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Chroniques villageoise

Chapitre 1

Divers
CHRONIQUES VILLAGEOISES1 – Blanche ou la vie de château
Blanche était la cadette de la famille De Merteuil. Alors que Hervé, son frère de 2 ans son aîné était censé prendre la succession de son père dans la gestion du domaine, Blanche n’avait d’autres préoccupations que d’apprendre l’art de devenir une bonne épouse en vue d’un mariage avec un homme qui n’aurait lui, pour seule qualité, de n’être que de bonne famille et surtout fortuné. Un destin tout tracé sauf que le papa n’avait pas misé sur le tempérament bouillant de sa fille.Seule sa maman, Jeanne, aurait pu l’imaginer puisqu’elle aurait dû savoir qu’un chien ne fait pas des chats et que sa fille, donc, avait pu hériter de ses gènes et que Blanche suivrait ses traces en découvrant très tôt les plaisirs solitaires et la doteraient, comme elle, d’un solide appétit sexuel. Par contre elle ne lui souhaitait pas, quand elle serait en âge de convoler, de tomber sur un mari comme le sien qui, malheureusement, ne serait pas à la hauteur de ses exigences car elle déplorait la platitude du devoir conjugal qu’il accomplissait rapidement la laissant, à chaque fois sur sa faim. Pour compenser, elle avait dû reprendre ses activités manuelles dont elle se servait durant son adolescence et qui ne la décevait jamais. Les plaisirs solitaires elle les avait découverts très tôt car sa famille pratiquait le libertinage très fréquent parmi la petite noblesse. Ce dont elle avait été témoin avait eu des répercussions sur ses hormones et son jeune corps trouva rapidement les caresses qui apaisent et qu’elle s’octroyait quasi quotidiennement, et le plaisir qu’elle en tirait chaque fois, elle ne pouvait plus se passer. Puis durant les quelques années précédant son mariage, elle partagea sa découverte du plaisir et par là-même ses masturbations avec ses cousines qui lui rendaient régulièrement visite. C’est de cette période que lui vint le goût des amours féminines.Donc Jeanne, avec un tel tempérament et si elle s’était un peu plus occupée de sa fille, elle se serait vite aperçu que celle-ci aimait se masturber et son engouement pour les plaisirs de la chair elle en était involontairement responsable ne s’étant jamais doutée qu’un jour où, imprudemment alors qu’elle s’offrait une petite gâterie, se croyant à l’abri des regards indiscrets bien dissimulée derrière un bosquet dans le parc du château, elle avait été espionnée par les yeux juvéniles de sa fille qui avait suivi avec intérêt la masturbation de sa mère et l’avait expérimentée sur elle le jour même. Un jour, par hasard, Blanche surprit Constance, la fille de la cuisinière qui avait son âge et qui venait de temps en temps aider sa mère à la confection des repas, se glisser subrepticement dans la remise où l’on stockait les victuailles et d’en sortir quelques minutes plus tard, les joues plus roses qu’à l’entrée. Intriguée, elle la surveilla plus étroitement et son manège se répétait une ou deux fois chaque jour. Elle se mit à la soupçonner de manger les gâteaux ou autres sucreries qui s’y trouvaient.La curiosité l’emporta et, pendant que la fille de la cuisinière se trouvait dans la remise, Blanche ouvrit brutalement la porte. Elle pensait surprendre la jeune fille en route à se gaver de gâteaux et se trouvait prête à lui faire une remontrance quand elle ne vit qu’une jeune fille, robe troussée, culotte baissée, la main entre les cuisses. Constance se masturbait. Par pudeur elle voulut rabattre sa robe précipitamment mais Blanche retint son geste en lui disant : « non, continues s’il-te-plait ». Constance, apeurée, croyant se faire réprimander