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Chroniques d'un infidèle

Chapitre 2

La tentation familiale

Hétéro
Etre infidèle n’est pas chose facile... Il faut toujours être à l’affût pour déterminer si telle ou telle femme est intéressée par nos charmes. Il faut savoir être subtil pour ne pas se faire "griller". Il faut l’être d’autant plus lorsque votre cible potentielle appartient à votre entourage proche.
Depuis quelques semaines, une des tantes de ma compagne envahissait mes fantasmes. Je me décidai donc à sonder le terrain en quête d’une relation extraconjugale avec elle.
Veuve depuis plusieurs années, je me disais que la meilleure manière de parvenir à mes fins était, dans un premier temps, de la rassurer sur son pouvoir d’attraction sur les hommes. Je ne l’ai jamais connue avec un homme et j’imagine donc qu’elle n’a pas eu de relation depuis.
C’est ainsi que, lors de sa venue dans ma ville, avec la mère de ma compagne, nous les accueillons pour dîner. Leur après-midi avait été fait de visites et de shopping. A l’apéro, ma compagne insiste pour voir les différentes emplettes réalisées par sa maman et sa tante. Marie, sa mère, montre ses nouvelles chaussures, tandis que Sylvie, sa tante, sort un haut. A mon grand étonnement, celle-ci n’allait pas dans la chambre d’ami pour se changer, et se retrouva en soutien-gorge devant nous. Agée de 53 ans, sa poitrine plutôt généreuse semblait encore ferme, quoiqu’un peu tombante... hmmm, me dis-je, voilà qui confirme les apparences. Elle a un corps très bien proportionné malgré des fesses un peu plates à mon goût. Elle a un style assez classique, presque bourgeois. Du fait, c’est le genre de femme mûre qu’on a envie de "salir"... je me dis tout de suite que si jamais j’arrive à mes fins, c’est sur son joli petit minois que je jouirai en premier...
J’hésite néanmoins à la complimenter pour son nouveau haut. Je ne souhaitais pas éveiller de soupçons, pensant déjà l’avoir un peu trop matée lors de l’essayage.
Le repas se déroule dans la bonne humeur. À côté de Sylvie, je tente quelques contacts physiques presque imperceptibles. Cela n’empêche pas mon audace qui me fait battre le cœur à tout rompre ; et que mon imagination voguant me donne une érection terrible. J’en ai du mal à suivre la conservation.
L’alcool, ayant coulé plus que de raison, Marie et Sylvie sont invitées à rester dormir à la maison, ce qu’elles acceptent sous condition que ma compagne leur prête de quoi se changer pour la nuit. Tout le monde se couche le sourire aux lèvres après cette belle soirée. Je m’endors en érection en pensant à toutes les cochonneries que je pourrais faire à Sylvie.
Ma compagne part au boulot très tôt, de sorte que je me retrouve avec sa mère et sa tante pour le petit-déjeuner. Marie est partie chercher les croissants, je me rattrape de la veille en complimentant Sylvie sur son nouveau haut qu’elle vient tout juste de passer. Je la sens rougir. J’ose lui dire qu’elle est une belle femme et la questionner sur ses potentielles relations depuis le décès de son mari :
— Ohh, tu sais, moi, je ne pense plus trop à ces choses-là...— Ah bon ?— Allons, ne dis pas de bêtises.— OK, c’est toi qui vois...
Le petit-déjeuner est plutôt silencieux. Je sens toutefois que Sylvie me regarde différemment... ai-je été trop vite ? Trop loin ? M’a-t-elle démasquée ? Si oui, qu’en pense-t-elle ? Autant de questions dont je n’aurai la réponse que plus tard.
La matinée se passe tranquillement. Je prends ma pause du midi. Je check Facebook, et je vois une nouvelle demande d’ami. C’est Sylvie. Je n’ai pas l’habitude d’accepter les demandes de la famille, mais, pour elle, je vais faire une exception. Quelques minutes plus tard, je reçois un message de sa part. Cœur battant, je le lis : [SMS]< J’ai compris où tu voulais en venir ce matin...

