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Chroniques d'un jeune de 25 ans addict au sexe - 1

Chapitre 1

Gay
Je ne sais pas trop par quoi commencer.J’allais commencer en vous disant que je suis quelqu’un de normal, de basique.
Mais ça, c’est complètement faux. Je m’appelle Martin* (bien vu, ce n’est pas mon vrai nom), j’ai 25 ans, et j’ai décidé de vous raconter quelques anecdotes concernant ma vie sexuelle. Mais, avant toute chose :
— Cette démarche est purement personnelle. J’aime beaucoup le côté voyeuriste du web et je me suis décidé à conter certaines de mes histoires, disons excitantes.— Rien n’est transformé, tout est réel, et vécu.— Pour des raisons de modération, mon âge sera toujours fixé au-delà de 18 ans.
Même si certaines de mes expériences eurent lieu avant, je tiens à éviter tout problème lié à cela.
— Je suis pansexuel. J’aime autant baiser avec une femme, un trans, ou bien un homme.
J’apporte autant de respect ainsi que d’égard à chacun des 3 sexes.
— Je me fais tester régulièrement au laboratoire pas loin de chez moi, afin de vivre une sexualité épanouie.
Pour ceux voulant poser un visage sur ces mots, je vais vous aider un peu en vous disant que j’approche le mètre 75, brun, les yeux marron-vert et musclé. Je ne suis pas le plus bel homme de la terre, mais je ne pense pas être le plus repoussant. Un bon vieux 5/10 des familles qui me va parfaitement. Sexuellement parlant, je suis ouvert à beaucoup de choses. Plan à plusieurs, exhib, sm soft (le sm hard ne m’attire pas), uro, rapports oraux, sodomie, etc. Je suis vraiment curieux, et très friand de nouvelles expériences, ainsi que de partenaires.
Bon, après ce long (je l’admets), préambule, il est temps de vous raconter une de mes histoires.
Cette histoire a lieu en 2014, je suis alors âgé de 18 ans tout pile (promis c’est vrai), et je commence à peine à explorer ma bisexualité. J’ai quelques plans suces avec des mecs plus âgés que moi, mais rarement plus, puis rarement des trucs à te faire grimper aux rideaux. Des trucs rapides, histoire de se vider, et c’est tout. J’ai alors vent d’un site de rencontres à forte concentration de gay matures, ou d’hommes mûrs cherchant des jeunes. Et c’est en parlant avec quelques hommes sur ce site que je vais comprendre que les hommes mûrs m’excitent.
Quand je parle d’hommes mûrs, je parle d’hommes au-delà de la 60aine, ceux qui te dévorent des yeux avec un regard lubrique, pervers, la bouche avide de semence et les couilles pleines. Un vieil homme, encore capable de bander, et ravi de souiller le corps d’un jeune homme de 18 ans. C’était ça qui m’excitait, cette envie, cette lubie, ce côté nasty et pervers dans l’acte. Mais je ne trouve rien d’intéressant sur ce site, jusqu’à tomber sur Monsieur J.
Monsieur J a 65 ans, passif à 100%, et a très envie que je crache mon jus sur son visage. Malheureusement, j’habite loin, une centaine de kilomètres, et il est, à cette époque, impossible de faire autant de trajets pour simplement un plan cul. J décide alors, dans sa grande bonté, de me parler de Monsieur C, un ami à lui qui aime les jeunes, mais qui présente l’avantage d’habiter à quelques rames de métro de chez moi.
C a 66 ans, passif lui aussi, et très très salope. En clair, il aime les queues de jeune mâle, aime le sperme, se faire insulter et baiser comme il se doit. J me file le numéro de C (vous suivez ??) et je commence à converser avec lui. Au lieu d’un simple "cc on se voit ?" (trop fréquent dans le milieu homo...), il me fait la conversation, ce qui est fort appréciable. On en vient rapidement à parler de sexe, ce que j’aime, de ce qu’il aime.
Il veut me voir rapidement. Moi aussi. Je décide donc, un vendredi, après les cours, d’aller chez lui.Il habite au 8e, en plein centre, dans un joli bâtiment. J’ai la boule au ventre, la pression, je me demande si c’est une bonne idée. J’arrive, je toque, il ouvre. C a 66 ans, 1m80 je dirai, 110 kilos, une bonne brioche, un sourire rassurant, et un regard lubrique. Tout ce que j’aime. On s’embrasse directement. Cette tension sexuelle fut incroyable, je m’en rappelle encore, c’est vous dire. Il me sert à boire, et remarque mon entre-jambes gonflé par l’excitation.
— Tu dois être à l’étroit dans ton slim !
Il m’amène dans sa chambre. M’allonge, il fait de même. Commence alors la rondade de nos langues. J’adore embrasser, lui aussi, alors on ne fait que ça pendant une dizaine de minutes, sa langue contre la mienne. Puis ses mains s’attardent sur mon corps, les miennes aussi, j’adore sa bedaine, ses poils, son côté gros ours pervers. Il m’ôte mon caleçon, puis avale directement mon sexe jusqu’à la garde. Je, surpris, lâche un gros gémissement. Ce fut l’une des meilleures pipes de ma vie, avalant sans sourciller mon sexe de 17 centimètres. Je tente de lui rendre l’appareil, mais il n’aime pas être sucé. J’apprendrai plus tard qu’il ne peut plus bander.
Il cesse alors sa gâterie, et se met à 4 pattes, me demandant de le baiser. Je m’exécute, j’enfile le petit costume de latex (une capote quoi), et je le pénètre sans lubrification autre que ma salive. Il est bien ouvert, il a l’habitude, ça m’excite. Je commence à l’insulter, à le fesser. Je baise son cul de salope sans ménagement, et il gémit comme une petite pute. Il raffole de ma queue qui sort et entre sans problème de son cul de salope. Je le baise comme ça pendant une dizaine de minutes, avant de switcher en missionnaire. Le fait de le voir gémir sur chacun de mes coups de queue m’excite terriblement.
Je me demande encore comment est-ce que j’ai fait pour tenir autant de temps. Qu’importe. Au bout de 10 minutes en missionnaire, je le préviens que je vais jouir, il me supplie de tout envoyer sur son visage. Je me retire tant bien que mal, ôte la capote, et déverse ma semence sur sa gueule de salope, ravi de recevoir du sperme bien chaud. Il finit par me nettoyer la queue et m’indiquer la direction des toilettes.
Je baiserai avec C pendant deux ans, avant qu’il connaisse des problèmes de santé. Aujourd’hui, nous sommes toujours en contact, et il nous arrive de nous voir, pour simplement se balader ou parler du bon vieux temps. Car avec le temps, nous avons développé une relation amicale, où le sexe n’a aucune incidence.
Ce fut ma première anecdote, j’espère qu’elle vous a plu. Si jamais c’est le cas, n’hésitez pas à me contacter pour en parler, recevoir des avis (même négatifs) est extrêmement constructif.A très vite ! ;)
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