et surement renvoyée, trouva bizarre la demande de Blanche et resta figée. A la deuxième injonction elle reprit timidement sa masturbation en espérant que cela se termine vite mais sa peur de déplaire à Blanche n’excluait pas la montée du plaisir qu’elle essayait d’enrayer à tout prix. Mais non, la jouissance, attisée par le regard de Blanche, arrivait inexorablement. Elle eut honte mais, involontairement, le rythme de ses doigts s’accélérait. — C’est bien, invectiva Blanche, vas-y, oui comme ça ! Branles-toi comme tu le fais d’habitude. Tu aimes ça te branler. Combien de fois par jour le fais-tu ? Montres-moi mieux ta chatte, n’ai crainte, ce sera un secret entre nous. A ces mots la main de Constance accéléra encore la cadence, les clapotis se firent entendre. Sa peur avait disparue et n’avait qu’un seul désir, jouir.Blanche, pour la connaître elle-même lorsqu’elle se masturbait, voyait la jouissance arriver au galop et quand elle éclata, Constance ne put réprimer les soubresauts qui secouèrent son corps et les tremblements qui s’en suivirent durèrent un long moment. Blanche en fut étonnée et ravie.— Oh quel pied ! Tu mouilles beaucoup on dirait, moi aussi tu sais. Mais suis-je bête comment l’aurais-tu su ? Tu as l’air surprise. Tu ne savais pas que les baronnes se branlent autant que les filles de cuisinières. A moi maintenant, tu m’as drôlement excité tu sais. Je crois que l’on va bien s’entendre. Non reste comme ça, tu as une belle chatte alors montre-la. Blanche se troussa. Elle était ravie. Pour la première fois elle avait une spectatrice à ses masturbations. Elle n’aurait jamais cru que d’être regardée aurait pu avoir une si forte incidence sur la montée du plaisir. Elle mouillait abondamment et ne chercha pas à faire durer le plaisirs comme elle aimait le faire le soir dans son lit, elle s’attaqua immédiatement à son clitoris qui n’avait jamais été si dur et n’attendait que ça. Sa jouissance éclata rapidement. — A demain Constance, même heure même endroit.Blanche et Constance ont continué à se voir quelque temps dans la remise mais Blanche préféra faire venir sa compagne dans sa chambre reconnaissant toutefois qu’elle perdait le surplus d’excitation dû au risque de se faire surprendre mais c’était bien plus confortable. Le lit donnait plus de possibilités pour prendre des positions qui agrémentaient leurs jeux et si la masturbation face à face, chacun pour soi, était toujours de mise et apportait de bonnes jouissances, les caresses qu’elles se dispensaient maintenant l’une sur l’autre amenaient des orgasmes bien plus forts mais le summum fut atteint lorsqu’elles se servirent de leur langue. Avec une Constance insatiable, Blanche prenait goût aux amours féminines. Mais sa compagne fut de moins en moins assidue aux récréations que Blanche attendait chaque jour avec impatience et finit par avouer, alors qu’elle venait de mener à coup de langue son amie au septième ciel, qu’elle était tombée amoureuse d’une femme.— Une de tes copines demanda Blanche avec une pointe de jalousie dans la voix?— Non, avait-elle répondu, non, pas d’une de mes copines, d’une vraie femme.— C’est mieux qu’avec moi lui demanda Blanche d’un air triste. C’est ça hein ? Qui est-ce ?