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Chroniques Japonaises

Chapitre 1

Hétéro
Ceux qui me connaissent diront de moi que je suis quelqu?un de normal. Pas excessivement beau mais pas franchement moche, pas supérieurement intelligent mais pas vraiment idiot, ni extravagant ni introverti. En bref lorsque j?avais vingt ans j?étais le prototype même de l?étudiant qui bosse parce qu?il le faut sans vraiment s?investir pleinement dans ses études et qui aime boire et sortir avec ses amis sans pour autant le faire tous les soirs. Sexuellement parlant c?était sensiblement la même chose. J?avais eu ma première relation sexuelle avec une fille vierge comme moi, à l?age de 17 ans. Nous sommes resté un bon moment ensemble. Je l?aimais mais ce n?était pas le grand Amour. Je n?éprouvais pas de satisfactions spéciales lorsque je faisais l?amour mais j?aimais bien cela, ne serait-ce que parce que l?on partage quelque chose, on ne se sent pas seul dans ces moments là.    Cette vie aurait pu continuer des longues années sans que quelque chose ne vienne bouleverser un peu mon quotidien. Ce quelque chose est en fait un quelque part : le Japon. Après avoir fini mes études d?ingénieurs j?ai été employé par une société qui ma rapidement proposé de partir en stage au Japon auprès de la filiale locale. J?avais 22 ans à l?époque. Je ne parlais pas couramment le japonais mais je l?avais un peu appris et je reconnais qu?à cette époque, partir au Japon était une des seules choses qui me motivait assez pour sortir du confort de mon quotidien. J?acceptais et m?envolait pour l?Asie avec un sentiment de sérénité peu usuel pour quelqu?un qui n?avait que très rarement mis les pieds hors de France. Le voyage et les formalités administratives terminés, je me retrouve dans le train qui mène de l?aéroport de Tokyo au centre ville. Ce fut pour moi un premier choc. Imaginez-vous prendre un train qui vous entraîne pendant environ une heure dans les méandres de cette mégalopole. Pas de verdure, peu d?espaces non construits, juste la ville qui se déroule sous vos yeux, enchevêtrement anarchique de poteaux électriques, voies de chemin de fer, complexes industriels et habitations dans lequel le train se fraie un étroit passage qui revêt de l?exploit. Et au milieu de cela les gens, par centaines, par milliers qui marchent se croisent et s?entrecroisent sans s?apercevoir. Cette vision apocalyptique en aurait rebuté plus d?un mais je ne sais pourquoi cette densité qui rendait l?air de l?habitacle pesant malgré la climatisation avait sur moi un effet saisissant.    L?arrivée à Tokyo n?a fait que renforcer cette impression. Je marchais dans la moiteur de l?été et m?imprégnait de ce mélange de bruits et d?odeurs tellement inhabituel et sentait une lente mais profonde excitation monter au fond de moi. Comme si paradoxalement cette pesanteur me libérait d?un couvercle qui avait jusque là retenu toutes mes sensations. Jamais je n?avais autant eu envie de faire l?amour. Baiser est en fait le mot le plus approprié. La moindre vu d?une jupe ou d?un bras nu provoquait en moi des décharges d?adrénaline. Bien que l?hôtel était proche de la gare, ce court trajet me paru être un véritable calvaire. Mon sexe me faisait mal tant il était tendu et le contact de mon gland hyper sensibilisé sur mon caleçon à chacun de mes pas m?était de plus en plus insupportable. A peine arrivé à l?hôtel je pris une douche et commençait à me masturber pour évacuer ce trop plein de pulsions sexuelles. L?effet relaxant de la douche aidant, je ne tardais à expulser de longs jets de sperme épais avec un plaisir intense. Jamais je n?avais joui comme cela, même lorsque j?avais fait l?amour. Je me suis senti obligé de m?asseoir avant que mes jambes n?arrêtent de supporter le poids de mon corps. Je sortis de la douche, épuisé, et m?endormis presque aussitôt.    Les jours qui suivirent furent éprouvants. La fatigue du décalage horaire, la chaleur moite de l?été, le début de ce stage mais surtout toujours cette même sensation de manque sexuel. Mon sexe était en érection a peu près en permanence, et il m?arrivait même d?aller me soulager aux toilettes par une petite branlette. J?avais aussi commencé à faire attention à la gente féminine locale. Ce qui me frappa le plus, c?est la coquetterie des Japonaises. Bien que les canons de beauté européens ne soient pas forcément appropriés aux corps de japonaises (poitrines, menues, fesses relativement plates...) leur façon de s?habiller et de se maquiller laisse à penser qu?elles prêtent grande attention à leur apparence et cela ne me laissait pas indifférent.     