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Chroniques de Pornopolis

Chapitre 1

La journaliste

Divers
Bonjour à toutes et à tous. Bienvenue dans le programme « Chroniques de Pornopolis ». Vous y découvrirez chaque chapitre la vie quotidienne de l’un des habitants de ce pays très spécial. Cette île est uniquement accessible par la mer et seulement si l’on connaît les bonnes personnes. Vous l’aurez compris par son nom, la spécialité de cet État est qu’il est régi par le sexe. En effet, les gens y vivent annuellement nus (il n’y fait jamais froid, quelle chance), on y paie ses achats avec des prestations sexuelles, tout le monde baise les uns avec les autres sans tabous, la religion est... très différente des nôtres...
Sans plus attendre, passons au premier portrait.Bonsoir, je m’appelle Ariane et je suis journaliste. Je suis l’une des seules de mon pays, et aujourd’hui, j’ai la chance d’interviewer l’une de nos plus fameuses célébrités, Gary Dicklord. C’est un pseudonyme évidemment.
Je commence ma journée comme tous les jours : dès que je me réveille, j’attrape mon gode rose, me l’enfonce profondément dans la chatte et profite de son petit bras vibreur qui vient se frotter contre mon clitoris. Ça me prend environ cinq minutes puis je vais déjeuner. Généralement, je trouve mon copain en train de se branler devant la télé, alors je l’aide rapidement à se terminer, me contentant de boire son sperme pour ce matin et me met en route pour le bureau d’édition du journal dans lequel je travaille.
En arrivant dans le bus, j’ai de la chance, il reste un fauteuil vibrant de libre. Faut que j’en profite, j’ai cinq arrêts avant de descendre. J’écarte mes cuisses pour que le mât s’y enfonce facilement, et joins aux gémissements des autres filles du bus les miens. Je suis presque déçue de devoir quitter le bus.
En arrivant au bureau, je montre ma carte de journaliste au garde. Il n’est pas sûr que ce soit moi, alors je m’assieds devant lui et écarte les jambes pour lui montrer que c’est le même vagin que sur la photo. Il m’a laissé enfin rentrer. En arrivant devant mon ordinateur, je vois que l’un de mes collègues regarde encore un film au lieu de travailler. C’est toujours le même, celui où une petite brunette se prend trois bites en même temps dans la chatte. On y voit clairement son vagin étiré par ces trois membres. Et vu sa tête, elle a l’air d’apprécier. Je m’assieds sur mon fauteuil (pas vibrant celui-là, malheureusement) et consulte mes e-mails. Merde, Marie et André sont encore en train de baiser à côté. Je n’arrête pas d’entendre les murs trembler et leurs cris de plaisir. Ils sont sans doute en levrette, leur position préférée. Je n’arrive pas à me concentrer.
C’est alors que la secrétaire de mon chef de rédaction me dit qu’il veut me voir dans son bureau.En arrivant dans son bureau, je le salue correctement : je frotte ma chatte contre son gland. Il a l’air heureux de me voir.
— Ariane, j’ai une bonne nouvelle pour toi, me dit-il.— Si tu me renvoies en reportage dans une fête d’étudiants pour me retrouver à avorter, je te tue, plaisanté-je.— T’inquiète, ça n’arrivera plus. Je veux que tu ailles interviewer Gary Dicklord.
Je n’y crois pas. Mon boss me demande d’aller rencontrer mon artiste favori ! J’ai vu presque tous ses films, connais par cœur sa date de naissance et la taille de sa bite...
— Je... Quand tu veux chef !— Alors, vas-y maintenant. Il est en ville pour pas longtemps. Je t’envoie l’adresse de son hôtel. Rends-moi fier ! lâche-t-il en faisant mine de laisser tomber une larme.— Tu ne le regretteras pas, terminé-je en lui disant au revoir, c’est-à-dire en refrottant ma chatte sur son gland.
En sortant du bureau, je m’arrête dans un café pour prendre ma boisson favorite : un cocktail de mouille. La serveuse arrive, dépose son verre entre ses cuisses, se doigte quelques secondes et remplit le verre de son liquide. J’adore, je trouve ça tellement rafraîchissement... J’en profite pour reluquer le couple en face de moi qui se fait une bonne séance de masturbation mutuelle. Je la paie avec un bon cunnilingus, lui donnant un pourboire en m’attardant sur son clitoris, et me dirige vers l’hôtel de mon idole. C’est un immense hôtel extrêmement luxueux en forme de pénis. En arrivant dans le hall, en dehors de toutes ces personnes qui se donnent de plaisir sur le fauteuil, j’aperçois le manager de Gary. Lorsqu’il me voit lui aussi, il s’approche et me suce un téton pour me saluer.