— Je regrette Blanche c’est un secret, continua Constance, je ne peux rien te dire, elle est mariée tu comprends. Oh ! Je ne renie pas ce que nous avons vécu, j’ai passé de sublimes moments dans tes bras mais ce n’était que sexuel entre nous. Tu trouveras facilement d’autres compagnes de jeu. Justement, parmi tes cousines qui viennent te voir régulièrement, il y en a une, Armande je crois, qui est assez délurée. J’avais une dizaine d’années lorsqu’Armande et ses sœurs vous rendant visite, m’intégrèrent à leurs jeux. Tu comprends, moi, une fille de domestique, pouvoir jouer avec des demoiselles, j’étais flattée. Mais je compris vite pourquoi quand elles me demandèrent de jouer au docteur ce qui invariablement se terminait par une auscultation du minou. Je n’étais pas choquée, moi aussi j’étais à l’âge où ce qui se trouvait entre mes cuisses était une énigme. Armande, l’aînée, se mettait en position accroupie, les cuisses ouvertes, sans culotte, exposant son minou à ma vue et dévoilant le mien, elle lui prodiguait de douces caresses. Rentrée chez moi je revoyais la scène et, les attouchements que j’avais subis, me troublait. A chaque fois les caresses se faisaient de plus en plus précises et je commençais à ressentir de drôles sensations. Je ne sais pas si elle connaissait déjà les plaisirs de la masturbation, entre nous je pense que oui, mais moi c’est grâce à elle que je l’ai découvert en commençant à reproduire ses attouchements le soir dans mon lit, à explorer mon sexe plus intimement jusqu’à jour où, en insistant sur ce petit bouton, tu vois de quoi je parle, oui celui que je touche en te parlant, j’ai éprouvé un plaisir inconnu. J’ai alors recommencé une seconde fois et ce fut encore meilleur. Je venais de jouir. A partir de ce jour j’ai arrêté les jeux pour qu’elles ne me voient pas jouir devant elles ce qui n’aurait surement pas manqué d’arriver si les caresses devenaient plus précises. J’étais jeune et je me dis maintenant que j’aurais certainement pris beaucoup de plaisir à me masturber en leur compagnie. Donc, égoïstement, j’ai continué à me branler quotidiennement et quand l’envie de jouir me prenait en pleine journée c’est la remise qui me servait de refuge et c’est là que…Tu t’en rappelles Blanche, j’ai apprécié la masturbation à deux.Les deux jeunes filles éclatèrent de rire se mirent tête-bêche et, en guise d’adieu, se firent jouir une dernière fois. Blanche avait perdu sa compagne de jeu mais ne perdit pas au change. Constance avait raison Armande était une vraie vicieuse, elle avait dévergondé la presque totalité de ses autres cousines et même une de nos tantes, la plus jeune sœur de ma mère qui était encore célibataire. Par la même occasion cette tante lui appris, au beau milieu d’un échange de caresses que sa sœur, la mère de Blanche donc, avait une jeune maîtresse en la personne de Constance. Blanche compris alors la discrétion de son ex-partenaire de jeu mais respecta son choix. Blanche semblait être heureuse et paraissait comblée par ses amours lesbiennes mais quand même, son ignorance de la sexualité des hommes l’intriguait. Elle chercha parmi son entourage qui pourrait se charger de compléter son éducation et commença à surveiller tout les mâles qui gravitaient autour d’elle.Le hasard voulut qu’elle entra dans la salle de bain alors que son frère Hervé qui, rappelons-le, était de deux ans son aîné, s’y douchait. Le bruit du jet d’eau et le nuage de vapeur fit qu’il n’entendit ni ne vit la porte s’ouvrir et aussi était-il bien trop occupé. Il se tenait debout, de profil et ce que blanche vit en premier fut le pénis de son frère. Certes elle connaissait l’anatomie des garçons mais jamais elle n’aurait pensé que cela pouvait avoir de telles dimensions. Une tige de vingt centimètre au moins, grosse comme son poignet qu’une main avait empoignée et qui effectuait de rapides va-et-vient. Un grognement et une giclée de liquide blanc jaillit.Blanche ne put s’empêcher de pousser un cri et se voyant découverte, s’enfuit vers sa chambre, se jeta sur son lit, la tête encore remplie des images de son frère nu et surtout de son sexe. Deux minutes plus tard, Hervé gratta à sa porte.
