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Chroniques de Manu

Chapitre 4

Divers
Descriptions :
Manu: Garçon grassouillet, 1,85m pour 105 kilos. Peu de poils, des rondeurs partout, un sexe ni grand ni gros (lui, le trouve normal)
Laure: Maman de Manu, Femme de caractère, bien en chair, ventrue et fessue, mais petite, poitrine, veuve depuis que Manu à 15 ans. Elle pratique la médecine domestique, depuis qu’il est tout petit, lavements et suppositoires et la discipline domestique, châtiments corporels depuis qu’il est un peu plus grand.

Après cet évènement très heureux dans sa vie, celle-ci a repris un cours normal, l’opportunité d’être seul avec Arnaud ne s’est plus représentée, mais dans ses conversations, il lui fait bien comprendre qu’il est devenu sa "propriété, il lui donne parfois des ordres à exécuter, comme mettre une culotte sous son pantalon pour se rendre au travail ou pas de sous-vêtement du tout, il s’est procuré un genre de pompe à air, avec des embouts pour ses tétons qu’il doit faire gonfler et grandir, son nouveau devoir de tous les soirs. A la maison, cela fait trois semaines que "l’explication" avec Maman a eu lieu, depuis, à part une tendresse retrouvée, rien ne se passe qui pourrait faire penser qu’il y a eu autre chose de plus à un certain moment.
Sa patronne, pour sa part, est de plus en plus contente de lui, elle le lui fait savoir en le désignant chef d’équipe, malgré son jeune âge, ce qui fait grincer quelques dents parmi les travailleurs, mais sa gentillesse et son efficacité ont vite fait d’aplanir les difficultés, bref, tout va bien dans le meilleur des mondes. Il se rend à l’entraînement du jeudi, il ne pleut pas depuis deux semaines déjà, le terrain est sec et dur, mais ça n’empêche pas de jouer, après une heure d’efforts intensifs, il saisit le ballon quand un des joueurs le plaque violemment au sol, le faisant glisser sous lui, on l’aide à se relever, son short est en lambeau et la peau du haut de la cuisse est fortement éraflée et saigne, il doit regagner les vestiaires, laissant les autres continuer, il y est depuis quelques instants quand Arnaud le rejoint.
— Tu as pris une belle pelle dis-donc !! Ça va ?— Oui, ça brûle un peu, mais je vais passer à la douche, ça ira mieux.
Arnaud s’occupe directement de lui, il lui retire short et slip, ça lui rabote la peau, il gémit. Le t-shirt suit le même chemin, c’est alors qu’il inspecte la poitrine de Manu...
— Tu ne fais pas ce que je t’ai demandé !— Mais si...— Tais-toi, tu vas mentir ! Mets-toi face au mur, les mains en haut sur le mur ! Tu mérites une punition, je t’avais prévenu...
Se plaçant de côté, il lui assène une forte claque à la limite de la blessure, en bas de la fesse, puis sur l’autre, encore et encore, il s’adoucit un peu caressant les globes endoloris, faisant onduler la chair des fesses...
— Tu me fais de l’effet avec ton gros cul ainsi exposé, mais tu bandes ma cochonne, ça te plaît de recevoir une bonne fessée, ta Maman devait avoir du spectacle, tu bandais aussi avec elle ?— Oui.
Il lui raconte alors ce qui s’est passé la dernière fois...
— Mumm j’aimerais bien voir ça !
Se plaçant derrière lui, il crache dans sa main, badigeonne l’anus de Manu et le short à mi-cuisses, il y plante son pénis dressé jusqu’aux testicules. Manu pousse de nouveau un gémissement, mais de plaisir cette fois et, comme la première fois, sa queue commence à couler lui procurant ce plaisir diffus, mais si bon. Arnaud s’agrippe au ventre, aux seins, malaxant le tout en poussant des grognements, il jouit dans le cul offert, il faut faire vite, les autres pourraient arriver, dit-il. Il pousse Manu dans les douches, le rejoint, mais pour se laver cette fois, l’obligeant à se presser.Ils sortent, se sèchent, Arnaud apporte la boîte de secours du vestiaire, couvre la blessure de liquide antiseptique puis l’oblige à se rhabiller en vitesse.
— Viens, je te reconduis, j’ai la voiture de mon père.
En sortant du stade, il prévient l’entraîneur qu’il le ramène à la maison. Arnaud s’en va dès qu’il l’a déposé. Il entre, la maison semble étrangement vide, cependant il entend des mouvements dans la cuisine, à son entrée, il saisit d’emblée une scène qui le laisse sans voix, comme tétanisé, Maman est assise lui faisant face et une dame s’est penchée pour l’embrasser, caressant les petits seins qu’elle a dénudés, la main faisant sauter les boutons pressions, descend lentement sur le ventre qui se dénude pareillement. Maman gémit...Il se recule sans bruit vers la porte d’entrée, l’ouvre puis la referme en la claquant.
— Maman, tu es là ?— Il se dirige vers la cuisine, trouve les deux femmes, les joues enflammées, les vêtements un peu en bataille et, sa stupéfaction est grande de reconnaître en l’autre femme, sa patronne, la voix de Maman tremble un peu...— Bonjour mon chéri, qu’est-ce qui t’arrive, tu rentres bien tôt.— J’ai eu un petit accident au rugby, j’ai déchiré mon short et j’ai la cuisse tout éraflée, mais ça va.— Montre-moi et je te dirai si ça va.— Maman, je n’ai pas remis mon slip, il est déchiré aussi...— Et alors, allez montre !
