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Chroniques immortelles – Avis de tempête

Chapitre 2

Hétéro
— Thor ? Rien que çà ! Vous êtes « le » Thor de la mythologie nordique ? Vous vous foutez de moi ?— Non, ce n’est pas une blague Christine, reprend Kostia. James Thorvil est « le » Thor comme tu le dis si bien, fils d’Odin , et donc mon cousin, de la lignée d’Asgard.
Je regarde autour de moi. Kostia sourit. Antinea se mord les lèvres pour ne pas rire, et… Thor me regarde narquoisement. C’est pas une blague…
— Oh merde… Désolée. Quelle conne je fais !
Ils éclatent de rire. Je suis rouge de confusion comme une pivoine. Je cherche un trou de souris pour disparaître dedans, mais « James » m’offre très aimablement son bras.
— Eh bien je vois que votre réputation n’est pas usurpée, me dit-il. Si nous allions faire connaissance ?
Il m’entraîne vers une des terrasses de l’hôtel, pendant que Antinea nous regarde partir avec un sourire amusé. Mon embarras commence à se dissiper. Il est charmant, très beau gosse. Si le matériel dissimulé dans son pantalon est à l’image du personnage, çà devient très intéressant ! Et puis il me déshabille du regard avec un air gourmand. Il faut dire que j’ai fait toilette pour cette soirée. Déjà j’ai passé trois heures dans un salon de coiffure Franck P… qui m’a fait un chignon tout ce qu’il y a de plus classe. La manucure a passé un long moment à poser de faux ongles pailletés et tout et tout, et la maquilleuse s’est occupée un long moment de mon visage. Je suis perchée sur des escarpins a une hauteur vertigineuse, et je porte une robe de soirée trapèze crème en mousseline à dos nu. Bref la poupée de luxe avec les options. Mais j’ai quand même mis un string pour ne pas faire trop jaser… Ça me change de ma robe de chambre et des charentaises quand j’étais le vieux professeur Gautier !
— Le fils d’Odin… J’ai l’impression d’être dans la quatrième dimension. J’ai découvert les Olympiens presque sans émotion. J’ai eu le temps à m’y faire tellement çà me paraissait improbable. J’ai eu du mal avec les Sémites de la maison de Mardouk. Mais vous, les Asgardiens, la maison d’Odin ? Je n’arrive pas à m’y faire. Vous êtes tellement légendaires. C’est brutal !— Tu t’y fera, répond « James ». Je te présenterai à mon père un de ces jours.— Il n’est pas là ?— Non. Nos pères, les fils d’Ouranos, ne se rencontrent pratiquement jamais. Mardouk ne sera pas là, ni Vishnou, ni Amaterasu. Par contre plusieurs de leurs enfants seront là représentant les maisons Hindoues et  Nippones.— Oh putain… Et qui sera avec toi parmi les Asgardiens ? Je ne connais pas très bien le panthéon des dieux nordiques. Est-il aussi fourni que ce qu’on peut en trouver sur le Net ?— Oh non. Déjà, tu sais à quel point les hommes ont tendance à imaginer des faits et des personnages n’ayant jamais existé. Et puis au fil des siècles, certains ont disparu et d’autres sont arrivés. Je suis ici avec mon épouse et… un invité surprise qui te connaît.— Tu m’intrigues…
Nous avons spontanément abandonné le vouvoiement. C’est simplement naturel. Je craque littéralement pour ce mec. Il est beau à rendre gay un saint et j’éprouve des fourmillement familiers dans mon intimité. Et de son coté, il est clair que je lui fait de l’effet. Il n’arrête pas de mater mon cul et m’a pris par la taille comme si nous étions un vieux couple. Et j’ai des ondes de chaleur qui roulent de mes reins à ma nuque. Il dégage des phéromones et ne s’en cache même pas !
— Et toi, ton état civil plus précisément, me demande t-il en me déshabillant du regard.— Je suis née homme il y a soixante dix sept ans pour l’état civil, j’en ai quatre vingt douze si j’y ajoute le temps passé sur Éden.
— Et tu as choisi de vivre sous l’apparence d’une femme. Pourquoi ?— Un peu par hasard, par jeu. Par curiosité plutôt je dirai. Et puis je ne sais pas ce qui s’est passé, je m’y suis trouvée bien. Alors je l’ai gardée.— Tu as très bien fait. Tu es absolument magnifique et séduisante. Et désirable et sexy à souhait.
Je sursaute légèrement lorsqu’il me met la main aux fesses. Putain, il est direct ! Pas la peine de se demander pourquoi il m’a entraîné sur cette terrasse où on domine tout Paris. Et je perd la tète. Je me retourne brutalement et l’embrasse fougueusement. Et il me répond avec la même ardeur.