La première Japonaise avec qui je suis entré en contact s?appelait Kaoru. Elle travaillait dans la même société que moi et parlait remarquablement bien le français, ayant passé 5 ans en France pour ses études. Je n?avais aucune idée de son âge mais je savais qu?en générale les asiatiques paraissent plus jeunes que leur âge. Je lui donnais entre 25 et 30 ans. Une superbe peau lisse et claire, un corps menu, de grands yeux noirs en amande, ses cheveux lui arrivent aux épaules et sont légèrement décolorés, une poitrine formant deux petites collines sur son ventre plat. Il était vraiment difficile pour moi de lui parler car en la voyant, les pires pensées me parcouraient l?esprit. Le fait de me retrouver dans un pays étranger me permis toutefois de me libérer de certaines appréhensions et je me décidais d?aller la voir le lendemain pour lui proposer de dîner ensemble un soir, chose que je n?aurais jamais osé faire en France. Je n?ai pourtant pas eu à le faire car c?est elle qui me proposait de sortir avec des amis à elle. Ils avaient tous étudiés le français et était curieux de me voir. Le dîner se passe très agréablement, je goûte pour la première fois à de nombreux plats dont je ne soupçonnais même pas l?existence. Le dîner s?achève enfin. L?alcool aidant je me décide à jouer ma chance jusqu?au bout. Je ne savais que faire. Soit l?inviter à venir dans mon hôtel, mais cela me semblait un peu trop direct, lui proposer d?aller prendre un verre dans un bar ne ferait que repousser l?échéance. Là encore la question fût rapidement éludée puisque après que ses amis sont partis elle me prend par le bras et m?emmène dans un petit bar typiquement japonais où tout le monde est assis à même le sol sur des tatamis. C?est la première fois que je la touchais, son bras nu touchait le mien et je sentis la douce chaleur qu?elle dégageait. Elle portait un chemisier à manches très courtes et une jupe légère avec des motifs floraux. Elle me semblait splendide.    Arrivé dans le bar je prends finalement mon courage à deux mains pour prendre les devants.    - Merci de me permettre de rester un peu plus longtemps avec toi, lui dis-je    - C?est moi qui te remercie d?avoir accepté de venir, répondit-elle un demi-sourire aux lèvres.     - Cela fait une semaine que l?on se connaît mais c?est la première fois que je remarque que tu es aussi belle. Je ne devrais peut-être pas te le dire mais j?ai très envie de toi.     Elle prit son verre de sake, en bu une gorgée et le repose sur la table sans rien dire. Elle reste immobile pendant une dizaine de secondes qui me paraissent une éternité. En ai-je trop dit ? Que pense-t-elle ? Elle finit par demander l?addition, nous sortons du bar et presque instantanément nos regard se croise, nos visages se rapprochent et nos lèvres s?effleurent, s?entrouvrent, pour finalement laisser nos langues se mélanger et nos bouches n?en former qu?une. Après un court trajet en Taxi nous nous retrouvons dans mon hôtel. La pièce est fraîche grâce à l?air conditionné. Nous poursuivons notre baiser. Je passe ma main sur son corps. Son dos, ses hanches, son cou, puis je m?attarde sur sa poitrine. Elle m?embrasse dans le cou à son tour puis commence a retirer ma chemise, puis mon pantalon. Mon sexe en érection sort de lui-même de mon caleçon et elle commence à le caresser lentement, puis ces caresses se transforment petit à petit en masturbation lente. Je suis nu devant elle qui est toujours habillée. Elle me guide vers le lit où je m?allonge, se met à genoux sur mes cuisses en remontant sa jupe. Je découvre la peau soyeuse de ses cuisses, les caresse pendant qu?elle déboutonne lentement son chemisier. J?entr?aperçois alors son soutien-gorge en dentelle bleue claire qu?elle retire presque aussitôt pour libérer sa poitrine. Elle est menue, très ronde et ferme avec des petites auréoles presque roses qui contrastent avec la couleur ambrée de sa peau. Ses tétons paraissent très longs proportionnellement à la taille de sa poitrine. Ils sont durs et pointent vers le haut, je me redresse pour m?asseoir et je les prends en bouche. L?odeur de sa peau m?enivre, elle est aigre-douce de par le mélange de