— Je peux entrer demanda-t-il ?Blanche hésita. La honte lui disait de répondre non mais la curiosité l’emporta et dit en s’asseyant au bord du lit :— Oui tu peux.Son frère, les cheveux mouillés, entra. Il avait enfilé un peignoir. D’une faible voix il rompit le silence.— Blanche entama-t-il en toussotant, je ne sais pas ce que tu as vraiment vu mais si je t’ai choqué excuses-moi, c’est de ma faute, j’aurais dû verrouiller la porte.— J’ai vu répliqua-t-elle timidement, quelques secondes seulement mais j’ai vu.— Excuses-moi répéta-t-in encore, excuses-moi si je t’ai choqué.— Pourquoi crois-tu que j’ai été choquée ? Mon cri peut-être, oui c’est ça ! Non Hervé ce n’était qu’un cri de surprise. D’abord quand j’ai vu la taille de ton…de ton…machin puis le liquide qui en est sorti je n’ai pu m’empêcher de réagir. Dis-moi Frérot, tous les garçons ont un truc comme toi ? Ce doit être gênant pour s’habiller. — Ne soit pas sotte sœurette, tu sais bien qu’il n’a pas toujours cette taille, dieu merci, ça n’arrive que lorsqu’on est excité par des pensées ou par des visions que la vie courante peut nous procurer.— Et bien non, je ne sais pas ! Pardonnes-moi si je n’ai pas ton expérience. Alors quelles sont ces pensées ou visions ?— Ben… C’est assez varié. C’est quand, par exemple, je vois de belles filles dévêtues dans des magazines ou dans les films, ou autour de nous aussi, surtout l’été quand les femmes sont en tenues légères, robe décolletée et jupe courte.— Et lorsqu’elle devient grosse et raide compléta Blanche, cela ne te gêne pas ? Si, parfois, dis-tu ? Comment fais-tu alors pour qu’elle redevienne normale.— Il suffit que la cause s’éloigne de ma vue mais souvent cela ne suffit pas alors je suis obligé d’agir comme tu m’as vu le faire sous la douche. Mais cela n’est possible que si je trouve rapidement un endroit pour m’isoler. Sinon j’essaie de dissimuler mon état jusqu’à ce tout redevienne normal.— Et si tu peux t’isoler, que fais-tu? demanda malicieusement Blanche.— Je viens de te le dire, je fais comme tu as vu tout à l’heure sous la douche.— C’est-à-dire insista Blanche !— Tu m’embêtes petite sœur et bien je me branle. Voilà tu es contente ?Blanche sourit. Tiens se dit-elle, il emploie le même mot que nous employons entre nous les filles lorsqu’on se frotte le minou. Elle fit l’innocente en demandant à Hervé si c’était des pratiques courantes chez les garçons, il le confirma et ajouta que parfois il le faisait en groupe. Elle sourit de nouveau, s’imaginant se trouver au beau milieu de ce groupe, entourée d’un tas de garçons la queue bandée. Bien-sur elle était ignorante mais elle était persuadée que son frère, avec son air de monsieur « je sais tout », ignorait totalement que les filles aussi pouvaient être excitées et se branler seules ou à plusieurs. Pendant leur dialogue Blanche avait le regard fixé sur l’endroit où le sexe d’Hervé était caché par le peignoir. Elle espérait voir à tout moment le tissu se distendre. Peut-être fallait-il qu’elle y mette un peu du sien.— Ainsi, si je comprends bien, il suffirait simplement que je montre mes seins ou plutôt mes cuisses, que je les écarte, que tu vois ma culotte (ce qu’elle faisait tout en parlant) pour que ta… chose soit dans de meilleures dispositions.Blanche n’eut même pas besoin d’attendre la réponse que le peignoir se déformait déjà. Hervé voulut y porter la main pour cacher son début d’érection mais, d’un ton sec, Blanche stoppa son geste. Le tissu se distendait de plus en plus et tout-à-coup le peignoir s’ouvrit à partir de la ceinture et la queue d’Hervé apparut dans l’entrebâillement dans toute sa splendeur.