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Chroniques de Pornopolis

Chapitre 2

Le patron de café

Divers
Vous commencez désormais à bien comprendre comment fonctionne cette société. Il reste un point cependant qui me semble essentiel à expliquer : les nouveau-nés. En effet, dans ce pays où tout le monde fornique à toute heure, trente fois par jour, il est inévitable que quelques femmes se trouvent au final avec un bébé dans le ventre. Et bien, figurez-vous que non : les nappes phréatiques qui fournissent l’eau de l’Etat entier sont en constant contact avec une roche qui en s’effritant, déversent quelques-unes de ses particules dans l’eau.
Celles-ci ont des propriétés très spéciales : premièrement, elles attisent chez les personnes qui la boivent une volonté insatiable de sexe, deuxièmement, elles leur améliorent leur capacité dirons-nous de plaisir (des érections plus longues et plus fréquentes, une production de sperme augmentée...) et troisièmement, elles fertilisent ceux qui les ingèrent, hommes ou femmes, jusqu’à ce que ceux-ci arrêtent de boire cette eau et retournent dans une société plus normale.
Ainsi, le pays est favorisé par les jeunes à la recherche de plaisir et de découvertes avant qu’ils aient envie de fonder une famille. Après cette courte parenthèse, passons au portrait suivant...Bonjour à toutes et à tous, je m’appelle Benoît et je suis le patron du petit café « la queue entre les cuisses ». Nous sommes ouverts tous les jours à partir de 8h et nous fermons aux alentours de 23h chaque soir. Au menu, nous proposons diverses spécialités de notre établissement, comme le cocktail de mouille déversée sur place, la madeleine maison au sperme chaud et surtout notre plateau de shots de semences surprises. Un régal. Les prix sont simples : ça peut varier à une fellation jusqu’au l’orgasme (ou cunnilingus) à une sodomie pendant trente minutes, sur place. La plupart des gens laissent un pourboire, comme une éjaculation interne, un bukkake, ou même juste un baiser. Ça fait toujours plaisir.
Ce matin, je me réveille avec une envie de me branler énorme. La veille, je me suis couché trop tard, je n’ai pas eu le temps d’accomplir ma branlette rituelle. Heureusement, j’ai la chance d’avoir une copine qui se lève aux mêmes heures que moi ; elle est ma collègue. A peine je croise son regard qu’elle comprend ce que je veux. Elle me prend en bouche et amène vers ma tête sa chatte déjà bien mouillée. Dieu que j’aime sentir sa langue tourner sur mon gland. Aucune cliente n’arrive à me procurer le même plaisir. Elle avale mon sperme, moi ça mouille, et nous mettons la table pour le déjeuner. Je découpe du pain et étale dessus du sperme que je garde au chaud dans un bocal. Pain au sperme, le meilleur repas pour le matin.
Puis nous prenons la voiture pour nous rendre à notre café. Ma copine qui conduit adore se « tromper » de levier de vitesse et branler ma queue. Je ne peux pas lui en vouloir, à sa place, je fais pareil, même si l’excuse marche un peu moins.
Nous arrivons devant l’établissement et nous voyons Anna, notre nouvelle employée qui est déjà bien en avance. Elle est arrivée par bateau il y a quelques jours, elle semblait un peu gênée de la situation, mais a fini par adorer le pays. Elle cherchait du boulot pour ne pas rien faire de ces journées et alors quand Myriam, ma copine, et moi avons vu débarquer cette jeune bombe, on a sauté sur l’occasion. L’entretien d’embauche était banal ; elle nous a montré ses talents, en combien de temps elle se faisait jouir en se masturbant, en combien de temps elle faisait éjaculer un homme et surtout pendant combien de temps elle pouvait se faire baiser et sodomisée sans s’écrouler au sol de plaisir. Anna a même été plus loin en nous prouvant qu’elle était capable de s’occuper jusqu’à cinq bites ou chattes en même temps sans délaisser un seul instant l’un ou l’une de leurs propriétaires. Elle était parfaite pour ce poste.
Un seul détail, elle avait du mal au début à bien viser les verres lorsqu’elle se branlait pour y faire couler sa mouille.
Mais avec le temps, elle y arrivait de mieux en mieux. A notre arrivée, Anna était en train de nettoyer les flaques de sperme qui traînaient devant les tables. La nuit, de nombreuses personnes profitent de baiser et d’éjaculer sur les trottoirs. C’est vrai que dans le noir, c’est toujours plus excitant. Je la salue en lui suçant un téton et elle en embrassant mon gland et j’ouvre la porte. On ouvre dans 20 minutes.