transpiration et de l?odeur de son parfum. J?effleure ses tétons avec mes joues, mon nez, mes lèvres, mes yeux pendant que mes mains descendent le long de son dos pour finalement retirer sa jupe qu?elle porte toujours. Elle a un slip en dentelle assorti à son soutien-gorge. Je glisse ma main entre la dentelle et la peau de ses fesses et commence à les caresser. Elle passe sa main dans mes cheveux pendant que j?effleure toujours ses tétons en les suçotant de temps en temps. Sa respiration et profonde, ses yeux fermés. Elle se redresse finalement et se met debout devant moi, et fait glisser sa petite culotte qui découvre à dix centimètres de mes yeux les premiers poils de son intimité. Ils sont longs et soyeux, peu fournis. Je peux deviner ses lèvres gonflées pas le plaisir. Elle prend alors ma tête et m?invite à l?embrasser, à la goûter. Ma langue se pose sur son clitoris qui me parait brûlant, je la fouille, aspire son jus. Je la sens vibrer sous mes doigts et elle se cambre de plus en plus en arrière pour pouvoir s?offrir le plus possible à mes caresses buccales. Je la sens près de l?orgasme mais elle semble se retenir pour profiter le plus possible de ce moment puis, après de longues minutes de lutte contre elle-même, se laisse aller dans un long gémissement de plaisir. Elle m?encercle alors dans ses bras et je la sens trembler pendant qu?elle reprend ses esprits.    A ce moment je suis dans un état d?excitation maximale. Elle m?allonge alors et commence à m?embrasser le torse puis descend pour rejoindre mon sexe. Elle le prend en main, le caresse tout en le regardant. Je sens son souffle chaud caresser mon gland puis elle commence à le lécher de petits coups de langue pour finalement l?engloutir complètement. Je suis dans un état d?extase complet. Compte tenu de l?excitation qui était la mienne je redoutais ce moment pensant que je ne pourrais retenir longtemps mon sperme mais j?étais dans un tel état de relaxation et de bien être que le problème ne se posait même pas. Sa langue caressait mon sexe et sa bouche l?aspirait en même temps. Jamais je n?avais été sucé comme cela. Puis tout en continuant de me branler légèrement, elle commença à embrasser mes bourses, tout en me regardant droit dans les yeux. Elle les léchait en parant presque de mon anus pour rejoindre la base de ma hampe. Je découvrais tant de nouvelles sensations que j?avais l?impression de faire l?amour pour la première fois. Sa sensualité était mille fois supérieure à tout ce que j?avais connu jusqu?à présent. Elle resta ainsi à s?occuper de ma verge pendant de longues minutes.    Tout autour de moi semblait s?être arrêté. Soudain, elle prit un préservatif pour le dérouler sur mon sexe avec sa bouche, puis rampa lentement sur moi jusqu?à ce que son visage se rapproche du mien. Nos lèvres s?unirent dans un long baiser pendant que je sentais son intimité chaude et humide se frotter sur mon sexe. Telle une bouche qui parcourt un sexe, sa vulve allait et venait le long de mon membre sans pour autant le prendre en elle. Elle continua cette masturbation inhabituelle pour moi, par moment pesait de tout son poids sur mon sexe comme pour stimuler son clitoris. Ne prenant aucune initiative, je me laissai faire lorsqu?elle finit par s?empaler sur moi. Maintenant que j?étais en elle, ses mouvements de va et vient se firent plus amples. Elle s?était redressée, me dévoilant sa poitrine menue. Je caressais son ventre, ses seins, l?attirait à moi de temps en temps pour l?embrasser. Elle s?allongea et je viens m?installer sur elle. Mes mouvements se firent plus puissant. Elle était secoué de spasmes et gémissait de plus en plus. Ses cris étaient aigus, elle me disait des mots en japonais que je ne comprenais pas ce qui m?excitait encore plus. Me sentant venir elle se saisit de mon sexe, retira le préservatif et me masturba jusqu?à ce que j?éjacule sur son ventre et sur sa poitrine. Je sentais les longs jets de sperme traverser mon sexe avant d?être éjectés de mon gland. Je m?effondrai sur elle et nos corps se collèrent, le sperme et la sueur se mélangeant sur nos ventres. Nous sommes resté nus l?un contre l?autre toute la nuit. Cette première expérience asiatique fut extraordinaire. J?aurai voulu rester contre elle jusqu?à la fin de mes jours. Je crois que je tombais amoureux...
E-mail: benoit1979@free.fr
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