempée. J’aurais bien aimé vérifier aussi, au moins au touché, la moiteur de mon agréable voisine, mais celle-ci décide de se soustraire à mon investigation. Elle se glisse derrière moi. Je la sens se plaquer contre mon dos, le menton posé sur mon épaule. Son bras glisse sous le mien et sa main atteint mon sexe dressé pour une dernière caresse. Elle se presse encore contre moi, répondant à l’élan de cette foule compacte dont l’objectif semble être de gagner encore un peu de place en m’emboitant avec ma collègue. « Et, zou, bien au fond ! », s’amuse cette dernière alors que je m’enfonce brutalement dans son intimité. Son vagin est à tel point dilaté que ma verge le pénètre sans le moindre effort dans une tiède sensation de moiteur. Il s’agit plutôt d’une franche humidité, en fait. Que dis-je, une inondation ! Comment peut-on couler autant ? Ses cris traduisent eux aussi l’intensité de sa jouissance : ils marquent le rythme de mes saillies, lui-même imprimé par la foule qu’entrainent les mouvements du train. Ma douce inconnue dépose de doux baisers dans mon cou et laisse glisser son souffle sur ma peau. Je m’abandonne à mon plaisir. Anne s’abandonne de plus en plus bruyamment au sien. Le reste du wagon va se poser des questions…
Je serre les dents. Mon sexe se durcit encore. Anne le sent, je vais jouir. Elle se dégage d’un coup de rein, repousse en se débattant les gens qui l’enserrent et la soutiennent, puis tombe à genou devant moi. Sa main s’empare de mon pénis poisseux. Je baisse les yeux pour découvrir trois, non, quatre autres engins au comble de leur raideur, branlés à l’unisson par leurs propriétaires respectifs. La jeune RH aux gros seins est une experte et son jeu de poignet, parmi les multiples talents sexuels que l’entreprise lui reconnaît, est incontestablement exceptionnel. J’explose. La gourmande recueille une partie de ma semence dans sa bouche grande ouverte, mais l’essentiel des jets saccadés blanchâtres vient s’abattre sur son visage. Je ressens quelques éclaboussures sur mon bas-ventre, inévitables dommages collatéraux dus à l’arrosage des autres lances à sperme qui ont pris mon indécente collègue pour cible. Les yeux fermés, les paupières engluées, Anne sourit, laissant couler entre ses lèvres et sur son menton luisant le fruit de sa récolte. Sa poitrine n’a pas été épargnée. Son tailleur non plus. Je balaye le wagon du regard ; les visages restent impassibles. La foule compressée continue de se balancer mollement avec le RER.
Je dois me frayer un passage jusqu’à la porte pour descendre du train. Mon inconnue brune aux cheveux bouclés et à la tenue beige me suit. Je découvre enfin son visage : de jolis yeux noisette et un magnifique sourire qui rendrait sa joie de vivre au plus triste des hommes. « Vous devriez le rentrer, vous savez »… Elle a raison : mon sexe pend toujours hors de ma braguette. Je le fais disparaître prestement dans mon pantalon et remonte la fermeture éclair. Je rougis. Nous rions tous les deux, et je me demande si Anne s’en tiendra là. Après tout, il lui reste vingt bonnes minutes de trajet dans ce wagon…
Je me suis ainsi fait une nouvelle amie. Elle s’appelle Patricia. Nous habitons le même quartier et nous travaillons dans des immeubles voisins. C’est entendu, dès que ma voiture sera révisée, je passerai « la prendre » le matin. Le double sens la fait rire…
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