— On a le temps pour se faire un peu plaisir les filles, lancé-je.
Myriam me prit les joues et m’embrassa passionnément tandis qu’Anna était déjà à genoux, ma queue dans sa bouche, malaxant mes boules. Elle sait faire plaisir à un homme la petite. Très vite, je couche les deux femmes au sol et les doigte en passant ma bouche d’un clitoris à un autre. Très vite, je les mène à l’orgasme. Pour me punir d’avoir été aussi rapide, elle se met à deux pour une fellation exquise. Voir leurs langues s’emmêler tandis qu’elle lèche mon pénis me fait frémir. J’avoue avoir un penchant pour le sexe lesbien. Au moment d’éjaculer, je me retire et me vide dans l’énorme pot de réserve de sperme dans la cuisine.
— Quel dommage que nous ne puissions pas y nager, lâche Anna avec un sourire. — Pour ça, il faut que tu ailles au Spa, lui réponds-je.
Lorsque je termine ma phrase, les autres serveurs et cuisiniers arrivent tous presque comme un seul homme, pile à l’heure. On termine les derniers préparatifs et on attend les premiers clients. Après un petit quart d’heure, les tables sont toutes remplies de jeunes couples ou amis en train de se masturber en attendant leurs commandes ou même de se donner en spectacle en position de levrette sur la table ou contre le mur.
On est débordés, comme chaque jour, contrairement à ce que notre façade laisse apparaître : Anna est en train de remplir son troisième verre de mouille et même si elle y prend beaucoup de plaisir, elle commence un peu à fatiguer, l’un de nos serveurs en a marre de se branler sur des madeleines... Heureusement, on a mis en place une salle de repos dans l’arrière-boutique où chacun peut aller quand il veut ; cette pièce ne peut pas contenir plus de deux personnes, donc dès qu’une troisième arrive, une autre s’en va, peu importe qu’elle soit en train de se branler ou de baiser sauvagement avec quelqu’un d’autre.
Myriam et moi, on s’occupe des comptes. Après chaque addition payée, les serveurs nous rapportent tous leur rapport : « On m’a fait une fellation », « J’ai eu un pourboire de cinq minutes sur la pénétration vaginale », « deux sodomies pour moi d’affilée par la même personne, table 6 »...
D’ailleurs, on ne les paie pas à proprement parler. Ils n’ont pas de salaires. Vous imaginez, devoir satisfaire à la fin du mois les besoins sexuels de quinze personnes... A vrai dire, et ils sont d’accord avec ça, leur paie, ce sont les relations sexuelles avec les clients. Stephan, l’un des plus anciens, nous a avoué ne jamais avoir autant baisé que depuis qu’il travaille pour nous. Au final, tout le monde y trouve son compte, et ça nous va.
Super, une dispute éclate sur la terrasse. Comment les gens ne peuvent-ils pas être assez satisfaits par ce style de vie pour venir emmerder d’autres personnes ? Je sors pour m’occuper moi-même de cette histoire et tombe littéralement des nues quand les deux filles qui se querellent (scène très excitante d’ailleurs, et elles le voient) m’expliquent que l’une est sadique et qu’elle a mordu le clitoris de l’autre, ce qu’elle n’a pas supporté. Je leur demande de se calmer et leur propose de les aider à se calmer dans l’arrière-boutique. Elles acceptent.
Heureusement, il n’y a aucun de mes employés qui font une pause. Je m’installe donc les jambes écartées sur le canapé et les laisse s’occuper de ma bite bien dressée. Puis l’une se lève et approche sa chatte de ma bouche que je prends énormément de plaisir à lécher, tout en massant la zone où se trouve son clitoris. Au moment d’éjaculer sous la jouissance de la fellation, je me retire de sa bouche et la fais s’asseoir sur ma queue, toujours en agitant vigoureusement ma langue dans la chatte de la seconde. Je m’amuse même à insérer un doigt en elle, ce qui la fait gémir en même temps que celle que je pénètre. Nous finissons par jouir tous les trois, remplissant sa chatte de sperme, nous nous saluons en nous roulant une pelle à trois et elles s’en vont, promettant de ne plus faire d’esclandre.
La fin de la journée arrive. Qu’est-ce que c’était éprouvant ! Une fois tous les employés partis, Myriam et moi prenons une pause dans la salle réservée pour ça, j’en profite pour la sodomiser en levrette, position qu’elle préfère, puis nous repartons chez nous.
Encore une fois, je m’endors sans ma branlette traditionnelle... Benoît
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