C’est qu’il a du tonus le dieu du tonnerre ! Je sens d’instinct que c’est un dominant. Il va faire de moi ce qu’il veut, je le sens. Il a brusquement passé ses mains entre mes épaules et le tissu, et rabat sèchement le haut de la robe sur ma taille, me laissant le torse à l’air. Il plonge sur mes seins, les gobe goulûment, les tète sauvagement. Putain, il me fait tourner la tête ! J’ai des frissons de la tète aux pieds. Et puis soudain, il appuie une main sur ma tète, me force à me mettre à genoux et éjecte de son pantalon un sexe en pleine érection de taille impressionnante.
— La vache ! Lance t-il soudain. On m’avait dit que tu étais une vraie chienne en chaleur et que tu démarrais au quart de tour, mais c’était encore en dessous de la vérité ! Allez, suce moi, salope !— Oui, je suis une salope ! dis-je en plein délire.
J’ai à peine le temps d’ouvrir la bouche que sa queue la pénètre en totalité, jusque loin au fond de la gorge. Heureusement que je suis devenue une experte en gorge profonde, parce que cet animal de sert de moi comme d’un jouet. Il me baise la bouche à une cadence de dingue. Il a pris ma tète à deux mains et la presse contre son bas-ventre à m’étouffer. Ses couilles battent sur mon menton, dégoulinent de ma salive...
— Allez vas-y ! Sors ta langue, lèche moi les couilles en même temps ! Active toi !
Je sursaute. Je viens de prendre une baffe ! Salaud ! Je me venge instinctivement, referme mes dents sur sa bitte, le mord cruellement lui faisant pousser un cri de douleur.
— Ça tu vas me le payer, sale pute !
Il me redresse brutalement, me retourne sans que je résiste, me plie en deux. Il a une force surhumaine, je ne m’y étais pas préparée. Mon string est déchiré, éclaté d’un seul geste. Il me pénètre brutalement, s’enfonce au plus profond de moi sans ménagement et commence une série d’aller-retour à forte cadence. Et une claque s’abat sur mes fesses.
Il se passe alors quelque chose de bizarre dans ma tète. Normalement, j’adore être prise brutalement  par un homme. Ça me génère des sensations intenses qui me conduisent à des orgasmes à répétition. Mais cette fois, mon envie de baiser disparaît rapidement. Il est trop brutal. Je n’aime pas. Je n’ai plus envie. Je veux qu’il se barre…
Mais lui ne pense pas du tout comme moi ! Il me tient solidement par la taille, me ramone sans ménagement la chatte. Je prend des claques sur les fesses au même rythme que ses halètements. Elles commencent à chauffer ! Et j’ai droit à un concert de mots crus : salope, traînée, chienne et autres parmi lesquels, pute revient le plus souvent.
— Hein que tu aimes çà espèce de chienne ? Attend ! Je vais te baiser encore plus fort !
Je pousse un cri de surprise et de douleur quand il me sodomise d’un seul coup. Sa bitte s’est profondément enfoncée dans mes intestins en détruisant tout sur son passage. Je n’arrive pas à y croire, une telle violence et un tel mépris envers un partenaire. Moi qui aime les séances de jambes en l’air comme des échanges, avec de la tendresse ou à la rigueur de la violence simulée, je suis servie ! Et puis merde ! J’en ai marre ! Je m’insensibilise et m’apprête à l’éjecter lorsque je le sens se raidir et se vider en moi avec un râle sonore. Il se retire, me libère. Sa respiration se ralentit. Il se rajuste en souriant pendant que je reprends mes esprits.
— Waouh, c’était super ! T’es vraiment bonne coté cul ! Faudra qu’on remette çà quand on aura un peu plus de temps. Je vais rejoindre les autres. A tout à l’heure !
Il m’a plantée là… Je passe une bonne demie heure dans la salle de bain de la chambre que je partage avec Antinea pour me rendre présentable. J’ai besoin de me vider et de me rafraîchir. Je suis écœurée, frustrée, humiliée. Il s’est foutu de moi. J’ai envie de me barrer, de retourner à Digne sur le champ. Et je suis méchamment en colère. Thor n’a eu aucune considération pour moi. Pour lui je n’étais qu’un coup à tirer et il avait juste envie de se vider les couilles. Ça il va me le payer. Je ne sais pas encore comment, mais il va casquer, et cher !
La porte s’ouvre doucement. Antinea me découvre avec ma tète des mauvais jours.
— Holà ma chérie, quelle mine renfrognée. Je te cherchais partout. Ça s’est mal passé avec Thor, c’est çà ?— Aide moi à me remaquiller s’il te plaît Antinea. Oui çà s’est mal passé. Ce mec est un vrai connard orgueilleux, méprisant et prétentieux. Comme baiseur, il est nul ! Et j’ai même pas joui, c’est dire. Jamais je n’aurai imaginé qu’il puisse y avoir de tels cons chez les immortels. Je ne vais rien dire par égard pour ton père et les autres immortels, mais il ne perd rien pour attendre et à la première occasion, je lui explose les couilles !
Épisode à suivre…
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