— Excuses-moi si je te demande de rester dans cette position mais tout à l’heure je n’ai pas eu le temps d’admirer ton zizi. Tu comprends frérot tout cela est nouveau pour moi. J’aimerai aussi, ma curiosité le commande, te voir refaire ce que tu faisais sous la douche. En échange, si tu le désires, je te montrerais ce que les filles, bien qu’elles ne possèdent pas le même appendice que vous, peuvent avoir des pratiques similaires aux vôtres.Hervé hésita mais la posture de sa sœur et la perspective de connaître enfin les mystères du sexe féminin lui donnait l’espoir de voir tomber le dernier rempart qui lui cachait le minou. Il s’approcha un peu plus de Blanche pour que cette dernière puisse admirer sa queue de plus prés et d’en distinguer les détails puis l’empoigna et commença sa masturbation. Blanche n’attendit pas plus longtemps tant elle était elle-même excitée et d’un doigt, écarta sa culotte et présenta sa chatte. A ce spectacle la queue d’Hervé eut un soubresaut et sembla s’allonger encore. Blanche était persuadée que c’était la première chatte que son frère voyait une foufoune en vrai. Puis faisant semblant de chercher ses mots : — Vas-y Frérot, br…bran…branles-toi ! C’est bien comme ça qu’on dit ? Hervé commença ses va-et-vient. Blanche s’approcha pour le voir de plus près mais pour cela elle dut changer de position et stopper momentanément son exhibition. Aussitôt Hervé suspendit aussi sa branlette, Blanche comprit le message car elle reprit la pause et même elle enleva carrément sa culotte. Elle ne pouvait plus attendre et ses doigts entrèrent en action.— Tu vois grand frère, je me branle avec toi. Cette fois elle avait prononcé ce mot sans bégayer. Pour Hervé le mot « branler » dans la bouche de sa sœur et le spectacle qu’elle offrait déclencha son éjaculation. Soulagé, la bite d’Hervé s’amollissait lentement. Il ramena le pan de son peignoir pour la dissimuler mais Blanche l’en empêcha.— Non Hervé laisses-moi encore la voir tant que je n’ai pas joui.Hervé fut étonné que sa jeune sœur parlât de jouissance. Avec ses camarades il parlait souvent des filles, de leurs seins, de leur sexe qu’ils voyaient dans les magazines mais ils n’avaient jamais imaginé qu’elles pouvaient se branler et de surcroît jouir. Il se dit que sa sœur était bien plus délurée qu’il ne le pensait. Il en fut agréablement surpris et compris que cette nouvelle complicité fraternelle pourrait l’aider à mieux connaître le comportement souvent indéchiffrable des filles. Ses pensées l’avait un instant éloigné du spectacle qui se déroulait sous ses yeux mais les gémissements de sa sœur le ramenèrent vers la réalité, il la regarda alors jouir, tout surpris qu’une fille puisse avoir un plaisir similaire aux garçons si ce n’est l’éjaculation bien que s’il avait regardé de plus près il aurait remarqué un abondant afflux de liquide. Constat qu’il fera plus tard.Le frère et la sœur échangèrent des confidences, principalement sur la masturbation des garçons et des filles ce qui les excitait et qu’ils devaient, bien-sur, pratiquer pour se soulager. Ils se branlaient face à face mais ce qu’ils adoraient c’était de le faire chacun leur tour prenant le temps de bien regarder l’autre en écoutant ou en faisant des commentaires. Peut-être eurent-ils le désir d’aller plus loin dans leur complicité mais aucun n’osa porter la main sur le sexe de l’autre et leur relation resta en l’état. Par contre ce fut le déclic pour eux deux. Blanche commença à avoir un intérêt certain pour les garçons et Hervé, lui, connaissant maintenant en détail les différentes parties du sexe féminin et leur rôle dans le plaisir, devint plus hardi avec les filles n’hésitant pas à solliciter les conseils de sa sœur quand il le jugeait nécessaire. Ses compétences furent rapidement connues et les conquêtes s’enchaînèrent. Bien entendu il rendait le même service à Blanche quand, de son côté elle avait des lacunes. Les années passaient. Blanche ne voulait pas se marier au grand dam de sa mère Jeanne qui, devenue veuve, continuait de vivre sa romance avec Constance mais cette fois au grand jour ce qui fit beaucoup jaser dans le village.Hervé s’était marié lui. Il fallait bien assurer la descendance et il eut beaucoup de chance de tomber sur Catherine de Valmont car non seulement elle lui fit deux beaux enfants mais en plus devint une véritable salope qui, ayant compris qu’Hervé ne pourrait pas lui rester fidèle, décida de prendre les devants, de ne pas être une simple spectatrice des aventures de son mari mais d’y être actrice aussi ce fut elle qui organisa, avec l’aide de Blanche, les soirées libertines auxquelles elle participait et appréciait. Elle avait