Oulà... cela ne s’annonce pas terrible... que faire ?? Se taire ? Aller droit au but ? Feindre l’ignorance ?
Après quelques minutes de réflexion, j’envoie : [SMS]> Si tu as vraiment compris quelque chose, ce dont je doute, envoie-moi une photo de toi si tu es d’accord.
Je me dis qu’elle n’aurait pas pris la peine d’être aussi évasive et m’aurait enjoint d’arrêter si cela ne lui avait pas plu. En pleine réunion, je ne peux m’empêcher de regarder mes messages... J’ai bien reçu un message de Sylvie... Je ne peux me retenir, la réunion va s’éterniser et je veux savoir. Je glisse discrètement mon portable dans la poche et m’excuse auprès de mes collègues pour aller aux toilettes. Je peux enfin découvrir le message... c’est gagné. J’ai reçu une photo de Sylvie nue sur un fauteuil, en train de se toucher... Waaaouhh ! Quelle petite cochonne celle-là ! Je suis obligé de me masturber aux toilettes, tellement cette photo me fout la gaule. Je zoome sur toutes les parties de son corps... Elle va prendre, la Sylvie...
La jouissance passée, j’envoie un message à Sylvie lui disant toute l’excitation provoquée par sa photo. Je n’en oublie pas moins d’assurer nos arrières. Je lui dis de supprimer ce message ; et que j’en fais autant, que désormais, nous communiquerons par une messagerie via un site de rencontre infidèle avec des pseudos.
Pendant plusieurs semaines, nous communiquons sur ce tchat, échangeons des photos, et discutons sur nos pratiques. J’y apprends qu’elle aime être dominée et attachée de manière soft. Nous mettons au point un plan pour nous retrouver sans éveiller les soupçons. Nous avons convenu qu’elle annoncerait en réunion de famille devoir faire des travaux dans sa maison et avoir besoin d’aide. Elle me proposerait de venir l’aider, sachant que j’ai déjà rénové des maisons et appartements.
Le we arrivé, je me rends au lieu du rendez-vous. Afin de faire monter encore plus la pression, nous avions décidé d’aller au restaurant avant de consommer. Quelques jours auparavant, je lui avais fait envoyer sans lui dire un colis, avec un message : "A porter le jour de notre rendez-vous."
Le repas se passa tranquillement. Elle était habillée plus sexy que d’habitude. Petite jupe courte, collant noir, chemisier un peu transparent laissant apparaître un soutien-gorge noir. Le repas se terminant, je ne savais toujours pas si elle portait le fameux objet.
Sur le chemin du retour, tandis qu’elle conduisait, je commençai à lui relever sa jupe, découvrant des bas plutôt que des collants, accrochés à un porte-jarretelles... le tout sans culotte... Elle ne cessait pas de m’étonner cette Sylvie. J’avais une de ces triques... j’en pouvais plus dans mon jean. Je le dézippai et commençai à me branler devant elle. Arrivés chez elle, sans plus attendre, je la mis à genoux, et l’obligeai à gober mon membre entièrement ; ce qui la fit tousser. Elle s’activa ensuite toute seule sur ma queue. Elle s’y prenait bien la salope... Elle était déchaînée. Je me retournai, lui présenta mon cul. Je n’eus même pas besoin de lui demander de le lécher. Plus je la traitai de salope, plus elle redoublait d’efforts.
Je la remis sur pieds, et lui déchirai littéralement le chemisier pour enfin peloter sa poitrine magnifique... On s’embrassa goulûment.
Je la fis mettre à quatre pattes pour vérifier enfin si elle portait mon petit présent : un petit bijou anal.
Elle le portait fièrement, le cul en l’air. Elle me regarda avec un air si lubrique... je commençai à jouer avec... Elle était totalement décontractée. Ne tenant plus, je l’enculai directement... Elle jouit immédiatement au moment de la pénétration.
Elle était si excitante... qu’elle est coquine derrière son côté classique ! J’arrivai moi-même à la jouissance. Je me retirai de son petit cul, la retournai ; et comme je m’étais promis, je lui éjaculai sur le visage. Avec ma queue, je ramenai le sperme vers sa bouche pour qu’elle en avale le maximum.
Ce WE-là restera dans ma mémoire à jamais. Nous avons copulé en permanence. Elle m’étonna encore : elle était devenue insatiable.
Je vous livrerai la suite, un jour peut-être.
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