Sa patronne explique qu’elle s’en va, qu’elle était venue parler à Maman d’affaires de femmes...
— Non reste, dit Maman, nous n’avons pas fini...
Rouge de honte, Manu descend son pantalon avec précaution, mais ne le quitte tout à fait, sa maman se penche, lui ôte complètement.
— Mais ce n’est pas que la cuisse, la hanche aussi et il y a de la terre, il faut nettoyer tout ça, allez viens à la salle de bains et enlève ton t-shirt, tu vas dans la baignoire. Mais ta poitrine est griffée, décidément c’est un sport vraiment violent et ton short ?— Il était fichu, je l’ai jeté.
Elle fait couler l’eau, attrape un gant, l’enduit de savon...
— Je te préviens, ça va faire un peu mal comme quand je te nettoyais les genoux quand tu tombais.
Sans autre préavis, elle le frictionne avec application, n’oubliant aucune zone, passant et repassant ici et là, il se remet à saigner, pousse des petits cris, pour ne rien oublier, elle le lave quasiment en entier, remarque la bonne forme de sa verge, mais ne dit rien à ce sujet...
— Allez, sors, je vais t’éponger, je mettrai la serviette à la lessive, en attendant que je te badigeonne de solution antiseptique, garde-la contre toi, j’arrive.
Elle revient quelques instants plus tard, il est perdu dans ses pensées, qui aurait pu croire que cette journée lui apporterait tant de bonheur, et de surprises. La solution antiseptique a malheureusement un effet piquant, elle n’hésite pas sur la dose, il pousse un cri.
— C’est bientôt fini, mon chéri, c’est pour ton bien, après je te ferai un gros câlin, comme avant, pour te consoler. En attendant, tu vas rester dans cette tenue, rien de tel que l’air pour favoriser l’apparition des croûtes. Tu n’as qu’à ranger tout ça en attendant, je salue mon amie et je reviens.
Il range tout pendant qu’elle se rend dans la cuisine, curieux et très excité, il la suit à pas de loup, les deux femmes s’embrassent avec fougue, des caresses se perdant au passage, il se retire heureusement à temps. Maman chuchote...
— Au revoir ma chérie, reviens vite me voir, je suis impatiente !!
Elle revient vers lui, il s’est allongé sur le divan du salon.
— Je t’avais promis un câlin.
Il ne l’a pas entendue arriver, tout absorbé qu’il est dans le souvenir de son aventure, elle se penche, l’embrasse sur les joues, caresse sa poitrine et son ventre.
— Ce soir, tu es de nouveau mon petit garçon, je suis contente d’avoir eu à m’occuper de toi. Enlève cette serviette maintenant, tu vas rester nu, le temps que l’effet cuisant passe un peu.— Mais les traces rouges sur ta poitrine ne sont pas dues à ta chute tout de même...— Heu, non, mais, c’est "particulier".— Tu me raconteras plus tard, tu as encore mal ?— C’est un peu brûlant, mais supportable.
Maman se baisse et souffle sur la blessure, la fraîcheur de son haleine le fait frissonner de plaisir, quelques soubresauts agitent son pénis...
— Comme je vois, tu aimes toujours que je m’occupe de toi...
Elle le prend délicatement dans la main, approche ses lèvres pour y déposer un bisou...
— Tu te rappelles quand je câlinais ton petit oiseau, on dirait que ça te fait le même effet aujourd’hui. Tu es si beau !! Alors tu me racontes ces traces sur tes seins...
Il lui explique son aventure avec Arnaud, omettant volontairement le côté féminin que celui-ci lui suggère et lui impose aussi...
— Tu es amoureux ?— Je ne sais pas, Maman, il me fait plaisir et je lui fais plaisir, c’est la première fois avec une autre personne que toi...
Les images qui lui reviennent le mettent dans un état second, Maman qui a toujours sa queue en main commence à le masturber doucement, il lui caresse les cheveux, descend sur ses épaules, à ce moment, il se souvient de la scène dans la cuisine, il glisse la main dans son corsage qu’elle libère lui offrant ses tétons dressés, ils gémissent tous les deux. Sa robe est complètement ouverte, il descend sa caresse et constate en passant sur ses fesses qu’elle n’a pas de culotte. Est-ce juste pour lui ou n’en avait-elle pas déjà dans la cuisine avec son amie ?
Il malaxe copieusement sa chair opulente, elle se relève, écarte les jambes tout en continuant à le branler, il s’insinue entre les cuisses charnues, remonte vers la fente, déjà il sent la moiteur bien avant ses lèvres, il glisse facilement entre elles, deux doigts au plus profond qu’il sait, il coulisse rapidement, suscitant un bruit de succion. Maman est secouée de spasmes révélateurs de sa jouissance, il ose alors titiller son anus qu’il sent accessible, mais le plaisir le prend d’un coup et il relâche sa prise...
Maman se referme, s’approche et ils s’embrassent tendrement sur la bouche, encore toute secouée de ces moments intenses...Le cours de la vie reprend, Maman va préparer à manger, au préalable, elle s’est changée et lui a passé une robe de chambre assez lâche pour préserver sa blessure.
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