appris à aimer les femmes et elle se gouiner volontiers avec sa belle-sœur ne refusant pas toutefois les assauts d’un mâle bien monté. Par contre, bizarrement, elle ne vit jamais son mari baiser sa sœur.Durant de nombreuses années Blanche vécut une vie de débauche jusqu’au jour où son frère et sa famille migrèrent vers le soleil à cause de l’état de santé de Catherine. Elle avait 48 ans et ses activités sexuelles avaient beaucoup diminuées. Les jours où ses envies devenaient pressantes elle reprenait ses activités manuelles qui avaient si souvent comblées ses besoins d’adolescente. Parfois elle demandait à Berthe, sa vieille domestique, une brave femme qui l’avait pratiquement élevée et ne pouvait rien lui refuser, de lui lécher la chatte ce dont elle s’acquittait très bien mais qui refusait toujours qu’on lui rende la pareille.Elle avait également proposé ses services à sa mère qui, deux ans plus tôt, avait perdu son amante Constance emportée en quelques jours par une maladie foudroyante. Jeanne de Merteuil avait alors eu un immense chagrin et était restée plusieurs mois cloîtrée dans ses appartements. Seule Berthe pouvait l’approcher. Elle se faisait du souci pour sa santé car, d’après la domestique, sa mère passait beaucoup de temps à se masturber prenant un malin plaisir à le faire en sa présence. Un jour, Berthe, revenant des appartements de Jeanne, l’informa qu’elle avait de plus en plus de mal à la supporter. Elle avait l’impression qu’elle attendait sa venue pour se masturber en regardant une photo de Constance posée sur le fauteuil face au sien, en tenant des propos incohérents et l’obligeait à rester et à la regarder. Blanche, malgré l’interdiction qui lui avait été faite, à l’heure du thé, prit la place de la domestique. Ce qu’avait dit Berthe était l’exacte vérité. Sa mère était bien en route à se masturber devant la photo de Constance. Voyant sa fille, elle lui intima de sortir mais Blanche, se campant devant sa mère, lui dit :— Arrêtes veux-tu ! n’embête plus Berthe. Si tu veux une spectatrice à tes branlettes je suis là ! Non seulement je pourrais remplacer la photo et te regarder, mais j’irai jusqu’à t’imiter et encore plus, tu pourrais utiliser ma langue au lieu de tes doigts.— Sors Blanche ! Je connais ton tempérament et même si tes intentions sont louables tu penses surtout aux plaisirs que tu en retireras avant de satisfaire les miens. Même s’il est vrai que la présence d’une tierce personne lors de mes masturbations me plait beaucoup, jamais je ne commettrai l’inceste. Bon, maintenant sors et laisse-moi jouir en paix. — J’ai compris le message, au revoir maman.Toutefois Blanche ne voulut pas laisser sa mère avec ses souvenirs et se dit qu’une tierce personne pourrait venir à son secours en jouant la spectatrice de ses masturbations. Elle en parla à sa mère qui d’abord réticente, finit par accepter. Elle se mit en quête d’une femme qui pourrait tenir ce rôle. L’appât d’un gain substantiel attira plusieurs candidates et son choix se porta sur Justine, une jeune fille de 20 ans qui terminait ses études d’infirmière pensant que son futur métier pourrait l’aider à comprendre les étranges débordements de sa mère et que celle-ci ait été suffisamment persuasive pour la faire participer.Au village le vieux curé avait pris sa retraite. Un jeune prêtre, beau comme un dieu, grand, solidement bâti le remplaça. Blanche fut tout de suite séduite et se mit en tête de le corrompre. Pour se faire elle allait chaque lundi se confesser. Ne l’ayant jamais fait de sa vie, elle en avait un énorme tas de fautes à avouer. Bien entendu, au début elle ne parla que de péchés véniels puis ses aveux devinrent de plus en plus osés. Pendant qu’elle parlait de ses prouesses sexuelles elle essayait de voir, au travers de la grille qui les séparait, si le curé était suffisamment excité pour se toucher la bite. Mais rien. Le curé restait stoïque. Ce qui n’était pas son cas car elle s’échauffait et sa chatte mouillait pendant ses sulfureux récits ce qui l’obligeait parfois à se doigter. Mais elle était patiente et ne désarmerait pas.
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