— Vous êtes la journaliste, Ariane ? Me demande-t-il.
Je lui montre ma carte en guise de réponse. Il se baisse pour mieux voir ce qu’il y a entre mes jambes et me sourit.
— Parfait, Monsieur Dicklord vous attend.
Enfin, je vais le rencontrer. Il m’indique son numéro de chambre, la 69, c’est ironique. J’entre dans la pièce et l’aperçois, les jambes bien écartées, en train de se faire sucer par une jolie blonde. Je reste là, à admirer ce spectacle, attendant qu’ils aient fini. Lorsque finalement, il dégage la bouche de la jeune fille de son gland pour lui éclabousser le visage de sperme, je remarque que sa bite semble bien plus grande en vrai qu’en vidéo.
— Ah Mademoiselle, approchez, me dit-il en accompagnant sa partenaire vers la porte.
Il me fait m’asseoir sur une chaise en face de lui et je démarre avec hâte mon enregistrement.
— Monsieur Dicklord. Tout d’abord, sachez que c’est un vrai honneur d’être là aujourd’hui pour discuter avec vous. Si vous le voulez bien, j’ai quelques questions à vous poser. — Faites, je vous prie, répond-il avec une voix suave.— Alors, depuis quand voulez-vous être acteur ? Commencé-je.— J’ai su que ce serait mon métier dès ma première érection. Mes parents et moi avions remarqué que mon pénis était bien plus gros et long que la moyenne. « C’est un don » n’arrêtait pas de crier mon père. Je voulais ainsi en faire profiter un maximum de monde.— Belle histoire. A présent, je voulais vous demander s’il y a une actrice avec laquelle vous avez préféré tourner qu’une autre ?— Sans hésiter, je dirai Stéphanie Danger. Elle avait une de ses manières de tourner sa langue autour de mon gland et de me masser divine. Mais le plus bon, c’était quand j’ai commencé à la pénétrer : elle était tellement humide que ma bite est rentrée au fond d’un coup en elle, et c’était en même temps si chaud... Un vrai régal. Quand j’ai éjaculé en elle, j’avais jamais ressenti un soulagement aussi profond. A noter que l’on a baisé pendant trois heures consécutives. Mon record.— Wow, quelle belle anecdote ! J’ai vu le film, et je ne savais pas que vous aviez coupé autant de scènes ! Ma prochaine question est celle-ci : avez-vous une astuce pour faire crier les femmes comme vous le faites ?— Je peux vous montrer si vous le voulez.
Gary est là et me propose de baiser. Forcément que j’accepte. Il se lève et vient s’accroupir devant mes genoux. Il écarte mes jambes et entreprend de me lécher la chatte avec une telle vigueur... Merde, j’ai déjà joui tant c’est bon. Mais ça ne l’arrête pas : il approche son énorme pénis de mon vagin et l’enfonce d’un coup sec. Je jouis une seconde fois juste avec son premier coup de reins. Je la sens remplir entièrement ma chatte. Il fait quelques mouvements de hanches, pour sortir et faire retenter sa bite en moi, et se retire après quelques instants.
— Alors, satisfaite ? Aucune astuce, juste de l’expérience.
Je ne lui réponds pas tout de suite, encore sonnée par mes orgasmes à répétitions. Je finis mon interview, le remercie vivement et me remets en route pour chez moi. Je viens de vivre la meilleure journée de ma vie. En rentrant chez moi, je trouve mon copain, encore devant la télé à se mater un film de lesbiennes, actuellement en train de se frotter chattes contre chattes. Je m’assieds à côté de lui pour le branler comme il aime : faire des mouvements avec mon ooh et en caressant son gland avec mon autre main. Lorsqu’il jouit, je m’empresse d’attraper tout son jus dans ma bouche et de sentir son liquide chaud se déverser sur ma langue.
— Tu veux que je te fasse plaisir ce soir, chérie ? Me propose-t-il ?
A contrecœur, je refuse.
— Désolée, mais je viens de rencontrer Gary Dicklord.— Ah, je comprends, dit-il en me faisant un clin d’œil. Je vais à la cuisine, me cuis des pâtes que je mange sans sauce et me couche direct dans mon lit.
Bon Dieu que j’adore ce pays...Ariane
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